Occurences de l'expression

en

pour REGNARD, Jean-Francois

Options de recherche : partie de mot et  insensible à la casse

LA SÉRÉNADE (1694)

  1. Je vous dis encore une fois que madame n'est pas au logis, et qu'il faut que vous reveniez, si vous voulez lui parler. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  2. À la bonne heure, je reviendrai. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  3. Cependant, Marine, dis-lui que j'ai vendu un collier à la personne qui doit épouser mademoiselle sa fille. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
  4. Ne devriez-vous pas songer que les mariages légitimes ne sont point de votre compétence ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
  5. Un courtier d'usure, comme vous, ne doit s'intriguer que d'affaires de contrebande, et laisser les honnêtes filles en repos. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  6. Une fille est une marchandise qu'on ne saurait garantir, et l'on n'en a pas plus tôt fait l'emplète qu'on voudrait en être défait à moitié de perte. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  7. Oui, mais ceux qui font des mariages ne s'embarrassent guère du succès ; et quand ils ont reçu leur pot-de-vin, et que le poisson est dans la nasse, sauve qui peut. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  8. Vous connaissez du moins l'homme qu'on lui destine, puisque vous lui avez vendu un collier ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
  9. Je vais le lui livrer, et en recevoir de l'argent. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  10. Sa figure n'est peut-être pas des plus ragoûtantes ; mais, comme vous savez, entre l'utile et l'agréable, il n'y a pas à balancer. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  11. Oui, pour des ladres comme vous, qui ne connaissent d'autre bonheur que celui d'amasser du bien, et de faire travailler leur argent à gros et très gros intérêt : mais pour une jeune personne comme Léonor, qui cherche à passer ses jours dans le plaisir, vous trouverez bon, s'il vous plaît, vous et madame sa mère, qu'elle préfère l'agréable à l'utile ; et que moi, de mon côté, je fasse tout mon possible pour rompre un mariage aussi biscornu que celui-là. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  12. Ma pauvre enfant, romps, casse, brise le mariage en mille pièces, je m'en soucie comme de cela. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  13. Je t'aiderai même, en cas de besoin, pourvu que tu me fasses payer de mes peines un peu grassement. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
  14. Un peu grassement ! (Acte 1, scène 1, MARINE)
  15. Mais je ne songe pas que mon homme m'attend : il veut donner tantôt une sérénade à sa maîtresse. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  16. Musiciens et filles de chambre ont volontiers commerce ensemble ; n'y en a-t-il point quelqu'un de tes amis à qui tu voulusses faire gagner cet argent-là ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
  17. Je voudrais bien rester plus longtemps avec toi, je ne m'y ennuie jamais. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  18. Et moi, je m'y ennuie toujours. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  19. Il n'y aurait pas grand mal quand tous ces maquignons de mariages-là seraient au fond de la rivière avec une bonne pierre au cou. (Acte 1, scène 2, MARINE)
  20. J'ai une lettre à lui rendre de la part de sa maîtresse. (Acte 1, scène 2, MARINE)
  21. Comment se porte ta maîtresse ? (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  22. il se porterait assez bien, s'il avait un peu plus d'argent. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  23. Je n'ai jamais connu un gentilhomme plus gueux que celui-là. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  24. Monsieur Grifon son père est bien riche, mais il est bien ladre. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  25. Nous nous en apercevons. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  26. Comment, incognito ? (Acte 1, scène 3, MARINE)
  27. Je loge en ville, et je vis d'emprunt. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  28. Tu fais souvent mauvaise chère. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  29. Je n'ai rien à te dire. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  30. Tiens, rends cette lettre-là à ton maître. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  31. Eh bien ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
  32. Vous plairait-il seulement, ô beauté léoparde ! (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  33. Me dire le contenu de cette lettre ? (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  34. Tu me romps si souvent la tête de ton babil, quand je te prie de ne dire mot. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  35. Je te prie donc de te taire, Marine : c'est le moyen de te faire parler. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  36. Dis si tu peux, mon enfant ; cela est difficile. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  37. Voilà encore un plaisant visage, pour fermer la bouche à une femme ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
  38. Fort bien. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  39. Quand on parle bien, on ne parle jamais trop. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  40. Tu ne devrais pas parler souvent. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  41. Tu voudrais donc savoir le contenu de la lettre ? (Acte 1, scène 3, MARINE)
  42. Point du tout ; je ne veux rien savoir. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  43. Tu sauras pourtant, malgré que tu en aies, que ma maîtresse se marie aujourd'hui avec un homme qu'elle n'a jamais vu ; que sa mère a terminé l'affaire ; qu'elle prie Valère... que la peste te crève ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
  44. Tu auras menti, et il ne sera pas dit que tu me feras entendre malgré moi. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  45. Je ne veux rien savoir ; laisse-moi en repos ; garde tes nouvelles pour un autre. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  46. Mais je m'amuse ici, et je dois aller promptement porter cette lettre à mon maître ; car il est diablement amoureux. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
  47. Qui dit amoureux, dit impatient ; et qui dit impatient, suppose un homme qui a plus tôt donné un coup de pied au cul que le bonjour. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
  48. Eh bien ! (Acte 1, scène 5, VALERE)
  49. Scapin, apprends-moi des nouvelles de Léonor. (Acte 1, scène 5, VALERE)
  50. Rien du tout. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  51. Marine ne t'a rien dit, elle qui parle tant ? (Acte 1, scène 5, VALERE)
  52. C'est justement ce qui fait qu'elle ne dit rien ; mais tout ce que j'ai pu comprendre de la volubilité de son discours, c'est qu'il faut renoncer à Léonor ; et le pis que j'y trouve, c'est que nous n'avons pas un sou pour nous en consoler. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  53. Renoncer à Léonor ? (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  54. Et Marine ne t'a point dit la cause de son refroidissement ? (Acte 1, scène 5, VALERE)
  55. Elle m'a seulement donné une petite lettre qui vous expliquera peut-être mieux la chose. (Acte 1, scène 5, VALERE)
  56. Ma mère prétend me marier à un homme que je ne connais point. (Acte 1, scène 5, VALERE)
  57. Détournez le malheur qui nous menace ; et soyez certain que je choisirai plutôt la mort que d'être jamais à d'autre qu'à vous. " (Acte 1, scène 5, VALERE)
  58. Et je me laisserai enlever Léonor ! (Acte 1, scène 5, VALERE)
  59. Monsieur, le ciel m'a donné des talents merveilleux pour faire des mariages ; et je puis dire, sans vanité, qu'il n'y a guère de jour qu'il ne m'en passe quelqu'un par les mains. J'en ai même ébauché plus de mille en ma vie qui n'ont jamais été achevés ; mais j'aime trop la propagation de l'espèce, pour avoir le courage d'en rompre aucun. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  60. Le vilain usurier qui nous vendit si cher l'argent l'année passée est avec lui. (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
  61. Vient-il lui demander ce que je lui dois ? (Acte 1, scène 6, VALERE)
  62. Le bonhomme négocie avec les usuriers aussi bien que nous ; mais ce n'est pas de la même manière. (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
  63. Nous sommes convenus à trois mille huit cents livres ; ce sont encore deux cents louis qu'il faut vous donner pour le collier, Monsieur Mathieu. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-GRIFON)
  64. Cela nous accommoderait bien. (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
  65. Passez tantôt chez moi, ou envoyez-y quelqu'un de votre part, avec un billet de votre main ; cela suffira : c'est de l'argent comptant, Monsieur Mathieu. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-GRIFON)
  66. Je n'en suis point en peine, et je vous laisse le collier, Monsieur Grifon. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-MATHIEU)
  67. Un collier de trois mille huit cents livres ! (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
  68. Un musicien de l'opéra. (Acte 1, scène 7, VALERE)
  69. Mauvaise connaissance qu'un musicien de l'opéra ! (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  70. Ils mènent les gens au cabaret, et il faut toujours payer pour eux. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GRIFON)
  71. De quoi diantre vous avisez-vous de me faire musicien ? (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  72. Mon fils, j'ai une nouvelle à vous apprendre ; la présence du musicien ne gâtera rien, et peut-être pourra-t-il nous être utile. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  73. Votre imagination m'a fait musicien par hasard ; vous verrez qu'il faudra que je le devienne par nécessité. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  74. Moi-même, en propre personne. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  75. Je ne m'attendais pas à celui-là. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  76. Que dit Monsieur Le musicien ? (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  77. Je ne puis que vous louer, monsieur, de former une entreprise si hardie. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  78. Vous avez eu le bonheur d'enterrer une première femme, vous hasardez d'en prendre une seconde ; le péril ne vous rebute point : cela est fier, cela est grand, cela est héroïque ; et, pour ma part, je n'ai garde de manquer d'applaudir à une résolution aussi généreuse que la vôtre. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  79. Ce que j'en ai dit, mon père, n'est que par l'intérêt que je prends à votre santé. (Acte 1, scène 7, VALERE)
  80. Ne t'en mets point en peine ; ce sont mes affaires. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  81. Oui, monsieur, que monsieur votre père vous donne seulement une belle-mère bien faite, belle, jeune, et laissez-le faire ; vous serez ravi qu'il se soit remarié, sur ma parole. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  82. Je suis sûr qu'il en sera content. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  83. C'est une fille à qui il ne manque rien. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GRIFON)
  84. Ce que je voudrais de vous maintenant, monsieur de l'opéra, ce serait que vous m'aidassiez à donner une petite sérénade à ma maîtresse. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GRIFON)
  85. Musique italienne, française ; je suis un homme à deux mains. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  86. Je suis le premier homme du monde pour les sérénades : il m'en doit encore deux ou trois. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  87. Ce n'est pas pour me vanter, mais en cas de chanteurs, symphonistes, violistes, téorbistes, clavecinistes, opéra, opérateurs, opératrices, madelonistes, catinistes, margotistes, si difficiles qu'elles soient, j'ai tout cela dans ma manche. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  88. Je ménagerai votre bourse ; ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  89. Il ne nous faudra que trente-six violons, vingt hautbois, douze basses, six trompettes, vingt-quatre tambours, cinq orgues, et un flageolet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  90. Pour les voix, nous prendrons seulement douze basses, huit concordants, six basses-tailles, autant de quintes, quatre hautes-contre, huit faussets, et douze dessus, moitié entiers et moitié hongres. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  91. Vous nommez là de quoi faire un régiment de musique. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  92. Il ne faut pas moins de voix pour accompagner tous les instruments. Laissez-nous faire. Je veux qu'il y ait dans cette musique-là une espèce de petit charivari qui conviendra merveilleusement bien au sujet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  93. Nous allons, monsieur votre fils et moi, donner maintenant les ordres pour... (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  94. Attendez. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  95. On doit m'amener ma maîtresse ; je suis bien aise que vous la voyiez, et que vous m'en disiez votre sentiment l'un et l'autre. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GRIFON)
  96. Prenez-la belle et jeune, au moins, surtout d'humeur complaisante ; tous vos amis vous conseilleront la même chose. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  97. Allons-nous-en ; je me meurs d'inquiétude. (Acte 1, scène 7, VALERE)
  98. Ne vous avais-je pas bien dit qu'on devait l'amener ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  99. Autre incident. (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
  100. Je suis ravie, ma fille, de vous voir des sentiments raisonnables, et j'ai toujours bien jugé que vous ne voudriez pas me désobéir. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  101. Voilà une fille bien née, n'est-il pas vrai ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  102. Tout ce que j'ai à me reprocher, madame, c'est que mon obéissance ait si peu de mérite en cette occasion ; et les choses sont dans un état à me permettre d'avouer, sans honte, que votre choix et mon inclination ont un parfait rapport ensemble. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  103. Est-ce à moi de parler comme je fais, quand vous êtes si peu sensible, Valère, aux bontés que ma mère a pour nous ? (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  104. Comment donc Valère ? (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  105. À qui en avez-vous ? (Acte 1, scène 1, MADAME ARGANTE)
  106. Nous approchons du dénouement. (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
  107. Je voudrais bien, pour voir, que vous ne le trouvassiez pas bon ! (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  108. Monsieur mon fils, par quelle aventure est-il mention de vous dans tout ceci ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  109. Par une aventure fort naturelle, mon père. (Acte 1, scène 1, VALERE)
  110. Comment, une aventure fort naturelle ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  111. Oui, monsieur ; mademoiselle est fille, monsieur est garçon ; elle est aimable, il est joli homme ; ils ont fait connaissance, ils s'aiment, ils sont dans le goût de s'épouser : y a-t-il rien là que de fort naturel ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
  112. En vérité, ma mère, vous êtes trop raisonnable pour exiger de moi une chose aussi éloignée de bon sens. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  113. Sérieusement parlant, mon père, vous n'êtes point d'âge encore à radoter. (Acte 1, scène 1, VALERE)
  114. Que dites-vous à cela, monsieur le musicien ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  115. Vous avez là un grand garçon bien mal morigéné, monsieur. (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
  116. Pendard ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  117. Que dirait-on dans le monde, si, en ma présence, je vous laissais faire une action aussi extravagante que celle-là ? (Acte 1, scène 1, VALERE)
  118. Comment donc ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  119. Quand il serait mon père cent fois plus qu'il ne l'est encore, je ne souffrirai point que l'amour lui fasse tourner la cervelle jusqu'à ce point-là. (Acte 1, scène 1, VALERE)
  120. Cela n'est rien ; j'ai bien des excuses à vous faire pour ma fille, monsieur. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  121. Voilà des enfants bien obstinés. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  122. Mais aussi pourquoi vous exposer à vous marier, sans savoir si monsieur votre fils le voudra bien ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
  123. S'il le voudra bien ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  124. Monsieur, avec trois ou quatre cents pistoles ne pourrions-nous point le mettre à la raison ? (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
  125. Je l'y mettrai bien sans cela. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  126. Et moi, je vous réponds de cette petite impertinente-là ; elle vous épousera, ou je la mettrai dans un lieu d'où elle ne sortira de long-temps. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  127. Elle s'en va, madame. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-GRIFON)
  128. Ne vous mettez pas en peine ; je saurai la réduire ; elle sera votre femme aujourd'hui, ou vous mourrez de mort subite. (Acte 1, scène 9, MADAME-ARGANTE)
  129. Laisse-moi faire, je veux l'épouser à ta barbe ; je m'en vais dépenser tout mon bien pour m'en faire aimer ; je lui donnerai des présents, des bijoux, des maisons, des contrats, des cadeaux, des festins, des sérénades ; des sérénades, monsieur le musicien ; et je lui ferai des enfants pour te faire enrager. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-GRIFON)
  130. Pour celui-là, on vous en défie. (Acte 1, scène 10, SCAPIN)
  131. Doucement, monsieur ; nous abaisserons ses fumées d'amour. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  132. Il ne la tient pas encore. J'ai pris le soin d'une sérénade ; il vient de négocier un certain collier : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  133. Mais le diable est que nous n'avons point d'argent. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  134. Mon pauvre Scapin, cherche, imagine, invente des moyens pour en trouver ; engage tout, vends tout, donne tout. (Acte 1, scène 11, VALERE)
  135. Que diable engager ? (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  136. Que vendre ? (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  137. Pour tout meuble et immeuble, vous n'avez que votre habit et le mien ; encore le tailleur n'est-il pas payé. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  138. Depuis que je travaille pour vous, les ressorts de mon esprit emprunteur sont diablement usés... (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  139. J'ai ma sérénade en tête ; si je pouvais avoir seulement de quoi payer les musiciens dont je me veux servir... (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  140. J'ai besoin de me recueillir, vous dis-je ; laissez-moi en repos, et allez fortifier Léonor dans le dessein de ne point épouser votre père. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  141. Ce n'est pas une petite affaire, pour un valet d'honneur, d'avoir à soutenir les intérêts d'un maître qui n'a point d'argent. (Acte 1, scène 12, SCAPIN)
  142. On s'accoquine à servir ces gredins-là, je ne sais pourquoi ; ils ne paient point de gages, ils querellent, ils rossent quelquefois ; on a plus d'esprit qu'eux, on les fait vivre, il faut avoir la peine d'inventer mille fourberies, dont ils ne sont tout au plus que de moitié ; et avec tout cela nous sommes les valets, et ils sont les maîtres. (Acte 1, scène 12, SCAPIN)
  143. Je prétends, à l'avenir, travailler pour mon compte ; ceci fini, je veux devenir maître à mon tour. (Acte 1, scène 12, SCAPIN)
  144. Le beau Champagne en ce pays-ci ! (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  145. Il y a six mois que je suis revenu, mais je ne me montre que depuis quinze jours. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  146. Une lettre de cachet du Châtelet m'avait défendu de paraître à la ville, elle me prescrivait un temps pour voyager ; mes voyages sont finis, je reparais sur nouveaux frais. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  147. Et que fais-tu à présent ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  148. Je t'ai vu autrefois le plus adroit grison, et, soit dit entre nous, le plus hardi coquin qu'il y eût en France. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  149. La justice aujourd'hui a l'esprit si mal tourné ; il n'y a plus rien à faire dans le commerce : elle prend toujours les choses du mauvais côté. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  150. J'ai renoncé aux vanités du monde ; et je me suis jeté dans la réforme. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  151. Oui, mon enfant. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  152. Ma foi, il n'y a plus que ce métier-là pour faire quelque chose ; il n'y a rien de tel, quand on a de l'argent, que d'en aider des particuliers dans leurs nécessités pressantes. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  153. Je me suis associé d'un fort honnête homme, qui est, je pense, lui associé d'un autre fort honnête homme chez qui il m'envoie prendre deux mille huit cents livres. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  154. Deux mille huit cents livres ! (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  155. Nous demeurons ensemble ; il me loge fort haut, me meuble modestement, m'habille chaudement pour l'été, fraîchement pour l'hiver, me nourrit sobrement, ne me donne point de gages ; mais ce que je prends c'est pour moi. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  156. Tu vas donc recevoir deux mille huit cents livres ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  157. Deux mille huit cents livres. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  158. Pour le surplus d'un collier que Monsieur Mathieu lui a vendu ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  159. Et tu as un billet de Monsieur Mathieu, pour marque que tu ne viens pas à faux ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  160. Monsieur Grifon n'est pas au logis ; et, en attendant qu'il vienne, nous pouvons aller renouveler connaissance au cabaret. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  161. J'enrage. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  162. Voilà un homme à qui j'ai affaire, mais ce ne sera que pour un moment. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  163. Va-t'en m'attendre ici près, aux barreaux verts, et faire tirer bouteille. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  164. Voilà un fripon que je friponnerai, sur ma parole, si je puis seulement attraper le billet. (Acte 1, scène 14, SCAPIN)
  165. Je vous dis, monsieur, que vous aurez plus de peine que vous ne pensez à réduire cet esprit-là. (Acte 1, scène 15, MARINE)
  166. Monsieur, je vous cherchais pour vous dire que dans peu votre sérénade sera en état. (Acte 1, scène 15, SCAPIN)
  167. Tu dis donc, Marine, que tu viens de la part de Léonor. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  168. Oui, monsieur, pour vous faire des excuses de ce qui s'est passé à votre entrevue. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  169. Elle revient à elle, j'en suis bien aise. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  170. Elle est au désespoir de n'avoir pu se contraindre devant madame sa mère : mais elle dit qu'elle vous hait trop pour se faire la moindre violence. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  171. Voilà un fort sot compliment. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  172. Elle sait trop bien vivre pour manquer à la civilité. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  173. Vous êtes une impertinente, ma mie ; et je ne sais... (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  174. Je vous demande pardon, monsieur ; je vous respecte trop pour vous rien dire de mon chef qui vous déplaise. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  175. Ce sont les sentiments de ma maîtresse que je vous explique le plus clairement et le plus succinctement qu'il m'est possible. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  176. Je ne veux point savoir ses sentiments, tant qu'elle en aura d'aussi ridicules. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  177. Il ne tiendra pas à moi qu'elle ne change ; et, quelque aversion qu'elle ait pour vous, elle ne laissera pas de vous épouser si elle m'en veut croire. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  178. Voilà une insolente qui, à mon nez, me vient chanter pouille. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  179. C'est votre physionomie lugubre qui l'a d'abord effarouchée : elle en reviendra peut-être, et vous aimera à la folie ; que sait-on ? (Acte 1, scène 16, MARINE)
  180. Malgré tout ce qu'elle me dit, je ne veux point me fâcher ; elle peut me rendre service. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  181. Je veux être de tes amis ; et, si le mariage se fait, ne te mets pas en peine. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  182. Dis-moi un peu, en confidence, quelle sorte de caractère est-ce que Léonor, et que faudrait-il que je fisse pour lui plaire ? (Acte 1, scène 16, MONSIEUR GRIFON)
  183. C'est, monsieur, que, quand elle s'est mis quelque chose en tête, et qu'on s'avise de la contredire, elle crie, elle peste, elle jure, elle bat, elle mord, elle égratigne, elle estropie même en cas de besoin ; mais, dans le fond, c'est une bonne enfant. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  184. voilà une humeur bien douce vraiment ! (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  185. Non, monsieur, rien ne la domine. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  186. Elle a du goût pour toutes les belles manières ; elle vend, pour jouer, tout ce qu'elle a ; elle met ses nippes en gage pour aller à l'opéra et à la comédie ; elle court le bal sept fois la semaine seulement ; elle fesse son vin de Champagne à merveille, et sur la fin du repas elle devient fort tendre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  187. Oui, monsieur, sur la fin d'un repas ; et je vais lui faire entendre que, pour un mari, vous valez cent fois mieux qu'un autre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  188. Assurément. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  189. Mon enfant, tu peux l'assurer de ma part que, si jamais elle est ma femme, je ne la contraindrai jamais en la moindre bagatelle. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  190. Commencez donc par ne point trop presser les affaires. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  191. Je vais lui proposer vos conventions ; et comme il n'y a rien dans ces articles-là qui répugne à la coutume, je ne doute point qu'elle ne les accepte. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  192. Ne pourriez-vous point, monsieur, me faire le plaisir et l'honneur de m'enseigner le logis de Monsieur Grifon ? (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  193. Avoir l'avantage de lui rendre un petit billet que Monsieur Mathieu m'a fait l'honneur de me donner, afin que ledit Sieur Grifon me fasse la grace de me compter deux mille huit cents livres, restant à payer pour un collier que ledit Sieur Grifon a acheté dudit Sieur Mathieu. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  194. Le voilà, monsieur ; je ne viens qu'à bonnes enseignes. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  195. C'est une gloire que je ne mérite pas, monsieur : je suis seulement son compère, Isaac-Jérôme-Boisme Rousselet, maître marchand fripier ordinaire privilégié suivant la Cour : si l'on peut vous y rendre quelque service, vous n'avez qu'à disposer de votre petit serviteur. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  196. J'ai des amis en ce pays-là : mon frère est apprenti partisan chez le commis du secrétaire de l'intendant d'un homme d'affaires, et mon oncle est le sous-portier de l'hôtel des fermes. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  197. Il est vrai, monsieur. J'ai autrefois, par leur moyen, tiré mon parrain des galères, et je sauvai l'année passée une amende honorable à Monsieur sMathieu ; c'est ce qui fait qu'il a beaucoup de confiance en moi. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  198. Voilà un garçon bien ingénu ; c'est dommage qu'il lui manque un oeil. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
  199. J'abuse de votre loisir, monsieur, mais ce n'est pas ma faute ; avec deux mille huit cents livres, vous serez débarrassé de mes importunités, et je prendrai congé de vous quand il vous plaira. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  200. Oui, oui, je vais vous apporter de l'argent, vous n'avez qu'à attendre. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
  201. Comptez, Valère, que rien ne me peut faire changer. (Acte 1, scène 20, LÉONOR)
  202. Charmante Léonor, que vous devez me paraître adorable avec de pareils sentiments ! (Acte 1, scène 20, VALERE)
  203. Y a-t-il longtemps que vous êtes en cette ville ? (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  204. Vos affaires vont-elles bien ? (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  205. Comment gouvernez-vous la joie avec cette aimable enfant ? (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  206. Je suis un honnête garçon, qui connais vos besoins, et qui viens vous offrir deux cents pistoles que me va donner monsieur votre père. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  207. Et tu as trouvé le moyen de tirer deux cents pistoles de mon père ? (Acte 1, scène 20, VALERE)
  208. Il va me les livrer. J'ai encore un collier à escamoter ; mais j'aurais besoin tout-à-l'heure de quelques gens de main. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  209. Et où veux-tu que je les cherche à présent ? (Acte 1, scène 20, VALERE)
  210. Mais j'entends Monsieur Grifon. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  211. Allez m'attendre au prochain détour ; je vous dirai dans un moment ce qu'il faudra faire. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  212. Il y a deux cents louis neufs dans cette bourse, voyons si je ne me suis point trompé. (Acte 1, scène 21, MONSIEUR-GRIFON)
  213. Vous êtes trop exact, et vous savez trop bien compter. (Acte 1, scène 21, SCAPIN)
  214. Je ne regarderai point après vous, monsieur ; le compère Mathieu me l'a défendu. (Acte 1, scène 21, SCAPIN)
  215. Monsieur Mathieu ne laisse point moisir l'argent entre les mains de ceux qui lui doivent. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR-GRIFON)
  216. Moi, qui n'ai jamais rien aimé, je m'avise de devenir amoureux à mon âge. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFON)
  217. La nuit devient obscure, et le musicien devrait être ici. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFON)
  218. J'entends quelqu'un qui chante : serait-ce lui ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  219. Par la sembleu, je suis bien nourri. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  220. Ce Monsieur Scapin fait bien les choses, oui. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  221. Est-ce vous, monsieur le musicien ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  222. Ne serait-ce point quelque émissaire de mon coquin de fils, qui viendrait ici pour troubler la fête ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  223. Je veux m'en éclaircir. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GRIFON)
  224. Holà, l'ami, qui parlez tout seul, suis-je loin de chez moi, par parenthèse ? (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  225. Je ne sais, je ne m'en souviens pas. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  226. Je suis pourtant venu pour quelque chose. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  227. Justement, un fripon, un vilain, un fesse-mathieu. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  228. À qui penses-tu parler ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  229. Or donc, pour revenir à nos moutons, Monsieur Mathieu, cet autre vilain, ce ladre... (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  230. Ce pendard-là me fera perdre patience. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  231. Patience, oui, c'est bien dit, allons doucement. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  232. Ce Monsieur Mathieu donc, comme de vilain à vilain il n'y a que la main, il est arrivé que, par la concomitance d'un collier..., enfin je ne me souviens pas bien de tout cela. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  233. Combien te donne-t-on pour jouer le personnage que tu fais ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  234. Venons à l'explication. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  235. Vous êtes Monsieur Grifon, je suis Monsieur Champagne : donnez-moi de l'argent au plus vite, car j'ai hâte. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  236. Que je te donne de l'argent ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  237. Oui, parbleu, de l'argent ; je ne perds point le jugement, j'ai beau boire. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  238. Il me faut huit cent deux mille et quelques livres : j'ai le billet de Monsieur Mathieu ; vous allez voir, car je n'y vois goutte. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  239. Voilà justement l'enclouure. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  240. Tu viens un peu trop tard pour m'attraper, mon pauvre ami : si tu as le billet de Monsieur Mathieu, je t'en donnerai. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GRIFON)
  241. Cela est fort judicieux et fort raisonnable ; j'aime les gens d'esprit. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  242. Cherche bien. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  243. Je ne trouve rien, la peste m'étouffe. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  244. Vous en demandez trop. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  245. Tu en as beaucoup, toi. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  246. Monsieur mon fils choisit mal ses gens. (Acte 1, scène 24, MONSIEUR-GRIFON)
  247. Pour nous éclairer, monsieur : ma musique est une musique de conséquence ; il faut voir clair à ce qu'on fait. (Acte 1, scène 25, SCAPIN)
  248. Splendon le stelle, etc. v.2 (Acte 1, scène 26, UN-VENITIEN)
  249. Peut-être que l'italien ne vous plaît pas ? (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  250. Amis, tenez-vous tous prêts ; la bête est dans nos filets. Lorsqu'un vieux fou s'échappe d'être amoureux sur ses vieux ans, il faut qu'il mette la nappe, et qu'on boive à ses dépens. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  251. De la tendresse. v.6 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
  252. Car en amour les vieillards ne sont bons v.8 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
  253. Il faut qu'il mette la nappe, et qu'on boive à ses dépens. (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
  254. Dont l'amour l'avait rendu fou. v.14 (Acte 1, scène 26, UNE-MUSICIENNE)
  255. Tout s'enfuit en voyant une si laide bête ; v.16 (Acte 1, scène 26, UNE MUSICIENNE)
  256. Monsieur le musicien, voilà de vilaines paroles. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  257. Pardonnez-moi, monsieur ; ce sont des paroles nouvelles qui furent faites à la noce de Vénus et de Vulcain. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  258. Des pistolets, monsieur le musicien ! (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  259. Ils prennent mon chapeau, monsieur le musicien. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  260. Et paix, paix, ils prennent le mien, et je ne dis mot. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  261. Ils me déshabillent, monsieur le musicien. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  262. Ils fouillent dans mes poches, monsieur le musicien, et prennent ma bourse. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  263. Ils fouillent aussi dans les miennes, mais il n'y a rien ; ils seront bien attrapés. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  264. Ils me prennent un collier de quatre cents pistoles, monsieur le musicien. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  265. Et d'où venez-vous ? (Acte 1, scène 27, VALERE)
  266. Nous venons de donner une sérénade. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
  267. Valère, je suis mort : on vient de me voler un collier de quatre cents pistoles. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)
  268. Si vous voulez consentir que j'épouse Léonor, je vous montrerai votre collier. (Acte 1, scène 27, VALERE)
  269. Je te promets que, si je le retrouve, je consens à tout. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)
  270. Tout beau, s'il vous plaît, mon père : je vous ai dit que je vous le ferais voir, mais je ne vous ai pas dit que je vous le rendrais. (Acte 1, scène 27, VALERE)
  271. En voilà un tout trouvé. (Acte 1, scène 27, VALERE)
  272. Comment donc ? (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)
  273. Vous voulez bien, monsieur, que je vous fasse aussi mes petites excuses, et que je vous dise que le borgne à qui vous avez tantôt donné deux cents louis, c'était moi ; que je ne suis qu'une façon de musicien. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
  274. Double pendard ! (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)
  275. Non je ne veux jamais entendre parler, ni de fils, ni de maîtresse, ni d'amour, ni de mariage, et je vous donne à tous les diables. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR GRIFON)
  276. J'offre ici mon savoir-faire à tous ceux qui n'ont point d'argent ; je crois que le nombre en est grand, et je n'aurai pas peu d'affaire. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
  277. Malgré toute ma ressource, gardez-vous d'un sexe enchanteur : non content de prendre le coeur, il en veut encore à la bourse. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)

LE JOUEUR (1692)

  1. Et je m'enivrerais le long de la journée : v.6 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  2. Je deviendrais un jour aussi gras que mon maître. v.10 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  3. J'aurais un bon carrosse à ressorts bien liants ; v.11 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  4. Quelqu'un vient. v.17 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  5. Si matin, Nérine, qui t'envoie ? v.17 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  6. Oh ! J'entrerai, te dis-je. v.21 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  7. Tes sots raisonnements sont pour moi superflus. v.23 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  8. Il faudra qu'il se couche ; et franchement... v.26 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  9. Mon maître, en ce moment, n'est pas encor rentré. v.28 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  10. Il n'est pas rentré ? v.29 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  11. J'entends. Autour d'un tapis vert, v.31 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  12. Ou bien réduit à sec, d'une âme familière, v.33 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  13. Je viens pour rompre ici tout commerce avec lui. v.36 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  14. Des serments les plus forts appuyant sa tendresse, v.37 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  15. Tu sais qu'il a cent fois promis à ma maîtresse v.38 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  16. Cependant... v.41 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  17. Je vois bien qu'un rival domestique v.41 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  18. Consigne entre tes mains pour avoir Angélique. v.42 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  19. Angélique, entre nous, serait extravagante v.45 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  20. Lui, c'est un homme d'ordre, et qui vit congrument. v.47 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  21. L'amour se plaît un peu dans le dérèglement. v.48 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  22. Aiment mieux le fruit vert. v.50 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  23. Dont j'enrage. Morbleu ! v.52 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  24. Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille, v.57 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  25. Viennent, pour tout mérite, étaler leur figure ? v.62 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  26. C'est le goût d'à présent ; tes cris sont superflus, v.63 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  27. Mon enfant. v.64 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  28. Et qu'on profite ainsi d'une tendre faiblesse ; v.66 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  29. Est d'aller de cent lieux faire la découverte v.69 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  30. Où de jeux et d'amour on tient boutique ouverte, v.70 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  31. Que je l'en tirerai dès aujourd'hui. v.79 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  32. Dans les femmes, s'entend. v.83 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  33. Son amour peut passer pour fièvre intermittente ; v.86 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  34. Dès qu'il a de l'argent, son amour s'évapore. v.90 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  35. Mais en revanche aussi, quand il n'a pas un sou, v.91 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  36. Oh ! J'empêcherai bien... v.93 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  37. Et ta maîtresse, encor hier, promit à Valère, v.94 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  38. Son portrait enrichi de brillants tout autour. v.96 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  39. Nous l'attendons, ma chère, avec impatience : v.97 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  40. Nous aimons les bijoux avec concupiscence. v.98 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  41. Et Dorante en sera possesseur aujourd'hui. v.100 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  42. Étant fils de famille, ayant encor son père, v.102 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  43. Depuis un an il loge en un hôtel garni ? v.104 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  44. Et vous y logez bien, et vous et votre clique. v.105 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  45. Nous y serions encore, à ne t'en point mentir. v.112 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  46. Ces pères, bien souvent, sont obstinés en diable. v.113 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  47. Il a tort, en effet, d'être si peu traitable ! v.114 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  48. Quoi qu'il en soit, enfin, je ne t'abuse pas, v.115 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  49. On soupçonne aisément, à sa triste figure, v.125 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
  50. Qu'il cherche en vain quelqu'un qui prête à triple usure. v.126 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
  51. Il est... je ne m'en souviens pas. v.127 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
  52. Tu ne t'en souviens pas ? v.128 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  53. De tes mauvais discours ; et tes impertinences... v.129 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  54. Ma foi, la vérité répond aux apparences. v.130 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
  55. Il jure entre ses dents. v.131 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
  56. Eh bien ! Me faudra-t-il attendre encor longtemps ? v.132 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  57. Me coûte, en un moment, douze trous tout de suite. v.134 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  58. Que je suis un grand chien ! Parbleu, je te saurai, v.135 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  59. Maudit jeu de trictrac, ou bien je ne pourrai. v.136 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  60. Tu peux me faire perdre, ô fortune ennemie ! v.137 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  61. Mais me faire payer, parbleu, je t'en défie : v.138 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  62. Va-t'en. v.143 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  63. Eh bien ! Bourreau, veux-tu venir ? v.148 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  64. N'es-tu pas las encor de dormir, misérable ? v.149 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  65. Est-il venu quelqu'un ? v.153 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  66. Venu maint créancier ; de plus, un gros visage, v.154 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  67. Le maître de musique est encore venu. v.156 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  68. Ils reviendront bientôt. v.157 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  69. Justement, elle-même. v.160 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  70. Qu'on vend cher maintenant l'argent à la jeunesse ! v.161 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  71. Mais enfin, j'ai tant fait, avec un peu d'adresse, v.162 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  72. Et vous aurez, je crois, au plus tôt votre argent. v.164 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  73. Hector, mon cher Hector, viens çà que je t'embrasse. v.166 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  74. Comme l'argent rend tendre ! v.167 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  75. Et tu crois qu'en effet, v.167 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  76. Je n'ai, pour en avoir, qu'à donner mon billet ? v.168 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  77. Qui le refuserait serait bien difficile : v.169 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  78. Il a fallu lever bien des difficultés : v.172 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  79. Il ne faut maintenant que lui donner des gages. v.174 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  80. Mais y penses-tu bien ? v.175 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  81. Où les prendrai-je, dis ? v.176 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  82. Ma foi, je n'en sais rien. v.176 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  83. Sur de pareils effets prêtent peu volontiers. v.180 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  84. Elle viendra tantôt elle-même en personne, v.182 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  85. Vous vous ajusterez ensemble en quatre mots. v.183 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  86. Et quand l'argent renaît, votre tendresse expire. v.189 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  87. Oui, mais j'ai bien peur, moi, qu'on ne vous plante là. v.195 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  88. Et sur quel fondement peux-tu juger cela ? v.196 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  89. Pour Dorante votre oncle en ce moment s'explique ; v.198 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  90. Que vous jouez toujours, malgré tous vos serments, v.199 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  91. Et qu'elle abjure enfin ses tendres sentiments. v.200 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  92. Ce que je viens d'entendre. v.201 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  93. Bon ! Cela ne se peut ; on t'a voulu surprendre. v.202 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  94. Vous êtes assez riche en bonne opinion, v.203 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  95. Et qu'Angélique enfin pût changer... v.207 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  96. En ce cas, v.207 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  97. Je prends le parti... mais cela ne se peut pas. v.208 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  98. En ce cas, je pourrais rabattre sur la veuve, v.210 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  99. Cette éponge, entre nous, ne vaudrait pas ce soin. v.216 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  100. Un marquis de hasard fait par le lansquenet ; v.224 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  101. Doucement ; j'ai deux mots à vous dire, Valère. v.230 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  102. Pour la dernière fois, mon fils, je viens vous dire v.234 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  103. Je ne puis retenir ma bile davantage, v.237 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  104. Vous êtes pilier-né de tous les lansquenets, v.239 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  105. Tous ces jeux de hasard n'attirent rien de bon. v.244 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  106. Non, à présent le jeu n'est que fureur : v.247 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  107. On joue argent, bijoux, maisons, contrats, honneur ; v.248 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  108. Et c'est ce qu'une femme, en cette humeur à craindre, v.249 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  109. Votre conduite enfin m'enflamme de courroux ; v.252 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  110. J'étais las, attendant chez moi votre retour, v.255 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  111. C'est bien fait. Ces joueurs qui courent la fortune, v.257 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  112. Dans leurs dérèglements ressemblent à la lune, v.258 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  113. Et que de mon courroux vous sentirez l'effet. v.263 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  114. On croirait qu'il viendrait, dans la forêt voisine, v.266 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  115. Il a fait trente fois coupe-gorge aujourd'hui. v.268 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  116. Serez-vous bientôt las d'une telle conduite ? v.269 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  117. Parlez, que dois-je enfin espérer dans la suite ? v.270 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  118. Je reviens aujourd'hui de mon égarement, v.271 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  119. Et ne veux plus jouer, mon père, absolument. v.272 (Acte 1, scène 7, VAL?RE)
  120. J'ai de l'argent encore ; et, pour vous contenter, v.275 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  121. S'il est ainsi, vraiment, j'en ai bien de la joie. v.277 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  122. Et qu'il veut m'enlever... v.282 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  123. Oui, je sais sa pensée, v.282 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  124. Je voudrais bien déjà que l'affaire fût faite. v.285 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  125. Va te mettre en état de mériter sa main, v.288 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  126. Pour sortir entièrement d'affaire, v.290 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  127. Il me manque environ quatre ou cinq mille francs. v.291 (Acte 1, scène 7, VAL?RE)
  128. Ah ! Ah ! Je vous entends. v.292 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  129. Au denier un. v.297 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  130. Je ne puis vous entendre. v.297 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  131. Je ne veux point, mon père, aujourd'hui vous surprendre ; v.298 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  132. Retenez cet argent, et payez par vos mains. v.300 (Acte 1, scène 7, VAL?RE)
  133. Et de combien encore êtes-vous redevable ? v.302 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  134. La somme n'y fait rien. v.303 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  135. La somme n'y fait rien ? v.303 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  136. Non. Quand vous le verrez vivre en homme de bien, v.304 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  137. Vous ne regretterez nullement la dépense ; v.305 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  138. Et nous ferons, Monsieur, la chose en conscience. v.306 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  139. Écoutez : je veux bien faire un dernier effort ; v.307 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  140. Que sur mes sentiments votre âme se repose. v.309 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  141. Je m'en vais travailler, moi, pour vous contenter, v.312 (Acte 1, scène 8, HECTOR)
  142. À vous faire, en raisons claires et positives, v.313 (Acte 1, scène 8, HECTOR)
  143. Mon frère en son amour n'aura pas trop beau jeu. v.316 (Acte 1, scène 9, GÉRONTE)
  144. Je veux rompre l'hymen où son amour aspire ; v.318 (Acte 1, scène 9, G?RONTE)
  145. Avec tous les respects d'un coeur vraiment sincère, v.321 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  146. Je viens pour vous offrir mon petit ministère. v.322 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  147. Je suis, pour vous servir, gentilhomme auvergnac, v.323 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  148. Un maître de trictrac ! Il me prend pour mon fils. v.327 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  149. Et l'on ne vous a pas fait présent, en galère, v.329 (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  150. Comment ! Je vous soutiens que dans tous les états v.331 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  151. Qu'un enfant de famille, et qu'on veut bien instruire, v.333 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  152. De chanteurs, de danseurs, qui montrent par la ville ? v.338 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  153. Un jeune homme en est-il plus riche quand il sait v.339 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  154. Chanter ré mi fa sol, ou danser un menuet ? v.340 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  155. Avec un vaudeville ou bien une courante ? v.342 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  156. Ne vaut-il pas bien mieux qu'un jeune cavalier v.343 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  157. Qu'il apprenne un métier qui, par de sûrs secrets, v.347 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  158. En le divertissant, l'enrichisse à jamais ? v.348 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  159. Nombre d'honnêtes gens, fiacres, porteurs de chaise ; v.350 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  160. Qui vont de doigts en doigts tous les jours circulants ; v.352 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  161. Qui, sans le lansquenet et son produit caché, v.355 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  162. De leur faible vertu feraient fort bon marché, v.356 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  163. On en voit tous les jours mille mourir de faim, v.360 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  164. Qui, forcés à garder une longue abstinence, v.361 (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  165. Pleurent d'avoir trop mis à la réjouissance. v.362 (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  166. Et c'est de là que vient la beauté de mon art. v.363 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  167. En suivant mes leçons, on court peu ce hasard. v.364 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  168. J'en substitue aussi d'autres prudents et sages, v.370 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  169. Me font en un instant enfiler douze trous. v.372 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  170. Et Monsieur Toutabas, vous avez l'insolence v.373 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  171. De venir dans ces lieux montrer votre science ? v.374 (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  172. Je ne suis point ici venu pour vous déplaire. v.378 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  173. Non, je n'en sors qu'après vous avoir fait leçon ? v.380 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  174. Je ne sais qui me tient, tant je suis animé, v.383 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  175. Va-t'en. v.385 (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  176. Vous rend l'âme aux leçons un peu récalcitrante, v.386 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  177. Je reviendrai demain pour la seconde fois. v.387 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  178. Reviens. v.388 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  179. Sortiras-tu d'ici, vrai gibier de potence ? v.389 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  180. Je ne puis respirer, et j'en mourrai, je pense. v.390 (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  181. Heureusement mon fils n'a point vu ce fripon : v.391 (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  182. Il me prenait pour lui dans cette occasion. v.392 (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  183. Concluons son hymen, et finissons l'affaire. v.394 (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  184. Mon coeur serait bien lâche, après tant de serments, v.395 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  185. D'avoir encor pour lui de tendres mouvements. v.396 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  186. Nérine, c'en est fait, pour jamais je l'oublie ; v.397 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  187. Je sens la liberté de retour dans mon coeur. v.399 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  188. Ne me viens pas, au moins, parler en sa faveur. v.400 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  189. Ne viens point désormais, pour calmer mon dépit, v.403 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  190. Rappeler à mes sens son air et son esprit ; v.404 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  191. Car tu sais qu'il en a. v.405 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  192. Il rêve à tout moment ; et sa vivacité v.407 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  193. Dépend presque toujours d'une carte, ou d'un dé. v.408 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  194. Mon coeur est maintenant certain de sa victoire. v.409 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  195. Souvent tous ces dépits sont des hoquets d'amour. v.411 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  196. Cet hôte dans un coeur a bientôt fait son gîte ; v.413 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  197. Mais il se garde bien d'en déloger si vite. v.414 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  198. Ne crains rien de mon coeur. v.415 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  199. S'il venait à l'instant, v.415 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  200. Votre âme en ma faveur n'est-elle point émue ? v.421 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  201. Vous ne me dites rien ! Vous détournez la vue ! v.422 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  202. Vous voulez donc ma mort ? Il faut vous contenter." v.423 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  203. Peut-être en ce moment pour vous épouvanter, v.424 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  204. Ne vous étonnez pas ; comptez qu'en sa colère v.429 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  205. Vous voilà, grâce au ciel, bien instruite sur tout ; v.431 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  206. Ne vous démentez point, tenez bon jusqu'au bout. v.432 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  207. On dit partout, ma soeur, qu'un peu moins prévenue, v.433 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  208. Mon coeur en est ravi. Valère est un vrai fou, v.435 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  209. Qui jouerait votre bien jusques au dernier sou. v.436 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  210. J'aime à vous voir vaincre votre tendresse. v.437 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  211. Cet amour, entre nous, était une faiblesse. v.438 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  212. Il faut se dégager de ces attachements v.439 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  213. Que la raison condamne et qui flattent nos sens. v.440 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  214. Rien n'est plus à craindre dans la vie, v.441 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  215. Qu'un époux qui du jeu ressent la tyrannie. v.442 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  216. Vous ne voulez donc plus en faire votre époux ? v.448 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  217. C'est bien fait. Puisque enfin vous renoncez à lui, v.451 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  218. Ce maintien réservé, prendre un nouvel époux ? v.456 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  219. J'avais fait voeu de fuir tout autre engagement. v.459 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  220. Pour garder du défunt le souvenir charmant, v.460 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  221. Mais qu'est-ce qu'un portrait, quand on aime bien fort ? v.463 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  222. Madame n'aime pas les maris en peinture. v.465 (Acte 2, scène 2, NÉRINE)
  223. ConnAisseuse en maris, vous deviez mieux choisir. v.468 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  224. Mais vous n'y pensez pas. Croyez-vous qu'il vous aime ? v.470 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  225. S'il m'aime, lui ! S'il m'aime ! Ah ! Quel aveuglement ! v.471 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  226. On a certains attraits, un certain enjouement, v.472 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  227. Que personne ne peut me disputer, je pense. v.473 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  228. Et je puis en user à ma discrétion. v.476 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  229. Sans doute. Et je vois bien qu'il n'est pas impossible v.477 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  230. Que Valère pour vous ait eu le coeur sensible. v.478 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  231. Ce métal, en amour, est un grand séducteur. v.480 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  232. En vain vous m'insultez avec un tel langage ; v.481 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  233. Mais ce n'est point par l'or que brillent mes attraits ; v.483 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  234. Et jamais, en aimant, je ne fis de faux frais. v.484 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  235. Mes sentiments, ma soeur, sont différents des vôtres ; v.485 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  236. Mille coeurs amoureux suivre mes étendards : v.488 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  237. Dorante, le marquis briguent mon alliance ; v.490 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  238. Mais si d'un nouveau noeud je veux bien me lier, v.491 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  239. Je prétends à Valère offrir un coeur entier. v.492 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  240. Qui peut m'en assurer ? Mon mérite, je crois. v.495 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  241. D'autres sur lui, ma soeur, auraient les mêmes droits. v.496 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  242. Il faut avoir vécu, ma soeur, bien plus d'un jour ; v.500 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  243. Vous n'en êtes pas là. v.503 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  244. J'attendrai bien du temps. v.503 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  245. Mais on vient. v.505 (Acte 2, scène 2, NÉRINE)
  246. Je suis tout en désordre : un maudit embarras v.507 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  247. M'a fait quitter ma chaise à deux ou trois cents pas ; v.508 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  248. Et j'y serais encor dans des peines mortelles, v.509 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  249. Votre soeur ! Vraiment, c'est fort bien fait. v.516 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  250. On la prendrait, parbleu, pour votre soeur jumelle. v.518 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  251. Homme de cour, moi ! Non. Ma foi, la cour m'ennuie ; v.521 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  252. L'esprit de ce pays n'est qu'en superficie ; v.522 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  253. Vous rencontrez le tuf. J'y pourrais m'agrandir ; v.524 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  254. Je joue, et j'y ferais fort bonne contenance : v.526 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  255. Et pour y rendre au roi quelque civilité. v.528 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  256. Ces fades compliments sur de grands mots montés, v.531 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  257. Ces serrements de mains dont on vous estropie, v.533 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  258. Ces grands embrassements dont un flatteur vous lie, v.534 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  259. M'ôtent à tout moment la respiration : v.535 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  260. Les dames de la cour sont bien mieux votre affaire ? v.537 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
  261. Moi, j'aime à pourchasser des beautés mitoyennes. v.541 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  262. L'hiver, dans un fauteuil, avec des citoyennes, v.542 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  263. Les pieds sur les chenets étendus sans façons, v.543 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  264. Valet, filles de chambre, enfants, tout est honnête : v.546 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  265. L'époux même discret, quand il entend minuit, v.547 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  266. Je veux bien déroger... v.550 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  267. C'est ainsi que je veux en user avec vous. v.552 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  268. Ma bouche ne dit rien que mon coeur n'autorise : v.554 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  269. Madame, il est trop vrai que je suis tout en feu. v.556 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  270. Fi donc, petit badin, un peu de retenue ; v.557 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  271. L'effet n'en serait pas peut-être si fatal. v.560 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  272. Elle veut qu'en détours la chose s'enveloppe ; v.561 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
  273. Dans la bouche d'un autre il deviendrait plus doux. v.563 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
  274. Comment ? Qu'est-ce ? Plaît-il ? Parlez ; expliquez-vous. v.564 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  275. Parlez donc, parlez donc. Apprenez, je vous prie, v.565 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  276. Mais Valère vous aime : et souvent... v.569 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
  277. Valère ? Un autre ici conjointement soupire ! v.570 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  278. Le droit de bienséance avec celui d'aubaine. v.574 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  279. Vous me convenez fort, et je vous conviens mieux. v.575 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  280. Sommes-nous donc liés par quelque engagement ? v.579 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  281. Non pas autrement... mais... v.580 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  282. Qu'est-ce à dire ? Comment ? ... v.580 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  283. Je ne sais point prendre en main des trompettes, v.581 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  284. On ne connaît que trop ma retenue austère. v.585 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  285. Quel est, en vous aimant, le but de ses désirs, v.587 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  286. Et de quel droit il vient chasser sur mes plaisirs. v.588 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  287. Vous attend à vingt pas pour vous mener au jeu. v.591 (Acte 2, scène 6, 2nd_LAQUAIS)
  288. Qu'elle attende. v.592 (Acte 2, scène 6, LE_MARQUIS)
  289. Encore ! Ah ! Palsambleu, v.592 (Acte 2, scène 7, LE_MARQUIS)
  290. Il faut que de la ville enfin je me dérobe. v.593 (Acte 2, scène 7, LE, MARQUIS)
  291. Je viens de voir, Monsieur, cette femme de robe, v.594 (Acte 2, scène 7, 3eme_LAQUAIS)
  292. Il suffit, je t'entends. v.596 (Acte 2, scène 7, LE_MARQUIS)
  293. Tu prendras ce manteau, fait pour bonne fortune, v.597 (Acte 2, scène 7, LE, MARQUIS)
  294. Va m'attendre en secret où tu fus avant-hier, v.599 (Acte 2, scène 7, LE, MARQUIS)
  295. Comme vous le voyez ; mais je m'en veux distraire. v.602 (Acte 2, scène 8, LE_MARQUIS)
  296. Cet homme-là vous aime épouvantablement. v.607 (Acte 2, scène 9, NÉRINE)
  297. Je ne vous croyais pas un tel engagement. v.608 (Acte 2, scène 9, ANGELIQUE)
  298. Il ne m'a pourtant vue encore que deux fois. v.611 (Acte 2, scène 9, LA COMTESSE)
  299. Il en a donc bien fait la première... v.612 (Acte 2, scène 9, NÉRINE)
  300. Il tremble en approchant. v.614 (Acte 2, scène 10, NÉRINE)
  301. Ouvrez de votre coeur les sentiments cachés. v.616 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
  302. Et quel plaisir de dire, en des transports si doux, v.619 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  303. S'il vous plaisait encor de recevoir mes voeux ! v.624 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  304. Vous vous méprenez. v.625 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
  305. Non. Enfin, belle Angélique, v.625 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  306. Entre mon oncle et moi que votre coeur s'explique ; v.626 (Acte 2, scène 10, VAL?RE)
  307. Le mien est tout à vous, et jamais dans un coeur... v.627 (Acte 2, scène 10, VAL?RE)
  308. Madame, en ce moment je n'ai rien à vous dire. v.630 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  309. Comment ? v.635 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
  310. Ma soeur, tout doucement avalez la pilule. v.637 (Acte 2, scène 10, ANGELIQUE)
  311. Vous avez cent vertus, de l'esprit, de l'éclat ; v.639 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  312. Vous ne la mettez pas, ma soeur, trop en usage. v.642 (Acte 2, scène 10, ANGELIQUE)
  313. Monsieur vaut-il le soin qu'on se mette en courroux ? v.643 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
  314. Elle connaît ses gens. v.645 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  315. Et je voudrais avoir cent bouches pour le dire. v.646 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  316. Cette passion est trop forte en votre âme v.657 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  317. Pour croire que l'amour d'aucun feu vous enflamme. v.658 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  318. Suivez, suivez l'ardeur de vos emportements ; v.659 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  319. Mon coeur n'en aura point de jaloux sentiments. v.660 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  320. Désormais, plein de votre tendresse, v.661 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  321. Nulle autre passion n'a rien qui m'intéresse : v.662 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
  322. Non, ne vous présentez jamais devant mes yeux. v.664 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  323. Hé quoi ! Rien ne pourra fléchir votre courroux ? v.667 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  324. Vous voulez donc me voir mourir à vos genoux ? v.668 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
  325. Je prends peu d'intérêt, Monsieur, à votre vie. v.669 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  326. Nous allons bientôt voir jouer la comédie. v.670 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  327. Qu'un amant mort pour nous nous mettrait en crédit ! v.672 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  328. Vous le voulez ? Eh bien ! Il faut vous satisfaire, v.673 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  329. Eh bien ! Ne voilà pas votre tendre maudit v.675 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  330. Qui vous prend à la gorge ! Euh ! v.676 (Acte 2, scène 11, N?RINE)
  331. Nérine, qu'il viendrait se percer à ma vue : v.678 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  332. Vous intéresse encore aux jours d'un malheureux, v.681 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  333. Non, ce n'est point assez de me rendre la vie ; v.682 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
  334. Il faut que par l'amour, désarmée, attendrie, v.683 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
  335. Vous me rendiez encor ce coeur si précieux, v.684 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
  336. Ce coeur sans qui le jour me devient odieux. v.685 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
  337. Nérine, qu'en dis-tu ? v.686 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  338. Je dis qu'en la mêlée v.686 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  339. Et que j'aurai pour vous la plus ardente flamme... v.691 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  340. Pour faire des serments il est toujours tout prêt. v.692 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  341. Il faut encore, ingrat, vouloir ce qu'il vous plaît. v.693 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  342. Oui, je vous rends mon coeur. v.694 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  343. Je joins à ce présent celui de mon portrait. v.696 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  344. Que dis-je ? Je prétends que ce portrait si beau v.700 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  345. Ne se repente point de sa facile ardeur. v.705 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  346. Fiez-vous aux serments de mon âme amoureuse. v.706 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  347. Elle me rend son coeur ; elle comble mes voeux, v.709 (Acte 2, scène 12, VALÈRE)
  348. Monsieur, je viens vous dire... v.710 (Acte 2, scène 13, HECTOR)
  349. Angélique m'a fait ce généreux présent. v.712 (Acte 2, scène 13, VALÈRE)
  350. Que les brillants sont gros ! Pour être plus content, v.713 (Acte 2, scène 13, HECTOR)
  351. Je vous amène encore un lénitif de bourse, v.714 (Acte 2, scène 13, HECTOR)
  352. Hé ! Bonjour, mon enfant : tu ne peux concevoir v.716 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  353. Elle est jolie encor. Mais quel sombre équipage ! v.719 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  354. Vous voilà, sans mentir aussi noire qu'un four. v.720 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  355. Qui sais me mesurer justement à ma toise. v.723 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  356. J'en connais bien pourtant, qui ne me valent pas, v.724 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  357. Qui se font teindre en noir du haut jusques en bas : v.725 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  358. Et si mon pauvre époux était encore en vie... v.727 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  359. Subitement. v.728 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  360. Subitement ? Hélas ! J'en suis fâché vraiment. v.729 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  361. Je fais, bien entendu, mon billet au porteur. v.732 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  362. Et je veux l'endosser. v.733 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  363. Avec les gens d'honneur v.733 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  364. On ne perd jamais rien. v.734 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  365. Je veux que tu le prennes. v.734 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  366. Je pourrais bien mourir. Ce maraud m'avait dit v.736 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
  367. Je sais que ce serait blesser ma conscience. v.739 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  368. Pour des nantissements qui valent bien leur prix, v.740 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  369. Des diamants usés, et qu'on ne saurait vendre, v.742 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  370. Sans risquer mon honneur, je crois que j'en puis prendre. v.743 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  371. Eh bien ! Nous attendrons, Monsieur, qu'il vous en vienne. v.746 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  372. Compte, ma pauvre enfant, que ma mort est certaine, v.747 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  373. Tous ces gens-là, Monsieur, ont des coeurs de cailloux ; v.753 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  374. Sans des nantissements il ne faut rien prétendre. v.754 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  375. Dis-moi donc, si tu veux, où je les pourrai prendre. v.755 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  376. Attendez... mais comment, avec un coeur d'airain, v.756 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  377. Refuser un billet endossé de ma main ? v.757 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  378. Laissez-moi ; je cherche en ma boutique. v.758 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  379. D'accord : honnêtement je ne puis m'en défaire. v.762 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  380. Attendez donc. v.764 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  381. N'ayant pas son portrait, l'en aimerai-je moins ? v.765 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
  382. Fort bien. Mais voulez-vous que cette perfidie ?... v.766 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  383. De ces joueurs en fonds qui doivent s'assembler. v.768 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  384. Je ferai de l'argent ; ou celui de mon père, v.770 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  385. Que peut dire Angélique alors qu'elle apprendra v.772 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  386. Dans une heure au plus tard nous irons le reprendre. v.774 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  387. Oui, vraiment. v.775 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  388. Je commence à me rendre. v.775 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  389. Je me mettrais en gage en mon besoin urgent. v.776 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  390. Sur cette nippe-là vous auriez peu d'argent. v.777 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  391. Votre raisonnement met le mien en déroute. v.779 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  392. Je sais que ce micmac ne vaut rien dans le fond. v.780 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  393. Je m'en tirerai bien, Hector, je t'en réponds. v.781 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  394. Oui, je puis maintenant prêter en conscience ; v.783 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  395. Je vois des diamants qui répondent du prêt, v.784 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  396. Et qui peuvent porter un modeste intérêt. v.785 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  397. Au moins, ne manquez pas de revenir tantôt : v.788 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  398. Je prétends retirer mon portrait au plus tôt. v.789 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
  399. Plus notre argent fatigue, et plus il nous rapporte. v.791 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  400. Et cet argent, offert par les mains de l'amour, v.796 (Acte 2, scène 15, VALÈRE)
  401. Et s'est mieux que jamais rengagée à Valère. v.807 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
  402. Je ne suis point surpris d'un pareil changement. v.809 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  403. Je sais que cet amant tout entière l'occupe : v.810 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  404. Et lorsque de ses feux je sens quelque retour, v.812 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  405. Je dois tout au dépit, et rien à son amour. v.813 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  406. Je ne veux point, Nérine, éclater en injures, v.814 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  407. Ni rappeler ici ses serments, ses parjures : v.815 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  408. Tiens, reçois cette bague, et dis à ta maîtresse v.818 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  409. Que, malgré ses dédains, elle aura ma tendresse, v.819 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  410. Ah ! Ah ! Je n'en puis plus ; vous me fendez le coeur. v.821 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
  411. Qu'est-ce ? Eh bien ! Qu'avez-vous ? Vous êtes tout changé ! v.824 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  412. Vous êtes bien instruit des chagrins qu'on me donne ! v.826 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  413. On ne me verra point violenter personne ; v.827 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  414. Mon frère, je prétends moins perdre que gagner. v.829 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  415. Voilà les sentiments d'un héros de Cassandre. v.830 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  416. Entre nous, vous aviez fort grand tort de prétendre v.831 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  417. L'amour est un enfant qui badine avec elles : v.835 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  418. Je suis, en vérité, ravi de vous entendre ; v.838 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  419. Et vous prenez la chose ainsi qu'il la faut prendre. v.839 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  420. Si l'on m'en avait cru, tout n'en irait que mieux. v.840 (Acte 3, scène 2, NÉRINE)
  421. Ma présence est assez inutile en ces lieux. v.841 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  422. Allez, consolez-vous ; c'est fort bien fait, mon frère. v.843 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  423. Le pauvre enfant ! Son sort me fait pitié. v.844 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  424. J'en ai le coeur saisi. v.845 (Acte 3, scène 3, NÉRINE)
  425. Moi, j'en pleure à moitié. v.845 (Acte 3, scène 3, HECTOR)
  426. Des dettes de mon maître. Il vous tient sa parole, v.847 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  427. Comme vous le voyez, et croit qu'en tout ceci v.848 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  428. Vous voudrez bien, Monsieur, tenir la vôtre aussi. v.849 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  429. J'aurai fait en deux mots. L'honnête homme de père ! v.851 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  430. Ah ! Qu'à notre secours à propos vous venez ! v.852 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  431. Encore un jour plus tard, nous étions ruinés. v.853 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  432. Foi d'honnête garçon, je n'en puis rien rabattre : v.855 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  433. De plus je vous promets que je n'ai rien omis. v.857 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  434. Il faut bien se mettre sur ses gardes. v.858 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  435. Et promet maintenant de payer pour son fils." v.861 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  436. C'est, Monsieur, ce que je m'en vais faire. v.863 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  437. "Item, doit à Richard cinq cents livres dix sous, v.864 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  438. "Secondement, il doit à Jérémie Aaron, v.872 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  439. Eh bien ! Soit. "Plus, il doit à maints particuliers, v.876 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  440. Ès assignations dont je tiens les copies, v.879 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  441. Dont tous lesdits quidams, ou du moins peu s'en faut, v.880 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  442. Ont obtenu déjà sentence par défaut, v.881 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  443. Alimenté, rasé, désaltéré, porté." v.885 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  444. Si vous ne m'en croyez, demain, pour vous trouver, v.888 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  445. J'enverrai les quidams tous à votre lever. v.889 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  446. Est dû loyalement deux cent cinquante écus v.892 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  447. Pour ses appointements de deux quartiers échus." v.893 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  448. Chez laquelle mon maître... elle est vraiment gentille. v.895 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  449. Deux cent cinquante écus ! v.896 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  450. Demandez ; c'est, Monsieur, un prix fait en hiver. v.897 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  451. Et tu prétends, bourreau ? ... v.898 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  452. Voici le contenu de nos dettes actives : v.899 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  453. Et vous allez bien voir que le compte suivant, v.900 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  454. Payé fidèlement, se monte à presque autant. v.901 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  455. "Premièrement, Isaac De La Serre... " v.902 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  456. Cela sent comme baume. Or donc ce De La Serre, v.906 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  457. Si bien connu de vous et de toute la terre, v.907 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  458. Ne nous doit rien. v.908 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  459. Comment ! v.908 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  460. Mais un de ses parents, v.908 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  461. Voilà certainement un effet fort bizarre ! v.910 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  462. Oh ! S'il n'était pas mort, c'était de l'or en barre. v.911 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  463. La partie est de deux cents pistoles ; v.914 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  464. C'est une dupe ; il fait en un tour vingt écoles : v.915 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  465. Tiens, maraud, le voilà, v.916 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  466. Va porter cet argent à celui qui t'envoie. v.918 (Acte 3, scène 4, G?RONTE)
  467. Il ne voudra jamais prendre cette monnaie. v.919 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  468. Impertinent maraud ! Va, je t'apprendrai bien v.920 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  469. Il a dix trous à rien. v.921 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  470. Et mon maître a bien fait de faire ailleurs affaire. v.923 (Acte 3, scène 5, HECTOR)
  471. Mais le voici qui vient poussé d'un heureux vent : v.924 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  472. Il a les yeux sereins et l'accueil avenant. v.925 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  473. Et de pareil argent nous n'avons pas besoin. v.929 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  474. Mille deux cent cinquante. v.931 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  475. Cela va diablement hausser nos actions. v.933 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  476. J'ai vu pareillement, par votre ordre, Angélique ; v.934 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  477. J'aurais encor gagné plus de deux cents louis. v.937 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  478. Damon m'en doit encor deux cents sur sa parole. v.939 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  479. Monsieur, écoutez-moi ; calmez un peu vos sens ; v.940 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  480. Ah ! D'Angélique ? Eh bien ! Comment suis-je avec elle ? v.942 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  481. À te dire le vrai, je n'en suis pas fâché. v.945 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  482. Comment ! Quelle froideur s'empare de votre âme ! v.946 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  483. Ai-je tort quand je dis que l'argent de retour v.948 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  484. Vous vous sentez en fonds, ergo plus de maîtresse. v.950 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  485. J'ai fait, en te quittant, quelque réflexion. v.953 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  486. Des parents, des enfants, une femme, un ménage, v.955 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  487. Hector, en vérité, v.957 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  488. Ses jours sont enchaînés par des plaisirs nouveaux ; v.960 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  489. Il traîne en tous les lieux la joie et l'abondance : v.962 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  490. On voit régner sur lui l'air de magnificence ; v.963 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  491. Sous ses heureuses mains le cuivre devient or. v.965 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  492. Et l'or devient à rien. v.966 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  493. Lui font la cour par lettre, et l'invitent chez elles : v.967 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  494. Là, vous trouvez toujours des gens divertissants ; v.969 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  495. Et qui sur le prochain vous tirent à cartouche ; v.971 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  496. Portent de tout Paris le lardon scandaleux ; v.973 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  497. Qui veulent imposer et se donner pour neuves ; v.975 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  498. Plus agréablement peut-on passer la vie ? v.978 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  499. D'accord. Mais quand on perd, tout cela vous ennuie. v.979 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  500. Le turbulent Marquis, le paisible bourgeois. v.981 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  501. Coupe orgueilleusement la duchesse indigente. v.983 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  502. De sa naissance ainsi l'on venge les caprices. v.987 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  503. Vous voilà donc en grâce avec l'argent comptant. v.989 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  504. Tant mieux. Pour se conduire en bonne politique, v.990 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  505. Tirez-en mille écus. v.993 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  506. Je n'ai pas, en cinq ans, encor reçu cinq sous. v.997 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  507. Son argent n'a point cours, quoiqu'il soit bien de poids. v.1000 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  508. J'entends venir quelqu'un. v.1002 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  509. Elle a flairé l'argent. v.1003 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  510. Il faut nous en défaire. v.1003 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  511. Bonjour, Madame Adam. Quelle joie est la mienne ! v.1006 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  512. Vous voir ! C'est du plus loin, parbleu, qu'il me souvienne. v.1007 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  513. Je viens pourtant ici souvent faire ma cour ; v.1008 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  514. Je suis fort content de l'ouvrage ; v.1011 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  515. Songe par quel moyen v.1012 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  516. Tu pourras me tirer de ce triste entretien. v.1013 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  517. Je viens vous demander... v.1015 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  518. Vous prenez trop de peine. v.1015 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  519. Ma culotte s'use en deux ou trois endroits. v.1017 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  520. Quoi ! Vous la mariez ? Elle est vive et gentille ; v.1019 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  521. Et son époux futur doit en être content. v.1020 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  522. Nous aurions grand besoin d'un peu d'argent comptant. v.1021 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  523. Que je sois en maraud, déshonoré cent fois, v.1024 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  524. Fait voeu de pauvreté : nous renonçons au monde. v.1027 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  525. Donnez-moi cent écus sur et tant moins des dettes. v.1030 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  526. Vous avisez-vous là de faire des enfants ? v.1032 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  527. Seulement deux cents francs. v.1033 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  528. Et mais... si j'en avais... comptez que dans la vie v.1034 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  529. Personne de payer n'eut jamais tant d'envie. v.1035 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  530. S'il avait quelques deniers comptants, v.1036 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  531. Votre dette n'est pas meilleure que la mienne. v.1038 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  532. Mais quand faudra-t-il donc, Monsieur, que je revienne ? v.1039 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  533. Pour moi, je ne sors point d'ici qu'on ne m'en chasse. v.1042 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  534. Non, je ne vis jamais d'animal si tenace. v.1043 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  535. Il me faut de l'argent cependant. v.1048 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  536. Cette raison vaut mieux que de l'argent comptant. v.1049 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  537. Se fera-t-il bientôt ? v.1051 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  538. Tout au plus tôt. J'enrage. v.1051 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  539. Sortez. Nous attendons la future en ce lieu : v.1053 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  540. Voilà des créanciers assez bien régalés. v.1057 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
  541. Vous devriez pourtant, en fonds comme vous êtes... v.1058 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
  542. Rien ne porte malheur comme payer ses dettes. v.1059 (Acte 3, scène 8, VALÈRE)
  543. Si tant d'honnêtes gens ne les payent jamais. v.1061 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
  544. Mais voici le Marquis, ce héros de tendresse. v.1062 (Acte 3, scène 9, HECTOR)
  545. Que ma chaise se tienne à deux cents pas d'ici. v.1064 (Acte 3, scène 9, LE_MARQUIS)
  546. Que prétend-il donc faire ? v.1066 (Acte 3, scène 10, HECTOR)
  547. Jusques au fond du coeur j'en suis, parbleu, charmé. v.1069 (Acte 3, scène 10, LE_MARQUIS)
  548. Va-t'en. v.1071 (Acte 3, scène 10, VALÈRE)
  549. Va-t'en : faut-il te le redire ? v.1071 (Acte 3, scène 10, VALÈRE)
  550. J'évente les beautés et leur plais d'une lieue. v.1079 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  551. Je m'érige aux repas en maître architriclin ; v.1080 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  552. Je suis parfait en tout. Ma valeur est connue ; v.1082 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  553. De cent jolis combats je me suis démêlé ; v.1084 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  554. Mes aïeux sont connus ; ma race est ancienne ; v.1086 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  555. Vous voyez que je suis gentilhomme manceau. v.1089 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  556. À prétendre hypothèque, à fort bon droit, sur elle ; v.1095 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  557. C'est prétendre arrêter un torrent dans son cours. v.1097 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  558. Je sais ce qu'entre nous le sort mit de distance. v.1103 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
  559. Savez-vous, Monsieur du lansquenet, v.1104 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  560. Vous croyez, en votre humeur caustique, v.1106 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  561. En agir avec moi comme avec l'as de pique. v.1107 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  562. Petit noble à nasarde, enté sur sauvageon. v.1109 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  563. Je retiens ma colère : v.1110 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  564. Et vos airs insolents ne plaisent point du tout. v.1113 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
  565. Ah ! C'est trop endurer. v.1121 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
  566. Va, c'est un malheureux qui n'est pas bien à craindre. v.1123 (Acte 3, scène 12, VALÈRE)
  567. Et prend mal à propos les choses de travers. v.1125 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
  568. On vient civilement pour s'éclaircir d'un doute, v.1126 (Acte 3, scène 12, LE, MARQUIS)
  569. Et monsieur prend la chèvre ; il met tout en déroute, v.1127 (Acte 3, scène 12, LE, MARQUIS)
  570. Fait le petit mutin. Oh ! Cela n'est pas bien. v.1128 (Acte 3, scène 12, LE, MARQUIS)
  571. Mais encor quel sujet ? v.1129 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
  572. Quel sujet ? Moins que rien. v.1129 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
  573. Attaquer la Comtesse, et nous le dire encore ! v.1134 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
  574. C'est un bien que jamais on ne vous enviera : v.1137 (Acte 3, scène 12, VALÈRE)
  575. Vous êtes en effet un amant digne d'elle : v.1138 (Acte 3, scène 12, VAL?RE)
  576. Je le savais bien, moi, que j'en aurais raison ; v.1141 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
  577. Serviteur. Vous et moi, nous en valons deux autres. v.1146 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
  578. Je crains que mes joueurs ne soient sortis du gîte ; v.1150 (Acte 3, scène 13, VALÈRE)
  579. Ils ont trop attendu ; j'y retourne au plus vite. v.1151 (Acte 3, scène 13, VAL?RE)
  580. J'ai dans le coeur, Hector, un bon pressentiment ; v.1152 (Acte 3, scène 13, VAL?RE)
  581. Et je dois aujourd'hui gagner, assurément. v.1153 (Acte 3, scène 13, VAL?RE)
  582. Ces inspirations viennent souvent du diable ; v.1155 (Acte 3, scène 13, HECTOR)
  583. Je vous en avertis, c'est un futé matois. v.1156 (Acte 3, scène 13, HECTOR)
  584. À mon âge, crois-tu m'apprendre à me conduire ? v.1159 (Acte 3, scène 13, VALÈRE)
  585. Il m'en parlera peut-être à son retour. v.1161 (Acte 3, scène 14, HECTOR)
  586. En vain vous m'opposez une indigne tendresse, v.1162 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  587. Il ressent pour le jeu des fureurs nonpareilles, v.1166 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  588. Le temps le guérira de cet aveuglement. v.1168 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  589. Le temps augmente encore un tel attachement. v.1169 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  590. Ne combats plus, Nérine, une ardeur qui m'enchante ; v.1170 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  591. Tu prendrais pour l'éteindre une peine impuissante. v.1171 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  592. La raison, les conseils ne peuvent m'en distraire, v.1174 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  593. Je vois le bon parti ; mais je prends le contraire. v.1175 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  594. Eh bien ! Madame, soit ; contentez votre ardeur, v.1176 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  595. J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, v.1177 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  596. Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. v.1181 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  597. Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, v.1184 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  598. Aux bijoux de sa femme, ou bien à sa vaisselle, v.1187 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  599. Qui va, revient, retourne, et s'use à voyager v.1188 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  600. Chez l'usurier, bien plus qu'à donner à manger, v.1189 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  601. Il la laisse où d'abord elle fut engagée, v.1191 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  602. Et prend, pour remplacer ses meubles écartés, v.1192 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  603. Des diamants du temple, et des plats argentés ; v.1193 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  604. Tant que, dans sa fureur n'ayant plus rien à vendre, v.1194 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  605. Empruntant tous les jours, et ne pouvant plus rendre, v.1195 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  606. Sa femme signe enfin, et voit en moins d'un an, v.1196 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  607. Ses terres en décret, et son lit à l'encan ! v.1197 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  608. L'évènement souvent confond la prévoyance. v.1199 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  609. Quelque docteur l'a dit, ce n'est point menterie. v.1202 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  610. Te voilà bien soufflant. En quels lieux est ton maître ? v.1207 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
  611. En quelque lieu qu'il soit, je réponds de son coeur ; v.1208 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  612. Il sent toujours pour vous la plus sincère ardeur. v.1209 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  613. Non, demeure un moment. v.1212 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
  614. Tout doux ! N'est-il pas vrai qu'il est en quelque lieu v.1213 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
  615. Tiens, voilà dix louis. Ne me mens pas ; dis-moi v.1216 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
  616. S'il n'est pas vrai qu'il joue à présent. v.1217 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
  617. Il est bien revenu de cette folle rage, v.1218 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  618. Avec tes faux soupçons, Nérine, eh bien ! Tu vois. v.1220 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
  619. Il s'en donne aujourd'hui pour la dernière fois. v.1221 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  620. Mais ce n'est proprement que par noblesse d'âme : v.1223 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  621. On voit qu'il se défait de son argent exprès, v.1224 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  622. Eh bien ! Ai-je raison ? v.1226 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
  623. Perdre exprès son argent pour n'être plus tenté ! v.1229 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  624. Il sait que l'homme est faible, il se met en défense. v.1230 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  625. Pour moi, je suis charmé de ce trait de prudence. v.1231 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  626. Quoi ! Ton maître jouerait au mépris d'un serment ? v.1232 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
  627. C'est la dernière fois, Madame, absolument. v.1233 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  628. On le peut voir encor sur le champ de bataille ; v.1234 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  629. Il se défend, Madame, encor comme un lion. v.1236 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  630. Et paraissant encor plus grand dans son malheur, v.1240 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  631. Il vendait cher son sang et sa vie au vainqueur. v.1241 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  632. Pourquoi l'as-tu quitté dans cette décadence ? v.1242 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
  633. Comme un aide-de-camp, je viens en diligence v.1243 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  634. Notre corps de réserve, et je m'en vais chercher v.1245 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  635. Deux cents louis qu'il a laissés dans sa cassette. v.1246 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  636. Eh bien ! Madame, eh bien ! êtes-vous satisfaite ? v.1247 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
  637. Et les moments sont chers en ce jour de combat. v.1249 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  638. Vous l'entendez, Madame ! Après cette action, v.1252 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
  639. Cédez à votre étoile ; épousez-le. J'enrage v.1254 (Acte 4, scène 3, N?RINE)
  640. Lorsque j'entends tenir ce discours à votre âge. v.1255 (Acte 4, scène 3, N?RINE)
  641. Mais Dorante qui vient... v.1256 (Acte 4, scène 3, N?RINE)
  642. M'apprendre... v.1259 (Acte 4, scène 4, DORANTE)
  643. Et toi, Nérine, aussi tu ne veux pas m'entendre ? v.1259 (Acte 4, scène 5, DORANTE)
  644. Demeurez en ces lieux, v.1265 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  645. J'ai deux mots à vous dire ; et votre âme contente... v.1266 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  646. Me fait, même en été, frissonner tout le corps. v.1269 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  647. Revenez. Quelque espoir qui vous guide, v.1270 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  648. En ce temps, les amants v.1272 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  649. Et cela quelquefois coûte bien plus qu'à l'être. v.1275 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  650. En vérité, j'ai le coeur douloureux v.1276 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  651. Qui me fait renfermer dans un veuvage austère, v.1279 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  652. Je pourrais bien... mais non, je ne puis vous ouïr ; v.1280 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  653. Vos discours, votre air soumis et tendre v.1282 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  654. Ne feront que m'aigrir, au lieu de me surprendre. v.1283 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  655. Bannissons la tendresse ; il faut la supprimer. v.1284 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  656. Je ne puis, en un mot, me résoudre d'aimer. v.1285 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  657. Madame, en vérité, je n'en ai nulle envie, v.1286 (Acte 4, scène 7, DORANTE)
  658. Et veux bien avec vous n'en parler de ma vie. v.1287 (Acte 4, scène 7, DORANTE)
  659. Voilà, je vous l'avoue, un fort sot compliment. v.1288 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  660. J'ai mille adorateurs qui briguent ma conquête ; v.1290 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  661. Et leur encens trop fort me fait mal à la tête. v.1291 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  662. Ah ! Vous le prenez là sur un fort joli ton, v.1292 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  663. En vérité ! v.1293 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  664. Le respect est là mal en sa place ; v.1294 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  665. Et l'on ne me dit point pareille chose en face. v.1295 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  666. Si tous mes soupirants pouvaient me négliger, v.1296 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  667. Je ne vous prendrais pas pour m'en dédommager. v.1297 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  668. Mais Monsieur_le_Marquis, qui paraît en ces lieux, v.1300 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  669. Tant de relâchement dans la galanterie. v.1303 (Acte 4, scène 8, LA COMTESSE)
  670. Le Marquis vient ; il faut m'assurer un parti ; v.1304 (Acte 4, scène 8, LA COMTESSE)
  671. Et je n'en prétends pas avoir le démenti. v.1305 (Acte 4, scène 8, LA COMTESSE)
  672. À mon bonheur enfin, Madame, tout conspire : v.1306 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  673. Que mon amour n'a plus de concurrent ; v.1308 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  674. Entre nous, sans façon, v.1312 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  675. Il ne faut point avoir de mollesse en sa vie. v.1318 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  676. Dans le fond, j'en ai l'âme ravie. v.1319 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  677. Vous avez à combattre encor plus d'un rival. v.1321 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  678. Qui s'est fait depuis peu gentilhomme en une heure ; v.1327 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  679. Dans un grand marbre noir, en or, l'hôtel Damis ; v.1329 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  680. Son père, son grand-père, et les place en tous lieux, v.1333 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  681. En sa maison de ville, en celle de campagne, v.1334 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  682. Les fait venir tout droit des comtes de Champagne, v.1335 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  683. Ce docteur en soupers, qui se tait au palais, v.1340 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  684. S'il est de Reims, du clos, ou bien de la montagne ; v.1343 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  685. Porte cuisine en poche, et poivre concassé. v.1345 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  686. Non, Marquis, c'est Dorante ; et j'ai su m'en défaire. v.1346 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  687. Quoi ! Dorante ! Cet homme à maintien débonnaire, v.1347 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  688. Ce croquant, qu'à l'instant je viens de voir sortir ? v.1348 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  689. Sans lui donner le temps seulement de crier, v.1352 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  690. Pour lui votre fenêtre eût servi d'escalier. v.1353 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  691. Vous êtes turbulent. Si vous étiez plus sage, v.1354 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  692. Quoiqu'un engagement m'ait toujours fait horreur, v.1356 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  693. Par affaire de coeur, qu'entendez-vous, Madame ? v.1359 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  694. Ce que vous entendez vous-même assurément. v.1360 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  695. Est-ce pour mariage, ou bien pour autrement ? v.1361 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  696. Quoi ! Vous prétendriez, si j'avais la foiblesse... v.1362 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  697. Le mariage suit, et vient après, s'il veut. v.1365 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  698. Je prétends que l'hymen soit le but de l'affaire, v.1366 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  699. Et non pas un hymen qu'on rompt le lendemain. v.1369 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  700. Vous aimez chastement, je vous en félicite, v.1370 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  701. Quoique cent fois le jour on me mette à la main v.1372 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  702. Je vais dans ce moment signifier congé v.1377 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  703. À des beautés sans nombre à qui mon coeur renonce ; v.1378 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  704. Un hymen soit le sceau d'un si parfait amour ! v.1381 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  705. Eh bien ! Marquis, tu vois, tout rit à ton mérite ; v.1382 (Acte 4, scène 10, LE_MARQUIS)
  706. Le rang, le coeur, le bien, tout pour toi sollicite : v.1383 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  707. Tu dois être content de toi par tout pays : v.1384 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  708. Quel bonheur est le tien ! Le ciel, à ta naissance, v.1386 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  709. Répandit sur tes jours sa plus douce influence ; v.1387 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  710. Tu soutiens ta valeur avec mille hauts faits ; v.1396 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  711. Les yeux à fleur de tête, et les dents assez belles. v.1398 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  712. Jamais en ton chemin trouvas-tu de cruelles ? v.1399 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  713. Attendez un moment. Quelle ardeur vous transporte ? v.1402 (Acte 4, scène 11, HECTOR)
  714. En ces lieux je ne puis plus longtemps m'arrêter ; v.1408 (Acte 4, scène 11, LE_MARQUIS)
  715. Quand ma verve me prend, je ne suis plus traitable ; v.1410 (Acte 4, scène 11, LE, MARQUIS)
  716. Il vient de la Garonne. Oh ! Parbleu, dans ce temps v.1416 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  717. Je n'aurais jamais cru les Marquis si prudents. v.1417 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  718. Je ris : et cependant mon maître à l'agonie v.1418 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  719. Cède en un lansquenet à son mauvais génie. v.1419 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  720. Non, l'enfer en courroux et toutes ses furies v.1422 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  721. Je n'ai plus rien à perdre, et tes voeux sont comblés. v.1425 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  722. Pour assouvir encor la fureur qui t'anime, v.1426 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  723. Tu ne peux rien sur moi, cherche une autre victime. v.1427 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  724. De serpents mon coeur est dévoré ; v.1428 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  725. Tout semble en un moment contre moi conjuré. v.1429 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  726. Sort cruel, ta malice a bien su triompher ; v.1436 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  727. Dans l'état où je suis, je puis tout entreprendre ; v.1438 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  728. Confus, désespéré, je suis prêt à me pendre. v.1439 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  729. Heureusement pour vous, vous n'avez pas un sou v.1440 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  730. Ah ! Charmante Angélique, en l'ardeur qui m'embrase, v.1443 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  731. N'est point si malheureux, puisqu'enfin il vous aime. v.1447 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  732. Notre amour recommence à revenir sur l'eau. v.1449 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  733. Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? v.1452 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  734. Celui qui te viendra le premier sous la main ; v.1453 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  735. Il m'importe peu ; prends dans ma bibliothèque. v.1454 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  736. Eh ! Vous n'y pensez pas ; v.1456 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  737. Je vais le mettre en pièces. v.1458 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  738. La fortune offre aux yeux des brillants mensongers ; v.1460 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  739. Tous les biens d'ici-bas sont faux et passagers ; v.1461 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  740. Le sage gagne assez quand il peut s'en défaire." v.1463 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  741. Lorsque Sénèque fit ce chapitre éloquent, v.1464 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  742. Il avait, comme vous, perdu tout son argent. v.1465 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  743. Des mouvements de rage. Allons, poursuis, achève. v.1467 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  744. L'un et l'autre en ce temps, sitôt qu'on les manie, v.1470 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  745. Nous philosopherons maintenant tout le soûl. v.1473 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  746. Puisqu'un heureux malheur me rengage en vos fers. v.1477 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  747. C'est posséder les biens que savoir s'en passer." v.1480 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  748. Que ce mot est bien dit ! Et que c'est bien penser ! v.1481 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  749. Ce Sénèque, Monsieur, est un excellent homme. v.1482 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  750. Il faut que de mes maux enfin je me délivre : v.1486 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  751. J'ai cent moyens tout prêts pour m'empêcher de vivre, v.1487 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  752. Qui pour moi désormais devient insupportable. v.1494 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  753. Vous la trouviez pourtant tantôt bien agréable. v.1495 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  754. Sous ses heureuses mains le cuivre devient or, v.1497 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  755. Ah ! Je sens redoubler ma colère. v.1498 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  756. Oui, Monsieur : maintenant v.1504 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  757. Que nous ne jouons plus, notre unique ascendant v.1505 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  758. Tant mieux : il apprend à bien vivre. v.1507 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  759. Et rend l'homme brutal maître des passions. v.1509 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  760. Et que, lorsqu'on y touche... on en demeure là... v.1513 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  761. Ah ! Que ce livre-là connaissoit bien les femmes ! v.1515 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  762. Hector en peu de temps est devenu docteur. v.1516 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  763. Je vous cherche en ces lieux avec impatience, v.1518 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  764. Pour vous dire, mon fils, que votre hymen s'avance. v.1519 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  765. Je quitte le notaire, et j'ai vu les parents, v.1520 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  766. Qui, d'une et d'autre part, me paraissent contents. v.1521 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  767. Que son consentement... v.1523 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  768. Non, pas encor, mon père. v.1523 (Acte 4, scène 14, VALÈRE)
  769. Vraiment, pour un amant, v.1524 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  770. Vous faites voir, mon fils, bien peu d'empressement. v.1525 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  771. Lui faire compliment, et l'embrasser... v.1528 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  772. Monsieur fera cela tout aussi bien que vous. v.1529 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  773. Pénétré des bontés de celui qui m'envoie, v.1530 (Acte 4, scène 14, VALÈRE)
  774. Par mes soins paternels il surmonte la pente v.1538 (Acte 4, scène 16, GÉRONTE)
  775. Où l'entraînait du jeu la passion ardente. v.1539 (Acte 4, scène 16, G?RONTE)
  776. Ah ! Qu'un père est heureux, qui voit en un moment v.1540 (Acte 4, scène 16, G?RONTE)
  777. Un cher fils revenir de son égarement ! v.1541 (Acte 4, scène 16, G?RONTE)
  778. Hé ! Madame, cessez d'éviter ma présence. v.1542 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  779. Je ne viens point, armé contre votre inconstance, v.1543 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  780. Faire éclater ici mes sentiments jaloux, v.1544 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  781. Plus que vous ne pensez, mon coeur vous justifie. v.1546 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  782. Je suis assez vengé si j'en puis faire autant. v.1549 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  783. Que votre emportement en reproches éclate ; v.1550 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  784. Mais enfin de l'amour l'impérieuse loi v.1552 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  785. À l'hymen que je crains m'entraîne malgré moi : v.1553 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  786. J'en prévois les dangers ; mais un sort tyrannique... v.1554 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  787. Quand j'en devrais mourir, je ne puis plus me taire. v.1558 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
  788. Ou si dans cet amour votre coeur engagé v.1560 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  789. Persiste en ses desseins, donnez-moi mon congé. v.1561 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  790. Valère est un indigne ; et, malgré son serment, v.1564 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  791. Vous voyez tous les jours qu'il joue impunément. v.1565 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  792. En faveur de mon faible il faut lui faire grâce : v.1566 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  793. Du lâche attachement que mon coeur a pour lui ? v.1569 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  794. Mon neveu vous épouse ; et je viens seulement v.1572 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  795. Donner à votre hymen un plein consentement. v.1573 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  796. Madame La Ressource ici ! Qu'y viens-tu faire ? v.1574 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
  797. À gagner ses dépens en servant le public. v.1577 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  798. C'est une illustre au moins, et qui sait en secret v.1580 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
  799. Couler adroitement un amoureux poulet : v.1581 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  800. Habile en tous métiers, intrigante parfaite ; v.1582 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  801. Qui prête, vend, revend, brocante, troque, achète, v.1583 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  802. Met à perfection un hymen ébauché, v.1584 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  803. Vend son argent bien cher, marie à bon marché. v.1585 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  804. Votre bonté pour moi toujours se renouvelle ; v.1586 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  805. Je vous en avertis. En bijoux et brillants, v.1588 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
  806. En poche elle a toujours plus de vingt mille francs. v.1589 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  807. Mais ne craignez-vous point qu'un soir dans le silence ? ... v.1590 (Acte 5, scène 2, DORANTE)
  808. Volontiers. J'ai toujours quelque hasard en main. v.1593 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  809. Regardez ce brillant ; je vais en faire affaire v.1594 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  810. Pour certaine chanteuse on dit qu'il en tient là. v.1596 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  811. On m'attend ; je vous quitte. v.1598 (Acte 5, scène 3, MADAME LA RESSOURCE)
  812. Votre choix est-il fait ? Peut-on enfin savoir v.1600 (Acte 5, scène 3, LA COMTESSE)
  813. À qui vous prétendez vous marier ce soir ? v.1601 (Acte 5, scène 3, LA COMTESSE)
  814. Apparemment, Monsieur est ce mortel heureux, v.1604 (Acte 5, scène 3, LA COMTESSE)
  815. À ce bonheur charmant je n'ose pas prétendre. v.1606 (Acte 5, scène 3, DORANTE)
  816. Si madame eût gardé son coeur pour le plus tendre, v.1607 (Acte 5, scène 3, DORANTE)
  817. Charmé de vos beautés, je viens enfin, Madame, v.1610 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  818. Et j'ai sur vous enfin laissé tomber mon choix. v.1613 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  819. Vous êtes gentilhomme et cela me suffit. v.1616 (Acte 5, scène 4, LA COMTESSE)
  820. En faisant avec moi cette heureuse alliance, v.1618 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  821. Vous pourrez vous vanter que gentilhomme en France v.1619 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  822. Des enfants de tout point mieux conditionnés. v.1621 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  823. Vous verrez si je mens. v.1622 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  824. Quand vous résoudrez-vous, Monsieur le gentilhomme v.1626 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  825. Mes quatre cents écus prêtés depuis cinq ans ? v.1628 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  826. Pour me les demander, vous prenez bien le temps. v.1629 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  827. Je veux, aux yeux de tous, vous en faire avanie, v.1630 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  828. À toute heure, en tous lieux. v.1631 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  829. D'aller de ses parents montrer la turpitude. v.1635 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  830. Comment donc ? v.1636 (Acte 5, scène 4, LA COMTESSE)
  831. On le verrait encor vivre aux dépens du roi. v.1637 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  832. Vous en avez menti. v.1641 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  833. Maugrebleu des parents ! v.1641 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  834. Mon oncle n'était pas huissier ? Qu'il t'en souvienne. v.1642 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  835. Quand il vint à Paris en guêtres, par le coche. v.1647 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  836. Jamais ce feu pour vous ne fut si violent ; v.1652 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  837. Taisez-vous, insolent. v.1653 (Acte 5, scène 4, LA COMTESSE)
  838. Insolent ! Moi qui dois honorer votre couche, v.1654 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  839. Oui ! L'on agit de même avec les gens de cour ! v.1657 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  840. J'en suis, parbleu, ravi. Pour le coup je vous quitte, v.1659 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  841. J'ai, pour briller ailleurs, mille talents acquis ; v.1660 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  842. Je vais m'en consoler. Allons, saute, Marquis. v.1661 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  843. Je n'y puis plus tenir, ma soeur, et je vous laisse. v.1662 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
  844. Avec qui vous voudrez finissez de tendresse ; v.1663 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
  845. Coupez, taillez, rognez, je m'en lave les mains. v.1664 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
  846. Désormais, pour toujours, je renonce aux humains. v.1665 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
  847. Ils prennent leur parti. v.1666 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
  848. La rencontre est plaisante ! v.1666 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  849. Je l'ai démarquisé bien loin de son attente : v.1667 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  850. J'en voudrais faire autant à tous les faux marquis. v.1668 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  851. Vous auriez, par ma foi, bien à faire à Paris. v.1669 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  852. En modernes seigneurs sortir de dessous terre, v.1671 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
  853. Vous avez découvert ici bien du mystère. v.1674 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
  854. De quoi s'avise-t-il de me rompre en visière ? v.1675 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  855. Mais aux grands mouvements qu'en ce lieu je puis voir, v.1676 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  856. Oui, vraiment, dès ce soir. v.1677 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  857. J'en ai bien de la joie. Il faut que je lui montre v.1678 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  858. Deux pendants de brillants que j'ai là de rencontre. v.1679 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  859. J'en ferai bon marché. Je crois que les voilà ; v.1680 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  860. C'est un portrait de prix, mais il n'est pas à vendre. v.1682 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  861. Non, non ; on doit me le reprendre. v.1683 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  862. Votre portrait, Madame, en propre original. v.1689 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  863. Faut-il vous voir ainsi durement mise en presse ? v.1691 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  864. C'est mon portrait, hélas ! Qu'en mon ardeur extrême v.1695 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
  865. Je viens de lui donner pour prix de ses amours, v.1696 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
  866. Ce portrait m'appartient, et je prétends l'avoir. v.1701 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  867. Laissez-moi le garder un moment, je vous prie : v.1702 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
  868. C'est la seule faveur qu'on m'ait faite en ma vie. v.1703 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
  869. C'en est fait : pour jamais je le veux oublier. v.1704 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
  870. Étant encore amant, il vous vendra, Madame, v.1706 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  871. À beaux deniers comptants, quand vous serez sa femme. v.1707 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
  872. Mais le voici qui vient. v.1708 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
  873. Du portrait ne soyez plus en peine. v.1710 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
  874. Lorsque je le verrai, j'en serai plus certaine. v.1711 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  875. Quel bonheur est le mien ! Enfin voici le jour, v.1712 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  876. Que ce tendre discours me charme et me rassure ! v.1722 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  877. Tu ne seras heureux, par ma foi, qu'en peinture. v.1723 (Acte 5, scène 7, NÉRINE)
  878. Madame, en ce moment, que mon âme est contente ! v.1726 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  879. Ne consentez-vous pas à ce parti, Dorante ? v.1727 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  880. Montrez donc, sans attendre, v.1734 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  881. Le portrait que de moi vous avez voulu prendre ; v.1735 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  882. Et que votre rival sache à quoi s'en tenir. v.1736 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  883. C'est mon oncle : en voyant de votre amour ce gage, v.1738 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  884. Vous savez bien qui l'a. v.1740 (Acte 5, scène 7, VAL?RE)
  885. Le triomphe est trop beau, pour n'en pas faire gloire. v.1743 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
  886. Mais je n'aurai du moins rien à me reprocher... v.1745 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  887. Oui, maraud ; parle, qu'en as-tu fait ? v.1749 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  888. Madame La Ressource, un moment sans paraître, v.1750 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
  889. Ah ! Chien ! Ah ! Double traître ! v.1751 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  890. Je l'ai mis chez un peintre ; il m'en fait la copie. v.1755 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
  891. Va, cours me le chercher, et reviens au plus tôt. v.1757 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  892. Nous voilà bien achevés de peindre ! v.1759 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
  893. Madame, en vérité, de telles épithètes v.1762 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  894. Malgré tous vos serments, parjure, à la même heure, v.1766 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  895. Vous l'avez mis en gage ! v.1767 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  896. Et je prétends avoir mon portrait, s'il vous plaît. v.1772 (Acte 5, scène 7, MADAME LA RESSOURCE)
  897. Laissez-le-moi garder ; j'en paierai l'intérêt v.1773 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
  898. De voir qu'avec mon fils un tendre hymen vous lie ! v.1775 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  899. J'attends depuis longtemps ce fortuné moment. v.1776 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  900. Son coeur ressent, je crois, le même empressement. v.1777 (Acte 5, scène 8, NÉRINE)
  901. Vous prenez, croyez-moi, comme il faut cette affaire ; v.1779 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  902. Et l'hymen de Madame, à vous en parler net, v.1780 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  903. N'était, en vérité, point du tout votre fait. v.1781 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  904. Le notaire en ce lieu va se rendre ; v.1782 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  905. Avec lui nous prendrons le parti qu'il faut prendre. v.1783 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  906. Oh ! Par ma foi, Monsieur, vous ne prendrez qu'un rat ; v.1784 (Acte 5, scène 8, NÉRINE)
  907. Comment donc ? v.1786 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  908. De rendre à votre fils tendresse pour tendresse ; v.1787 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
  909. Pour mon portrait enfin son lâche procédé, v.1789 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
  910. Me font ouvrir les yeux ; et, contre mon attente, v.1790 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
  911. En ce moment, Monsieur, je me donne à Dorante. v.1791 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
  912. Que vous vouliez encor... v.1793 (Acte 5, scène 8, DORANTE)
  913. Ce récit est trop triste en vers ainsi qu'en prose. v.1795 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
  914. Le portrait de madame, une heure, en pension v.1797 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
  915. Chez cette chienne-là, que Lucifer confonde, v.1798 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
  916. Sa folle passion m'en fait assez juger. v.1801 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  917. J'ai peine à retenir le courroux qui m'agite. v.1802 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  918. Et te donne cent fois ma malédiction. v.1805 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  919. Le beau présent de noce ! v.1806 (Acte 5, scène 9, HECTOR)
  920. Si vous êtes heureux au jeu comme en maîtresse, v.1807 (Acte 5, scène 9, ANGELIQUE)
  921. Et si vous conservez aussi mal ses présents, v.1808 (Acte 5, scène 9, ANGELIQUE)
  922. Et mon portrait, Monsieur, vous plaît-il me le rendre ? v.1810 (Acte 5, scène 9, MADAME LA RESSOURCE)
  923. Vous n'aurez rien perdu dans ces lieux pour attendre, v.1811 (Acte 5, scène 9, DORANTE)
  924. En toute occasion soyez sûr de mon zèle. v.1814 (Acte 5, scène 10, MADAME LA RESSOURCE)
  925. Adieu, tison d'enfer, fesse-mathieu femelle. v.1815 (Acte 5, scène 10, HECTOR)
  926. Grâce au ciel, ma maîtresse a tiré son enjeu. v.1816 (Acte 5, scène 11, NÉRINE)
  927. Prendre un livre, et vous lire un traité de Sénèque. v.1819 (Acte 5, scène 12, HECTOR)

LES SOUHAITS (1700)

  1. Venez, venez, peuples divers ; v.1 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  2. Mortels ; je veux vous rendre heureux : v.8 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  3. Formez tous des souhaits au gré de votre envie ; v.9 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  4. En vous disant d'abord que je suis mariée, v.13 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  5. Vous devinez assez que je viens vous prier v.14 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  6. Ne rendez point ma demande frivole, v.16 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  7. Et, pour le bien commun, changez tous les maris ; v.17 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  8. Je le crois aisément ; mais je me persuade v.20 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  9. Pour obtenir même grâce que vous, v.22 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  10. Vont m'envoyer même ambassade. v.23 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  11. Ils n'en ont pas tant de raisons que nous. v.24 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  12. Comptez-vous bien du temps depuis que l'hyménée v.25 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  13. J'étais, en moins d'un mois, déjà veuve de deux : v.28 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  14. Celui-ci mort, un autre en sa place fut mis, v.31 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  15. Mais, Hélas ! J'ai toujours été de pis en pis. v.33 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  16. Seulement pendant une année, v.41 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  17. Je veux, pour en trouver un à ma fantaisie, v.44 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  18. En changer, si je puis, tous les jours de ma vie. v.45 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  19. Si vous preniez un quatrième, v.48 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  20. Et qu'il pourrait encor vous assommer de coups, v.50 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  21. Et ferait bien, cela ne soit dit qu'entre nous, v.51 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  22. De mon sort, en un mot, vous plaît-il d'ordonner ? v.53 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  23. Peut rendre à l'Amour. v.60 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  24. Et dans l'autre elle fut avare de ses biens ; v.68 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
  25. Cependant, ne pouvant mieux faire, v.69 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  26. Nous voulons de l'hymen contracter les liens. v.70 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  27. Et je viens vous prier, par un souhait nouveau, v.73 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  28. De vouloir bien tous deux nous mettre de niveau. v.74 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  29. D'asservir bien souvent deux amants de sa main, v.77 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  30. Fort différents d'humeur, de taille et de caprice ; v.78 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  31. Puis il en rit le lendemain. v.79 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  32. Un grand homme souvent épouse un avorton : v.81 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
  33. Sans crainte du qu'en dira-t-on. v.84 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  34. Qui prend pour femme, et sans s'en méfier, v.87 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  35. Nous craignons fort que nos enfants v.89 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
  36. N'aient pas la forme ordinaire : v.90 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  37. Si d'ailleurs ils tiennent du père, v.93 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  38. Les risques n'en sont pas moins grands ; v.94 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  39. Mais, pour nous égaler, dans un tel différend, v.98 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  40. Et vos enfants seront bien proportionnés. v.106 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  41. Mais cependant, sans vous déplaire, v.107 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
  42. Si j'avais sur ma tête encore un pied de plus ? v.109 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  43. Si j'en juge aux regards de cette bonne dame, v.111 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  44. Quand tu seras époux, tu deviendras peut-être v.113 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  45. Pour vous, écoutez bien ma chanson là-dessus. v.115 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  46. Heureuse celle qui s'en passe ! v.117 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  47. On n'en a pas comme on les veut. v.118 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  48. Vous en pourrez trouver qui seront plus de mise : v.119 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  49. Il ne s'en faut charger que le moins que l'on peut. v.121 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  50. Vous voyez un garçon qui du bien fait usage, v.122 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  51. Assez bien nourri pour son âge ; v.123 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  52. Je n'ai pas encore vingt ans, v.124 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  53. Qui fidèlement m'accompagne, v.127 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  54. Est pétri de mets succulents, v.128 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  55. La teinture en est bonne, et durera longtemps. v.130 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  56. Cependant, croiriez-vous ce que je vais vous dire ? v.131 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  57. Souvent je manque de santé. v.133 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  58. En vain, pour le chasser, je fais ce que je puis. v.140 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  59. Quand j'ai seulement bu mes neuf ou dix bouteilles, v.141 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  60. Certain mal de tête me prend, v.142 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  61. Il me prend un dégoût pour tout ce qu'on me sert, v.145 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  62. Et je demeure en cette léthargie v.150 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  63. Jusques au lendemain, sans pouvoir m'éveiller. v.151 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  64. S'il est ainsi, vous êtes bien malade. v.152 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  65. Et ce mal vous prend-il bien ordinairement ? v.153 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  66. Une fois par jour réglément. v.154 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  67. Je viens vous demander, pour vivre heureusement, v.156 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  68. Un meilleur estomac, un ventre plus capable, v.157 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  69. Et surtout une soif que rien ne puisse éteindre. v.160 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  70. Ton souhait est impertinent ; v.164 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  71. De ceux qui mettent tous leurs soins v.172 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  72. Encore un coup. v.179 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  73. Je ne viens point faire de voeux, v.181 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  74. J'ai plus d'esprit cent fois qu'il ne me faut ; v.188 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  75. Je ne vois en moi nul défaut ; v.190 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  76. En ce temps de désordre, où l'on voit sur la terre v.193 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  77. Ce repos m'ennuie et me gêne : v.197 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  78. Le sang me bout de veine en veine ; v.198 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  79. Pour me tenir bien en haleine, v.200 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  80. De me battre en duel contre mes ennemis, v.201 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  81. Trois fois seulement par semaine. v.202 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  82. Non, ou je mens ; v.203 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  83. Mais, certes, je m'en meurs d'envie. v.204 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  84. Ce métier à la longue ennuie, v.205 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  85. Lasse, et ne nourrit pas son maître bien longtemps. v.206 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  86. Ce souhait est vraiment nouveau, v.209 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  87. Et je ne vois rien de si beau v.210 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  88. D'aller à tout venant offrir la carte blanche : v.211 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  89. Mais, si vous commenciez un lundi v.212 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  90. Du sort d'un ennemi je suis toujours le maître ; v.219 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  91. Quelque mortels que soient vos coups, v.223 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  92. Que bien des gens voudraient posséder l'avantage v.225 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  93. D'en venir aux mains avec vous. v.226 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  94. Vous ne sauriez m'imposer en ce jour : v.228 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  95. Et que je prenne ma revanche v.233 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  96. Sur des coeurs qui n'en pourront mais. v.234 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  97. Nous venons rendre notre hommage, v.237 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  98. Qui par vous nous est présenté. v.239 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  99. Seigneur Mercure, en vérité, v.240 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  100. En voyant ce noble équipage v.241 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  101. On ne vous prendra pas, à moins d'être hébété, v.243 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  102. Qui... je n'en dis pas davantage, v.246 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  103. Venons au fait, et point tant de langage. v.248 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  104. Et près du sexe même étendu nos conquêtes. v.252 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  105. Le sceptre est souvent en nos mains ; v.253 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  106. Et vous voyez en nous, par le fruit de nos peines, v.254 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  107. Oui ! Mais, s'il est ainsi, comme on n'en peut douter, v.257 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  108. Que vous peut-il encor rester à souhaiter ? v.258 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  109. Comme sont enfin les héros, v.260 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  110. Mais nous sommes d'ailleurs fort dénués de biens, v.264 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  111. Car nous sommes comédiens. v.265 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  112. Et comédiens de campagne. v.266 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  113. J'aime les gens de cet emploi : v.267 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  114. On emploie à cela l'argent et les amis. v.273 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  115. C'est donc où se bornent nos voeux, v.275 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  116. Et ce qui peut nous rendre heureux. v.276 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  117. Mais, pour faire en tout genre admirer notre esprit, v.283 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  118. Nous chaussons maintenant le cothurne tragique, v.284 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  119. Pour peu que vous vouliez en passer votre envie, v.286 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  120. Nous jouerons un fragment pris d'une tragédie, v.287 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  121. Dont les vers, faits par moi, furent très bien reçus : v.288 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  122. Et ce n'est proprement qu'un trait de parodie v.290 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  123. Quand Achille en fureur insulte Agamemnon. v.292 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  124. Qu'en produisant de moi, ne faire rien qui vaille. v.295 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  125. Que les musiciens, avec leurs violons, v.298 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  126. Vous fredonnent une ouverture, v.299 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  127. Et dans peu nous commencerons. v.300 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  128. De vos déportements entretient la licence, v.302 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  129. Que manque-t-il à vos tendresses ? v.312 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
  130. J'en devrais être aussi le père, ce me semble : v.317 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  131. Cependant, au dire de tous, v.318 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  132. De tant d'enfants aucun ne me ressemble ; v.319 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  133. Ne m'appellent jamais le père des Amours. v.321 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  134. Il serait beau, vraiment, que de votre visage v.322 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
  135. Mes enfants eussent quelques traits ; v.323 (Acte 1, scène 7, V?NUS)
  136. Que dirait tout le genre humain, v.326 (Acte 1, scène 7, V?NUS)
  137. À son appartement, gardes, qu'on la remène, v.331 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  138. Et qu'on l'empêche d'en sortir. v.332 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  139. Deux Cyclopes s'emparent de Vénus. v.333 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  140. Quoi ! Voulez-vous, par cette violence, v.334 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
  141. Vous avez trop longtemps lassé ma patience. v.336 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  142. Les deux Cyclopes emmènent Vénus. v.338 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  143. Faut-il cruel hymen, que, tout dieux que nous sommes, v.339 (Acte 1, scène 8, VULCAIN)
  144. Nous ressentions tes coups comme les autres hommes ? v.340 (Acte 1, scène 8, VULCAIN)
  145. Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi, v.341 (Acte 1, scène 9, MARS)
  146. Et vous-même étouffant tout sentiment d'époux, v.345 (Acte 1, scène 9, MARS)
  147. Contre ses volontés, par vos soins retenue, v.347 (Acte 1, scène 9, MARS)
  148. On dit plus ; on prétend que cette dure loi v.349 (Acte 1, scène 9, MARS)
  149. N'est donnée en ces lieux, n'est faite que pour moi. v.350 (Acte 1, scène 9, MARS)
  150. Qu'en dites-vous, seigneur ? Que faut-il que j'en pense ? v.351 (Acte 1, scène 9, MARS)
  151. Ne ferez-vous point taire un bruit qui nous offense ? v.352 (Acte 1, scène 9, MARS)
  152. Seigneur, je ne rends point compte de mes desseins : v.353 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  153. Ma femme ignore encor mes ordres souverains ; v.354 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  154. Et, quand il sera temps qu'elle soit enfermée, v.355 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  155. Vous en serez instruit avec la renommée. v.356 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  156. Et vos lâches amours ne sauraient se contraindre. v.360 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  157. Seigneur, je ne rends point compte de mes amours : v.361 (Acte 1, scène 9, MARS)
  158. Vénus ignore encor quel en sera le cours ; v.362 (Acte 1, scène 9, MARS)
  159. Elle apprendra son sort, et vous saurez le vôtre. v.364 (Acte 1, scène 9, MARS)
  160. Vous pensez qu'approuvant vos feux injurieux, v.369 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  161. Que ma foi, mon honneur, mon amour y consente ? v.371 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  162. Mais vous, qui me parlez d'une voix menaçante, v.372 (Acte 1, scène 9, MARS)
  163. C'est pour le bien commun qu'ici mon zèle brille. v.375 (Acte 1, scène 9, MARS)
  164. En épousant Vénus, cette belle déesse, v.379 (Acte 1, scène 9, MARS)
  165. Vous saviez que son coeur, sensible à la tendresse, v.380 (Acte 1, scène 9, MARS)
  166. Accusez-en le sort et le ciel tout entier, v.385 (Acte 1, scène 9, MARS)
  167. Pour moi seul aujourd'hui devenez difficile : v.388 (Acte 1, scène 9, MARS)
  168. Vous vous avisez tard de devenir jaloux ; v.389 (Acte 1, scène 9, MARS)
  169. Juste ciel ! Puis-je entendre et souffrir ce langage ? v.391 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  170. Moi, pour le bien commun, j'aurais pris femme exprès, v.393 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  171. Et serais seulement époux ad honores ! v.394 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  172. Je ferais de l'hymen un trafic mercenaire ! v.396 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  173. Ma femme est à moi seul, et n'en veux qu'à ce prix. v.398 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  174. Fuyez donc ; retournez dans vos grottes ardentes, v.399 (Acte 1, scène 9, MARS)
  175. Je tiens à Jupiter par un noeud qui l'engage v.403 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  176. Rendez grâce au seul noeud qui retient mon courroux ; v.409 (Acte 1, scène 9, MARS)
  177. De votre femme encor je respecte l'époux. v.410 (Acte 1, scène 9, MARS)
  178. Je ne dis plus qu'un mot ; c'est à vous de m'entendre. v.411 (Acte 1, scène 9, MARS)
  179. J'ai mon amour ensemble et ma gloire à défendre : v.412 (Acte 1, scène 9, MARS)
  180. Et voilà ce qui doit avancer ma vengeance. v.415 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
  181. Ton insolent amour aura sa récompense. v.416 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
  182. Ne précipitons rien. Venez, suivez-moi tous. v.418 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
  183. Vous voyez maintenant si c'est nous faire grâce v.419 (Acte 1, scène 11, LA-THORILLIÈRE)
  184. Vos talents n'ont pas su sur moi trop opérer. v.423 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  185. Retournez en province, et suivez mon avis ; v.426 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  186. Il vaut mieux être enfin le premier au village, v.429 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  187. Paris de mes talents ne profitera pas ; v.432 (Acte 1, scène 11, POISSON)
  188. Et je m'en vais, tout de ce pas, v.433 (Acte 1, scène 11, POISSON)
  189. Me faire comédien suisse. v.434 (Acte 1, scène 11, POISSON)
  190. Mortels, jusqu'à présent nul n'a demandé rien v.435 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  191. Que je lui puisse accorder pour son bien. v.436 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  192. Je vois bien que chacun s'empresse v.437 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  193. Les dieux vous trahiraient, s'ils étaient trop faciles. v.443 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  194. Sans redouter le sort, mettez tout en sa main : v.444 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  195. Profitez chaque jour des biens qu'il vous envoie ; v.446 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  196. Laissez à Jupiter le soin du lendemain. v.447 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  197. Les suivants de Mercure forment une contredanse qui finit la comédie. v.448 (Acte 1, scène 11, MERCURE)

LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES. (1690)

  1. Écoute, Claudine ; voici un gentilhomme qui vient loger chez moi avec sa soeur ; il faut que tu leur donnes deux chambres l'une contre l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  2. J'ai tout quitté pour le chercher, et il ne daigne pas seulement me regarder. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  3. N'entends-tu, Claudine ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  4. Ce gentilhomme vient loger chez moi ; il lui faut deux chambres l'une auprès de l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  5. Entends-tu bien ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  6. Je te casserai, ma foi, la gueule, et je ferai bien passer tes pestes de vapeurs. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  7. M'entends-tu à cette heure ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  8. Oui, monsieur, je vous entends : vous pouvez vous en aller ; je vais accommoder tout cela. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  9. Allons, ma soeur, entrez. (Acte 1, scène 4, CINTHIO)
  10. Voilà une fille qui me semble bien surprise ! (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  11. Vous ne me dites rien ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  12. Je n'ai rien à vous dire. (Acte 1, scène 5, CINTHIO)
  13. Mais je saurai me venger. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  14. Je n'en crois rien, monsieur, si je n'y touche. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  15. Tiens, il me prend envie de faire une capilotade de ton foie, de ta fressure, de ton gésier. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  16. Voulez-vous parier, monsieur, que c'est l'amour qui l'a mise en campagne ? (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  17. Les filles sont des vaisseaux qui ne vont d'ordinaire que de ce vent-là. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  18. Hé bien ? (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  19. Sitôt qu'il fut arrivé, il me pria, mais le plus honnêtement du monde, de lui donner une chambre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  20. Pour lui faire plaisir, je le menai moi-même, par civilité, dans la belle chambre qui est de plain-pied à la cour. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  21. Mais il ne voulut point y demeurer, appréhendant qu'elle ne fût malsaine, à cause de l'humidité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  22. Il me témoigna encore qu'il ne pourrait pas y coucher, à cause qu'étant fatigué et ayant besoin de repos, les chevaux pourraient interrompre son sommeil pendant la nuit. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  23. Voilà un homme bien difficile à coucher. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  24. Peut-être pas tant que vous pensez. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  25. Je trouvai qu'il n'avait pas mauvaise raison ; car quand on repose, comme vous savez, on n'est pas bien aise d'être interrompu. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  26. Voyant donc qu'il avait besoin de repos, et qu'il continuait toujours avec les manières les plus civiles du monde, je me crus obligée de le mettre dans un lieu éloigné du bruit : vous savez que ma chambre est au bout du jardin ; je l'y menai, (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  27. Assurément. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  28. Sans doute, et j'enragerais qu'un autre fût plus civil que moi. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  29. Voilà du civil qui pourrait bien nous mener au criminel. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  30. Il trouva que ma chambre l'accommodait assez, et me fit entendre qu'il serait ravi d'y rester. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  31. Je lui dis aussitôt que, puisque cet endroit lui plaisait, j'y ferais mettre un lit pour lui à côté du mien. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  32. Comment l'entendez-vous donc ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  33. Mais comme il est extrêmement honnête, il refusa l'offre que je lui faisais, de peur de m'incommoder, et dit qu'il ne souffrirait point que ma chambre fût embarrassée pour l'amour de lui, et qu'il coucherait plutôt dans l'écurie que de me causer la moindre incommodité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  34. Son honnêteté me fendit le coeur : une fille n'est pas de bois ; et voyant que ma chambre lui plaisait si fort, je lui dis... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  35. Me promettez-vous que vous ne vous mettrez pas en colère ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  36. Ma foi, monsieur, vous avez là une soeur bien élevée. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  37. Je n'en fus pas la maîtresse : il ne voulut jamais permettre que je m'incommodasse pour l'amour de lui ; il dit qu'il serait au désespoir de m'avoir découchée, et... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  38. Que voilà un garçon bien honnête ! (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  39. Comment donc ! (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  40. Il me dit qu'il y avait longtemps qu'il m'aimait, qu'il voulait être mon mari ; et il m'en donna sa promesse, que j'ai encore. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  41. Mais tu n'échapperas pas à ma vengeance, et... (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  42. Entrez dans cette hôtellerie-là, et prenez garde de dire que vous me connaissez. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  43. Ma foi, je n'en saurais revenir : voilà une fille bien civile. (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  44. Donner jusqu'à la moitié de son lit à un garçon ; la pauvre enfant ! (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  45. La pauvre enfant ! (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  46. On vous envoie solliciter un procès, et vous allez voir l'armée. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  47. Je crois que monsieur Croquignolet votre père et madame Croquignolet votre mère vont être bien surpris, quand ils verront arriver dans leur boutique monsieur Mathurin Blaise Croquignolet, leur fils l'avocat, qui vient de Flandre. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  48. Tous les badauds du quartier vont venir fondre dans votre boutique, pour savoir de vous des nouvelles du combat. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  49. À un jeune praticien comme moi d'avoir déjà vu une bataille contradictoire, et d'en être revenu sain et entier. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  50. Cela est vrai ; mais vous preniez le frais sur le mont Pagnotte, à trois bonnes portées du canon. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  51. Cela n'aurait pas été honnête à moi d'y mourir, et j'aurais enragé le reste de ma vie si j'étais mort là comme un sot. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  52. Mais, monsieur, gagnons pays, s'il vous plaît ; allons vite chez votre père, visiter son vin de Bourgogne ; car je sens que j'ai besoin de forces. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  53. Je n'ai garde de descendre chez mon père. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  54. Et d'où vient ? (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  55. On m'a mandé à l'armée que ma grande soeur Toinon avait la petite vérole, et je ne serais pas bien aise d'en être marqué. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  56. C'est, morbleu, bien fait de conserver votre teint ; et il serait fâcheux qu'un jeune homme que le canon a respecté fût exposé au caprice d'une maladie aussi insolente. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  57. Entrons donc dans la première hôtellerie. (Acte 1, scène 9, LE VALET)
  58. Messieurs, vous allez avoir tout ce qu'il vous faut : on ne manque de rien chez nous. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  59. Allons, ma fille, viens me débotter. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  60. Viens çà, ma fille ; es-tu mariée ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  61. Non, monsieur, Dieu merci ; à moi n'appartient pas tant d'honneur : l'année n'est pas bonne pour les filles ; tous les garçons sont à la guerre. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  62. En voilà pourtant encore un qui n'y est pas. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  63. Si cette friponne-là voulait, nous aurions bientôt conclu l'affaire. (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  64. Je sens quelque chose... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  65. Tu m'entends bien ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
  66. C'est un Nicodème qui n'a pas le sens commun. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  67. J'ai de l'argent, oui. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  68. Me voilà bien chanceuse avec votre argent ! (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  69. Ce n'a jamais été ça qui m'a tentée : j'aime mieux un homme qui me plaît que tous les trésors du inonde ; et, si vous voulez que je vous parle franchement, j'aimerais mieux votre valet que vous. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  70. Sais-tu bien, petite scélérate, que je viens de l'armée ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  71. Vous voilà plaisamment fagoté, avec votre habit noir ! (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  72. C'était donc vous qui portiez les billets d'enterrement des Hollandais qu'on y a tués ? (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  73. Comment, morbleu ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  74. Si quelqu'un en doutait, je lui ferais bien voir ce que c'est que Mathurin Croquignolet, volontaire en pied, suivant l'armée. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
  75. Et avocat en parlement. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  76. Je crois qu'il ne faudrait encore qu'un Mathurin Croquignolet pour faire fuir tous les poulets de notre basse-cour. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  77. Cette friponne-là n'est pas prévenue de mon mérite... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  78. Je vous prie, Monsieur, encore une fois, de vous tenir en repos ; je n'aime pas à être tarabustée. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  79. Si vous voulez entrer chez nous, voilà la porte ouverte ; sinon, je suis votre très humble servante. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  80. En vertu de quoi, monsieur, s'il vous plaît, prenez-vous des familiarités avec cette fille-là ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  81. En vertu de quoi ?... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  82. En vertu que c'est mon plaisir. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
  83. Croyez-moi, mon petit visage botté, ne m'échauffez pas les oreilles ; car je pourrais prendre le mien à telle chose qui vous déplairait fort. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  84. Monsieur, on ne traite pas comme cela un gentilhomme parisien, qui revient de Flandre. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  85. Je veux que le diable m'emporte si nous n'en venons, et du camp de Fleurus. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  86. Non, nous n'y étions pas, quand notre général fit signifier un avenir aux ennemis ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  87. Ils ne comparurent pas le dernier juillet, à une heure de relevée, pour plaider sur le champ de bataille ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
  88. La cause fut appelée, qui dura plus de huit heures ; mais en vertu de bonnes pièces de canon, dont nous étions porteurs, nous fîmes bien vite déguerpir l'ennemi. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  89. Il voulut deux ou trois fois revenir par appel ; mais il fut toujours débouté de son opposition, et condamné en tous les dépens, dommages et intérêts, et aux frais, morbleu ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR CROQUIGNOLET)
  90. Je vois bien, monsieur, que vous avez vu la bataille dans quelque étude de procureur. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  91. Je vais vous raconter cela bien mieux que mon maître ; car, entre nous, c'est un dadais. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  92. Premièrement, voilà les ennemis, et nous voilà. (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  93. Le combat commença par les tambours ; à l'instant nous fîmes avancer nos vivandiers : les ennemis voyant cela, détachèrent cinq escadrons de leurs meilleurs voiliers. (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  94. C'était là où nous les attendions ; car aussitôt on lâcha toutes les galères pour enfoncer leur demi-lune... (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  95. les trompettes, qui étaient chargées à cartouches ; pan, bedon... don... les... (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  96. Mais je vous prie, monsieur le vivandier, et vous, mon petit clerc de procureur, de passer votre chemin, et de ne pas regarder derrière vous : m'en tendez-vous ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  97. Monsieur, prenez garde à ce que vous faites ; si Vous m'insultez... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  98. Hé bien ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  99. Ma foi, il aura bien affaire à vous ; je ne suis pas obligé de me faire tuer à votre place. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  100. Allez, mon petit ami, je ne daigne seulement pas vous répondre ; mais si vous jetez seulement les yeux sur cette fille-là, je vous ferai mourir sous le bâton. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  101. Il s'en va pourtant... (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  102. Fort bien, monsieur. (Acte 1, scène 12, LE-VALET)
  103. Hé bien, infidèle ! (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  104. Me connais-tu présentement ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  105. Suis-je Isabelle que tu as trahie, que tu as obligée de quitter sa patrie pour venir te reprocher ton inconstance, et se déguiser en servante ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  106. Je vous dis encore une fois que je ne vous connais point. (Acte 2, scène 1, CINTHIO)
  107. Isabelle n'est pas capable d'un pareil emportement, ni de se jeter à la tête de tout venant, comme moi-même je vous ai vue faire. (Acte 2, scène 1, CINTHIO)
  108. Croyez-vous donc que l'on soit obligé de vous tenir hôtellerie de filles ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  109. Ma foi, c'est pour votre nez qu'on vous en garde ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  110. Voilà un hôte bien rébarbatif ; je vois bien que cet homme-ci ne parle d'ordinaire qu'à des chevaux. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  111. Monsieur, c'est un petit différend que j'avais avec Claudine ; je lui demandais quelque ustensile dont j'avais besoin. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  112. Comment donc ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  113. Monsieur, pour qui prenez-vous ma servante ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  114. Je vous prie de croire que ce n'est pas un ustensile... (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  115. Quand vous voudrez tenir hôtellerie, faites provision de servantes qui considèrent les gens de qualité. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  116. Comment donc, coquine ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  117. D'où vient que monsieur se plaint de vous ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  118. Ne vous ai-je pas dit qu'une servante d'hôtellerie doit être douce et avenante aux étrangers ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  119. Comment ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  120. Ce n'est pas d'aujourd'hui que je m'en doute. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  121. Je ne l'avais prise que pour servir à la cuisine ; mais je vois bien que la friponne ne s'en tient pas là. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  122. Si je suis brave, ce n'est pas à vos dépens. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  123. Une fille ne gagne pas tant d'argent à ne faire que des lits dans une hôtellerie. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  124. Ce beau monsieur-là est bien plaisant d'amener des filles dans notre hôtellerie pour le servir, et emporter tous nos profits ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  125. Comment donc ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  126. Oui, voilà encore une belle parenté ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  127. Il ne passe point de monsieur dans l'hôtellerie dont je ne puisse bien être de même la soeur, si je voulais m'en donner la peine. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  128. Oh bien, monsieur, je ne veux point souffrir qu'une autre prenne ma place. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  129. Claudine a raison, monsieur, cela ne se fait point : quand il y a une servante dans une hôtellerie, on ne doit se servir que d'elle ; et d'ailleurs Claudine est très habile in utroque, c'est-à-dire qu'elle fait aussi bien une chambre qu'un ragoût. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  130. Je conviens, monsieur, qu'elle sait parfaitement bien son métier de fille ; mais c'est une petite imprudente, qui sert au premier venu ce qu'elle ne devrait servir qu'à moi seul. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  131. Assurément, elle a tort. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  132. Je vous dirai cependant, monsieur, qu'on est ici fort exact à donner aux compagnies ce qu'elles demandent. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  133. Tout à l'heure encore, je n'ai pas voulu donner au coche un chat de garenne que le messager avait retenu. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  134. D'où vient donc, coquine, que vous faites de ces impertinences-là ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  135. Dites monsieur, que vous n'avez pas voulu vous contenter de ce que vous aviez choisi vous-même, et que l'appétit vous est venu en mangeant. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  136. Pardi, monsieur, si vous êtes si fantasque, il n'y a pas moyen de vous contenter. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  137. Voyez, je vous prie, si ce n'est pas assez pour le repas d'un homme seul je lui présente une jeune poularde, tendre, grasse jusqu'au bout des ongles, comme moi ; monsieur n'est pas content ; il en veut encore une autre. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  138. Il ne faudrait encore qu'un homme comme vous pour mettre toute une rôtisserie à feu et à sang. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  139. Je me serais fort bien contenté de la poularde ; je ne suis pas si grand mangeur : mais je sais qu'on la présente à tout venant ; on l'a déjà servie sur vingt tables différentes, et je ne suis pas homme à m'accommoder du reste de toute la terre. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  140. Parbleu, monsieur, prenez garde s'il vous plaît à ce que vous dites ; je ne m'entends point à ce tripotage-là, et l'on ne sert chez moi que des viandes neuves. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  141. Ne voyez-vous pas bien que monsieur ne sait ce qu'il dit ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  142. Jamais personne n'y avait touché ; c'était une volaille délicate que j'avais pris soin d'élever, et que je nourrissais à la brochette avec autant de plaisir que si c'eût été moi-même ; elle faisait envie de manger à tous ceux qui la voyaient, et cependant je ne la gardais qu'à monsieur. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  143. Allez, cela est bien vilain de reconnaître si mal les soins que l'on prend pour vous. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  144. Bardé, lardé, cela m'est indifférent : quand les choses sont bonnes, je les trouve telles ; je ne m'y laisse point attraper. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  145. Il faudrait, pour satisfaire le goût de monsieur, lui servir quelque vieille volaille racornie, quelque doyenne de basse-cour. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  146. Ce serait là le moyen de gagner ses bonnes grâces. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  147. Parbleu, monsieur, si vous aimez la viande coriace, nous vous en donnerons tout votre soûl. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  148. J'ai une oie qui me sert depuis trois mois à faire mes soupes ; vous en aurez la fleur. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  149. Il n'y a point encore eu de postillon assez hardi pour mettre la dent dessus. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  150. Voilà justement l'affaire de monsieur. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  151. Allons, taisez-vous ; que je ne vous entende pas souffler ; rentrez là-dedans. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  152. Je vois bien que monsieur ne se connaît pas mieux en servantes qu'en poulardes : on vous mettra une aile de boeuf sur le gril. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  153. Rien n'est plus vrai que ce que je vous dis. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  154. Ce gentilhomme, appelé Cinthio, qui vous aimait, qui vous jurait un amour éternel, m'en a dit tout autant ; et sans la connaissance que vous me donnez de son infidélité, je ne sais si dans la suite il ne m'aurait pas un peu écorné le coeur. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  155. Non, je ne croirai jamais que les hommes soient infidèles jusqu'à ce point-là. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  156. C'est bien la plus maudite engeance !... (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  157. Je ne sais qu'un secret pour n'en être point trompée ; c'est de les tromper les premiers. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  158. Après m'avoir engagé son coeur par une promesse de mariage ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  159. Il fut obligé de me quitter pour un duel, où il tua son ennemi : l'amour me fit voler sur ses pas ; je suis venue à Paris ; je me suis déguisée sous l'habit d'une servante ; et sous le nom de Claudine, je suis venue demeurer dans cette hôtellerie, où je l'ai revu avec plaisir, dans le temps que je devais l'oublier pour toujours ; mais, hélas ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  160. Le moyen, quand on a le coeur sincère et qu'on n'est pas née scélérate ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  161. Il faut le devenir ; on ne fait rien en amour autrement ; et la vertu la plus nécessaire à une femme, dans le siècle où nous sommes, c'est un peu d'inconstance, assaisonnée quelquefois de perfidie. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  162. D'où vient donc, mademoiselle, qu'avec toutes vos connaissances, vous vous êtes laissé attraper comme une novice ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  163. J'avoue que je n'en ai pas été quitte à meilleur marché que vous ; mais je ne savais pas ce que je sais, et avec le temps je me rendrai encore plus connaisseuse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  164. C'est-à-dire, mademoiselle, que vous ne prétendez pas en demeurer là, et que vous ne voulez pas être fille à une aventure. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  165. Cinthio est venu à la traverse pour prendre parti sous mes étendards ; et, si vous ne me l'aviez fait connaître pour un déserteur de profession, je ne sais si je ne l'aurais pas enrôlé. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  166. En temps de guerre on prend ce que l'on trouve. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  167. Quel bonheur, mademoiselle, de pouvoir changer si facilement ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  168. Et que je serais contente si, pour me venger de mon infidèle, je le pouvais haïr autant qu'il le mérite ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  169. Ne vous embarrassez point de votre vengeance ; remettez seulement vos intérêts entre les mains d'une coquette de ce pays-ci, dont il sera amoureux ; je vous promets qu'elle le fera aller bon train. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  170. Non, non ; je ne me croirais pas assez vengée de m'en rapporter à une autre. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  171. Si une femme l'aimait une fois, elle l'aimerait toujours ; et puis on n'est peut-être pas sujette au changement en France. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  172. Il ne vient point d'étranger qui n'en emporte sa provision. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  173. Je vous dis que c'est le magasin de toute l'inconstance qui se débite en Europe. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  174. Quand un Français dit qu'il vous aime, il vous le dit d'une manière si tendre et si passionnée, qu'il semble que son amour doive durer pour le moins vingt ans après sa mort. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  175. Les femmes seraient trop heureuses si leur tendresse durait seulement vingt jours. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  176. Vous me surprenez. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  177. Aujourd'hui ils portent des perruques qui leur pendent jusqu'aux genoux, demain ils en auront d'autres qui ne leur passeront pas les oreilles ; ils sont quelquefois habillés le plus simplement du monde, deux jours après il faut les chercher dans leurs dentelles et leurs rubans ; tantôt ils sont serrés dans leurs habits et empaquetés comme des momies, et quelquefois une pièce de drap ne suffit pas pour leur faire une manche d'été : enfin, tout est girouette dans un Français, depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  178. Cela peut être vrai pour l'ajustement et la manière de s'habiller ; mais pour le coeur, je ne les crois point si sujets au changement. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  179. Voulez-vous que je vous représente un Français qui veut surprendre la tendresse d'une jeune personne ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  180. Premièrement, je vous avertis que la braise n'est pas plus chaude. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  181. Ah, ma chère enfant ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  182. Les dieux ont-ils jamais rien fait d'aussi parfait que vous ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  183. Vous ne me dites rien. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  184. Là-dessus, on pleure, on laisse échapper un gros soupir, on se donne de la tête contre un coin de la cheminée : il n'en faut pas davantage ; voilà une femme dans la nasse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  185. Mais vraiment, je le crois bien ; un homme qui s'explique de la sorte est fort aimable. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  186. Le moyen de résister à ces gros soupirs-là ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  187. J'avoue qu'il ne m'en faudrait pas beaucoup d'un pareil style pour me persuader. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  188. Je sens que j'ai le coeur français. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  189. Je m'en vais vous faire voir un Français sur son retour de tendresse, c'est-à-dire huit jours après la déclaration. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  190. Ma foi, madame, je suis bien las de vos manières ; je ne viens pas chez vous que je n'aie quelque sujet de chagrin. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  191. Vous y venez si peu, monsieur, qu'au moins n'en avez-vous pas souvent. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  192. Quand vous commenciez à m'aimer, vous n'en aviez point d'autres que votre amour. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  193. Est-ce là la tendresse que vous m'aviez jurée ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  194. Vous m'aviez tant fait de serments que votre passion serait éternelle ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  195. Madame, point d'injures : vous pouvez mettre écriteau à votre porte ; prendra le bail de votre coeur qui voudra ; adieu... (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  196. Mais vraiment, mademoiselle, si cela est comme vous voulez me le faire entendre, un Français pour une femme n'est pas une meilleure pratique qu'un Italien. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  197. Encore pis. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  198. Croyez-moi, tenons-nous comme nous sommes. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  199. Adieu, mademoiselle ; je vous promets que je n'entreprendrai rien sur le coeur de votre amant, et qu'à mon égard vous n'aurez point sujet de crier au voleur. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  200. Viens çà, Pierrot ; je vais à une grande expédition ; je te laisse maître en ma place : prends bien garde à la maison, et surtout qu'il ne se passe rien autour de nos filles. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  201. Mordi, laissez-moi faire ; si elles me trompent, elles seront bien fines. (Acte 2, scène 4, PIERROT)
  202. Une fille est comme une bouteille d'eau de la reine d'Hongrie ; elle perd sa vertu si elle n'est bien bouchée : c'est ce qui fait qu'un grand philosophe dit qu'il faut qu'une femme demeure enfermée dans son logis. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  203. Il n'a pas parlé des filles ; car elles étaient fort clairsemées dans son temps, aussi bien que dans celui-ci. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  204. Comment, si je suis fou ! (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  205. Vous ne savez donc pas que je suis présentement votre pédagogue ? (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  206. Me voilà vraiment dans de bonnes mains ! (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  207. Je suis à votre égard ce que la bride est à un cheval, un bâton à un aveugle, un gouvernail à un vaisseau : je suis la bride, et vous êtes le cheval ; je suis le bâton, vous êtes l'aveugle ; vous êtes le vaisseau, et moi le gouvernail : mais un gouvernail avec lequel j'empêcherai que vous n'alliez donner contre les rochers des garçons ; car ce monde est une mer, et les vents soufflent dans cette eau qui bouillonne... ce qui fait que la raison dans... cette mer... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  208. Enfin, Arlequin m'a laissé dans la maison pour vous garder. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  209. Je te suis trop obligée ; je t'assure que je me garderai bien moi-même. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  210. Nenni pas, s'il vous plaît ; je ne me fie plus aux filles ; j'y ai été attrapé. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  211. Comment donc ? (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  212. Est-ce que tu entretiens commerce avec des filles ? (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  213. Quand on est fait d'une certaine manière, on en a à revendre de cette marchandise-là. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  214. Moi, il ne faut pas me le dire deux fois : 0je ne fus ni fou ni étourdi ; je m'approchai ; elle me donna un grand soufflet : depuis ce temps-là, j'ai bien juré que je n'en baiserais plus. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  215. C'est très bien fait, Pierrot. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  216. Crois-moi, ne te joue point aux filles ; il n'y a rien à gagner. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  217. Si ce n'est quelque bon soufflet à la rencontre. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  218. Allons, point tant de raisonnements ; rentrez, et marchez devant moi. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  219. Hé bien, mes enfants ! (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  220. Ce drôle-là a tué plus de poulets à lui seul que toute ma compagnie ensemble. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  221. En voilà assez d'échinés. (Acte 3, scène 1, PASQUARIEL)
  222. Il me semble qu'il a assez l'encolure d'un dénicheur de filles. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  223. Qu'en avez-vous affaire ? (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  224. Comment, ventrebleu ! (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  225. Ce que j'en ai affaire ! (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  226. Si vous étiez Cinthio, ou que vous fussiez seulement cousin, petit-cousin, arrière-petit-cousin de Cinthio, par la ventrebleu ! (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  227. Ne pourrait-on pas savoir, monsieur, en quoi ce Cinthio vous a tant offensé ? (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  228. Car vous me paraissez bien échauffé. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  229. Assurément, je le suis. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  230. C'est un drôle qui va de fille en fille avec une promesse de mariage circulaire. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  231. Parbleu, si je vous rencontre, mon petit ami, vous tiendrez la parole que vous avez donnée à ma soeur, ou vous aurez les étrivières de ma façon. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  232. Cela est bien scélérat de tromper comme cela les filles. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  233. Je voudrais le tenir pour cent pistoles. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  234. Touchez là, monsieur ; je veux vous faire gagner plus de cinquante louis aujourd'hui : donnez-m'en trente, je vous dirai où est Cinthio ; et, afin de ne pas vous tenir plus longtemps en suspens, c'est moi. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  235. Par ma foi, j'en suis bien aise. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  236. Parbleu, nous verrons : vous la prendrez, quand je devrais vous la faire avaler dans une médecine. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  237. Laissez-moi faire seulement. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  238. Je me moque de vos menaces ; et pour vous faire voir que je ne vous crains, ni vous ni vos spadassins, je vais vous attendre dans cette hôtellerie-là. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  239. Comme il faut sortir vigoureusement d'une affaire. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
  240. Gouten tag, minher, gouten tag. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  241. Gouten tag, gouten tag. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  242. Sti ville, monsir, l'être à vous bien obligir. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  243. Enseignir moi, s'il plaît à monsir, où être un logiment pour mon chevau et pour mon personne. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  244. Tenez, monsieur, en voilà une où vous serez parfaitement bien ; il y a de bon vin, et vous y trouverez aussi de jolies filles ; et voilà ce que vous demandez ; j'entends à demi-mot. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  245. Moi demandre excuse à monsir, si ne parlir pas bon français ; mais mon pensir l'être beaucoup plus meilleur que mon parlemente. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  246. Adieu, monsir ; moi remercir vous bien fortiment. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  247. Venez çà, monsieur ; ne peut-on pas savoir de quel pays vous êtes, et le sujet qui vous amène en cette ville ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  248. Moi l'être un gentilhomme hollandais de Hollande, qui vient dans sti ville pour affaire de grand importement. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  249. Vous verrez que c'est un de ces sots qui se sont laissé prendre. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  250. Comment, diable, monsieur ! (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  251. Que venez-vous faire ici ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  252. Apparemment que vous avez un bon passeport ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  253. Moi venir expressément de mon pays, de la part des États, pour demandir à la cour qu'on me rendre mon vaisseau, que sti tiaple de Français avoir fait griller comme du poudin. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  254. Il fallait crier au feu ; quelqu'un serait venu à votre secours. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  255. N'être pas là tout, monsii. ; moi avoir encore perdu mon jambe, qui sti enragés m'ont emporté dans la bataille. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  256. Ma foi, monsieur, si vous voulez que je vous parle sincèrement, je ne crois pas qu'on vous rende votre jambe. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  257. S'il fallait, à la cour, que l'on rendît à vos confrères les Hollandais tous les membres que les Français leur ont emportés cette année, il n'y aurait plus ni bras ni jambes en France. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  258. Mais, monsir, comment faire pour servir ? (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  259. Moi ne rire point, monsir ; moi l'être un gentilhomme. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  260. Das, dick... Mon petit ami, vous sentez votre vieux rossé. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  261. Je vous renverrai à Fleurus. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  262. Allons, dépêchons-nous vite ; tire ton écritoire, ferme la porte, chasse les chiens, prends une chaise, mouche ton nez, laisse de la marge, écris gros. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  263. Monsieur, faisons vite, s'il vous plaît ; j'ai un cours de ventre, comme vous savez, qui ne me permet pas d'être longtemps en place. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  264. J'aurai bientôt fait. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  265. Comment vous appelez-vous ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  266. Dites-moi votre nom, surnom, qualité, patrie, rue, paroisse, logis, appartement. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  267. Avez-vous un père, une mère, des frères, des parents ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  268. D'où venez-vous ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  269. Et vous, mon petit gentillâtre, vous ne voulez donc pas répondre ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  270. Écrivez qu'il n'a rien dit. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  271. Comment voulez-vous, monsieur, que... (Acte 3, scène 5, CINTHIO)
  272. Vous croyez donc, mon ami, que j'ai le loisir d'entendre toutes vos sottises ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  273. Savez-vous que j'ai encore aujourd'hui trois fripons à faire pendre sans vous ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  274. Voilà qui est bien noir ! (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  275. Si toutes les filles d'aujourd'hui avoient autant de maris que de promesses de mariage, elles en auraient assez pour en changer par saison. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  276. Qu'on aille dire à la chaîne qu'elle ne parte pas encore ; j'ai ici de quoi l'augmenter. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  277. Mais cela est-il bien vrai ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  278. Tenez, monsieur, la voilà ; lisez. (Acte 3, scène 5, ISABELLE)
  279. Me voilà bien embarrassé ; j'ai depuis deux jours un rhumatisme sur l'oreille, qui fait que je ne vois goutte. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  280. Tenez, lisez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  281. Moi, monsieur, vous savez bien que je n'ai jamais appris qu'à écrire. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
  282. Lequel a déclaré ne savoir ni lire, ni écrire, attendu sa qualité de juge. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
  283. En voilà assez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  284. J'ai quitté mes parents pour le suivre ; je me suis exposée à mille hasards ; car vous savez les risques que court une fille toute seule. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  285. Elle en court encore plus quand elle est avec quelqu'un. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  286. Il est venu loger dans cette hôtellerie, pour son malheur et pour le mien ; car, enfin, il est bien rude de voir pendre ce que l'on a si tendrement aimé... (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  287. Que la corde soit bien grosse ; voilà un fripon qui a la vie dure. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  288. Non, non ; je prétends faire ma charge avec honneur... (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  289. Je me servirai de cet argent-là pour vous faire une pompe funèbre. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  290. Il a raison ; il vaut encore mieux être marié que pendu. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
  291. Je renonce à ta tendresse ; je ne veux point d'un coeur aussi corrompu que le tien. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  292. Écoutez, mademoiselle ; quand il sera sec, vous n'en serez pas plus grasse ; vous l'êtes assez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN, PIERROT)
  293. Pourvu qu'il paye grassement mes écritures, je vous conseille de lui pardonner ; il est assez puni d'avoir une femme. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
  294. Je devrais vous haïr, et je sens que je ne le puis. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  295. Présentement que l'affaire est toisée, il est bon de vous dire que le commissaire et le clerc sont deux fripons qui ont pris cet habit-là pour vous faire marier ensemble. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  296. Ma foi, voilà une procédure qui m'a donné bien de la peine ! (Acte 3, scène 6, PIERROT)
  297. Monsieur, en faveur de cette noce-là il faut se divertir. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  298. Allons, qu'on fasse venir les violons, et qu'on appelle toute l'auberge. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  299. Suivons, suivons l'amour ; laissons-nous enflammer. v.1 (Acte 3, scène 7, LE CHOEUR)
  300. Pour l'hymen qu'on destine, v.3 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  301. Suivons, suivons l'amour ; laissons-nous enflammer. v.10 (Acte 3, scène 7, LE CHOEUR)
  302. L'hymen est charmant ; v.13 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  303. Et rien n'est tant à craindre v.16 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  304. Suivons, suivons l'amour ; laissons-nous enflammer. v.18 (Acte 3, scène 7, LE CHOEUR)
  305. Suivons, suivons l'amour ; laissons-nous enflammer. v.26 (Acte 3, scène 7, LE CHOEUR)

LE BAL (1696)

  1. Il fait, ma foi, bien chaud, j'ai bien eu de la peine, v.3 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  2. Je suis venu sans boire. Ouf ! Je suis hors d'haleine. v.4 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  3. Je risque dans ce lieu bien plus qu'au cabaret. v.5 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  4. Fort incivilement. D'ailleurs aussi mon maître v.8 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  5. Est un autre brutal qui n'entend point raison, v.9 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  6. Entre ces deux écueils, je le donne au plus sage v.11 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  7. Ah ! Qu'un grand philosophe a dit bien à propos v.14 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  8. Qu'un bon valet était une pièce bien rare ! v.15 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  9. Je veux, en tapinois, faire la guerre à l'oeil. v.17 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  10. Déjà la nuit commence à s'habiller de deuil. v.18 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  11. Lisette dans ces lieux m'a promis de se rendre v.19 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  12. Pour savoir quel parti mon maître pourra prendre. v.20 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  13. Mais j'entrevois quelqu'un. v.21 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  14. Vous venez à propos. v.22 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  15. Ils me prennent sans doute ici pour l'économe : v.23 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  16. De râles de genêt, six lapins de garenne ; v.28 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-GRASSET)
  17. Sentez plutôt. Quel baume ! v.32 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR GRASSET)
  18. Bourgeois, et né natif en plaine Saint-Denis. v.34 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  19. Oh ! Je connais vos tours. Qu'il vous souvienne v.35 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  20. Qu'un jour, étant chez vous, par malheur la garenne v.36 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  21. S'armer habilement de broches, de bâtons, v.38 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  22. Et qu'ils eurent grand-peine, avec cet air si brave, v.39 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  23. Et dans votre grenier, tous les lapins fuyards, v.41 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  24. Qu'on voyait dans la rue abondamment épars. v.42 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  25. Donnez-moi deux perdrix : allez coucher en broche, v.44 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  26. Et souvenez-vous bien, vous et vos galopins, v.45 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  27. De mieux, à l'avenir, enfermer vos lapins. v.46 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  28. Entrez. Pour vous, monsieur, qui portez la vendange, v.47 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  29. Vous ne valez pas mieux ; on ne perd rien au change. v.48 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  30. Il faut être en ce monde, ou marchand, ou larron. v.50 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-LA-MONTAGNE)
  31. On est bien tous les deux. Voyons. Sans vous déplaire, v.51 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  32. Cette bouteille-ci me parait bien légère, v.52 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  33. Vous me rendez confus. v.54 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-LA-MONTAGNE)
  34. Ni des ingrédients dont votre art nous désole, v.56 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  35. Je vous y tiens : voilà, monsieur le gargotier, v.57 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  36. Ah, monsieur le pendard ! v.59 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  37. De l'or et des grandeurs, je n'en demande pas : v.61 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  38. Juste ciel ! Seulement fais qu'avant mon trépas v.62 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  39. Ornant superbement trois bois patibulaires, v.64 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  40. Pour prix de leurs larcins, en public élevés, v.65 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  41. Voilà les voeux ardents que fait pour votre avance v.67 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  42. Le plus sincère ami que vous ayez en France. v.68 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  43. Adieu.... Laissez-m'en deux, comme un échantillon, v.69 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  44. Et dit en quelque endroit que, pour se bien porter, v.73 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  45. Si toute cette troupe, et celui qui l'envoie, v.75 (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  46. Etait au fond de l'eau, que j'en aurais de joie ! v.76 (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  47. Voilà la noce en branle. v.77 (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  48. En t'attendant, tu vois que je me désennuie. v.79 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  49. Monsieur de Sotencour, pour nous faire enrager, v.81 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  50. De Falaise à Paris vient par le messager : v.82 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  51. Que j'en ai de chagrin ! v.85 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  52. Autant vaut, mon enfant. v.88 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  53. Morbleu ! J'entre en furie, v.88 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  54. En songeant qu'un morceau si tendre et si friand v.89 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  55. Et de Falaise encor. Dis-moi : monsieur Géronte, v.91 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  56. Ce Normand a, dit-il, plus de cent mille écus ; v.93 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  57. Autant en fait Valère. v.96 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  58. À table, aux Entonnoirs, dans un grand embarras, v.97 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  59. Le pauvre diable attend sa vie ou son trépas. v.98 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  60. Il peut donc maintenant, puisque l'affaire est faite, v.99 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  61. Mais toi, ne peux-tu rien tirer de ta boutique ? v.104 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  62. Moi. J'attends même encore un mien parent Gascon, v.106 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  63. À qui j'ai fait le bec, et qui, ce soir, s'engage v.107 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  64. À venir traverser ce maudit mariage. v.108 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  65. Je le verrai, nous agirons ensemble. v.112 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  66. Si Valère pouvait seulement se montrer... v.113 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  67. Bon ! Cela ne se peut. Comment pouvoir entrer ? v.114 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  68. Ne sais-tu pas encor quelle adresse est la nôtre ? v.116 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  69. J'en saurai profiter. v.118 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  70. Aide-nous seulement. v.119 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  71. Dont on sort rarement, a voulu se munir, v.125 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  72. J'ai fait voeu d'être veuve, et je le veux tenir. v.126 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  73. On a plusieurs amants, sans que personne en glose ; v.128 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  74. Et l'on fait justement, du soir jusqu'au matin, v.129 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  75. Et ce dernier enfin a trop peu de montant. v.138 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  76. Ainsi, sans rien choisir, de tout on fait épreuve : v.139 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  77. Et voilà justement comme fait une veuve. v.140 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  78. Un époux est un vin difficile à revendre ; v.143 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  79. On peut en essayer, niais il n'en faut point prendre. v.144 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  80. Se distiller en pleurs, et s'enivrer peut-être. v.148 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  81. Je veux à les servir m'employer tout entière : v.151 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  82. Arrive avec fracas monsieur de Sotencour : v.154 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
  83. Monsieur de Sotencour ! v.155 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
  84. Avec son Sotencour : voyez comme elle gueule ! v.156 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  85. Je l'ai vu de mes yeux descendre de cheval : v.157 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
  86. Qu'on avait mis en croupe ainsi qu'une valise. v.159 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
  87. Faites de votre pis, cachez-la mieux encore : v.164 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  88. Mais bientôt, malgré vous, je verrai ses appas v.165 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  89. Cap à cap, sans réserve, et du haut jusqu'en bas. v.166 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  90. Tu me vois en ces lieux, en propre original, v.169 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  91. Pour serrer le doux noeud du lien conjugal. v.170 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  92. Le bourreau t'en fasse un qui te serre la gorge, v.171 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  93. En songeant... Ah, cousin ! Qu'elle a le nez joli, v.173 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  94. Sur son blanc estomac deux globes se soutiennent, v.175 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  95. Qui pourtant, à l'envi, sans cesse vont et viennent, v.176 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  96. Et qui font que d'amour je suis presque enragé. v.177 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  97. L'eau m'en vient à la bouche. v.179 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  98. Oh ! Non, elle est bai clair ; ses cheveux sont en onde, v.180 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  99. Et fort négligemment flottent à gros bouillons v.181 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  100. La belle de me voir est bien impatiente ? v.184 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  101. Comment se porte-t-elle ? v.185 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  102. Dans peu nous calmerons le tourment qu'elle endure, v.187 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  103. Hé bien, cousin, tu vois : v.189 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  104. Tout est feinte, monsieur, souvent dans une fille : v.191 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  105. Ne vous y fiez pas. L'une parait gentille, v.192 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  106. Cette autre de ses dents bâtit l'architecture ; v.196 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  107. Des charmes apparents on est souvent la dupe, v.199 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  108. Et rien n'est si trompeur qu'animal porte-jupe. v.200 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  109. Oh ! Cousin, n'allez pas acheter chat en poche. v.204 (Acte 1, scène 7, MATHIEU-CROCHET)
  110. Ah ! Serviteur, mon gendre : v.211 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
  111. Soyez le bien venu. Vous vous faites attendre : v.212 (Acte 1, scène 8, G?RONTE)
  112. Votre retardement allait m'inquiéter, v.213 (Acte 1, scène 8, G?RONTE)
  113. Et ma fille était prête à s'impatienter. v.214 (Acte 1, scène 8, G?RONTE)
  114. J'en suis persuadé. Mais vous aussi, madame, v.215 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  115. D'impatients transports vous bourrelez mon âme : v.216 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  116. Par avance à vos pieds vient apporter son bois. v.218 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  117. Vous ne répondez rien, doux objet de mon cour ? v.222 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  118. Je vous entends, beau-père ; v.223 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  119. Justement. v.225 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
  120. Nous ne ferons plus qu'un, vous et moi Sotencour. v.226 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  121. Moi bien fait, vous gentille, v.227 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  122. Beau-père, on dit bien vrai ; quant à moi, j'y souscris : v.229 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  123. On a beau faire, il faut prendre femme à Paris, v.230 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  124. L'on y taille en plein drap. Nos femmes de province v.231 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  125. L'entretien discourtois, et l'accueil loup-garou : v.234 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  126. Mais il est diablement sujet à caution. v.237 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  127. On dit qu'à forligner il a propension. v.238 (Acte 1, scène 8, MATHIEU-CROCHET)
  128. Mon front, entre vos mains, ne court point de hasard. v.242 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  129. Mettre inhumainement mon honneur au pillage ? v.244 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  130. Me réserveriez-vous pour un tel accident ? v.245 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  131. Qui ne dit mot, consent, v.246 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  132. La future n'a point encor dit de sottise ; v.248 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  133. Peut-être qu'elle en pense : en tout cas, j'avertis v.249 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  134. Qu'elle a l'entretien maigre, et le discours concis. v.250 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  135. Oui, quand par retenue v.251 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  136. Des filles de Falaise. Il étudie en droit, v.257 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  137. On a soif volontiers, quand on vient de Falaise. v.264 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  138. Allons, c'est fort bien dit. v.265 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
  139. Je me sens là-dedans un terrible appétit. v.266 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  140. De pouvoir dignement faire figure à table. v.268 (Acte 1, scène 8, MATHIEU-CROCHET)
  141. Vraiment, c'est fort bien fait. v.269 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  142. Bientôt nous reviendrons, ô beauté, mon idole ! v.271 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  143. Lisette, que dis-tu de monsieur Sotencour ? v.274 (Acte 1, scène 9, LÉONORE)
  144. Et de Mathieu Crochet, qu'en dites-vous, madame ? v.275 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  145. De monsieur Sotencour je deviendrais la femme ! v.276 (Acte 1, scène 9, LÉONORE)
  146. À ne t'en point mentir, je suis au désespoir. v.277 (Acte 1, scène 9, L?ONORE)
  147. Oh ! Qu'il ne vous tient pas encore en son pouvoir ! v.278 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  148. Vous voyez un Breton prêt à vous rendre hommage. v.296 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  149. Tant mieux pour vous, monsieur, j'en ai l'âme ravie ; v.299 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  150. Mais nous ne sommes point en goût de symphonie : v.300 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  151. Laissez-nous, s'il vous plaît, avec tous nos ennuis. v.301 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  152. Je le crois bien. v.303 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  153. Je suis un musicien rare, v.303 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  154. Pour la profession, voilà de grands talents ! v.305 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  155. Voudriez-vous m'entendre ? v.306 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  156. Tant mieux : je vous voudrais encor désespérée. v.308 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  157. Elle n'en est pas loin. v.309 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  158. Pour des Bretons, Monsieur, gardez votre science. v.311 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
  159. Ne le renvoyons pas, puisqu'il vient de si loin. v.314 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  160. Bans un concert d'hymen, lorsque quelqu'un discorde, v.315 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  161. À faire ici chanter deux amants en partie. v.320 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  162. J'ai dans cet étui-là, madame, un instrument v.321 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  163. Qui calmerait bientôt vos maux, assurément : v.322 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  164. Il est doux, amoureux, insinuant et tendre, v.323 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  165. Ne peut-on point l'entendre ? v.324 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  166. Ah ! Laisse-moi, Lisette, en proie à mon malheur. v.325 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
  167. Madame, un air ou deux calment bien la douleur. v.326 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  168. Écoutez-le, de grâce, un seul moment sans peine ; v.327 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  169. Et, s'il ne vous plaît pas, soudain je le rengaine. v.328 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  170. Cet instrument, madame, est-il de votre goût ? v.329 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  171. Et puisqu'on rompt les noeuds qui nous avaient liés, v.333 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  172. Je viens, dans ce moment, expirer à vos pieds. v.334 (Acte 1, scène 10, VAL?RE)
  173. Mon père va venir. v.336 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
  174. Je ferai sentinelle. v.336 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  175. Mais que prétendez-vous ? v.337 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
  176. Pour détourner l'hymen qu'on veut faire en ce jour, v.338 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  177. Souffrez que cet amour soit en droit de tout faire. v.339 (Acte 1, scène 10, VAL?RE)
  178. Rentrez vite. v.341 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  179. Non, non, ce n'est pas encor lui. v.341 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  180. Démonterait, morbleu, l'instrument pour toujours. v.345 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  181. Ce soir, pendant le bal, livrez-vous à sa suite. v.348 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  182. Mais comment ? v.349 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
  183. De Merlin vous saurez pleinement... v.349 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  184. Vite, vite, rentrez, monsieur de l'instrument. v.350 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  185. Ah, Merlin ! Pour le coup, c'est Géronte en personne. v.351 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  186. Et rentrez. v.352 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  187. Oui, vous êtes un sot en bécarre, en bémol, v.353 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  188. C'est un musicien bas-breton ! v.357 (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  189. Je crois dès à présent sa musique enragée : v.359 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  190. Jamais, de son pays, il n'est venu d'Orphée ; v.360 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  191. Doucement. v.363 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  192. Tenez-moi, je vous prie ; v.363 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  193. Si je te tiens, je veux être empalé. v.365 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  194. Comment ! Me soutenir que mon air est pillé ! v.366 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  195. Dans Quimper-Corentin. v.369 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  196. Entre nous, v.369 (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  197. Ce n'est pas un grand mal ; on ne voit point, en France, v.371 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  198. Punir de ces larcins la fréquente licence. v.372 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  199. Mais que vois-je ? Est-ce à vous ce petit instrument ? v.373 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  200. J'en joue élégamment ; v.374 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  201. Je veux que l'on m'entende un moment préluder. v.377 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  202. Tous ces gens-là sont faits de croche et d'anicroche. v.380 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  203. Vous en jouerez fort mal ; v.381 (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  204. L'instrument est breton. v.382 (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  205. Vous l'entendrez tantôt, je me ferai connaître ; v.383 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  206. Je cherche à me produire aux yeux d'habiles gens. v.386 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  207. Vous venez tout à point. Ce soir je me marie ; v.387 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  208. Volontiers : j'y prétends figurer comme il faut. v.389 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  209. Faites toujours porter votre instrument là-haut. v.390 (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  210. Allons, venez, monsieur ; je m'en vais vous conduire : v.391 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  211. Ma foi, nous et l'étui, l'avons bien échappé. v.394 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  212. Hé bien, que dirons-nous ? Où donc est ta maîtresse ? v.395 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  213. Et qui ne laissent pas d'avoir en leur maison v.401 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
  214. Un grand nombre d'enfants qui portent tous leur nom. v.402 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
  215. On m'a dit seulement que sa langue babille. v.407 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  216. Oui !... Dis à Léonore, en termes clairs et nets, v.409 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  217. Vois-tu, je ne suis pas de ces gens débonnaires v.411 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  218. Qui font valoir leur femme en des mains étrangères ; v.412 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  219. Lèvent, à petit bruit, un impôt sur leur front. v.414 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  220. Encore un autre nom. v.420 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  221. Jé viens vous montrer l'aise v.420 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  222. Nul ne prend plus qué moi dé part à cette affaire. v.423 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  223. Pourquoi ? Cetté démande est bonne ! Maintenant v.425 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  224. Qué vous allez rouler déssus l'argent comptant, v.426 (Acte 1, scène 13, LE BARON)
  225. Nulle difficulté de bien payer vos dettes. v.428 (Acte 1, scène 13, LE BARON)
  226. Grâces au ciel, monsieur, je ne dois nul argent, v.429 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  227. Et vais le front levé sans crainte du sergent. v.430 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  228. Cinq cents louis pour vous, c'est une vagatelle ; v.431 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  229. Sotencour est mon nom, me connaissez-vous bien ? v.433 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  230. Sotencour... Justement, c'est pour vous qué jé vien. v.434 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  231. C'est cet argent, monsieur, qué sur votre parole, v.436 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  232. Pour connaître vos gens, mettez mieux vos lunettes, v.439 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  233. Comment ! Chétif mortel, vous déniez vos dettes ? v.440 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  234. Gentilhomme gascon, plus noblé qué personne, v.443 (Acte 1, scène 13, LE BARON)
  235. D'uné race ancienne autant qué la Garonne ? v.444 (Acte 1, scène 13, LE BARON)
  236. Quand elle le serait encor plus que le Nil, v.445 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  237. Né vous souvient-il plus dé cet hiver dernier, v.449 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  238. Quand notré régiment fut chez vous en quartier, v.450 (Acte 1, scène 13, LE BARON)
  239. Ah ! Jé vous en ferai souvenir, s'il vous plaît ; v.454 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  240. Monsieur est honnête homme, et qui vous paiera bien. v.457 (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  241. Moi, payer ! Hé pourquoi, si je ne lui dois rien ? v.458 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  242. Vous né mé dévez rien ? v.459 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  243. À venir, sans sujet, demander une somme. v.460 (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  244. Un Gascon ! Un Gascon a grand besoin d'argent ; v.461 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  245. Et pourvu qu'il en trouve, il n'importe comment. v.462 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  246. Et, quoiqu'il mange peu, si faut-il bien qu'il mange. v.464 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  247. Donnez-lui seulement deux ou trois cents écus. v.465 (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  248. J'aimerais mieux cent fois vous voir tous deux pendus. v.466 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  249. Jé veux dévénir nul, ou j'en aurai raison. v.473 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  250. Un Gascon affamé qui cherche à vous surprendre. v.475 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
  251. Ah ! Tout beau, c'est mon gendre. v.476 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
  252. Cet homme est votre gendre ? v.477 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  253. Il doit encore au jeu plus dé vingt millé francs. v.482 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  254. Que je ne comprends rien à ce maudit jargon, v.485 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
  255. Vous mé gâtez ici bien du temps en paroles. v.487 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  256. Monsieur, jé veux toucher mes quatré cents pistoles, v.488 (Acte 1, scène 14, LE BARON)
  257. Si mon gendre vous doit... v.490 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
  258. Je prétends v.490 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
  259. Je marie aujourd'hui ma fille, et retiendrai v.493 (Acte 1, scène 14, G?RONTE)
  260. Sur sa dot cet argent, que je vous donnerai. v.494 (Acte 1, scène 14, G?RONTE)
  261. Adieu. Jusqu'à déinain, Mais souvenez-vous-en, v.497 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  262. Qué j'ai votré parole, et grand besoin d'argent. v.498 (Acte 1, scène 14, LE BARON)
  263. Mais pourquoi viendrait-il... v.501 (Acte 1, scène 15, GÉRONTE)
  264. Entre nous, v.502 (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  265. Vous avez d'un joueur acquis la renommée ; v.503 (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  266. Ma prétendue aussi n'est pas mal, sur ma foi ; v.509 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
  267. Mon cour, en la voyant, me dit je ne sais quoi. v.510 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
  268. Oh ! Qu'il ne vous dit pas tout ce que le mien pense ! v.511 (Acte 1, scène 16, LÉONORE)
  269. Le cousin est masqué mieux que personne en France ; v.512 (Acte 1, scène 16, LISETTE)
  270. Le prendront pour l'Amour en propre original. v.514 (Acte 1, scène 16, LISETTE)
  271. Monsieur, je viens vous dire v.519 (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  272. Je vais plus qu'on ne veut, quand on m'a mis en danse. v.523 (Acte 1, scène 17, MATHIEU-CROCHET)
  273. Allons, ferme, monsieur, il est temps qu'on commence. v.524 (Acte 1, scène 17, MATHIEU CROCHET)
  274. C'est à nous de danser et d'entamer le bal. v.525 (Acte 1, scène 17, MATHIEU CROCHET)
  275. Qu'en dites-vous, beau-père ? Eh ! Cela va-t-il mal ? v.526 (Acte 1, scène 17, SOTENCOUR)
  276. Des carêmes-prenants lui font passer la porte. v.528 (Acte 1, scène 18, GILLETTE)
  277. Tu rêves : tiens, voilà que je danse avec elle, v.532 (Acte 1, scène 18, SOTENCOUR)
  278. Je viens de la quitter à l'instant dans la rue. v.536 (Acte 1, scène 18, GILLETTE)
  279. Tiens, voilà Léonor. v.539 (Acte 1, scène 18, SOTENCOUR)
  280. Vous mé dévez, cherchons quelque accommodement. v.541 (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
  281. J'ai votré Léonor pour mon nantissement, v.542 (Acte 1, scène 18, LE BARON)
  282. Dé l'argent, jé la rends ; point d'argent, jé la garde. v.544 (Acte 1, scène 18, LE BARON)
  283. On m'enlève ma fille ! Au secours ! Au voleur ! v.545 (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  284. Loin qu'on veuille lui faire aucune violence, v.547 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
  285. Contre un hymen injuste on a pris sa défense. v.548 (Acte 1, scène 19, VAL?RE)
  286. Quoi ! Valère... Comment ! v.549 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  287. Que très civilement v.550 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
  288. Je viens ici vous dire, en parlant à vous-même, v.551 (Acte 1, scène 19, VAL?RE)
  289. Que Léonor, pour vous, sent une haine extrême ; v.552 (Acte 1, scène 19, VAL?RE)
  290. Si vous ne m'en croyez, croyez-en ce billet. v.554 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
  291. « Pour éviter l'hymen dont mon amour murmure, v.555 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  292. J'irais au bout du monde, et plus loin même encor. v.557 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  293. En termes clairs et nets cette lettre s'explique, v.559 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  294. Et le tour n'en est point trop amphibologique. v.560 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  295. Oh bien, la belle peut revenir sur ses pas v.561 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  296. Je lui baise les mains et la rends de bon coeur. v.566 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  297. Vous me faites plaisir, monsieur, de me la rendre. v.567 (Acte 1, scène 19, GÉRONTE)
  298. Oh ! Vous ne manquerez, sur ma foi, pas de gendre, v.568 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  299. Ni vos petits-enfants de père. Allons, Mathieu, v.569 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  300. À vos genoux, mon père... v.571 (Acte 1, scène 20, LÉONORE)
  301. Oublions le passé, ma fille ; en cette affaire, v.572 (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  302. Je n'ai point prétendu forcer tes volontés. v.573 (Acte 1, scène 20, G?RONTE)
  303. Pour vous, dont je connais le bien et la famille, v.575 (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  304. Valère, je veux bien que vous ayez ma fille. v.576 (Acte 1, scène 20, G?RONTE)
  305. Nous vous devons assez en ce moment, v.577 (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  306. Ma foi, sans moi, la belle en avait pour son compte. v.580 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  307. Puisque tout est d'accord maintenant entre vous, v.581 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  308. En valur on n'y craint personne ; v.584 (Acte 1, scène 20, LE-BARON)
  309. Jé vous lé dis en quatré mots, v.586 (Acte 1, scène 20, LE BARON)
  310. En amour, comme au jeu, jé vrille, v.587 (Acte 1, scène 20, LE BARON)
  311. Prendre un tendre baiser. v.596 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  312. Prendre un tendre baiser. v.600 (Acte 1, scène 20, LES-MASQUES)
  313. Tu veux, en chantant, v.603 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  314. Non, Colin, ne le prends pas, v.605 (Acte 1, scène 20, UNE-BERGÈRE)
  315. Non, Colin, ne le prends pas, v.607 (Acte 1, scène 20, UNE BERG?RE)
  316. Non, Colin, ne le prends pas, v.609 (Acte 1, scène 20, LE-CHOEUR)
  317. Non, Colin, ne le prends pas, v.611 (Acte 1, scène 20, LE CHOEUR)

ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES. (1690)

  1. Holà, quelqu'un de mes gens ! (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  2. Ne suis-je pas bien malheureux qu'un homme de ma qualité soit obligé d'éveiller ses gens lui-même ? (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  3. Si je prends un bâton, maraud, je te ferai bien lever. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  4. C'est un trésor en hiver qu'un laquais au pied d'un lit ; son ventre sert de bassinoire. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  5. Vous faites l'entendu, parce que les bonnes fortunes vous suivent partout ; mais souvenez-vous que nous sommes deux laquais, et qu'il n'y a point d'autre différence entre nous que celle que j'y veux bien mettre : ainsi, un peu plus de douceur, s'il vous plaît, et un peu moins d'emportement avec votre camarade. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  6. Ce n'est point pour te quereller, Mezzetin, que je t'éveille de si bon matin ; c'est seulement pour te dire que toutes ces bonnes fortunes me donnent fort à penser. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  7. À l'égard de celles qui me viennent par les présents que l'on m'envoie de toutes parts, passe ; mais pour celles que nous faisons en volant des montres, en enfonçant des boutiques, et en coupant des bourses ; ma foi, j'ai peur que toutes ces bonnes fortunes-là ne nous fassent faire notre mauvaise fortune à la Grève. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  8. Tenez, voilà-t-il pas encore la robe que vous volâtes à cet aveugle des Quinze-Vingts, qui vous sert de robe de chambre ? (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  9. J'ai déjà dit trois ou quatre femmes que j'avais besoin d'un surtout de toilette : il y a bien du relâchement dans la galanterie ; et les femmes commencent à se décrier furieusement dans mon esprit. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  10. Nous ne vivrons pas longtemps bien ensemble. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
  11. À propos de robe de chambre, tandis que vous dormiez, madame la marquise de Noirchignon vous en a envoyé une. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  12. Il est aussi venu' un laquais de la part de madame la comtesse de Charbonglacé, qui a laissé un paquet dans une toilette. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  13. Celle-ci est bien mieux étoffée que l'autre. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  14. La Comtesse pourrait bien me faire faire la sottise de l'aimer. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  15. Laisse-le entrer. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  16. Monsieur, voilà ce que madame vous envoie ; elle dit comme çà que vous aurez l'honneur de la voir bientôt. (Acte 1, scène 2, LE-LAQAUIS)
  17. Mon enfant, dis-lui qu'elle ne s'en donne pas la peine. Je vais prendre un remède pour me débrouiller le teint. (Acte 1, scène 2, LE-VICOMTE)
  18. Comment ! (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
  19. Encore une robe de chambre ! (Acte 1, scène 3, LE VICOMTE)
  20. Il faut avouer que les femmes nous aiment bien en déshabillé. (Acte 1, scène 3, LE VICOMTE)
  21. Ne saurait-elle donner une robe de chambre sans venir l'essayer ? (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
  22. Hé, ventrebleu ! (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  23. Ne saurait-on rendre un lavement sans femme ? (Acte 1, scène 4, LE VICOMTE)
  24. Pour vous trouver, monsieur, il faut vous prendre au saut du lit ; le reste du jour vous êtes inabordable. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
  25. Je suis si courbatu de ces aventures que le vulgaire appelle bonnes fortunes, que mon superflu suffirait à vingt fainéants de la cour. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  26. Je n'ai pourtant encore fait la conquête que d'un bouillon postérieur qui me cause des épreintes horribles : il faut que ma femme de chambre ne me l'ait pas donné de droit fil. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  27. En vérité, madame, cela est vrai : il y a aujourd'hui bien des erreurs à votre teint ; mais il est resté là-bas un peu de décoction, ne vous en faites point de nécessité. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  28. On sait bien qu'une femme grosse a toujours de petits maux de coeur. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  29. Mais, monsieur, je vous trouve bien gros ; qu'avez-vous ? (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
  30. Je n'ai rien, c'est que je soupai furieusement hier au soir. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  31. J'en serais bien fâché. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  32. Madame, je n'en puis plus. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  33. Voilà l'effet de tes serments !... (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
  34. Madame, je vais tout rendre, si je ne sors. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  35. Il ne tient plus qu'à un petit filet. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  36. Non, je ne veux plus de commerce avec toi ; rends-moi ma robe de chambre. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
  37. En vérité, vous êtes bien folle de farcir votre tête de vos sottes imaginations d'amour et de mariage. Est-ce là le parti que doit prendre une cadette, et ne devriez-vous pas avoir renoncé au monde ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  38. Mon_Dieu, ma soeur, cela est bien aisé à dire ; mais vous ne parleriez pas comme vous faites, si vous sentiez ce que je sens. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  39. Et que sentez-vous donc, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  40. Vraiment, je vous trouve une jolie mignonne, pour sentir quelque chose ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  41. Et que sentirai-je donc, moi qui suis votre aînée ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  42. Est-ce que l'on m'entend plaindre des envies que cause I'état de fille ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  43. Vous êtes encore une plaisante morveuse ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  44. Mais savez-vous bien ce que c'est qu'un mari, pour parler comme vous faites ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  45. Si je ne le savais pas, est-ce que j'en voudrais avoir un ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  46. Cela ne s'apprend-il pas tout seul ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  47. Il faut que ce soit quelque chose de fort joli que le mariage, puisque la pensée seule fait tant de plaisir. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  48. Les soins des domestiques, l'incommodité d'une grossesse : non, quand il n'y aurait que la peur d'avoir des enfants, je renoncerais au mariage pour toute ma vie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  49. La peur d'avoir des enfants ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  50. Quelle petitesse de raisonnement ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  51. Vous n'êtes point propre au mariage ; ce n'est point un jeu d'enfant. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  52. Je supporterai fort bien toutes les fatigues du ménage ; et quoique je sois jeune, si j'étais mariée présentement, je suis sûre que je n'en mourrais pas. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  53. En vérité, il faut que j'aie bien de la bonté de souffrir tous les travers de votre esprit. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  54. Tout ce que je puis faire encore pour vous, c'est de vous conseiller de bannir de votre cerveau toutes vos idées matrimoniales, et de croire qu'il n'y a personne assez dépourvu de bon sens pour vouloir se charger de votre peau. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  55. La la, cette charge-là n'est pas si pesante et ne fait pas peur à tout le monde : il n'y a pas encore huit jours que je trouvai dans une boutique, au Palais, un monsieur de condition, qui me dit que j'étais bien à son gré, et qu'il serait bien aise de m'épouser. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  56. Je lui dis que j'étais encore bien petite pour cela ; mais que l'année qui vient, j'espérais d'être plus grande. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  57. Vous voulez bien vous marier, vous, et vous ne voulez pas que je me marie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  58. Je vous dis, encore une fois, que j'ai plus d'âge qu'il ne faut ; mais puisque vous me trouvez trop jeune, faisons une chose ; vous avez quatre années plus que moi, donnez-m'en deux ; cela ne gâtera rien ni pour l'une, ni pour l'autre. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  59. Allez, allez ; vous ne savez ce que vous dites. Vous me croyez bien embarrassée de trois ou quatre années que j'ai plus que vous ; mais je veux bien que vous sachiez que pour dix ans de moins je ne voudrais pas être faite comme vous, ni de corps, ni d'esprit. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  60. Voilà bien du bruit : il me semble que vous vous flattez comme chiens et chats. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  61. Est-ce que vous ne sauriez vous égratigner plus doucement ? (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  62. Viens çà, Pierrot ; toi qui es un homme d'esprit, et qui sais le monde, n'est-il pas du dernier bourgeois de marier plus d'une fille dans une maison, et ne devrais-je pas déjà l'être ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  63. Il est vrai que vous n'êtes encore qu'un embryon, et j'en ai vu dans des bouteilles de bien plus grandes que vous. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  64. Je conviens, Pierrot, que je suis encore petite ; mais si tu savais ce que j'ai déjà (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  65. Hé bien donc, qu'avez-vous ? (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  66. Palsangué, laissez-la donc parler : vous lui rembourrez les paroles dans le ventre. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  67. Oh, nenni, nenni ; je ne la montre pas encore : j'attends qu'elle soit plus venue. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  68. Il n'y a plus moyen de tenir à vos impertinences : je vous laisse ; et si je faisais bien, j'avertirais mon père de mettre ordre à votre conduite. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  69. Elle est bien rudanière. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  70. Va, va, je ne m'en soucie pas. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  71. Il faut que tu me portes cette lettre à ce monsieur que je trouvai dernièrement au Palais. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  72. Si c'est un vicomte, je ne dis plus rien. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  73. Tu lui diras que je m'ennuie bien fort de ne pas le voir, et qu'il ne manque pas de me venir trouver aujourd'hui. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  74. M'entends-tu ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  75. Oui, oui, j'entends bien, je ne suis pas sourd. (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  76. C'est une pente de mon lit ; mais je crains de la faire trop petite ; on n'y pourra jamais coucher deux. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  77. Non ; mais si, par bonheur, je venais à être mariée... (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  78. Si, par bonheur, ou par malheur, vous veniez à être mariée, vous vous presseriez. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  79. Je sais de vos fredaines : vous n'avez pas toujours une aiguille et de la tapisserie entre les mains, et vous commencez à escrimer de la plume. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  80. Le mariage, dis-je, étant un usage aussi ancien que le monde ; car on s'est marié avant vous, et on se mariera encore après... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  81. Je le sais bien, mon papa ; il y a longtemps qu'on me dit cela. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  82. Vous voyez où j'en veux venir. J'ai donc résolu de me marier. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  83. Vous voilà bien ébaubies. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  84. Est-ce que je ne me porte pas encore assez bien ? (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  85. Mais je crois que vous avez toutes deux l'esprit en écharpe. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  86. Savez-vous bien que l'on n'a que l'âge que l'on paraît ; et monsieur Visautrou, mon apothicaire, me disait encore ce matin, en me donnant un remède, que je ne paraissais pas quarante-cinq ans. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  87. J'ai ce que j'ai ; mais je sais bien que j'ai besoin d'une femme. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  88. Je crève de santé, et j'ai trouvé une fille comme je la souhaite, belle, jeune, sage, riche ; enfin, une fille de hasard... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  89. Une autre fille que moi, qui ne saurait pas vivre, vous dirait, mon père, que vous risquez beaucoup en vous mariant ; qu'il faut avoir perdu l'esprit pour songer, à votre âge, à un engagement, et que l'on renferme tous les jours des gens aux Petites-Maisons pour de moindres sujets : mais moi, qui sais le respect que je vous dois, sans me prévaloir des raisons que les enfants ont d'appréhender un second mariage, je vous dirai que, puisque vous crevez de santé, vous faites parfaitement bien de prendre une femme. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  90. Vous prenez la chose du bon biais. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  91. Puisque vous êtes si raisonnables, apprenez donc que je suis en pourparler de mariage ; mais c'est pour vous. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  92. Je savais bien que cela te ferait plaisir, et que tu n'aurais point de chagrin de voir marier ta soeur avant toi. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  93. Non ; on ferait bien mieux de vous laisser passer la première, et d'attendre à me marier que vous eussiez trois ou quatre enfants ! (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  94. Si vous ne me mariez, je sais bien ce que je ferai, moi. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  95. Il faut bien qu'elle passe avant toi ; elle est ton aînée ; et afin de te mettre en état d'être bientôt mariée, elle épousera un honnête homme. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  96. Je le connais bien. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  97. Bien fait. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  98. Monsieur Bassinet, médecin, enfin ; c'est tout dire. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  99. Comment donc ! (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  100. J'ai bien du respect pour la médecine ; mais, avec votre permission, mon père, je n'épouserai point un médecin. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  101. Il ne faut pas, s'il vous plaît, que vous songiez à Octave ; j'ai appris que c'était un gueux, et je vais tout de ce pas l'envoyer chercher, pour lui dire qu'un autre lui a passé la plume par le bec. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  102. Il n'y a qu'un mot qui serve ; il faut épouser monsieur Bassinet, ou un couvent. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  103. Il vous viendra voir ; songez à le recevoir comme un homme qui doit être votre mari. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  104. Voilà ma soeur qui a si envie d'être mariée ; que ne lui donnez-vous monsieur Bassinet pour mari ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  105. Laisse cela ; j'ai autre chose en tête. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
  106. Va me chercher Octave ; j'ai quelque chose de conséquence à lui dire. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
  107. Tiens, vois le logis. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
  108. Je vois bien que nous ne vivrons pas longtemps ensemble : je ne veux point de bête dans ma maison. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
  109. Pardi, monsieur, il faut donc que vous en sortiez. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  110. Hé bien, mon pauvre Pierrot, as-tu porté ma lettre à monsieur le Vicomte ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  111. Assurément, et il m'a donné un petit mot de réplique. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  112. Voilà un homme qui écrit bien tendrement. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  113. Il m'aime bien, car il me l'a dit, et j'espère que nous serons bientôt mariés ensemble. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  114. Il n'y a qu'une chose qui m'embarrasse, c'est que je ne sais pas encore tout à fait ce que c'est que le mariage : ne pourrais-tu pas me le dire ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  115. Assurément ; il n'y a rien de si aisé : c'est comme qui dirait une chose... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  116. Hé bien donc ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  117. C'est comme, par exemple, une chose où l'on est ensemble... Votre père... avait épousé... votre mère... ; ça faisait qu'ils étaient deux ; et comme çà, votre grand-père..., d'un côté..., la nature... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  118. On ne saurait bien expliquer ce brouillamini-là. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  119. Mais vous n'aurez pas été deux jours ensemble, que vous saurez toutes ces drogues-là sur le bout du doigt. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  120. Çà, monsieur, de l'argent. (Acte 2, scène 4, LE-FIACRE)
  121. Insolent ! (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
  122. Insolent ! (Acte 2, scène 4, LE-FIACRE)
  123. Je ne crains rien ; je veux être payé tout à l'heure. (Acte 2, scène 4, LE FIACRE)
  124. Ventrebleu ! (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
  125. Allez, allez, l'homme ; on vous contentera. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  126. Ces marauds-là ne sont jamais contents. J'en ai déjà tué quinze ou seize ; mais je ne serai point satisfait que je n'en aie achevé le quarteron. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  127. En vérité, monsieur le Vicomte, il faut bien vous aimer, pour vous regarder après une si longue négligence à me venir voir. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  128. Ma foi, mademoiselle, les heures d'un joli homme sont bien comptées. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  129. Les femmes se pressent aujourd'hui ; elles savent que les quartiers d'hiver seront diablement courts cette année ; je n'ai pas un moment à moi. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  130. Vous prenez donc du tabac comme ces vilains soldats ? (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  131. Les gens du grand volume ont-ils d'autres occupations ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  132. Au feu d'une pipe qu'il faut qu'un homme de qualité allume sa tendresse. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  133. Mais j'ai la précaution, quand je vais en femme, de me rincer la bouche avec trois ou quatre pintes d'eau-de-vie. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  134. Vous ne sauriez croire comme, après cela, on soupire tendrement. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  135. Les gens que je vois n'assaisonnent pas leurs douceurs de tabac et d'eau-de-vie. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  136. C'est que vous ne voyez que des courtauds de boutique, ou des gens de robe. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  137. Croyez-moi, la belle, il n'est rien tel que de s'accrocher à l'épée. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  138. Ont-ils le sens commun ? (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  139. Ils font l'amour par articles, comme s'ils dressaient un procès-verbal. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  140. C'est ce que je dis tous les jours à deux grands haquiers d'avocats, qui sont sans cesse autour de moi à me faire endêver. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  141. Ma foi, le plumet est en amour ce que la moutarde est à la sauce-robert ; il n'y a que cela de piquant. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  142. Je ne sais pas pourquoi mon père a tant d'aversion pour les gens d'épée. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  143. Ils aiment le vin, le jeu et les femmes ; mais, du reste, il n'y a point de gens mieux réglés. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  144. Pour de l'argent, je crois, que tant que les femmes en auront, nous n'en manquerons guère. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  145. Je crois, monsieur le Vicomte, que, fait comme vous êtes, vous voyez bien des femmes de condition. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  146. Je veux être déshonoré, vous êtes la seule bourgeoise avec qui je déroge ; mais, à vous parler franchement, toutes les femmes que je vois, au prix de vous, c'est, ma foi, de la piquette contre du vin de Sillery. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  147. Si vous voulez que je vous parle sans fard, cela est vrai, et je vais, au sortir d'ici, à deux ou trois rendez-vous, où il faudra bien dire que vous êtes une guenon comme les autres. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  148. Mais, à propos de guenon, quand nous marions-nous ensemble ? (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  149. Je suis diablement pressé. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  150. Quel âge avez-vous bien ? (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  151. Vraiment ! (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  152. J'ai bien plus que tout cela. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  153. Je sais déjà bien des choses : j'ai déjà lu cinq ou six comédies de Molière, et j'en suis au troisième tome de Cyrus ; je fais du point à la turque, et j'apprends à chanter. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  154. Vous apprenez à chanter ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  155. Je vous prie de m'excuser ; j'ai aujourd'hui quelque chose qui m'en empêche. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  156. Est-ce que vous êtes enrhumée ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  157. Tenez, voilà du tabac en machicatoire ; il n'y a rien de si bon pour le rhume. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  158. Je n'ai rien, c'est que... (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  159. Ces vilains hommes, ils veulent tout savoir. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  160. C'est que ma voix ne paraît rien quand je n'ai pas mes fontanges argent et jaune. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  161. Comme si les fontanges faisaient quelque chose à la voix ! (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  162. Courage, mignonne ; je vous soufflerai, en tout cas. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  163. Jeanneton, m'aimez-vous bien ?... v.1 (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  164. Vous qui m'avez tant fait de bien, v.5 (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  165. Je le veux bien ; mais vous allez voir comme je vais trembler. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  166. Je n'en ai pas perdu une goutte. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  167. Il faut que ce soit des derniers, car voilà le tour aisé de nos poètes et de nos musiciens d'aujourd'hui. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  168. Je ne suis pas encore assez forte pour tenir ma partie. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  169. Il y a là-bas deux sergents et environ douze archers qui vous guettent pour vous mettre en prison. (Acte 2, scène 6, PASQUARIEL)
  170. En prison ! (Acte 2, scène 6, LE-VICOMTE)
  171. Voilà mes bonnes fortunes qui commencent à défiler. (Acte 2, scène 6, LE VICOMTE)
  172. Il y a là-bas tout plein de laquais qui vous attendent. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  173. Ce sont bien des pousse-culs, de par tous les diables. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  174. Je veux l'apprendre. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  175. Infandum, Regina, jubes renovare dolorem. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  176. Vous saurez donc qu'étant obligé de partir pour l'Allemagne, et ne pouvant trouver d'argent sur mon billet (car les billets des vicomtes ne sont pas autrement réputés argent comptant), j'en fis un que je signai la Harpe (c'est le nom de ce fameux banquier). (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  177. Sur ce billet-là, on me donna deux cents pistoles. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  178. Je partis : présentement, voyez, je vous prie, le peu de bonne foi qu'il y a dans le commerce ! (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  179. De mauvaises raisons : il dit qu'il n'a point fait ce billet-là ; mais son nom y est, une fois ; il faudra bien qu'il le paye ou qu'il crève ; car, palsambleu ! (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  180. Je sais bien que je ne le payerai pas, moi. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  181. Monsieur le Vicomte, je n'ai point d'argent ; mais voilà deux brillants avec lesquels vous pourrez en faire. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  182. Prenez encore mon collier. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  183. Voilà encore une montre qui est assez jolie. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  184. Attendez ; j'ai encore ici une petite boîte à mouches et un cachet. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  185. Et encore moins à prendre. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  186. Que vous savez me prendre par mon faible, et qu'on fait de folies quand on est bien amoureux ! (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  187. Tenez, tenez, monsieur le Vicomte ; voilà encore un petit jonc d'or que j'avais oublié. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  188. Mais, mademoiselle, ces breloques-là valent-elles bien deux cents pistoles ? (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  189. Voilà un diamant qui me paraît bien jaune. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  190. Écoutez ; je vais porter tout cela chez l'orfèvre, et s'il ne m'en donne pas les deux cents pistoles, vous me tiendrez, s'il vous plaît, compte du reste. (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  191. Ayant appris, monsieur, que vous êtes un homme savant et de bon conseil, je voudrais bien vous parler d'une affaire que je suis sur le point de terminer. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  192. Au contraire, on a blâmé de tout temps les grands parleurs : c'est pourquoi j'aime la brièveté, et je m'applique uniquement à être concis dans mes discours. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  193. J'aurai bientôt fait. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  194. Qui ne sait que le trop parler vient du défaut de jugement ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  195. Que le défaut de jugement vient du manque de raison et que le manque de raison est le caractère de la bête ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  196. Qu'on ne se repent jamais de se taire, et qu'on s'est repenti souvent d'avoir parlé ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  197. Ignorez-vous que la nature a donné à l'homme deux pieds pour marcher, deux bras pour agir, deux narines pour sentir, et qu'elle ne lui a donné qu'une langue pour parler ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  198. Pythagore faisait observer le silence à ses disciples pendant sept années. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  199. Je n'ai encore rien dit. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  200. Je sais bien que l'usage de la parole a été donné à l'homme pour expliquer ses pensées. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  201. Je ne vous dis pas qu'il ne faille parler en termes propres, suivant les règles de la grammaire, faire accorder l'adjectif avec le substantif, le nom avec le verbe, le masculin avec le féminin. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  202. Je ne vous défends pas de mettre en usage les figures de rhétorique : nam quid est rhetorica ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  203. Selon Socrate, c'est I'art de persuader ; selon Agathon, c'est l'art de tromper ; selon Gorgias, l'usage du discours ; selon Chrysippe, la clef des coeurs ; selon Cléanthe, la science des sciences ; selon Vatadérius, le boulevard de la vérité ; selon Aristote, le bouclier de l'orateur ; selon Cicéron, l'art de bien dire ; et selon moi, l'art de ne guère parler. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  204. Le temps est cher ; on en perd tant à boire, à manger, à dormir, à s'habiller, à danser, à rire, à chanter ; et l'on ne songe pas que la santé revient après la maladie, le printemps après l'hiver, la paix après la guerre, le beau temps après la pluie ; mais que le temps passé ne revient jamais. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  205. Omnibus hominibus scire a natura insitum est, dit le prince de l'éloquence. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  206. Mais vouloir savoir est une chose, et savoir en est une autre. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  207. C'est ce qui fait que du savoir au non-savoir il y a autant de différence qu'entre l'homme et la bête, le ciel et la terre, le gentilhomme et le roturier, le marchand et le voleur, le procureur et l'assassin, le bourreau et le médecin. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  208. J'en suis persuadé ; mais... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  209. Or, voulez-vous savoir quelle différence il y a entre l'homme et la bête ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  210. Entre le ciel et la terre ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  211. Entre le roturier et le gentilhomme ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  212. Entre le marchand et le voleur ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  213. Entre le procureur et l'assassin ? C'est que l'un enlève les biens, l'autre la vie. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  214. Entre le médecin et le bourreau ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  215. C'est que l'un assassine peu à peu ses malades, et que l'autre tue tout d'un coup ceux qui se portent bien. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  216. Non ; je ne veux rien de tout cela... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  217. Voulez-vous que je vous parle des arts ou des sciences ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  218. Des trois puissances de l'âme, la mémoire, l'entendement et la volonté ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  219. De l'influence des planètes, Jupiter, Mars, Mercure, etc ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  220. De la disparité des tempéraments flegmatiques, sanguins et mélancoliques ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  221. Des mouvements du coeur, systoliques et diastoliques ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  222. Commencerai-je par le déluge ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  223. Le jugement de Pâris ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  224. L'incendie de Troie ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  225. Non, non, cent fois non, de par tous les diables, non. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  226. Je voudrais savoir seulement si je dois épouser une brune ou une blonde. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  227. Il y a deux heures que vous me faites chanter inutilement. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  228. Comment diable voulez-vous que je parle ? (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  229. Vous ne toussez ni ne crachez : je ne puis prendre mon temps. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  230. Je ne m'en soucie pas, pourvu... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  231. Aimeriez-vous mieux que ce fût par le moyen de l'invocation, imprécation, multiplication, indiction, spéculation, superstition, interprétation, conjuration, prognostication, évocation ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  232. Cela m'est indifférent, pourvu que... (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  233. J'en mourrai ! (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  234. Puis donc que toutes les sciences ci-dessus sont des terres inconnues pour vous, je vous dirai que nos auteurs ont parlé différemment sur le point dont il s'agit. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  235. Les uns tenaient pour les blondes, et les autres pour les brunes. La différence du poil fait aussi la différence de l'inclination. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  236. La blonde est tendre, languissante et amoureuse ; la brune est vive, gaillarde et fringante. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  237. La blonde pourra bien outrager votre front ; la brune ne vous en quittera pas à meilleur marché. Un savant poète de l'antiquité dit : (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  238. Ainsi vous voyez que c'est une matière bien délicate : Undique ambages, et qu'il est difficile d'y porter un jugement certain ; car, quoique je sois consommé dans toutes sortes de sciences, ne croyez pas que je veuille que mon sentiment prévale. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  239. Allez-vous-en à tous les diables ; je ne veux rien savoir. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  240. Je vous dis encore que... (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  241. Quel insolent est-ce là ? (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  242. Je ne veux plus rien entendre. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  243. Hé bien, Pierrot, ce cavalier-là est il de ton goût ? (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  244. On vous prendrait pour moi. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  245. Il y a pourtant un peu de différence. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  246. Ne pense pas te moquer ; je tâterais fort bien de l'armée, et je n'appréhenderais pas plus le feu qu'un autre. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  247. Si tous les capitaines étaient faits comme vous, ils pourraient gagner les frais de l'enrôlement, et faire leurs soldats eux-mêmes. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  248. Je me sers du déguisement où tu me vois pour détourner ce mariage. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  249. Monsieur Bassinet ne m'a jamais vue ; il doit venir me voir, et j'attends sa visite en cet équipage. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  250. Je vais lui apprendre des nouvelles d'Isabelle, et je lui en ferai, parbleu, passer l'envie. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  251. Vous avez trop d'esprit. Qu'en croyez-vous ? (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  252. Pour moi, Pierrot, je ne m'embarrasse pas de cela ; je ne songe qu'à faire rompre, si je puis, l'impertinent mariage dont je suis menacée. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  253. Mais je crois que voilà monsieur Bassinet ; laisse-moi avec lui : je vais commencer mon rôle. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  254. Monsieur, elle n'y est pas, et je l'attends. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  255. Mais vous, monsieur, que venez-vous faire ici ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  256. Car, à votre mine, je vous crois médecin, et vous avez toute l'encolure d'un membre de la Faculté. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  257. Vous ne vous trompez pas, monsieur ; je suis un nourrisson d'Hippocrate : mais je ne viens pas ici pour tâter le pouls à Isabelle ; j'ai bien d'autres prétentions sur... (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  258. Et de quelle nature, s'il vous plaît, sont les prétentions d'un médecin sur une fille ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  259. Je viens ici pour l'épouser. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  260. Mais cela est donc bien drôle ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  261. Comment donc ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  262. Ne voyez-vous pas bien que je ris ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  263. Dites-moi un peu, monsieur, en vous déterminant à un saut si périlleux, vous êtes-vous bien tâté ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  264. N'avez-vous point senti quelque petit mal de tête... (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  265. Vous m'entendez bien ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  266. Non, monsieur ; je me porte fort bien : je ne suis pas sujet à la migraine. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  267. Ma foi, vous porterez bien cela ; et je suis plus aise que vous ayez cette fille-là qu'un autre. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  268. Je vois bien qu'elle ne serait point mauvaise pour vous. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  269. Elle a, par-dessus cela, une adresse à conduire une affaire de coeur qui ne se comprend pas. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  270. Si elle est votre femme, elle aura des intrigues avec toute la terre, que vous ne vous en apercevrez non plus que si elle était à Rome et vous au Japon. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  271. Et avec tous ces beaux talents-là, d'où vient qu'elle n'est pas mariée ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  272. Les uns disent qu'elle a des vapeurs ; les autres lui font faire un voyage : il y en a d'assez enragés qui lui font garder le lit cinq ou six mois pour une détorse... et... que sais-je, moi ! (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  273. Cent autres contes que l'on va souffler aux oreilles d'un fiancé, qui ne manquent pas de rompre un mariage comme un verre ; et si, de tout cela, bien souvent il n'y en a pas la moitié de vrai. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  274. Quand il n'y en aurait que le quart, c'est bien encore assez, de par tous les diables ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  275. Au moins, je veux être de vos amis ; et je prétends, quand vous serez marié, aller sans façon manger chez vous votre chapon. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  276. À ce que je vois, vous connaissez parfaitement la demoiselle en question ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  277. Ce n'est pas d'aujourd'hui que nous sommes toujours ensemble, et si vous étiez discret, je vous apprendrais quelque chose sur son chapitre, que je suis sûr que vous ne savez pas. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  278. (Mais il faut voir si personne ne nous entend.) (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  279. Prenez vos mesures là-dessus. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  280. Ensemble ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  281. Ensemble ; et cette nuit nous en ferons autant infailliblement. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  282. Monsieur Brocantin, vous voulez donc m'en faire avaler ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  283. Ce que je viens de vous dire là, au moins, ne doit point vous empêcher de conclure l'affaire. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  284. Un homme bien amoureux ne s'arrête pas à ces bagatelles-là. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  285. Je ne vois pas que rien presse encore de quitter la robe et le bonnet de médecine, pour me faire coiffer de mademoiselle Isabelle. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  286. Le ciel m'a assisté : voilà un jeune homme qui m'aime bien. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR BASSINET)
  287. Pardi, monsieur Bassinet, je crois que vos fumées d'amour pour Isabelle sont bien passées présentement. (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  288. Tout franc, monsieur, je crains que vous n'ayez attendu trop tard à marier vos filles. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  289. Comment donc ! (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  290. Non, pas encore tout à fait ; mais, voyez-vous, monsieur, vous tournez trop à l'entour du pot. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  291. C'est-à-dire, monsieur... tant y a que, je m'entends bien. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  292. C'est comme des armes à feu ; ça tire quelquefois sans qu'on y pense. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  293. Ne te mets point en peine, Pierrot ; je suis sur le point d'en marier une, et je crois que je ferai affaire de l'aînée avec monsieur Bassinet. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  294. Pardi, je le crois bien. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  295. On lui en sait grand gré, ma foi, de quitter son séné ; pour une fille drue comme Isabelle ! (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  296. Voulez-vous que je vous dise mon sentiment ? (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  297. Car, révérence parler, j'ai plus d'esprit que vous : vous ferez mieux, si je ne vous accommode pas, de la donner à quelque homme de condition, comme, par exemple, à un gentilhomme de robe. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  298. Notre vacation est la plus jolie du monde ; nous voyons tout ce qu'il y a de gens de qualité ; il n'y a point de prince qui fasse la dépense que nous faisons ; nous changeons de meubles tous les jours ; on ne voit jamais chez nous la même chose, et notre cabinet est le rendez-vous de tous les fainéants de la ville. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  299. Mon papa, il y a là-bas une troupe de carêmes-prenants qui veulent entrer. (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
  300. Qu'on les renvoie ; je ne veux point... (Acte 3, scène 6, BROCANTIN)
  301. Je suis bien obligé à son altesse tonquinoise. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  302. Pardi, ne craignez rien avec moi ; il n'a qu'à venir. (Acte 3, scène 7, PIERROT)
  303. Pour vous demander Colombine en mariage. v.11 (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  304. Morguenne de vous ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  305. Morguenne de vous ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  306. J'aurai bien du plaisir d'en faire une perroquette. Qu'elle est belle ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  307. J'ai ma soeur qui est bien plus jolie que moi ; et si vous aviez vu ma cousine Gogo, c'est tout autre chose. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  308. Morguenne de vous ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  309. Morguenne de vous !... (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  310. Ce n'est pas sans raison que nos anciens modernes ont dit ingénieusement que le mariage était d'une très grande ressource pour de certaines gens, et que les aigrettes, dont quelques femmes galantes faisaient présent à leurs maris, étaient semblables aux dents, qui font du mal quand elles percent et nourrissent quand elles sont venues. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  311. Cela présupposé, voyons un peu le tendron qui est destiné pour mes plaisirs ; car vous ne voudriez pas me faire acheter chat en poche. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  312. Voilà mes deux filles ; vous n'avez qu'à choisir : c'est encore trop d'honneur pour le sang des Brocantins. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  313. Oui, beau-père, je veux brocantiner avec vous ; et de peur de mal choisir, je les prendrai toutes deux. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  314. Pour vous, petite blonde d'Égypte, levez le nez, regardez-moi fixement, marchez, trottez. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  315. Beau-père, n'y a-t-il rien à refaire à cette fille-là ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  316. Je me porte bien, et je n'ai jamais eu d'autre maladie qu'un mal d'aventure : mon pouce devint gros comme ma tête. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  317. Les filles sont terriblement sujettes aux maux d'aventure ; mais l'enflure ne les prend pas toujours au pouce. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  318. Seriez-vous bien aise d'être ma femme ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  319. Celle qui m'engage sa foi v.14 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  320. Et de n'en sortir qu'avec moi, v.18 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  321. En dépit du contraire usage. v.19 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  322. Quand je vois revenir des femmes sans maris, v.20 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  323. J'entends celles qui sont du plus galant étage, v.21 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  324. Qui souvent loin du gîte ont passé plusieurs nuits, v.22 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  325. Pour le moins, on trouve, en ce cas, v.27 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  326. Dans ma maison il n'entrera, v.29 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  327. Ces gens-là se font trop de fête ; v.35 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  328. Et, quelque soin que vous preniez, v.36 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  329. Par leurs leçons, la femme en porte mieux les pieds, v.37 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  330. Mais avant de passer outre, il est bon que je vous fasse part de quelques petits avis en vers, que j'ai faits pour servir de niveau à la femme qui tombera sous ma coupe. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  331. Écoutez bien ceci. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  332. Ils ne les touchent jamais. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  333. Je renoncerais plutôt au mariage. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  334. J'aime le mien presque autant qu'un mari. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  335. Vous n'aurez près de vous que gens v.39 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  336. Qui soient tout à fait nécessaires ; v.40 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  337. Ou bien cochers sexagénaires. v.42 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  338. Item, point de pensionnaires. v.43 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  339. Ces oiseaux gras et bien nourris v.44 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  340. Viennent souvent pondre en nos nids ; v.45 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  341. Ils se racquittent près des femmes v.47 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  342. De ce qu'ils payent aux maris. v.48 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  343. C'est à cause de cela. Ces messieurs-là ne montrent pas toujours la courante et le menuet. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  344. Je dis que je n'y entends rien. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  345. Qu'est-ce que c'est que de venir pondre dans nos nids ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  346. Qui voudra se mettre en famille, v.50 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  347. Qu'il prenne garde que jamais v.51 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  348. Il ne s'engaigne d'une Agnès ; v.52 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  349. C'est une méchante chenille. v.53 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  350. Il en est bien souvent de ces sortes de filles, v.54 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  351. Dès qu'on en casse les coquilles, v.57 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  352. On en voit sortir les poulets. v.58 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  353. Parbleu, je suis ravi de trouver ici tout le inonde en joie. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-BASSINET)
  354. Apparemment que vous disposez le bal pour notre mariage ? (Acte 3, scène 8, MONSIEUR BASSINET)
  355. Vous venez le plus à propos du monde ; nous ferons d'une pierre deux coups. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  356. Voilà ma fille Isabelle qui vous attend pour vous donner la main. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  357. Est-ce que vous prétendez donner votre fille à ce scorpion ? (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  358. Je m'en doutais bien, car j'ai eu envie de faire une selle en le voyant. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  359. Mais cet homme-là ne vaut rien pour le mariage : tenez, vous voyez bien que sa barbe ne tient point ; ce sont deux moustaches postiches. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  360. Il y a encore pis que cela ; cet homme sera pendu avant qu'il soit vingt-quatre heures. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  361. Pendu ! (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  362. Et comment connaissez-vous cela ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  363. Par le moyen des astres, et par les règles de la métoposcopie. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  364. Monsieur Bassinet, vous voyez bien ma fille : touchez là ; vous n'en croquerez que d'une dent, et je ne veux point de gendre dont la barbe ne tient point. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  365. Allez, vieux radoteur, aux Petites-Maisons, avec votre chienlit. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-BASSINET)
  366. Je venais ici pour vous dire que je ne voulais point de la fille d'un fou, et qui passe toutes les nuits avec des godelureaux. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR BASSINET)
  367. Consolez-vous, la belle, je vais vous présenter un époux qui vaudra cette vilaine égoutture de bassin. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  368. Tenez, beau- père... (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  369. Ce sera là votre second gendre ; c'est un grand seigneur de mon pays. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  370. C'est un compliment tonquinois. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  371. Il dit qu'elle est une étoile resplendissante de perfection, et que, si la queue de son manteau était plus longue, il la prendrait pour une comète. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  372. C'est une langue qui s'apprend par infusion ; et s'il vous épousait, vous sauriez le tonquinois dans deux heures. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  373. Puisque cela est ainsi, je veux bien faire le mariage d'Isabelle ; mais dites-moi auparavant, est-il curieux ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  374. C'est le Dautel du pays ; il troque des nippes à tous moments, et je vous réponds qu'avant qu'il soit deux jours, il aura troqué sa femme. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  375. Je m'en vais vous faire voir toutes mes curiosités, et l'équipage de ma future. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  376. Et ce gros singe-là, comment le trouvez-vous ? (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  377. Cela pourrait être ; car il vous ressemble comme deux gouttes d'eau, et vous savez que la ressemblance engendre l'amitié. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  378. Vous avez cru que c'étaient là des tableaux véritables ? (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  379. Assurément, et je le crois encore. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  380. Tout cela ne tient que par le moyen d'un ressort que je vais toucher, et vous verrez que toutes ces figures prendront mouvement. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  381. Voyez-vous bien ce singe ? (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  382. Je m'en vais vous le faire voir. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  383. Avez-vous entendu ce qu'il a dit ? (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  384. Non. Est-ce que j'entends le langage des singes, moi ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  385. Vous avez pourtant la physionomie d'une guenon. Il dit qu'il va prendre sa guitare. La voilà ; écoutez. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  386. Amis, je m'en vais à la guerre ; v.60 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)
  387. Au son de cet instrument, v.67 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)
  388. Je sens que mon coeur se réveille ; v.68 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)
  389. Il faut, pour être content, v.69 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)

LES VENDANGES (1731)

  1. Oui, vous dis-je, sans faute ils arrivent ce soir ; v.1 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  2. Ma femme, ordonnez tout pour les bien recevoir : v.2 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  3. Étant bailli du lieu, cette charge m'engage v.3 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  4. Çà, pendant la vendange, égayons nos esprits ; v.5 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  5. Pour cela, tout exprès ils viennent de Paris : v.6 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  6. Honnête huissier, tous deux pour moi gens à tout faire ; v.8 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  7. Que ma fille s'unisse, en lui donnant la main. v.10 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  8. Çamon, c'est bien le temps de faire des bombances ! v.13 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  9. Vous deviendrez bien riche avecque ces dépenses ! v.14 (Acte 1, scène 1, MADAME TRIGAUDIN)
  10. Le pauvre homme ! Il me semble encor que je le vois. v.19 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  11. Tous ses discours portaient toujours sentence. v.21 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  12. Manger son blé en vert est grande extravagance, v.22 (Acte 1, scène 1, MADAME TRIGAUDIN)
  13. Il ne faut point de bourse à qui veut dépenser. v.24 (Acte 1, scène 1, MADAME TRIGAUDIN)
  14. Oui, mon grand-père était fort savant en lésine ; v.26 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  15. Et, pour jeter l'argent, je sais trop ce qu'il vaut : v.27 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  16. Gens de robe n'ont pas volontiers ce défaut. v.28 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  17. Mais, malgré tout cela, je tiens, quoi que l'on die, v.29 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  18. Que dépense bien faite est grande économie ; v.30 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  19. Enfin j'ai de l'esprit, et sais mes intérêts. v.31 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  20. N'en déplaise à votre humeur bourrue, v.33 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  21. Eh bien ! Moi, je suis avocat ; v.36 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  22. Mais ma profession, malgré son excellence, v.37 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  23. De ces sortes de gens a quelque dépendance ; v.38 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  24. Se trouvent bien d'avoir des gendres procureurs. v.40 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  25. Faites-nous seulement bonne mine et grand'chère. v.42 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  26. M'entendez-vous ? v.43 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  27. Ne gagnant rien, on doit modérer ses dépenses : v.50 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  28. Cependant marier ma fille, que je crois, v.51 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  29. Quelque argent qu'il m'en coûte, est fort bien fait à moi. v.52 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  30. Il lui faudra pourtant faire part de mon bien. v.55 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  31. Ma charge de bailli ne vaut presque plus rien. v.56 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  32. En vendange, autrefois, dans les lieux où nous sommes, v.57 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  33. Peu de jours se passaient qu'il n'arrivât mort d'hommes : v.58 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  34. Mais tout est bien changé, chacun se tient reclus ; v.59 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  35. Va dire en diligence v.61 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
  36. Au procureur fiscal qu'il tienne, en mon absence, v.62 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
  37. Fort bien. v.63 (Acte 1, scène 3, GRIFONET)
  38. Dresse un plan pour ne pas devenir procureuse. v.66 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
  39. Monsieur le procureur ne tient rien. v.69 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
  40. De notre enlèvement tu sais tout le projet : v.72 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  41. Un apprenti sergent, petit clerc d'avocat, v.76 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  42. Le moins, en le servant, que tu puisses prétendre, v.78 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  43. C'est d'être subalterne en quelque régiment, v.79 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  44. Où tu feras bientôt fortune, assurément. v.80 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  45. Au métier que je fais de bon coeur je renonce. v.82 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  46. Avec un grand plumet ? Tiens, je crois que j'y suis. v.84 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  47. Au Palais à présent on n'en amasse guères : v.86 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  48. Il en a fait serment, que je pense, à la cour. v.88 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  49. Je ne l'ai point encore ouï que dans une cause ; v.89 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  50. Il est de la conter tellement altéré, v.91 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  51. Qu'on le fuit en tous lieux comme un pestiféré ; v.92 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  52. Je veux t'entretenir. v.95 (Acte 1, scène 6, BABET)
  53. Eh bien ? v.96 (Acte 1, scène 6, BABET)
  54. M'envoie, et je reviens. Quoi qu'il puisse arriver, v.99 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
  55. J'oserai tout pour vous, jusqu'à vous enlever. v.100 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
  56. Léandre va venir ; quel est votre souci ? v.103 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  57. Ma mère peut rentrer, mon père peut descendre ; v.105 (Acte 1, scène 7, BABET)
  58. Et cette salle enfin est commode à surprendre : v.106 (Acte 1, scène 7, BABET)
  59. Un tendre engagement avec un honnête homme ? v.109 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  60. Si celles qui en ont allaient le dire à Rome, v.110 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  61. La France deviendrait un pays bien désert. v.111 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  62. Mais si ce rendez-vous, Toinon, est découvert... v.112 (Acte 1, scène 7, BABET)
  63. Il faut bien vous attendre à d'autres aventures. v.113 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  64. Mais, pour les prendre, il faut se voir, et convenir v.115 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  65. De vos faits, et savoir à quoi vous en tenir. v.116 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  66. Je ne sais qui me tient que je vous abandonne. v.118 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  67. Comment ! Trembler toujours ! Avoir incessamment v.119 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  68. Prends donc garde, Toinon, que personne... v.121 (Acte 1, scène 8, BABET)
  69. Et votre tante, enfin, de l'aveu d'un époux, v.123 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
  70. En cette occasion se déclare pour nous : v.124 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
  71. Après m'avoir donné votre consentement, v.127 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
  72. Avez-vous pu si tôt changer de sentiment ? v.128 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
  73. N'imputez point ce trouble à mon peu de tendresse, v.129 (Acte 1, scène 8, BABET)
  74. Madame ; et ce soupçon heureusement calmé v.132 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
  75. Dans un long entretien votre esprit s'embarrasse ; v.134 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  76. Il n'est point maintenant question de cela. v.135 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  77. Que tous vos gens... v.139 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  78. Ils sont à deux cents pas d'ici. v.139 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
  79. Lorsque nos paysans commenceront la fête : v.142 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  80. Et chacune de nous, en nymphe déguisée, v.145 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  81. Pendant que Griffonet... Mais on vient nous troubler. v.147 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  82. Que vois-je ? Un homme ! Il entre en ceci du mystère. v.149 (Acte 1, scène 9, TRIGAUDIN)
  83. Ne craignez rien, je prends sur moi l'affaire ; v.150 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
  84. Me fait venir, monsieur, de Paris pour vous voir, v.152 (Acte 1, scène 9, L?ANDRE)
  85. Et vous communiquer un fait de conséquence. v.153 (Acte 1, scène 9, L?ANDRE)
  86. Je le débrouillerai mieux que personne en France. v.154 (Acte 1, scène 9, TRIGAUDIN)
  87. Rentrez. v.156 (Acte 1, scène 9, TRIGAUDIN)
  88. Ayant, ces derniers jours, dans toute une audience, v.157 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  89. Entretenu la cour sur un cas d'importance, v.158 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  90. Un brouillard, dont en vain je voulus me garder, v.159 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  91. À la bonne heure, soit ; dépêchez seulement : v.163 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  92. Quoique en vacation, jusqu'au moindre moment, v.164 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  93. Il s'agit en ceci d'un amoureux mystère. v.166 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  94. Aux gens de bien, monsieur, je tends toujours la main. v.168 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  95. Que vous êtes charmé de rendre un bon office, v.169 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  96. Monsieur, un mien ami, de qui les intérêts v.171 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  97. M'ont toujours été chers et me touchent de près, v.172 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  98. Est fortement épris d'une fille très belle, v.173 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  99. (Ces pères sont toujours ennemis des plaisirs.) v.176 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  100. En cette extrémité, n'est-il point d'artifice v.177 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  101. Contre l'enlèvement qu'ils sont près de tenter ? v.179 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  102. L'ami pour qui je viens ici vous consulter v.180 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  103. M'a prié, ne voulant rien faire à la légère, v.181 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  104. De prendre par écrit votre avis sur l'affaire. v.182 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  105. De cette probité qu'en moi chacun admire ; v.186 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  106. En cela je vous trouve un peu bien téméraire, v.189 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  107. Je conviens avec vous de ma témérité, v.191 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  108. Et mon début vous a justement irrité ; v.192 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  109. S'il est quelque moyen de réparer ma faute, v.194 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
  110. Vous prier instamment... v.195 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  111. Ces prières, monsieur, sont un commandement. v.196 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  112. Fort bien. v.197 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  113. Ne croyez pas que l'intérêt m'engage v.197 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  114. Que tout cela ne tend qu'au mariage enfin, v.200 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  115. Oui, je pèse toujours mûrement une affaire, v.202 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  116. Et j'examine bien avant que m'embarquer : v.203 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  117. Mais je vois bien qu'ici je n'ai rien à risquer. v.204 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  118. En matière de rapt, l'ordonnance est formelle : v.206 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  119. Mais, dans l'occasion, on peut bien quelquefois, v.207 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  120. En faveur d'un ami, faire gauchir les lois ; v.208 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  121. Elle fera fort bien de forcer sa prison : v.216 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  122. On peut, pour s'affranchir, mettre tout en pratique. v.218 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  123. J'entreprends le procès, si l'on poursuit. v.220 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  124. Enfin, v.220 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  125. Oui. Qu'ils partent : le père v.221 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  126. Se trouvera, ma foi, bien camus. v.222 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  127. Vos conseils seront en tout suivis. v.224 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  128. Je vais en répéter quelques traits seulement. v.227 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  129. Qu'on m'attende un moment. v.228 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  130. Ce sont gens bien pressés. v.229 (Acte 1, scène 11, TOINON)
  131. Non, non ; vous entendrez ce que je veux vous dire : v.230 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  132. La chose vous plaira, j'en suis très assuré. v.231 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  133. En la cause, je suis pour le maître de l'âne, v.234 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  134. Qui sur le détenteur veut le revendiquer. v.235 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  135. Voyez avec quel art ce plaidoyer commence ! v.237 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  136. Voilà pour mettre à bout toute ma patience. v.238 (Acte 1, scène 11, LÉANDRE)
  137. Portèrent la terreur au sein de 1'Italie, v.241 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  138. Et couvrirent de morts les plaines d'Apulie ; v.242 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  139. L'aigle prenant la fuite au fameux jour de Canne... v.245 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  140. Mais naturellement tout cela se dénoue, v.250 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  141. Et je viens à mon fait. v.251 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  142. Des moments destinés à vos soins importants. v.252 (Acte 1, scène 12, LÉANDRE)
  143. Par ce commencement vous jugez bien du reste. v.253 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  144. Je prétends m'acquitter de ce que je vous dois. v.259 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  145. Deux paysans qui vont crever, je pense ; v.261 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  146. Voulez-vous bien, monsieur, leur donner audience ? v.262 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  147. Ils viennent, que je crois, de faire un mauvais coup v.263 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  148. Ou bien, par la campagne, ils ont vu quelque loup ; v.264 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  149. Car ils haltent tous deux comme des chiens de chasse. v.265 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  150. Qu'ils entrent. v.266 (Acte 1, scène 13, TRIGAUDIN)
  151. Ces gens sont-ils muets ? Que veut dire ceci ? v.267 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  152. Et défrinche... tout c'en que j'ons vu. v.270 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  153. Ces lourdauds me feront enrager, que je crois. v.272 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  154. Monsieu... je n'en pis plus. v.274 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  155. C'est que tout maintenant, v.275 (Acte 1, scène 14, MATHIEU)
  156. Comme j'allions nous deux... aux champs en dandenant... v.276 (Acte 1, scène 14, MATHIEU)
  157. Celi qu'en a tué, c'est le genre à Maquieu. v.280 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  158. J'ons morguenne arrêté l'assassin tout sur l'heure ; v.282 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  159. Pis, l'ayant enfarmé dans la grange à Gariau, v.283 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  160. J'ons couru... vous voyez, j'ons le corps tout en yau. v.284 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  161. J'en avons à revenre. v.285 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  162. Monsieu, tout chaudement si vous vouliez le penre. v.286 (Acte 1, scène 14, MATHIEU)
  163. Hé bien ! Parle donc. v.289 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  164. C'est bien à des marauds de tuer ! Ah ! J'enrage ! v.290 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  165. J'en rabats plus de quinze ; et je me trompe fort v.292 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  166. Si je ne demeurais pour les frais de l'enquête. v.293 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  167. Hé bien, sauve qui peut, rien n'est si naturel ; v.296 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  168. Le jeu ne vaudrait pas aussi bien la chandelle. v.297 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  169. J'ai tout su de ces gens. v.299 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  170. Demain il fera jour ; rien encor ne se gâte. v.301 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  171. Comment ? v.305 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  172. Que l'assassin que ces gens ont fait prendre v.305 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  173. Conduisait au marché des cochons pour les vendre ? v.306 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  174. Oui, vraiment. v.307 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  175. Hé bien, qu'en as-tu fait ? v.307 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  176. Encor ? v.308 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  177. J'ai tout mis en prison. v.309 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  178. Mais, sans perdre de temps, partons en diligence ; v.314 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  179. Eh ! Je ne pensions pas qu'il en fût plus coupable. v.317 (Acte 1, scène 16, MATHIEU)
  180. Si fait, si fait. Un homme assommé ! Comment, diable ! v.318 (Acte 1, scène 16, TRIGAUDIN)
  181. Et des cochons ! Suffit ; rien ne peut m'émouvoir ; v.319 (Acte 1, scène 16, TRIGAUDIN)
  182. Je prétends, en bon juge, en faire mon devoir : v.320 (Acte 1, scène 16, TRIGAUDIN)
  183. Je vais prendre ma robe. Enfants, attendez là. v.324 (Acte 1, scène 16, TRIGAUDIN)
  184. Noutre bailli, tout franc, entend les récritures. v.325 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  185. Aux autres, pour avoir un méchant jugement, v.331 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  186. Y leu faut, palsangué, plus de recoulement, v.332 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  187. An n'en serait chevir, et c'est la mer à boire : v.334 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  188. Oui, morgué, c'est l'entenre. v.337 (Acte 1, scène 17, GUILLOT)
  189. Ma si, tandis qu'il est dans son himeur de penre, v.338 (Acte 1, scène 17, GUILLOT)
  190. À noutre collecteur je faisions... tu m'entends. v.339 (Acte 1, scène 17, GUILLOT)
  191. C'est très bian avisé ; vengeons-nous tout d'un temps. v.340 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  192. La pensée v.341 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  193. En est bonne : oui, ma foi, baillons-li la poussée. v.342 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  194. Il en mourra plus d'un. v.344 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
  195. Eh ! Non : sait-on pas bien ?... v.347 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
  196. S'il les récuse, enfin ? v.348 (Acte 1, scène 18, MATHIEU)
  197. Allez, ne craignez rien : v.348 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
  198. Voyez-vous, ces détours ne peuvent me surprendre, v.349 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
  199. L'homme aux cochons, vous dis-je, est celui qu'il faut pendre. v.350 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
  200. Mais, monsieu, si toujou je commencions par là, v.351 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
  201. Je pourrions là-dessus raisonner un moment. v.355 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
  202. Partons incessamment ; v.356 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
  203. Quoi ! Qu'est-ce encor, Toinon ? Ne partirons-nous pas ? v.359 (Acte 1, scène 19, TRIGAUDIN)

DÉMOCRITE (1700)

  1. Depuis près de deux ans je vis en cet endroit, v.3 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  2. Suivant de Démocrite, en cette solitude, v.5 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  3. Pour un homme d'esprit comme moi, ce sont gens v.7 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  4. Je la crois bien défunte ; et, s'il n'était ainsi, v.11 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  5. Depuis vingt ans et plus son extrême insolence v.13 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  6. J'erre depuis ce temps, de climats en climats, v.15 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  7. Et j'ai dans ce désert enfin fixé mes pas. v.16 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  8. Quelques maux que j'endure en ce lieu solitaire, v.17 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  9. Je me tiens trop heureux d'avoir pu m'en défaire ; v.18 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  10. Voudraient de leur moitié se voir loin à ce prix. v.20 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  11. Thaler vient. Le manant, pour notre subsistance, v.21 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  12. Il nous fait bien souvent de fort mauvais repas : v.23 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  13. Il faut prendre ou laisser, et l'on ne choisit pas. v.24 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  14. Depuis deux ans je jeûne en ce désert maudit. v.27 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  15. Que j'ai prise en passant dans le plus clair ruisseau. v.36 (Acte 1, scène 2, THALER)
  16. Tout est-il en oignons ? N'y croît-il point de vin ? v.39 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  17. Dit que du vin l'on doit surtout faire abstinence v.41 (Acte 1, scène 2, THALER)
  18. C'est un homme bizarre, ennemi de la vie, v.45 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  19. Me voir comme un fantôme ; et, quand tu reviendras, v.47 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  20. De grâce, apporte-m'en le plus que tu pourras, v.48 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  21. Entends-tu, mon enfant ? v.51 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  22. J'aime encore le sexe. v.53 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  23. Elle est, morgué, gentille ; v.53 (Acte 1, scène 2, THALER)
  24. Elle ne peut manquer de plaire, assurément. v.56 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  25. Mais elle n'est pas tant ma fille que l'on pense. v.58 (Acte 1, scène 2, THALER)
  26. Comment donc ? v.59 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  27. Bon ! Qui sait d'où je venons tretous ? v.59 (Acte 1, scène 2, THALER)
  28. C'est donc la mode aussi d'en user parmi vous v.60 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  29. Qu'on ne se pique pas d'être enfant de son père ? v.62 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  30. Suffit, je m'entends bien. Mais enfin, m'est avis v.63 (Acte 1, scène 2, THALER)
  31. Que votre Démocrite en tient pour Criséis. v.64 (Acte 1, scène 2, THALER)
  32. Je vous soutiens que je ne suis pas grue : v.66 (Acte 1, scène 2, THALER)
  33. Je flaire un amoureux, voyez-vous, de cent pas. v.67 (Acte 1, scène 2, THALER)
  34. Le diable est bien malin, et fait souvent son coup. v.71 (Acte 1, scène 2, THALER)
  35. Parbleu, je le voudrais, m'en coûtât-il beaucoup. v.72 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  36. Je m'ennuie : v.74 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  37. Bon ! Vous vous moquez bien : v.75 (Acte 1, scène 2, THALER)
  38. Eh ! Peut-on s'ennuyer lorsque l'on ne fait rien ? v.76 (Acte 1, scène 2, THALER)
  39. Animé d'une ardeur vraiment philosophique, v.77 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  40. Je vivrais affranchi du commerce des sens, v.79 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  41. Qu'entièrement défait de femme et de ménage, v.81 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  42. Les passions sur moi n'auraient nul avantage : v.82 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  43. Mais je me suis trompé, ma foi, bien lourdement ; v.83 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  44. Le corps contre l'esprit regimbe à tout moment. v.84 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  45. Et que fait Démocrite en cette grotte obscure ? v.85 (Acte 1, scène 2, THALER)
  46. Il soutient par raisons, que les hommes sont tous v.87 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  47. Plus élevés cent fois que les plus hauts clochers. v.92 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  48. Aux astres, en ces lieux, nous rendons nos visites ; v.93 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  49. Des almanachs ! Morgué, j'en voudrais savoir faire. v.97 (Acte 1, scène 2, THALER)
  50. Hé bien, changeons d'état ; ce n'est pas une affaire. v.98 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  51. Tu deviendrais savant ; tu saurais, comme moi, v.100 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  52. Que rien ne vient de rien ; et que des particules... v.101 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  53. Rien ne retourne en rien ; de plus, les corpuscules... v.102 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  54. Les atomes, d'ailleurs, par un secret lien, v.103 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  55. Accrochés dans le vide... Entends-tu bien ? v.104 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  56. Fort bien. v.104 (Acte 1, scène 2, THALER)
  57. Tu pourrais dès ce jour entrer en exercice : v.110 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  58. J'en ferai bon marché. v.111 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  59. C'est bien l'argent, ma foi, v.111 (Acte 1, scène 2, THALER)
  60. Et comment as-tu fait, cela ne te déplaise ? v.114 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  61. Comment ? Je le sais bien, il suffit. v.115 (Acte 1, scène 2, THALER)
  62. Mais encor ; v.115 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  63. Un trésor ! En quel lieu peut-il être ? v.117 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  64. Juste ciel ! D'où te vient ce bijou plein de feu ? v.123 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  65. Mais Démocrite vient. Motus, il faut se taire. v.126 (Acte 1, scène 3, THALER)
  66. Suivant les anciens, et ce qu'ils ont écrit, v.127 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
  67. Il est, à tout moment, v.131 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
  68. La dupe de lui-même et de son changement. v.132 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  69. Il veut, il se repent, il élève, il détruit: v.136 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  70. Plus léger que le vent, plus inconstant que l'onde, v.137 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  71. Il se croit en effet le plus sage du monde : v.138 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  72. En ce cas, je suis de votre avis. v.143 (Acte 1, scène 3, STRABON)
  73. Je l'attendais ici ; j'en ai le coeur en peine : v.145 (Acte 1, scène 3, THALER)
  74. Elle tarde, et cela commence à me fâcher. v.147 (Acte 1, scène 3, THALER)
  75. Elle viendra bientôt, car je vais la chercher. v.148 (Acte 1, scène 3, THALER)
  76. Car je ne pense pas que nul d'entre eux jamais v.151 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  77. C'est bien fait ; suis toujours ton appétit brutal. v.156 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  78. Quand je nourris le corps, l'esprit s'en porte mieux. v.159 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  79. Mais mon corps, en revanche, est maigre, dont j'enrage. v.161 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  80. Je serai bien contraint, moi, de vous planter là. v.164 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  81. Puisque ton coeur est plein de sentiments si bas : v.167 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  82. Te mener par la main aux régions célestes, v.170 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  83. Affranchir ton esprit de l'empire des sens : v.171 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  84. Tu ne mérites pas la peine que je prends, v.172 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  85. Animal sensuel, qui n'oserais me suivre ! v.173 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  86. Sensuel, j'en conviens ; j'aime à manger pour vivre : v.174 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  87. Qu'entends-tu donc par là? v.176 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  88. J'entends ce que je veux v.176 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  89. Pour donner, comme un autre, en l'erreur populaire ? v.181 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  90. Et feriez le galant ! J'en rirais tout mon soûl. v.183 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  91. Que je souffre en dedans, et qu'il me mortifie ! v.185 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  92. Sous la sagesse en vain on se met à couvert ; v.191 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  93. Toujours par quelque endroit notre coeur est ouvert. v.192 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  94. L'homme fait, malgré lui, souvent ce qu'il condamne. v.193 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  95. Puisque ton coeur est plein de sentiments si bas : v.195 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  96. Animal sensuel ! v.197 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  97. Le ciel m'en garde ! Mais j'ai cru m'apercevoir v.199 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  98. Que les filles vous font encor plaisir à voir. v.200 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  99. Votre humeur ne m'est pas tout à fait bien connue, v.201 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  100. Par le commerce humain n'est point encor gâté : v.204 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  101. La vérité se voit en elle toute pure ; v.205 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  102. Vous avez fait divorce avec le genre humain ; v.207 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  103. Mais vous vous raccrochez encore au féminin. v.208 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  104. Sur son front pudibond brille son innocence. v.210 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  105. Dans mon âme attendrie v.214 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  106. Je sens, en la voyant, la raison et l'amour, v.215 (Acte 1, scène 5, D?MOCRITE)
  107. N'avez-vous point, la belle, en votre promenade, v.217 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  108. Donné, sans y penser, près de quelque embuscade ? v.218 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  109. Je ne rencontre point telles gens en chemin. v.224 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
  110. M'invitaient à laver mon visage et mes mains. v.227 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  111. Son teint n'est point encor nourri dans l'imposture ; v.230 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  112. Ce fard que vous prenez au bord d'une onde claire v.233 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  113. D'autres soins en ces lieux m'occupent tout le jour. v.235 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
  114. Je veux vous en instruire. v.237 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  115. Quoi ! Vous qui raisonnez philosophiquement, v.239 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  116. Qui parlez à vos sens impérativement, v.240 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  117. Une fille vous met en l'état où vous êtes ! v.242 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  118. L'amour est, en effet, ce qu'on a peine à dire ; v.245 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  119. À se perpétuer et rendre son espèce... v.249 (Acte 1, scène 5, D?MOCRITE)
  120. Pour un homme d'esprit vous parlez mal tendresse. v.250 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  121. Qui vous prend, je ne sais ni par où, ni pourquoi ; v.252 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  122. Qui va je ne sais où ; qui fait naître en notre âme v.253 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  123. Je ne sais quelle ardeur que l'on sent pour la femme : v.254 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  124. Sort enfin de nos coeurs, et je ne sais comment. v.256 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  125. Mon esprit est borné : je ne veux point apprendre v.261 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
  126. Les choses qui me font tant de peine à comprendre. v.262 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  127. En exerçant l'amour, vous le comprendrez mieux. v.263 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  128. Qui peut si brusquement nous surprendre en ces lieux? v.264 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  129. Attendons quelque temps que la chaleur se passe. v.266 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  130. Voilà peut-être de ces gens v.267 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  131. Pour moi, je ne vois rien dans leur air qui m'étonne. v.269 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  132. Et comment se peut-il que ces sombres forêts v.271 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  133. Renferment un objet si doux, si plein d'attraits ? v.272 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  134. Tout cela ne vaut rien. Ces gens-ci, dans leur course, v.273 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  135. Paraissent en vouloir plus au coeur qu'à la bourse. v.274 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  136. Permettez qu'en ce sauvage endroit v.275 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  137. On rende à vos appas l'hommage qu'on leur doit ; v.276 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  138. Dans la route bientôt Strabon vous remettra. v.280 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  139. Et j'ai mis pied à terre en ces lieux détournés... v.283 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  140. Ah ! Je m'en réjouis. Prendre bien de la peine, v.285 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  141. Aller dans les forêts prévenir le soleil ; v.288 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  142. Passer en plein midi les guérets, les campagnes ; v.290 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  143. Dans les plus creux vallons fondre en désespérés, v.291 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  144. Percer rapidement les bois les plus fourrés ; v.292 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  145. Ignorer où l'on va, n'avoir qu'un chien pour guide, v.293 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  146. Manquer la bête enfin, après avoir couru, v.295 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  147. Et revenir bien tard, mouillé, las et recru, v.296 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  148. Estropié souvent : dites-moi, je vous prie, v.297 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  149. Cela ne vaut-il pas la peine qu'on en rie ? v.298 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  150. Sont les amusements des plus fameux héros ; v.300 (Acte 1, scène 6, AGÉNOR)
  151. Ils mêlent dans leurs jeux l'image de la guerre. v.302 (Acte 1, scène 6, AG?NOR)
  152. Sais-tu bien v.307 (Acte 1, scène 6, AGÉNOR)
  153. Moi ? Non, je n'en sais rien. v.308 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  154. Cet esprit si vanté, ce Démocrite, enfin, v.316 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  155. Vous venez à propos ; nous nous mettions à table : v.322 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  156. Vous prendrez votre part d'un très frugal repas : v.323 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  157. Mais il faut excuser, on ne vous attend pas. v.324 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  158. De manger à présent je ne sens nulle envie ; v.326 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  159. Vous rendre le repas que vous m'avez offert. v.328 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  160. Pour venir à ma cour. v.331 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  161. Que je m'en vais manger ! v.332 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  162. Vous viendrez avec nous. v.332 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  163. M'attireraient bientôt un monde d'ennemis. v.336 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  164. Je vous demande encore une seconde grâce, v.338 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  165. Je dépends de mon père : v.341 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  166. Sans son consentement je ne saurais rien faire : v.342 (Acte 1, scène 6, CRIS?IS)
  167. Mais j'aurais grand plaisir de le suivre en des lieux v.343 (Acte 1, scène 6, CRIS?IS)
  168. Les hommes si bien faits ! v.346 (Acte 1, scène 6, CRIS?IS)
  169. Je les connaîtrai mieux bientôt, si vous voulez. v.348 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  170. Vous avez sur mon père une entière puissance ; v.349 (Acte 1, scène 6, CRIS?IS)
  171. Vous vous moquez, je pense. v.350 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  172. Examinez-moi bien ; ai-je, du bas en haut, v.351 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  173. J'attends de vos bontés cette faveur extrême : v.353 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  174. Songez qu'en vous priant, j'ai droit de commander. v.356 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  175. J'ai des gens, des chevaux dans la route prochaine ; v.358 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  176. Pour se rendre en ces lieux on va les avertir. v.359 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  177. Toi, prends soin, Agénor, de les faire partir. v.360 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  178. Qu'à mes soins diligents votre coeur s'abandonne. v.362 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  179. Morgué, je n'en puis p1us ; je vous cherche partout: v.363 (Acte 1, scène 6, THALER)
  180. Pargué, j'irai fort bien, sans répugnance aucune: v.369 (Acte 1, scène 6, THALER)
  181. Que je sens là-dedans de trouble et de combats ! v.376 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  182. Insensibles témoins de la faim que j'endure ; v.378 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  183. Si, pour philosopher, je reviens parmi vous, v.380 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  184. Je veux qu'une panthère, avec sa dent gloutonne, v.381 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  185. De cet ennui soudain qui vous tient sous ses lois, v.387 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  186. Mais, puisque sans parler je ne puis m'en instruire, v.390 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  187. Je veux bien avouer qu'un manque de couronne v.401 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  188. Est l'unique défaut qui soit en sa personne, v.402 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  189. S'il était un peu moins sensible à la grandeur. v.404 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  190. Mais enfin un chagrin que je ne puis comprendre, v.405 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  191. Ma chère Cléanthis, est venu me surprendre : v.406 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  192. Je le chasse, il revient ; et je ne sais pourquoi, v.407 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  193. Je vous l'apprends encor, si vous ne le savez, v.411 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  194. J'en suis un peu la cause, et vous me le devez, v.412 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  195. Comment ? v.413 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  196. Par un second hymen épousa le feu roi v.415 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  197. Qui régnait en ces lieux, mais avec cette loi, v.416 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  198. Que, si d'aucun enfant il ne devenait père, v.417 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  199. Du trône athénien vous seriez l'héritière, v.418 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  200. Et que son successeur deviendrait votre époux. v.419 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  201. Elle trouva moyen de changer cette fille, v.421 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  202. Et de mettre un enfant, pris d'une autre famille, v.422 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  203. Et qui mourut aussi, je crois, le lendemain. v.424 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  204. Moi, j'allai cependant, sans tarder davantage, v.425 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  205. Porter nourrir l'enfant dans un lointain village. v.426 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  206. Un pauvre paysan, que l'or sut engager, v.427 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  207. De ce fardeau pour moi voulut bien se charger. v.428 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  208. Je lui dis que l'enfant tenait de moi naissance, v.429 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  209. Qu'il devait avec soin élever son enfance: v.430 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  210. Le pâtre crût enfin tout ce que je lui dis. v.432 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  211. Quinze ans se sont passés depuis cette aventure. v.433 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  212. N'a pu de cette fille avoir ni vent ni voix. v.436 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  213. Je sais depuis longtemps ce que tu viens de dire ; v.437 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  214. Ta bouche avait déjà pris soin de m'en instruire ; v.438 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  215. Ce souvenir encore augmente ma terreur, v.439 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  216. Et vient justifier le trouble de mon coeur. v.440 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  217. Soient toujours de leurs maux les premiers instruments. v.448 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  218. Qu'il ait paru rêveur, enjoué, gai, chagrin ; v.451 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  219. Qu'il n'ait pas ri, pleuré, parlé, que sais-je enfin ? v.452 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  220. Voilà la jalousie aussitôt en campagne. v.453 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  221. Fermer souvent les yeux ; bien entendu, pourtant, v.459 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  222. Pour un coeur délicat, qu'un tendre amour engage, v.461 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  223. Toujours quelque soupçon renaît pour l'alarmer. v.463 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  224. Oui ! Je me suis d'aimer parfois licenciée ; v.465 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  225. Autant que je le puis, je tiens le cas secret. v.468 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  226. Eussent fixé mon sort auprès de votre mère, v.470 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  227. Comme ils sont presque tous : je l'ai tant tourmenté, v.475 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  228. Qu'enfin il m'a privé de sa vue importune ; v.477 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  229. Le diable l'a mené chercher ailleurs fortune. v.478 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  230. Et quand même en ces lieux il viendrait à paraître, v.481 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  231. J'ai bien changé d'état ; et lorsqu'il s'en alla, v.483 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  232. Je n'étais qu'un enfant haute comme cela. v.484 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  233. Consentez, je vous prie, à venir avec moi, v.488 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  234. Pour voir un animal qu'en ces lieux on amène, v.489 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  235. Il tient, à ce qu'on dit, et de l'homme et de l'ours ; v.491 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  236. On appelle cela, je pense... un Démocrite. v.493 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  237. Tu rends assurément peu d'honneur au mérite. v.494 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  238. J'en fais mon seul plaisir. Tout ce que tu m'as dit, v.499 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  239. Et mes jaloux soupçons, m'occupent trop l'esprit. v.500 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  240. Quelqu'un s'avance ici. Je m'en vais vous conduire, v.501 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  241. Et reviendrai pour voir cet homme qu'on admire. v.502 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  242. C'est là qu'il faut venir se montrer au grand jour ; v.504 (Acte 2, scène 2, STRABON)
  243. Et c'est mon centre, à moi. Bon vin, bonne cuisine ; v.505 (Acte 2, scène 2, STRABON)
  244. Cela me sied bien. Mais quelqu'un ici s'avance... v.509 (Acte 2, scène 2, STRABON)
  245. C'est Thaler. Justes dieux ! Quelle magnificence ! v.510 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  246. Si quelqu'un vient encor se gausser davantage, v.513 (Acte 2, scène 3, THALER)
  247. D'où te vient, mon enfant, l'humeur où te voilà ? v.515 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  248. Ils sont un régiment de diverses figures ; v.517 (Acte 2, scène 3, THALER)
  249. Jaune, gris, vert, enfin de toutes les peintures, v.518 (Acte 2, scène 3, THALER)
  250. C'est qu'ils sont enchantés v.520 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  251. De voir un gentilhomme avec si bonne mine, v.521 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  252. Je me donne au grand diable d'enfer v.524 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  253. Je suis, sans vanité, bien tourné quand je veux, v.527 (Acte 2, scène 3, THALER)
  254. Notre fille est, de même, en fort bon équipage. v.530 (Acte 2, scène 3, THALER)
  255. Allons, faut dire vrai, je suis content du roi ; v.531 (Acte 2, scène 3, THALER)
  256. Morguenne, il en agit rondement avec moi. v.532 (Acte 2, scène 3, THALER)
  257. Ils m'ont bien fait dîner : c'est un plaisir extrême v.533 (Acte 2, scène 3, THALER)
  258. Lorsque l'on peut tous deux les contenter, s'entend. v.535 (Acte 2, scène 3, THALER)
  259. Tu te trouves donc bien en cette hôtellerie ? v.537 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  260. Tient encore, à mes yeux, quelque peu du village. v.542 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  261. De la vivacité. Danse. Prends du tabac. v.547 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  262. Ne tends pas tant le dos. Renfonce l'estomac. v.548 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  263. Oh ! Morgué, bellement ; comme vous êtes rude ! v.549 (Acte 2, scène 3, THALER)
  264. Paix, Démocrite vient : v.551 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  265. Prends d'un jeune seigneur la taille et le maintien. v.552 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  266. Non, morgué, je m'en vais : aussi bien je pétille, v.553 (Acte 2, scène 3, THALER)
  267. En ces lieux, comme ailleurs, je vois de toutes parts v.555 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  268. Entouré d'officiers, escorté de valets, v.560 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  269. Il prétend, s'il vous plaît, m'accorder cette grâce, v.565 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  270. Que de votre intendant je prenne ici la place ; v.566 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  271. Et je viens vous offrir mes soins et mon savoir. v.567 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  272. Mais je n'ai nulle affaire, et n'en veux point avoir, v.568 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  273. Vous avez sur les gens un pouvoir despotique, v.573 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  274. Tienne de tous mes faits un registre importun ? v.580 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  275. Des gens de qualité c'est l'ordinaire usage. v.581 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  276. Cet usage, à mon gré, n'est ni prudent ni sage. v.582 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  277. Les hommes, qui souvent font tout mal à propos, v.583 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  278. Et qui devraient cacher leur faible et leurs défauts, v.584 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  279. Pour faire à tout moment, et dire des sottises, v.586 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  280. Le prince à vous m'envoie, v.589 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  281. C'est, entre vous et moi, v.591 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  282. J'en suis persuadé de reste. v.595 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  283. Ne vous y fiez pas, je vous en avertis. v.599 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  284. D'homme plus entendu que vous dans les affaires, v.602 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  285. Prenez-y garde au moins, car il ne va pas droit. v.604 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  286. Monsieur, en vérité, vous êtes trop honnête. v.605 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  287. Nul n'entend mieux que vous à donner un repas, v.607 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  288. En aussi peu de temps, sans bruit, sans embarras. v.608 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  289. À nettoyer un bien, à liquider des dettes v.613 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  290. C'est un homme sans foi, qui prend de toute main, v.615 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  291. Messieurs, je suis ravi qu'en vous rendant service, v.617 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  292. Tous deux, en même temps, vous vous rendiez justice. v.618 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  293. Allez, continuez, aimez-vous bien toujours, v.619 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  294. Me fait naître pour vous encore plus d'estime. v.622 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  295. De ces 1âches flatteurs qui hautement vous louent, v.625 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  296. Et dans l'occasion tout bas se désavouent ; v.626 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  297. De ces menteurs outrés, ces caractères bas, v.627 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  298. Qui disent tout le bien et le mal qui n'est pas ; v.628 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  299. Toutes sortes de biens. Et vous, à votre tour, v.632 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  300. Parlez à coeur ouvert, qu'en dites-vous vous-même ? v.633 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  301. Tu t'imagines bien que ma joie est extrême v.634 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  302. D'y voir certaines gens tout fiers de leur maintien, v.635 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  303. Qui ne déparlent pas, et qui ne disent rien ; v.636 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  304. D'y rencontrer partout des visages d'attente, v.637 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  305. Qui n'ont que l'espérance et les désirs pour rente ; v.638 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  306. S'efforcent de duper les hommes et les dieux ; v.640 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  307. Des complaisants en charge, et payés pour sourire v.641 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  308. Je m'en rapporte à vous. v.647 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  309. Dis-moi, que dit, que fait, que pense Criséis ? v.648 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  310. Si l'on en peut juger à l'air de son visage, v.649 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  311. Elle se plaît ici bien mieux qu'en son village. v.650 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  312. Vous savez qu'en princesse on la traite. v.653 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  313. Elle montre, avec art, quoique novice encore, v.657 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  314. Ne ressent de l'amour quelque vive étincelle. v.662 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  315. L'on va vite en ces lieux, v.663 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  316. Et comment Criséis prend-elle cet hommage ? v.665 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  317. Montre-t-elle l'entendre ? v.667 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  318. Oh ! Vraiment, je le crois. v.667 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  319. Elle l'entend déjà mieux que vous et que moi. v.668 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  320. En savoir déjà tant ! v.671 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  321. Comme un aventurier donnât dans la bergère ? v.674 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  322. J'en rirais tout à fait. v.675 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  323. Les hommes sont bien fous ! Rions-en, je vous prie : v.678 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  324. Je les trouve à présent presque aussi sots que vous. v.679 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  325. Il ne me manquait plus que d'être encor jaloux. v.680 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  326. J'étouffe, et je sens là... certain poids qui m'oppresse. v.681 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  327. D'où vous vient, s'il vous plaît, cette sombre tristesse ? v.682 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  328. Du bien de Criséis n'êtes-vous pas content ? v.683 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  329. Ces feux pour Criséis me donnent quelque ombrage. v.685 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  330. Elle est sous ma conduite arrivée en ces lieux, v.687 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  331. Et j'en dois prendre soin. v.688 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  332. À vouloir d'un enfant surprendre l'innocence, v.690 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  333. Qui doit être en sa cour en toute sûreté. v.691 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  334. Mais il faut empêcher que cet amour n'augmente ; v.693 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  335. Je m'y trouve trop bien. v.697 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  336. Le pauvre diable en a tout autant qu'il en faut, v.699 (Acte 2, scène 6, STRABON)
  337. Voilà, certes, quelqu'un de ces nouveaux venus ; v.703 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  338. Il ne faut point ici perdre le jugement, v.707 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  339. Mais en homme d'esprit tourner un compliment. v.708 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  340. Chacun doit convenir, en voyant vos attraits, v.711 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  341. Que le vôtre est formé d'atomes bien parfaits. v.712 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  342. À votre air étranger, on devine aisément... v.715 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  343. À mon air étranger ! Parlez plus congrûment. v.716 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  344. J'en ai, sans me vanter, de la plus fine espèce. v.718 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  345. Et tous nos courtisans voudraient vous ressembler. v.720 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  346. C'est par l'ordre du roi que j'y viens aujourd'hui ; v.723 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  347. Je suis, sans me vanter, assez bien avec lui : v.724 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  348. Et nous devons, je crois, ce soir souper ensemble. v.726 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  349. D'accord ; mais il sait vivre, et connaît bien ses gens. v.728 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  350. Tout en vous est noble et gracieux. v.732 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  351. Je veux être un maraud, si mes sens, en échange, v.734 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  352. À ne pas attaquer vainement une belle. v.738 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  353. Revenir, s'apaiser, se remettre en colère ; v.741 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  354. Faire bien le jaloux, et vouloir se défaire ; v.742 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  355. Être un jour sans manger, bouder seul en un coin ; v.744 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  356. Redoubler quelquefois de tendresses nouvelles. v.745 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  357. On est bien malheureux et bien disgracié, v.747 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  358. Quand on manque, à la fin, d'en tirer aile ou pied. v.748 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  359. La nature, en naissant, vous fit l'âme sensible. v.749 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  360. Ainsi donc votre coeur s'est souvent enflammé ? v.751 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  361. Faire fumer l'encens au pied de vos autels. v.756 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  362. Mais certaine raison, qui murmure en mon coeur, v.759 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  363. À mes désirs aussi j'en ai quelqu'un contraire ; v.761 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  364. Que nous aurions bientôt terminé notre affaire ! v.766 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  365. Votre abord est si tendre et si persuasif... v.767 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  366. Vous avez un abord tellement attractif... v.768 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  367. Que d'un charme puissant on se sent ravir l'âme. v.769 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  368. Qu'en vous voyant paraître, aussitôt on se pâme. v.770 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  369. Je sens que ma vertu combat mal avec vous ; v.771 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  370. Auprès de vos appas je défends mal mon coeur. v.775 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  371. Quelles félicités ! Et qu'en sa compagnie v.777 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  372. Courage, mon garçon ; continue ; encore une, v.781 (Acte 2, scène 8, STRABON)
  373. Et te voilà passé maître en bonne fortune. v.782 (Acte 2, scène 8, STRABON)
  374. Criséis, par votre ordre, en ces lieux va se rendre ; v.783 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  375. Et vous pouvez bientôt et la voir et l'entendre. v.784 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  376. Votre coeur me paraît bien prompt à s'enflammer. v.786 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  377. Je ne te cache rien de l'état de mon âme. v.787 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  378. Sois témoin du progrès ; mes feux sont parvenus, v.789 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  379. En moins d'un jour, au point de ne s'accroître plus. v.790 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  380. J'adore Criséis : à chaque instant, en elle v.791 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  381. Son esprit se fait voir, même dans son silence : v.795 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  382. Elle n'a rien des bois que la seule naissance. v.796 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  383. De ces feux violents .quelle sera la fin ? v.797 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  384. Suivait de cette loi la douce violence. v.804 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  385. Ce coeur même, en secret, souvent s'applaudissait v.805 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  386. Mais depuis le moment qu'une jeune bergère v.807 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  387. Mon penchant pour Ismène aussitôt m'a quitté. v.809 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  388. Je me sens entraîner tout d'un autre côté. v.810 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  389. Ciel, qui sais mon amour, fais si bien, qu'en son âme v.811 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  390. Et le sort prend plaisir, d'une chaîne secrète, v.815 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  391. Pour Criséis encore irrite mon ardeur. v.818 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  392. Je ne sais ce qu'annonce une telle aventure ; v.819 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  393. Mais un des miens m'a dit qu'en changeant de parure, v.820 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  394. Je suis trop en chagrin, je vais lui dire, moi ; v.825 (Acte 3, scène 2, THALER)
  395. Je m'en vais, palsangué, lui débrider ma chance. v.827 (Acte 3, scène 2, THALER)
  396. Je suis en cet état pour ma commodité. v.833 (Acte 3, scène 2, AGÉLAS)
  397. Je sons nourris, vêtus mieux qu'à nous n'appartient ; v.837 (Acte 3, scène 2, THALER)
  398. Mais on nous fait un tour qui, tout franc, ne vaut rien. v.838 (Acte 3, scène 2, THALER)
  399. C'est pis qu'un bois ; vos gens n'ont point de conscience. v.839 (Acte 3, scène 2, THALER)
  400. Vos valets de chambre. Ah, la maudite engeance ! v.843 (Acte 3, scène 2, THALER)
  401. En me déshabillant en toute diligence v.844 (Acte 3, scène 2, THALER)
  402. L'un un pied, l'autre un bras (ils ont eu bientôt fait), v.845 (Acte 3, scène 2, THALER)
  403. Il est de votre honneur de les faire tous pendre. v.847 (Acte 3, scène 2, THALER)
  404. Ne vous alarmez point, je vous le ferai rendre ; v.848 (Acte 3, scène 2, AGÉLAS)
  405. Je veux que l'on le trouve, et je vous en réponds. v.849 (Acte 3, scène 2, AG?LAS)
  406. Tous les honnêtes gens d'ici sont des fripons : v.850 (Acte 3, scène 2, THALER)
  407. Je sais pourtant fort bien que ce n'est pas vous, sire ; v.851 (Acte 3, scène 2, THALER)
  408. Je vous crois honnête homme, et je sais bien qu'en dire : v.852 (Acte 3, scène 2, THALER)
  409. Suivent ces étrangers qu'Agélas considère. v.856 (Acte 3, scène 2, AGÉLAS)
  410. Mais, parlant par respect, l'honneur que l'on me rend v.858 (Acte 3, scène 2, THALER)
  411. Lorsque d'un compliment j'entreprends le discours. v.862 (Acte 3, scène 2, THALER)
  412. Le souvenir toujours vivra dans ma mémoire ; v.872 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  413. Je ne me plaisais pas en des lieux pleins d'attraits, v.874 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  414. Où les dames surtout ne s'occupent qu'à plaire, v.876 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  415. Et font de leur beauté tout leur amusement. v.878 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  416. Ne s'en trouve-t-il point quelqu'un assez heureux v.881 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  417. Pourriez-vous les voir tous avec indifférence ? v.883 (Acte 3, scène 3, AG?LAS)
  418. On dit qu'il ne faut point qu'avec trop de licence v.884 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  419. Et dise de son coeur les sentiments secrets. v.886 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  420. Il en est un pourtant, si j'ose ici le dire, v.887 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  421. Qui, d'un charme flatteur que sa présence inspire, v.888 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  422. Se distingue aisément, et qui de toutes parts v.889 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  423. Vous prenez du plaisir en le voyant paraître ? v.891 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  424. Ne paraissent plus rien, et deviennent si laids v.894 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  425. Qu'on ne regarde plus tout ce qui l'environne. v.895 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  426. Aucun objet encor n'a pu vous enflammer ? v.898 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  427. Qu'il m'aime, moi, seigneur ! Je me garderais bien, v.901 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  428. S'il me parlait ainsi, d'en croire jamais rien : v.902 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  429. On parle dans ces lieux autrement qu'on ne pense ; v.903 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  430. Avec bien du plaisir je vous vois à ma cour. v.905 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  431. Comment vous trouvez-vous de ce nouveau séjour ? v.906 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  432. Seigneur, je ne voulusse être déjà bien loin. v.910 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  433. On me croit en ces lieux placé hors de ma sphère, v.911 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  434. Un animal venu d'une terre étrangère : v.912 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  435. Chacun ouvre les yeux, et me prend pour un ours. v.913 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  436. Des airs d'un courtisan faire l'apprentissage ? v.916 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  437. Ni jusqu'à cet excès descendre et me plier. v.918 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  438. Ainsi pour faire bien, permettez que sur l'heure v.919 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  439. Nous allions tous revoir notre ancienne demeure : v.920 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  440. Strabon, Criséis, moi, nous vous en prions tous. v.921 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  441. En ce lieu, plus qu'ailleurs, je suis, moi, dans ma sphère. v.923 (Acte 3, scène 4, STRABON)
  442. Si Criséis le veut, je consens à tout faire. v.924 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  443. Conviendrait beaucoup mieux à ma simplicité : v.926 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
  444. Mais, s'il faut devant vous dire ce que l'on pense, v.927 (Acte 3, scène 4, CRIS?IS)
  445. Ce beau lieu me retient sans nulle violence ; v.928 (Acte 3, scène 4, CRIS?IS)
  446. Je n'en choisirais point d'autre que votre cour. v.930 (Acte 3, scène 4, CRIS?IS)
  447. Je ne répondrais pas mieux qu'elle vient de faire. v.932 (Acte 3, scène 4, STRABON)
  448. C'est fort bien fait ! La cour a pour vous des appas ? v.933 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  449. Quoi ! Vous pourriez vous plaire en un lieu de fracas, v.934 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  450. Où l'envie a choisi sa demeure ordinaire, v.935 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  451. Où l'humeur se contraint, où le coeur se dément, v.937 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  452. Où tout le savoir-faire est un raffinement, v.938 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  453. La cour, qu'en ce tableau vous nous représentez, v.941 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  454. Vous ne la prenez pas par ses plus beaux côtés. v.942 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  455. Convenez que toujours l'esprit, la politesse, v.944 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  456. Plus qu'en nul autre endroit, y sont dans leur éclat. v.946 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  457. Que le sexe y tient un doux empire ; v.947 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  458. Qu'on rend à la beauté les respects qu'elle attire ; v.948 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  459. Et que deux yeux charmants, tels qu'à présent j'en vois, v.949 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  460. Peuvent prétendre ici les honneurs dûs aux rois. v.950 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  461. Me préserve le ciel d'un jugement semblable ! v.956 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  462. Votre coeur, je le sais, se ferme à la tendresse. v.960 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  463. Chacun ne parvient pas à cet état heureux. v.961 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  464. Ma présence, je crois, n'est pas trop nécessaire. v.964 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  465. Absent, comme présent, vous pouvez, à loisir, v.965 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  466. Suivre les mouvements de ce tendre désir. v.966 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  467. Pour me déterminer j'attends peu son suffrage. v.972 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  468. Oui, belle Criséis, je sens pour vous un feu v.973 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  469. Mais un coeur bien épris veut être aimé de même. v.975 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  470. Vous ne répondez rien. v.976 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  471. D'entendre cet aveu de la bouche d'un roi : v.977 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
  472. Mon silence, seigneur, répond assez pour moi. v.978 (Acte 3, scène 4, CRIS?IS)
  473. Ce silence douteux à trop de maux m'expose. v.979 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  474. Secondez mes désirs, parlez en ma faveur. v.981 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  475. Oui, je veux de vous tenir son coeur : v.982 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  476. Vos conseils ont sur elle une entière puissance ; v.983 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  477. Vantez-lui mon amour bien plus que ma naissance. v.984 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  478. Par grâce, de ce soin, seigneur, dispensez-moi : v.985 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  479. Je n'ai point les talents propres à cet emploi. v.986 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  480. Je suis un faible agent auprès d'une maîtresse ; v.987 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  481. J'ignore le grand art qui surprend la tendresse. v.988 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  482. Votre amour, où vos soins veulent m'intéresser, v.989 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  483. Non, j'attends tout de vous ; je connais votre zèle, v.991 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  484. Mettre mes intérêts en de meilleures mains ? v.994 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  485. Un fâcheux argument pour la philosophie. v.996 (Acte 3, scène 5, STRABON)
  486. Et je n'attendais pas l'honneur que je reçois. v.998 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  487. Il vient de m'ordonner de disposer votre âme, v.999 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  488. Et la rendre sensible à sa nouvelle flamme : v.1000 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  489. La charge est vraiment belle ; et, pour un tel dessein, v.1001 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  490. Il ne me faudrait plus qu'un caducée en main. v.1002 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  491. Quels sont vos sentiments ? Que prétendez-vous faire ? v.1003 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  492. C'est de vous que j'attends un avis salutaire. v.1004 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  493. Que me conseillez-vous de faire en cas pareil ? v.1005 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  494. Car je prétends toujours suivre votre conseil. v.1006 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  495. Suivez les mouvements que le coeur vous inspire. v.1008 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  496. Se rapporte si bien au penchant de mon coeur ! v.1010 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  497. J'étais, je vous l'avoue, en une peine extrême, v.1011 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  498. Je sentais pour le prince un mouvement secret, v.1013 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  499. Et je ne savais pas si c'est bien ou ma1 fait : v.1014 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  500. Maintenant que je vois le parti qu'il faut prendre, v.1015 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  501. Je puis, par votre avis, suivre un penchant si tendre. v.1016 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  502. Pour lui vous sentez donc cet appétit secret.... v.1017 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  503. J'ai bien peur d'être ici curieux indiscret. v.1018 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  504. J'ai senti dans mon coeur une flamme inconnue ; v.1020 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  505. En cessant de le voir, une tristesse affreuse v.1023 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  506. Tout d'un coup m'a rendue inquiète et rêveuse ; v.1024 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  507. À son air, à ses traits, j'ai pensé tout le jour : v.1025 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  508. Vous êtes devenue en un jour bien savante ! v.1028 (Acte 3, scène 5, STRABON)
  509. Ni nous, de nous étendre en définitions. v.1030 (Acte 3, scène 5, STRABON)
  510. Enfin donc vous aimez ? v.1031 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  511. Et vraiment oui. v.1033 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  512. Si j'aime, en vérité, ce n'est que d'aujourd'hui. v.1034 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  513. Vous m'aviez tant promis qu'aucun homme, en votre âme, v.1035 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  514. Je n'en connaissais point ; et je les croyais tous v.1037 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  515. Cette sincérité devrait vous rendre sage. v.1039 (Acte 3, scène 5, STRABON)
  516. Je sens qu'elle a raison, et cependant j'enrage. v.1040 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  517. J'ai tort de m'emporter ; reprenons désormais v.1041 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  518. L'esprit qui nous convient ; rions sur nouveaux frais. v.1042 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  519. Les hommes, en effet, ont bien peu de prudence, v.1043 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  520. Sont bien vides de sens, bien pleins d'extravagance, v.1044 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  521. De se laisser mener par de tels animaux, v.1045 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  522. Il n'en est presque point qui, vingt fois en sa vie, v.1047 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  523. N'ait senti les effets de quelque perfidie ; v.1048 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  524. Cependant on les voit, de nouveaux feux épris, v.1049 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  525. Continuez, messieurs ; soyez encor plus fous ; v.1053 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  526. Ces ris, dans l'avenir, porteront témoignage v.1055 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  527. Et que je comprends bien que tout homme, en un mot, v.1057 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  528. Est, sans m'en excepter, l'animal le plus sot. v.1058 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  529. Comme aux autres humains vous vous rendiez justice. v.1060 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  530. Dont vous avez voulu parler en sa faveur. v.1062 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  531. Vous ne riez plus tant : quel chagrin vous tourmente ? v.1063 (Acte 3, scène 6, STRABON)
  532. La chose me parait cependant fort plaisante. v.1064 (Acte 3, scène 6, STRABON)
  533. La peste ! Quel enfant ! Pour moi je suis surpris v.1065 (Acte 3, scène 6, STRABON)
  534. Comme aux filles l'esprit vient vite en ce pays. v.1066 (Acte 3, scène 6, STRABON)
  535. Mais c'est bien peu, vraiment ! v.1073 (Acte 3, scène 7, DÉMOCRITE)
  536. Ils ont mis de leur art tout le raffinement. v.1074 (Acte 3, scène 7, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  537. L'homme ait inventé l'art de se tuer lui-même ! v.1076 (Acte 3, scène 7, DÉMOCRITE)
  538. À force de ragoûts et de mets succulents, v.1077 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
  539. Il creuse son tombeau sans cesse avec ses dents. v.1078 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
  540. Produits par les enfers, payés des médecins ; v.1082 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
  541. Et, si l'on agissait en bonne politique, v.1083 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
  542. Et, si vous le pouvez, faire encor mieux demain. v.1086 (Acte 3, scène 8, STRABON)
  543. En jase qui voudra, j'ai fait en homme sage v.1087 (Acte 4, scène 1, THALER)
  544. De quitter bravement les bois et le village. v.1088 (Acte 4, scène 1, THALER)
  545. On a, morgué, raison, et c'est bien mon avis, v.1089 (Acte 4, scène 1, THALER)
  546. Un homme ne fait point fortune en son pays ; v.1090 (Acte 4, scène 1, THALER)
  547. Il a biau se sentir du talent, du génie, v.1092 (Acte 4, scène 1, THALER)
  548. Être bien fait, avoir le discours bien pendu ; v.1093 (Acte 4, scène 1, THALER)
  549. Bon ! C'est, comme dit l'autre, autant de bien perdu. v.1094 (Acte 4, scène 1, THALER)
  550. Vous avez le goût bon, je vous en félicite. v.1095 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  551. Vous vous trouvez donc bien de ce séjour nouveau ? v.1098 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  552. Si je m'y trouve bien ! Je ris, je me goberge. v.1099 (Acte 4, scène 1, THALER)
  553. Notre bijou s'en va nous être rapporté. v.1101 (Acte 4, scène 1, THALER)
  554. Vous ne devriez pas tenir un tel langage : v.1103 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  555. Ces termes-là, mon père, étaient bons au village. v.1104 (Acte 4, scène 1, CRIS?IS)
  556. Si l'on vous entendait parler ainsi du roi, v.1105 (Acte 4, scène 1, CRIS?IS)
  557. Chacun parle à sa guise, et qui voudra s'en moque : v.1108 (Acte 4, scène 1, THALER)
  558. Excusez si je prends cet air libre avec vous. v.1110 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  559. Tu prétends donc apprendre à parler à ton père ? v.1111 (Acte 4, scène 1, THALER)
  560. Je ne dis pas cela pour vous mettre en colère. v.1112 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  561. Morgué, cela m'y met. Écoute, vois-tu bien, v.1113 (Acte 4, scène 1, THALER)
  562. Dame ! On n'est pas un sot, quoiqu'on ne sache rien. v.1114 (Acte 4, scène 1, THALER)
  563. Parce que te voilà de bout en bout dorée, v.1115 (Acte 4, scène 1, THALER)
  564. Ne va pas envers moi faire la mijaurée. v.1116 (Acte 4, scène 1, THALER)
  565. Je prétends qu'on me respecte, moi. v.1117 (Acte 4, scène 1, THALER)
  566. C'est bien fait ; quand je parle, il faut que l'on m'écoute. v.1119 (Acte 4, scène 1, THALER)
  567. Tous ces grands monsieurs-là sont des gens bien honnêtes. v.1123 (Acte 4, scène 1, THALER)
  568. Il voudrait bien déjà se voir loin de ces lieux. v.1125 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  569. Son coeur n'est pas content ; quelque soin l'embarrasse. v.1127 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  570. Il dit qu'en ce pays ce n'est rien que grimace : v.1128 (Acte 4, scène 1, CRIS?IS)
  571. Et les femmes encor bien plus à craindre qu'eux ; v.1130 (Acte 4, scène 1, CRIS?IS)
  572. Que ce n'est que par art qu'elles paraissent belles, v.1131 (Acte 4, scène 1, CRIS?IS)
  573. Ni pour quelque monsieur te prendre ici d'amour. v.1133 (Acte 4, scène 1, THALER)
  574. Elles peuvent tout faire, elles sont de la cour, v.1134 (Acte 4, scène 1, THALER)
  575. En ces matières, v.1139 (Acte 4, scène 2, THALER)
  576. Cela lui sied fort bien ; et cet air dédaigneux v.1141 (Acte 4, scène 2, DÉMOCRITE)
  577. Qu'elle a pris la cour, lui sied encore mieux. v.1142 (Acte 4, scène 2, D?MOCRITE)
  578. Je m'en suis aperçu déjà. v.1143 (Acte 4, scène 2, THALER)
  579. Je suis bien aise v.1143 (Acte 4, scène 2, CRISÉIS)
  580. Que mon air, quel qu'il soit, vous contente et vous plaise. v.1144 (Acte 4, scène 2, CRIS?IS)
  581. Morguenne, elle aurait tort. J'entends, je veux, j'ordonne v.1147 (Acte 4, scène 2, THALER)
  582. Pour d'autres sentiments, je puis m'en dispenser, v.1153 (Acte 4, scène 2, CRISÉIS)
  583. Sans blesser mon devoir, ni sans vous offenser. v.1154 (Acte 4, scène 2, CRIS?IS)
  584. Quelle mouche la pique ? À qui diable en a-t-elle ? v.1155 (Acte 4, scène 3, THALER)
  585. Je ne sais ; mais depuis qu'elle est en ce pays, v.1157 (Acte 4, scène 3, THALER)
  586. Un soin plus important à présent la tourmente. v.1159 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  587. Agélas s'est épris, en la voyant paraître, v.1163 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
  588. Du feu le plus ardent... v.1164 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
  589. Nous l'avons amenée au bord des précipices : v.1168 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  590. Car, sans t'en dire plus, tu t'imagines bien v.1169 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
  591. Oui, cela ne vaut rien. v.1170 (Acte 4, scène 3, THALER)
  592. Je m'y trouve si bien ! v.1173 (Acte 4, scène 3, THALER)
  593. C'est à toi que le roi fait la plus grande offense. v.1175 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  594. Je le vois bien ; pour faire ici sa manigance, v.1176 (Acte 4, scène 3, THALER)
  595. Mais ils n'en croqueront, ma foi, que d'une dent. v.1181 (Acte 4, scène 3, THALER)
  596. Je vais faire beau bruit. Serviteur cependant. v.1182 (Acte 4, scène 3, THALER)
  597. Dieux ! Que fais-je ? Où m'emporte une indigne tendresse ? v.1183 (Acte 4, scène 4, DÉMOCRITE)
  598. Pendant que je suis seul, laissons agir mon coeur, v.1185 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  599. Je veux sans nuls témoins rire à présent de moi ; v.1189 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  600. J'aime ! C'est bien à toi, philosophe rigide, v.1191 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  601. De sentir l'aiguillon d'une flamme perfide ! v.1192 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  602. Et quel est cet objet qui t'apprend l'art d'aimer ? v.1193 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  603. Un enfant de quinze ans ! Tu prétends la charmer, v.1194 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  604. Me commande, m'entraîne en dépit de moi-même. v.1196 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  605. Ah ! C'est où je t'attends, le plus lâche des coeurs ! v.1197 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  606. Que sentent pour l'amour les âmes généreuses v.1200 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  607. Tu ne peux gourmander un penchant trop fatal, v.1201 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  608. Ce n'est pas encor tout ; vois où va ta folie. v.1203 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  609. Tu conduis Criséis... en quels lieux ? À la cour. v.1205 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  610. Ah ! Qu'ensemble on voit peu la prudence et l'amour ! v.1206 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  611. Mais on vient. Finissons un discours si fantasque ; v.1207 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  612. Uniquement touché de la philosophie, v.1212 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  613. Quel noir démon vous pousse à causer notre ennui ? v.1213 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  614. Et que venez-vous faire à la cour aujourd'hui ? v.1214 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  615. Je n'en sais vraiment rien : ce que je puis vous dire, v.1215 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  616. M'a voulu transplanter, et me faire, en un jour, v.1217 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  617. Savez-vous bien qu'ici votre face équivoque, v.1219 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  618. Et rare en son espèce, étrangement nous choque ? v.1220 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  619. Et mon dessein n'est point de plaire, en vérité. v.1222 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  620. Vous auriez tort : il n'est, je veux bien vous le dire, v.1223 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  621. Pourquoi non ? C'est un droit qu'on acquiert en naissant ; v.1225 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  622. Ismène ici m'envoie, et vous dit par ma bouche, v.1227 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  623. Le roi lui doit sa foi ; cependant, à ses yeux, v.1229 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  624. C'est vous, à ce qu'on dit, qui menez cette intrigue. v.1232 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  625. De vouloir commencer ce vilain métier-là ! v.1234 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  626. Je ne m'attendais pas à pareille aventure. v.1236 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  627. Si vous saviez l'intérêt que j'y prends, v.1237 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  628. Comme dans ce pays on prend toujours le change ! v.1240 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  629. Le soin officieux d'attendrir Criséis ? v.1242 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  630. Cela peut être vrai ; mais bien loin de vous nuire, v.1244 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  631. Ce jour verrait Ismène entre les bras du roi, v.1245 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  632. Je veux bien vous en croire. v.1247 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  633. En ces lieux plus qu'ailleurs, et des femmes surtout. v.1250 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  634. Tout en vous, haut et bas, est artificieux. v.1253 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  635. En sorte qu'en ôtant ces secours superflus, v.1257 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  636. Il nous en reste assez pour, telles que nous sommes, v.1259 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  637. Faire, quand nous voulons, bien enrager les hommes. v.1260 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  638. Vous ferez sagement ; car aussi bien la cour, v.1262 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  639. Est bien lasse de vous. v.1264 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  640. Et moi bien plus las d'elle ; v.1264 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  641. Que l'aurore en naissant m'en trouve déjà loin. v.1266 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  642. L'affaire est en bon train pour la princesse Ismène : v.1267 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  643. Mais pour mon compte à moi, je suis assez en peine. v.1268 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  644. Je voudrais arrêter le disciple en ces lieux : v.1269 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  645. Il a touché mon coeur en s'offrant à mes yeux ; v.1270 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  646. Il n'est rien que pour lui de bon coeur je ne fasse. v.1272 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  647. Le ciel me le devait, pour me récompenser v.1273 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  648. Ouf ! Je suis bien guedé ! Par ma foi, la science v.1275 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  649. Ne s'acquiert point du tout à force d'abstinence. v.1276 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  650. Je m'en sens déjà plus trois fois que ce matin. v.1278 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  651. Je me venge à longs traits de la philosophie. v.1279 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  652. Il tient bon ordinaire, et je l'en félicite. v.1283 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  653. C'est un petit repas que le roi m'a rendu : v.1286 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  654. Rien ne fait des amis comme la bonne chère, v.1288 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  655. Quoiqu'on embrasse ici des gens de tous métiers, v.1289 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  656. Bien moins pour l'amour d'eux que de leurs cuisiniers. v.1290 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  657. Si je n'étais bien sûr du bonheur de vous plaire. v.1292 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  658. Vous aimer est un bien pour moi plus précieux v.1293 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  659. Et l'on ne leur sert point, même en des jours de fêtes, v.1295 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  660. Qui ne sont amoureux que quand ils ont bien bu ; v.1298 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  661. À qui beaucoup de vin fait sortir la tendresse ; v.1299 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  662. Qui vont en cet état aux pieds de leur maîtresse v.1300 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  663. Et pousser des hoquets en guise de soupirs ? v.1302 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  664. Ma tendresse n'est point d'un pareil caractère. v.1304 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  665. J'ai près du sexe, enfin, l'air de la vieille Cour. v.1306 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  666. Mon coeur s'est laissé prendre en vous voyant paraître, v.1307 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  667. Et de ses mouvements n'a plus été le maître. v.1308 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  668. Tout en vous s'est uni contre ma liberté. v.1310 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  669. En un instant a pu me rend~e si sensible ; v.1316 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  670. Et je n'ai point senti de transports aussi doux v.1317 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  671. Pour tout autre mortel que j'en ressens pour vous. v.1318 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  672. En vous réciproquant, vous êtes, je vous jure, v.1319 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  673. L'on n'a jamais senti de feux si violents v.1321 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  674. Que ceux qu'auprès de vous et pour vous je ressens. v.1322 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  675. Mais ne puis-je savoir, en voyant tant de charmes, v.1323 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  676. Quel est l'aimable objet à qui je rends les armes ? v.1324 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  677. Ce nous serait peut-être une source d'ennuis, v.1326 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  678. Ah ! Que cette pudeur augmente ma tendresse ! v.1328 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  679. Je devrais bien plutôt songer à me cacher. v.1329 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  680. Rien de vous découvrir ne doit vous empêcher. v.1330 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  681. Vous en avez peut-être v.1332 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  682. Été souvent trahie ? Ici, comme en tous lieux, v.1333 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  683. J'en ai, pour mes péchés, quelquefois fait l'épreuve. v.1335 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  684. Ni pour veuve non plus, puisqu'en effet j'ignore v.1343 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  685. Si le mari que j'eus est mort, ou vit encore. v.1344 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  686. L'aventure est très neuve. v.1350 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  687. Enfin, le ciel plus doux, touché de ma misère, v.1357 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  688. Lui fit naître en l'esprit un dessein salutaire ; v.1358 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  689. Il partit, me laissant, par bonheur, sans enfants. v.1359 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  690. Jamais un tel démon ne sortit des enfers. v.1363 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  691. Un vieux singe en malice, insolente, revêche, v.1365 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  692. Coquette, sans esprit, menteuse, pie-grièche. v.1366 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  693. À la noyer cent fois je m'étais attendu ; v.1367 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  694. Mais je n'en ai rien fait, de peur d'être pendu. v.1368 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  695. Cette femme vous est vraiment bien obligée ! v.1369 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  696. Et de grâce, en quels lieux v.1371 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  697. Mis en vos mains l'époux d'un si rare modèle ? v.1374 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  698. Ses traits n'en disent rien ; mais je le sens bien mieux, v.1380 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  699. Au soudain changement qui se fait dans mon âme. v.1381 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  700. Monsieur, par aventure, êtes-vous mon époux ? v.1383 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  701. Il faut que cela soit ; car je sens que pour vous v.1384 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  702. Et fait en ce moment place à l'antipathie. v.1386 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  703. Qui t'amène en ces lieux ? Qu'est-ce que tu prétends ? v.1388 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  704. M'en aller au plus tôt. Que ma surprise est forte ! v.1389 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  705. Dis-moi, ma chère enfant, pourquoi n'es-tu pas morte ? v.1390 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  706. Déserteur de ménage, et maudit renégat, v.1392 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  707. Ali ! Doucement, madame. v.1393 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  708. Ô pouvoir de l'hymen, quel retour en mon âme ! v.1394 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  709. Je ressentais pour lui les transports les plus doux, v.1395 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  710. Va, fuis. Que le démon, qui te prit en ton gîte v.1397 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  711. Pour t'amener ici, t'y remporte au plus vite. v.1398 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  712. Qu'elle est laide à présent ! Et qu'elle a l'air mauvais ! v.1404 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  713. Je suis tout confondu. Quelle étrange aventure ! v.1405 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  714. Ma femme en ce pays, et dans cette figure ! v.1406 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  715. La coquine aura su, par quelque ami présent, v.1407 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  716. Se faire consoler de son époux absent : v.1408 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  717. D'anticiper les droits d'un prétendu veuvage. v.1410 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  718. J'ai fait réflexion sur son sort et le mien ; v.1411 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  719. Je ne veux point quitter des lieux où je suis bien. v.1412 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  720. Et puisque mon destin m'amène en ce séjour, v.1415 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  721. De me voir en ces lieux si mon épouse gronde, v.1417 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  722. Palsangué, je commence à me mettre en souci ; v.1419 (Acte 5, scène 2, THALER)
  723. Mon bijou ne vient point. Voyez-vous ! Ces gens-ci v.1420 (Acte 5, scène 2, THALER)
  724. Vous promettont assez, mais ils ne tenont guère. v.1421 (Acte 5, scène 2, THALER)
  725. Vous ne savez pas ce qu'on me vient de faire ? v.1422 (Acte 5, scène 2, THALER)
  726. Soit ; mais je n'a sais rien, v.1423 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  727. Hé bien ? v.1424 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  728. Comment diable ? v.1425 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  729. Mais le roi m'a promis de me le faire rendre : v.1433 (Acte 5, scène 2, THALER)
  730. Pour cela, tout exprès, je viens ici l'attendre, v.1434 (Acte 5, scène 2, THALER)
  731. Le serpent sous les fleurs se cache en ce séjour : v.1436 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  732. J'y viens d'en trouver un... Mais qui peut t'y déplaire ? v.1437 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  733. T'a-t-on fait quelque pièce encor ? v.1438 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  734. L'autre une croquignole, enfin chacun s'empresse, v.1441 (Acte 5, scène 2, THALER)
  735. On me fait plus d'honneur que je ne vaux cent fois. v.1443 (Acte 5, scène 2, THALER)
  736. Et tout de bout en bout. v.1445 (Acte 5, scène 2, THALER)
  737. Comme ces gros monsieurs, je tenais là ma place ; v.1446 (Acte 5, scène 2, THALER)
  738. Et, stapendant, j'avais du chagrin dans le coeur. v.1447 (Acte 5, scène 2, THALER)
  739. Et l'on dit qu'Agélas en veut à notre fille. v.1449 (Acte 5, scène 2, THALER)
  740. Te voilà bien malade ! Elle tient de sa mère. v.1453 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  741. Prétends-tu réformer cet usage ordinaire ? v.1454 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  742. Je suis en même cas, v.1455 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  743. Et l'on ne m'entend point faire tant de fracas. v.1456 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  744. Veut élever ta fille en un rang honorable. v.1458 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  745. Les uns disent tant mieux, et les autres tant pis. v.1460 (Acte 5, scène 2, THALER)
  746. Crois-moi, n'en fais que rire. v.1461 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  747. La fortune m'a bien joué d'un autre tour ; v.1463 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  748. J'ai bien plus de sujet de me plaindre à mon tour. v.1464 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  749. Un chagrin différent s'empare de notre âme: v.1465 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  750. Comment donc votre femme ! Êtes-vous marié ? v.1467 (Acte 5, scène 2, THALER)
  751. Hélas ! Mon pauvre enfant, je l'avais oublié ; v.1468 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  752. Mais le diable en ces lieux (qui l'eût pu jamais croire !) v.1469 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  753. M'en a subitement rafraîchi la mémoire. v.1470 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  754. Ah ! La voilà qui vient ; c'est elle, je la vois. v.1471 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  755. Oses-tu bien encor te montrer à ma vue ? v.1474 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  756. Et pourquoi n'es-tu pas déjà bien loin d'ici ? v.1475 (Acte 5, scène 3, CL?ANTHIS)
  757. Vous vous y trouvez bien, et moi fort bien aussi. v.1476 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  758. As-tu bientôt assez contemplé ma figure ? v.1485 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  759. J'ai quelque souvenir de cette créature. v.1486 (Acte 5, scène 3, THALER)
  760. C'est là que l'on apprend à corriger ses moeurs, v.1487 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  761. Je veux, quand il me plaît, moi, me mettre en colère. v.1489 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  762. Voilà celle qui vint m'apporter son enfant. v.1492 (Acte 5, scène 3, THALER)
  763. Ma haine, en te voyant, s'irrite dans mon âme, v.1493 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  764. Je vous connais bien, moi. Quinze ans de nourriture v.1498 (Acte 5, scène 3, THALER)
  765. Pour un de vos enfants. v.1499 (Acte 5, scène 3, THALER)
  766. Pour un de mes enfants ? v.1499 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  767. Pour un de nos enfants ! Ciel ! Qu'est-ce que j'entends ? v.1500 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  768. Je n'en eus jamais d'elle ; et c'est nous faire honte. v.1501 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  769. Elle n'a pas laissé d'en avoir, à bon compte. v.1502 (Acte 5, scène 3, THALER)
  770. D'en avoir ! Justes dieux ! Verrai-je d'un oeil sec v.1503 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  771. Le front d'un philosophe endurer tel échec ? v.1504 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  772. Me soutenir... J'ai vu quelque part cette face. v.1506 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  773. Oui, je le soutiendrai. C'est, palsanguenne, vous v.1507 (Acte 5, scène 3, THALER)
  774. Qui vint, par un matin, mettre un enfant cheux nous, v.1508 (Acte 5, scène 3, THALER)
  775. Si bien que vous disiez que vous étiez sa mère. v.1509 (Acte 5, scène 3, THALER)
  776. C'est un gentil enfant. v.1511 (Acte 5, scène 3, THALER)
  777. Sans t'en avoir donné jamais aucun sujet ! v.1512 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  778. Un enfant clandestin !... Est-il mâle ou femelle ? v.1514 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  779. Oh ! Vraiment, je le crois. v.1516 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  780. Je joue en votre cour un fort sot personnage ; v.1518 (Acte 5, scène 4, DÉMOCRITE)
  781. Votre rare mérite en est l'unique cause. v.1521 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  782. Mon mérite ? Ah ! Vraiment, c'est bien prendre la chose. v.1522 (Acte 5, scène 4, DÉMOCRITE)
  783. Si vous le connaissiez en effet tel qu'il est, v.1523 (Acte 5, scène 4, D?MOCRITE)
  784. Ici votre présence est encor nécessaire. v.1525 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  785. Par des noeuds éternels à Criséis m'engage. v.1530 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  786. Il ne faut point, seigneur, surprendre ma faiblesse v.1533 (Acte 5, scène 4, CRISÉIS)
  787. Par le flatteur aveu d'une feinte tendresse. v.1534 (Acte 5, scène 4, CRIS?IS)
  788. Les dieux et les destins en vain, par la naissance, v.1537 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  789. Ont mis entre nous deux une vaste distance, v.1538 (Acte 5, scène 4, AG?LAS)
  790. J'en appelle à l'amour ; il est beaucoup plus fort v.1539 (Acte 5, scène 4, AG?LAS)
  791. J'apprends que, vous laissant séduire par l'amour, v.1545 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  792. Vous voulez épouser Criséis en ce jour. v.1546 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  793. Un inconnu pouvoir à cet hymen m'engage ; v.1548 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  794. Vous voulez tout de bon en faire votre femme ? v.1551 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  795. Rendez-moi mon bijou, v.1553 (Acte 5, scène 5, THALER)
  796. Et je prends, pour partir, mes jambes à mon cou. v.1554 (Acte 5, scène 5, THALER)
  797. Par les soins que j'ai pris, on vient de me le rendre, v.1555 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  798. On m'a bien fait attendre. v.1556 (Acte 5, scène 5, THALER)
  799. N'en a-t-on rien ôté ? v.1557 (Acte 5, scène 5, THALER)
  800. Des traits de feu qu'on voit... Mais d'où vient ce rubis ? v.1558 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  801. Comment ? v.1560 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  802. Comme bien d'autres font. v.1567 (Acte 5, scène 5, THALER)
  803. Le dénouement s'avance. v.1567 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
  804. La drôlesse, un matin, s'en vint, bon jour, bonne oeuvre, v.1571 (Acte 5, scène 5, THALER)
  805. Oh ! Je vous connais bien. v.1573 (Acte 5, scène 5, THALER)
  806. Ne dissimule rien. v.1574 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  807. Puis-je croire, grands dieux ! Cette étrange aventure ? v.1579 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  808. Rendent le fait constant. v.1582 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
  809. Je reprends mes esprits. v.1582 (Acte 5, scène 5, STRABON)
  810. Il est temps qu'à présent, puisque le ciel i'ordonne, v.1583 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  811. Je vous rends votre bien, madame ; et désormais v.1585 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
  812. Je ne le puis tenir que de vos seuls bienfaits. v.1586 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
  813. Maintenant que le ciel, changeant ma destinée, v.1588 (Acte 5, scène 5, CRISÉIS)
  814. Mais ce prince pourra, sensible à vos attraits, v.1593 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  815. Agénor à mes yeux vaut bien une couronne. v.1595 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  816. Vous, dont je tiens cette aimable personne, v.1596 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  817. Demandez ; je ne puis trop vous récompenser. v.1597 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
  818. Faites-moi maltôtier toujours pour commencer. v.1598 (Acte 5, scène 5, THALER)
  819. Seigneur, depuis longtemps je garde le silence ; v.1599 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  820. Un tel événement étourdit ma prudence : v.1600 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  821. Il est temps cependant de me faire connaître. v.1603 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  822. Vraiment faible au dedans, philosophe au dehors, v.1605 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  823. Deux yeux, deux yeux charmants, avaient, pour ma ruine, v.1607 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  824. De la philosophie en vain on suit les lois ; v.1609 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  825. La nature en nos coeurs ne perd jamais ses droits ; v.1610 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  826. Dans les retranchements de la philosophie. v.1616 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  827. La nature perverse entraînait la raison. v.1621 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  828. À l'univers entier j'en demande pardon. v.1622 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  829. Faut-il que j'orne encor votre char de victoire ? v.1624 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  830. Je ne me trouve pas assez bien de la cour, v.1625 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  831. J'ai fait, en m'y montrant, une folie extrême ; v.1627 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  832. J'y vins comme un franc sot, et je m'en vais de même ; v.1628 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  833. Trop heureux d'en partir libre de passion, v.1629 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  834. J'en ai fait à la cour un recueil à bon titre ; v.1631 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  835. Je me mets, je l'avoue, en tête du chapitre v.1632 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  836. Tâchons de l'arrêter. Nous cependant, madame, v.1639 (Acte 5, scène 6, AGÉLAS)
  837. Hé bien, que dirons-nous ? Partirai-je avec lui ? v.1641 (Acte 5, scène 7, STRABON)
  838. Je suis bien en courroux : si pourtant aujourd'hui v.1642 (Acte 5, scène 7, CLÉANTHIS)
  839. Tu voudrais me tenir, je le vois à ta mine. v.1644 (Acte 5, scène 7, STRABON)
  840. Oublions le passé, renouvelons d'amour. v.1646 (Acte 5, scène 7, STRABON)
  841. Je ne serai pas seul qui, d'une âme enchantée, v.1647 (Acte 5, scène 7, STRABON)

LES FOLIES AMOUREUSES (1696)

  1. Oui, je vous le soutiens, messieurs, c'est fort mal fait, v.1 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  2. Vous n'avez point de conscience. v.2 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  3. C'est tromper, c'est piller le public en effet ; v.3 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  4. On vient ici dans l'espérance v.5 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  5. D'un divertissement complet. v.6 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  6. En un besoin, je crois que ce sujet v.9 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  7. Fournirait trente comédies ; v.10 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  8. Et vous en prétendez donner effrontément v.11 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  9. Une en trois actes seulement ! v.12 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  10. M'en croirez-vous, messieurs ? Reprenez votre argent v.14 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  11. Avant que la pièce commence. v.15 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  12. Parbleu, vous vous chargez d'un soin bien obligeant. v.16 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  13. Que nous allons représenter ! v.24 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  14. Et que peut-être elle ennuiera. v.28 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  15. C'est parler comme il faut en faveur d'un ouvrage : v.30 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  16. L'auteur vous en remerciera. v.31 (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOUR)
  17. Vous lui prouvez très bien, vraiment ! v.33 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  18. Sans doute. Je n'en veux pour juge que lui-même ; v.34 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  19. Et s'il avait voulu suivre mon sentiment, v.35 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  20. Il eût, premièrement, v.37 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  21. Qui ne lui convient nullement. v.39 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  22. Il promet trop, il a trop d'étendue ; v.40 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  23. Et chacun, sitôt qu'on l'entend, v.41 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  24. Porte indifféremment la vue v.42 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  25. Sur toute sorte d'accident v.43 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  26. Le plus sage et le plus prudent. v.46 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  27. Comment donc, s'il vous plaît ! Que veut dire cela ? v.49 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  28. Il semble aux gens, parce qu'ils savent lire, v.51 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  29. Qu'on ne saurait parler aussi bien qu'eux. v.52 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  30. Je ne prétends point vous fâcher. v.55 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  31. J'en sais la conséquence, et je ne veux tâcher v.56 (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOUR)
  32. Qui ? Moi, chercher querelle ! Eh bien, la médisance ! v.59 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  33. Parce que naturellement, v.60 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  34. Avec simplicité je dis ce que je pense, v.61 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  35. Que j'avertis le public bonnement v.62 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  36. Qu'une pièce n'a rien du titre qu'on lui donne... v.63 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  37. Eh bien ! Monsieur, pourquoi me chagriner ? v.65 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  38. Vraiment, je vous trouve admirable ! v.66 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  39. Moi, qui, comme un mouton, suis facile à mener. v.68 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  40. Rentrez dans les foyers ; songez à commencer. v.70 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  41. Commencer, moi ! Non, vous aurez beau dire. v.71 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  42. Là-dessus rien ne me peut forcer. v.72 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  43. L'on me contredit ! Mais ce qui m'en console, v.79 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  44. J'en ai, Monsieur, une très bonne. v.84 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  45. J'en ai, vous dis-je, et je ne suis point folle. v.85 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  46. Je n'en démordrai point, en un mot comme en cent ; v.86 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  47. Votre discours devient lassant ; v.87 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  48. Vous me prenez pour une idole ; v.88 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  49. Mais vous êtes un innocent, v.90 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  50. Et votre éloquence est frivole. v.91 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  51. Voici bien un autre embarras ! v.94 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  52. L'auteur, dans les foyers, se fait tenir à quatre ; v.95 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE DESBROSSES)
  53. L'auteur l'entend fort bien ! Il serait beau, ma foi, v.100 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  54. Que messieurs les auteurs nous donnassent la loi ! v.101 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  55. Puisqu'il le prend ainsi, je me révolte, moi : v.103 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  56. Pour le faire enrager, je prétends qu'on la joue. v.104 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  57. Venez donc lui parler. Tout le monde s'enroue v.105 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  58. Pour lui faire entendre raison. v.106 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE DESBROSSES)
  59. Mais peut-être en a-t-il quelques unes. v.107 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  60. Mardienne, monsieur, finissez ; v.112 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  61. Je suis la douceur même ; et je ne me tourmente v.116 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  62. Selon mes intérêts, ou selon mon attente. v.118 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  63. Mais quand on me fâche, en ce cas v.119 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  64. Je deviens vive, et je suis pétulante. v.120 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  65. Et déployer votre éloquence, v.122 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  66. Pour faire revenir un auteur entêté : v.123 (Prologue, scène 3, MONSIEUR DANCOUR)
  67. Mais d'où vient son entêtement ? v.125 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  68. Il dit qu'on prend plaisir à décrier sa pièce ; v.126 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  69. Qu'on n'a pour les auteurs aucun ménagement ; v.127 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE DESBROSSES)
  70. Que l'un blâme son dénouement ; v.129 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE DESBROSSES)
  71. L'auteur ment. v.130 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  72. Je ne dis jamais rien. Est-ce que je me mêle v.131 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  73. D'aller prôner mon sentiment ? v.132 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  74. Ce sont bien là mes allures, vraiment ! v.133 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  75. N'en a lâché qu'un mot confidemment, v.135 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  76. Et tout-à-l'heure encore, au public seulement. v.136 (Prologue, scène 3, MONSIEUR DANCOUR)
  77. Si je l'ai dit, je m'en dédis. v.138 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  78. La pièce est bonne, et je la soutiens telle. v.139 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  79. Diantre soit des censeurs et des donneurs d'avis, v.140 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  80. Qui de leurs sots discours m'échauffent les oreilles ! v.141 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  81. Le dénouement est bon, le titre est à merveilles : v.143 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  82. Car ce qui fait ce dénouement, v.144 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  83. Que fait imaginer l'amour dans le moment v.147 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  84. Sur ce pied-là le titre est excellent, v.151 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  85. De sottes gens qui ne peuvent se taire, v.154 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  86. Laissez parler de tels censeurs. v.156 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  87. C'est fort bien dit. v.158 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  88. Est à présent de radoucir l'auteur. v.159 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  89. Il ne tiendra pas sa colère. v.160 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  90. Tout le monde veut s'en aller. v.161 (Prologue, scène 4, MONSIEUR-DUBOCAGE)
  91. Hé ! Commençons de grâce ; allez vous habiller. v.162 (Prologue, scène 4, MONSIEUR DUBOCAGE)
  92. Dans le moment vient d'arriver ici v.169 (Prologue, scène 4, MONSIEUR-DUBOCAGE)
  93. Ils disent que c'est la folie ; v.171 (Prologue, scène 4, MONSIEUR DUBOCAGE)
  94. Et c'est elle en effet. J'ai bien jugé d'abord, v.172 (Prologue, scène 4, MONSIEUR DUBOCAGE)
  95. À venir de sa part pour vous mettre d'accord. v.176 (Prologue, scène 4, MONSIEUR DUBOCAGE)
  96. Vous voyez en moi le bouffon, v.179 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  97. Soyez le bienvenu. Notre profession v.184 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  98. Gens de même condition v.186 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  99. Font entre eux bientôt connaissance. v.187 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  100. Les dieux n'échappent point aux traits de ma satire ; v.191 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  101. Ne vous échappent pas. v.193 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  102. Je suis ravi qu'enfin nos emplois ordinaires v.194 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  103. Mettent du rapport entre nous. v.195 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  104. À notre corps fait une grace entière : v.199 (Prologue, scène 5, MONSIEUR-DANCOUR)
  105. Mais en vous avouant ainsi notre confrère, v.200 (Prologue, scène 5, MONSIEUR DANCOUR)
  106. Franchement, là... quelle heureuse aventure v.204 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  107. Vous a fait venir dans ces lieux. v.205 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  108. En faveur du plus grand des dieux v.206 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  109. Venez-vous ménager quelque conquête sûre ? v.207 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  110. Et nous n'usurpons rien sur les charges des autres. v.211 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  111. Et de n'en point changer on se fait une loi. v.213 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  112. Je voudrais bien troquer ma charge avec Mercure : v.214 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  113. Il est bien plus aisé de servir deux amants v.215 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  114. Dans une tendre conjoncture, v.216 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  115. Que de faire rire les gens. v.217 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  116. Vous en pouvez parler mieux qu'un autre, peut-être ; v.218 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  117. Mais enfin quel dessein ici-bas vous attire ? v.222 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  118. Les dieux sont devenus d'assez honnêtes gens, v.225 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  119. Et vous n'entendez plus parler de leurs fredaines), v.226 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  120. De venir sourdement m'établir en ces lieux, v.228 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  121. Je viens donc à Paris pour y lever boutique, v.238 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  122. Et pour faire valoir mon talent comme vous. v.239 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  123. Je crois qu'en ce pays (et soit dit entre nous) v.240 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  124. Comment donc ! Merci de ma vie ! v.244 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  125. Vous venez, dites-vous, jouer la comédie ! v.245 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  126. Je ne souffrirai point de concurrents semblables. v.249 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  127. Seule, je défendrai mes droits. v.252 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  128. Nous ne prétendons point nuire à votre fortune. v.253 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  129. Sinon, nouveaux comédiens, v.257 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  130. Et si, malgré tous nos moyens, v.259 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  131. Nous dépensons plus qu'on ne gagne, v.260 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  132. Nous avons des musiciens v.264 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  133. Et non pas des italiens, v.267 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  134. Mais cependant, avant que de finir l'affaire, v.270 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  135. Et d'entrer en société, v.271 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  136. Encor faut-il bien voir ce que vous savez faire. v.272 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  137. Vous pouvez à l'essai juger de nos talents. v.273 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  138. Vous êtes, ce me semble, en peine ; v.274 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  139. Je ne veux que quelques moments v.279 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  140. Pour préparer des divertissements v.280 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  141. Tout dieux que vous soyez, je soutiens le contraire. v.283 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  142. Qu'avec tous vos talents, et votre esprit divin, v.285 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  143. Mais quel sujet choisirez-vous enfin ? v.287 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  144. Je n'en manquerai pas, et j'en fais mon affaire. v.288 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  145. Un marquis éventé, qui vient avec fracas, v.293 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  146. En bourdonnant un air étaler ses appas : v.294 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  147. De l'Andrienne et de Térence : v.298 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  148. Un abbé d'égale science, v.299 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  149. Un tas de ces faux mécontents v.303 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  150. Qui se plaignent de l'injustice v.305 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  151. Qui, prenant un autre exercice, v.307 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  152. Bornent tous leurs exploits guerriers v.309 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  153. Quelque belle au tendre regard, v.311 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  154. Avec tous ces gens-là point de plaisanterie. v.317 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  155. Je vois ce qui vous tient ; vous aimez les écus : v.319 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  156. Je n'en dirai pas davantage. v.320 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  157. Et ce ne sont point eux aussi que j'envisage v.321 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  158. Pour servir de matière au divertissement. v.322 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  159. Nous vous donnerons seulement v.323 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  160. Quelques chansons et gentilles gambades, v.324 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  161. Quelque agréable petit rien, v.326 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  162. Qui font souvent de vos pièces nouvelles v.328 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  163. Tout le succès et le soutien. v.329 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  164. Et la pièce, je crois, s'en trouvera fort bien. v.331 (Prologue, scène 5, MONSIEUR-DANCOUR)
  165. Sur ce pied-là, l'auteur voudra bien qu'on la joue. v.332 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  166. Commençons donc. v.333 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  167. Nous descendons exprès de la céleste voûte, v.335 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  168. On ne fait pas ce chemin qu'il n'en coûte. v.337 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  169. Il serait bien fâcheux qu'après tant de travaux, v.338 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  170. On vît rentrer dans la céleste sphère v.340 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  171. Une troupe de dieux penauds. v.341 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  172. De vouloir à ma troupe accorder grâce entière. v.344 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  173. Si favorablement vous daignez l'écouter, v.345 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  174. Qui raille assez souvent, mais qui ne ment jamais, v.347 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  175. Adieu, jusqu'au revoir. Surtout, vivons en paix. v.352 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  176. Lorsqu'en un plein repos chacun encor sommeille, v.353 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  177. Et j'en crois plus mon coeur encore que mes yeux. v.360 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  178. Je ne m'étonne plus que votre diligence v.361 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  179. Par ma foi, c'est un guide excellent que l'amour ! v.363 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  180. J'étais à ma fenêtre, en attendant le jour, v.364 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  181. J'ai saisi promptement l'occasion offerte, v.366 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  182. Tant pour prendre le frais, que pour flatter l'espoir v.367 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  183. Vous n'avez pas envie, à ce qu'on peut comprendre, v.369 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  184. Que le pauvre garçon s'enrhume à vous attendre. v.370 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  185. Vous l'attendez ici pour flatter son amour : v.372 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  186. C'est perdre peu de temps. Mais si, par aventure, v.373 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  187. Vient à nous rencontrer, que dira-t-il de nous ? v.375 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  188. Je lève enfin le masque ; et, quoi qu'il puisse dire, v.378 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  189. Comme je prétends vivre, et combien je le hais. v.380 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  190. Que le ciel vous maintienne en ce dessein louable ! v.381 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  191. Pour moi, j'aimerais mieux cent fois servir le diable. v.382 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  192. Oui, le diable : du moins, quand il tiendrait sabbat, v.383 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  193. Si cela dure encore, il faudra que je crève. v.386 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  194. Tant que le jour est long, il gronde entre ses dents : v.387 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  195. "Fais ceci, fais cela ; va, viens ; monte, descends ; v.388 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  196. Fais bien la guerre à l'oeil ; ferme porte et fenêtre ; v.389 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  197. Lui, quand il dort d'un oeil, l'autre fait sentinelle ; v.394 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  198. J'aimerais mieux chercher mon pain de porte en porte, v.397 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  199. Qu'Éraste est différent du portrait que tu fais ! v.400 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  200. Dès mes plus tendres ans chez sa mère nourrie, v.401 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  201. De nous unir encor par ses engagements. v.404 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  202. Je serais fille à prendre un parti violent ; v.407 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  203. Et, sous un habit d'homme, en chevalier errant, v.408 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  204. J'irais par le pays chercher des aventures. v.410 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  205. Je vous suis caution que vous en trouverez. v.412 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  206. Tu ne sais pas encor quel est mon caractère, v.413 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  207. Présentement qu'Éraste à m'épouser s'apprête, v.417 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  208. Mille vivacités me passent par la tête. v.418 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  209. J'ai du coeur, de l'esprit, du sens, de la raison, v.419 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  210. Mais comment du château la porte est-elle ouverte ? v.421 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  211. Il fait toute la nuit sentinelle en dedans, v.424 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  212. S'il pouvait, par bonheur, choir en quelque embuscade, v.426 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  213. Mais paix ; j'entends du bruit ; quelqu'un vient ; écoutons. v.428 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  214. Pour mieux des ennemis rendre vains les efforts, v.431 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  215. J'ai voulu même encor m'assurer des dehors. v.432 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  216. Grâce au ciel, tout va bien. Une terreur secrète, v.433 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  217. En dépit de mes soins, cependant m'inquiète. v.434 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  218. Met à chaque moment en défaut ma prudence ; v.438 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  219. Je n'ai, par bonté d'âme, encor rien fait murer. v.440 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  220. Ce n'est point par douceur qu'on rend sage les filles ; v.441 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  221. Je veux, du haut en bas, faire attacher des grilles, v.442 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  222. Puissent servir d'obstacle à tout effort humain. v.444 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  223. Mais j'entends quelque bruit ; et, dans le crépuscule, v.445 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  224. J'entrevois quelque objet qui marche et qui recule. v.446 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  225. Ce silence affecté ne me dit rien de bon. v.448 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  226. Est-ce donc vous, monsieur, qui faites sentinelle ? v.450 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
  227. Que venez-vous chercher en ce lieu, s'il vous plaît ? v.452 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  228. De dormir ce matin n'ayant aucune envie, v.453 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
  229. Tout cela se pouvait faire à votre fenêtre. v.458 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  230. Que ce serait bien fait ! v.460 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  231. Des filles sans intrigues, et qui sont retenues, v.461 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  232. Sont, à l'heure qu'il est, dans leur lit étendues, v.462 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  233. Dorment tranquillement, et ne vont point sitôt v.463 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  234. Prendre dans une cour ni le froid ni le chaud. v.464 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  235. Et comment, s'il vous plaît, voulez-vous qu'on repose ? v.465 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  236. Chez vous, toute la nuit, on n'entend d'autre chose v.466 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  237. Qu'aller, venir, monter, fermer, descendre, ouvrir, v.467 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  238. Un bruit affreux de clefs en sursaut me réveille. v.470 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  239. Je veux me rendormir, mais point : un juif errant, v.471 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  240. Un lutin, que l'enfer a vomi sur la terre v.473 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  241. Pour faire aux gens dormants une éternelle guerre, v.474 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  242. Commence son vacarme, et nous lutine tous. v.475 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  243. Venaient de quelque esprit qui voulait des prières ; v.478 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  244. Une corde aux deux bouts fortement arrêtée : v.482 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  245. En personne d'esprit, sans bruit et sans chandelle, v.485 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  246. J'allai dans certain coin me mettre en sentinelle : v.486 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  247. Soudain j'entends crier : à l'aide ! Je suis mort ! v.491 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  248. J'accours, et je vous vois étendu sur la place, v.493 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  249. Ah ! Malheureuse engeance ! Apanage du diable ! v.497 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  250. Non, c'était seulement pour attraper l'esprit. v.500 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  251. Je ne sais maintenant qui retient mon courage, v.501 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  252. Eh ! Monsieur, doucement. v.503 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
  253. Vous pourriez bien ici, v.503 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  254. De croire qu'en quittant votre triste personne v.510 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  255. Qui quitte ses parents pour être mariée ; v.514 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  256. Un vieux forçat qui rompt sa chaîne après trente ans ; v.516 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  257. Un héritier qui voit un oncle rendre l'âme ; v.517 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  258. En recevant de vous ce bienheureux congé. v.520 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  259. Et je ne prétends pas te donner ce plaisir : v.524 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  260. Tu resteras ici pour faire pénitence. v.525 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  261. Et vous, sans raisonner, rentrez en diligence. v.526 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  262. Allons, faisons la paix, vivons d'intelligence ; v.529 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  263. Je t'aime dans le fond, et plus que l'on ne pense. v.530 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  264. Et je vous aime aussi plus que vous ne pensez. v.531 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  265. Un bel amour, vraiment, à me casser le nez ! v.532 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  266. Que tu ressentiras l'effet de mes largesses, v.534 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  267. La donzelle bientôt prendrait le mors aux dents, v.539 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  268. Sans la précaution que près d'elle je prends. v.540 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  269. Cette dame étant morte, un parent me pria v.543 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  270. D'en vouloir prendre soin, et me la confia. v.544 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  271. Et j'ai quelque dessein d'en faire un jour ma femme. v.546 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  272. Qu'entends-tu par ce ton ? v.547 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  273. Comment ? v.548 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  274. Et j'en appellerais à votre barbe grise. v.550 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  275. Je n'ai point eu d'enfants de mon hymen passé ; v.551 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  276. Et je veux achever ce que j'ai commencé, v.552 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  277. Mon_Dieu, je ne dis rien ; v.559 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  278. Sans dire la raison, vous la devinez bien. v.560 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  279. Je m'entends, il suffit. v.561 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  280. Ne te mets point en peine. v.561 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  281. Ce sera mon affaire, et point du tout la tienne. v.562 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  282. Tu sais bien qu'ici-bas v.563 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  283. Des pièges qu'on me tend mon âme est alarmée. v.565 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  284. Je tiens une brebis avec soin enfermée : v.566 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  285. Mais des loups ravissants rôdent pour l'enlever. v.567 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  286. Contre leur dent cruelle il la faut conserver : v.568 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  287. Et pour ne craindre rien de leur noire furie, v.569 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  288. Et ne laisser partout qu'un peu d'entrée au jour. v.572 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  289. J'ai besoin de tes soins en cette conjoncture, v.573 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  290. Je ne veux pas que cette invention v.575 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  291. De se voir, par mes soins, de la sorte enfermée ; v.578 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  292. Cela pourrait causer du refroidissement : v.579 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  293. Mais, en fille d'esprit, il faut adroitement v.580 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  294. Lui dorer la pilule, et lui faire comprendre v.581 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  295. Que tout ce qu'on en fait n'est que pour se défendre, v.582 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  296. Et bien d'autres encor dont vous usez de même, v.586 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  297. Vous faire bien aimer de l'objet de vos voeux ? v.587 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  298. Encor plus fou d'oser la griller là-dedans. v.592 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  299. Ainsi, dans ce dessein, funeste en conséquences, v.593 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  300. J'ai, jusqu'à présent, eu de la vertu de reste : v.598 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  301. Ils en auraient, parbleu, sur la tête et partout. v.600 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  302. Si vous me choisissez pour prendre cette peine, v.601 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  303. Le cas est trop vilain, je m'en lave les mains. v.604 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  304. Je saurai contre toi prendre un parti contraire ? v.606 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  305. Pestez, jurez, criez, mettez-vous en courroux, v.607 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  306. Vous m'entendrez toujours vous dire qu'un jaloux v.608 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  307. Qu'on voudrait de bon coeur voir à cent pieds sous terre ; v.610 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  308. Qu'il n'est rien plus hideux ; que Satan, Lucifer, v.611 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  309. Et tant d'autres messieurs habitants de l'enfer, v.612 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  310. Que certains jaloux, tels qu'on en voit en ce lieu. v.615 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  311. Vous m'entendez. J'ai dit. Je me retire. Adieu. v.616 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  312. Lisette ne vaut rien ; mais, de crainte de pis, v.619 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
  313. Mon maître, qui m'attend au cabaret prochain, v.623 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  314. M'envoie ici devant pour sonder le terrain. v.624 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  315. Vous portez-vous bien ? v.627 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  316. En vérité, j'en ai le coeur bien réjoui. v.628 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  317. Content, ou non content, quel sujet vous attire ? v.629 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  318. Faute de revenu, je vis de l'industrie, v.634 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  319. Comme bien d'autres font ; selon l'occasion, v.635 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  320. Et me sentant le coeur enclin à la rapine, v.638 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  321. Un mien parent me fit apprenti maltôtier. v.640 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  322. J'ai porté le mousquet en Flandre, en Allemagne ; v.641 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  323. Voilà bien des métiers ! v.643 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  324. Du bas jusques en haut, v.643 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  325. Qui rôdent pour entrer la nuit dans les maisons. v.648 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  326. Vous me connaissez mal ; j'ai d'autres soins en tête. v.649 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  327. Ayant pour bien des maux des secrets merveilleux, v.651 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  328. Il ne s'en est fallu qu'un degré de chaleur v.659 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  329. Cet habit cependant n'est pas de compétence. v.661 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  330. Vous savez que l'habit ne fait pas la science ; v.662 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  331. Mais un jour, on verra triompher l'innocence. v.665 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  332. En un certain bourbier j'aperçus certain coche : v.669 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  333. En homme secourable aussitôt je m'approche ; v.670 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  334. De ces paquets perdus me rendre responsable : v.674 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  335. Le prévôt s'en mêlait ; c'est pourquoi mes amis v.675 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  336. Me conseillèrent tous de quitter le pays. v.676 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  337. C'est agir prudemment en affaires pareilles. v.677 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  338. Les Ardennes m'ont vu soutenir tout le feu, v.679 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  339. Savez-vous bien, monsieur, que j'étais dans Crémone ? v.682 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  340. Que voulez-vous enfin de moi ? v.684 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  341. Rien. Je crois qu'on peut, quoique l'on en raisonne, v.685 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  342. Se promener ici, sans offenser personne. v.686 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  343. C'est parler comme il faut. Vous répondez si bien, v.691 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  344. Que l'on ne peut sitôt quitter votre entretien. v.692 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  345. Y serons-nous bientôt ? v.694 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  346. Si vous allez bien vite. v.694 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  347. Pour finir en un mot toutes mes questions, v.696 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  348. Allez l'apprendre ailleurs ; partez : je vous conseille v.701 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  349. Cet homme a bien de l'air d'un ours. v.704 (Acte 2, scène 6, CRISPIN)
  350. Par ma foi, ce début commence à m'interdire. v.705 (Acte 2, scène 6, CRISPIN)
  351. Pour en venir à bout, il faudra batailler : v.707 (Acte 2, scène 6, CRISPIN)
  352. Eh bien ! Quelle nouvelle, v.709 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  353. De venir de Milan ici tout d'une haleine, v.714 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  354. Pour nous en retourner d'abord du même train ; v.715 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  355. Ah ! Que ce Mont Cenis est un pas ridicule ! v.717 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  356. Vous souvient-il, monsieur, quand ma maudite mule v.718 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  357. Me jeta par malice, en ce trou si profond ? v.719 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  358. Qui m'a reçu d'un air qui tient de l'aigre-doux. v.724 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  359. Nous en viendrons à bout, quoi qu'il dise et qu'il fasse ; v.726 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  360. Et je ne prétends point abandonner ces lieux, v.727 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  361. Si de quelque argent frais nous avions le secours : v.731 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  362. Ne te mets point en peine ; Agathe, en mariage, v.733 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  363. A trente mille écus de bon bien en partage : v.734 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  364. Quand elle n'aurait rien, je l'aime cent fois mieux v.735 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  365. Dès ses plus tendres ans chez ma mère élevée, v.737 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  366. Son image en mon coeur est tellement gravée, v.738 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  367. Que rien ne pourra plus en effacer les traits. v.739 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  368. Nos deux coeurs, qui semblaient l'un pour l'autre être faits, v.740 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  369. Goûtaient de cet amour l'heureuse intelligence, v.741 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  370. Quand ma mère mourut. Dans cette décadence, v.742 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  371. Albert, ce vieux jaloux, que l'enfer confondra, v.743 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  372. Par avis de parents d'Agathe s'empara. v.744 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  373. Je ne le connais point ; et lui, comme je pense, v.745 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  374. Et l'on vous a bien dit. v.748 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  375. Tu reviens de la guerre. v.754 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  376. En toutes les affaires, v.754 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  377. Il faut, premièrement, s'emparer des dehors ; v.759 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  378. Connaître les endroits, les faibles et les forts. v.760 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  379. Quand on est bien instruit de tout ce qui se passe, v.761 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  380. On renverse un rempart, on fait brèche ; aussitôt v.763 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  381. On avance en bon ordre, et l'on donne l'assaut ; v.764 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  382. C'est de même à peu près quand on prend une fille ; v.766 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  383. Tant mieux. Plus dans la ville on a d'intelligence, v.769 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  384. Lui faire des signaux pour lui faire comprendre... v.773 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  385. Allons voir là-dessus quels moyens il faut prendre ; v.774 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  386. Évitons de rester plus longtemps en ces lieux. v.776 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  387. Pour battre en brèche Albert, et l'obliger bientôt v.779 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  388. À nous rendre la place, ou soutenir l'assaut. v.780 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  389. Un secret confié, dit un excellent homme v.781 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  390. (J'ignore son pays et comment il se nomme), v.782 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  391. Et la plus difficile en ce temps à garder : v.784 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  392. Cependant, n'en déplaise à ce docteur habile, v.785 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  393. La garde d'une fille est bien plus difficile. v.786 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  394. J'ai fait par le jardin entrer le serrurier, v.787 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  395. Qui doit à mon dessein promptement s'employer. v.788 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  396. Quand j'aurai sur ce point satisfait ma prudence, v.793 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  397. Il faudra les résoudre à prendre patience. v.794 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  398. Venez, sous ces arbres épais, v.795 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  399. Pendant quelques moments, prendre avec moi le frais. v.796 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  400. Vous rend l'accueil si doux, et l'humeur si traitable ? v.798 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  401. Le plus charmant séjour à la fin nous ennuie. v.802 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  402. Je ne sais pas pourquoi ; mais enfin je soupire, v.805 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  403. Masquent leurs vrais désirs, et répondent souvent v.811 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  404. N'aimer d'autre parti que celui du couvent : v.812 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  405. Qui ne trouve en cela ni crime ni faiblesse, v.814 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  406. Que j'aspire à l'hymen, et plus tôt que plus tard. v.816 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  407. C'est bien dit. Que sert-il, au printemps de son âge, v.817 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  408. Il était des maris bien avant des couvents ; v.820 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  409. Et je tiens, moi, qu'il faut suivre, en toute méthode, v.821 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  410. Et la plus ancienne, et la plus à la mode. v.822 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  411. Le parti d'un époux est le plus ancien, v.823 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  412. Et le plus usité ; c'est pourquoi je m'y tiens. v.824 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  413. En personnes d'esprit vous parlez l'une et l'autre. v.825 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  414. Mes sentiments aussi sont conformes au vôtre : v.826 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  415. On me vient tous les jours proposer des partis v.828 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  416. Qui paraissent pour moi d'un très grand avantage : v.829 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  417. Mais je réponds toujours qu'un autre amour m'engage ; v.830 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  418. Que mon coeur, prévenu de ta rare beauté, v.831 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  419. Comment donc ! v.833 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  420. Votre discrétion vraiment ne paraît guère. v.837 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  421. Et pourquoi, mon enfant ? v.840 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  422. C'est que rien n'est si faux, v.840 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  423. Et qu'on ne peut mentir avec plus d'impudence. v.841 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  424. Non : mais, en récompense, v.842 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  425. Si l'aveu n'est pas tendre, il est du moins sincère. v.845 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  426. Ne nous emportons point ; voyons tranquillement v.847 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  427. Si l'amour vous a fait un objet bien charmant. v.848 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  428. Elle a l'esprit bien fait, et vous l'humeur revêche ; v.850 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  429. Elle se porte bien, vous êtes catarrheux ; v.852 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  430. Elle a toutes ses dents, qui la rendent plus belle ; v.853 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  431. Vous n'en avez plus qu'une, encore branle-t-elle, v.854 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  432. Et mettre en sûreté ses dangereux appas. v.859 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  433. Je vais en certain lieu la mener de ce pas, v.860 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  434. Elle aura tout loisir de faire pénitence. v.862 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  435. À quoi servent, monsieur, les façons que vous faites ? v.869 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  436. Vous rendant mes respects, je remplis mon devoir. v.872 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  437. Je viens y respirer un air délicieux. v.876 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  438. Hélas ! Rien n'est plus vrai : depuis que j'y respire, v.881 (Acte 3, scène 3, AGATHE)
  439. De pouvoir, de cent ans, attenter à ma vie. v.886 (Acte 3, scène 3, CRISPIN)
  440. Qu'elle se porte bien, ou qu'elle soit malade, v.889 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  441. Cherchez un autre lieu pour votre promenade. v.890 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  442. Enchante mes regards ; et jamais la nature v.893 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  443. Oui, le pays est beau, chacun en parle ainsi : v.896 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  444. Votre chaise à présent doit être accommodée ; v.898 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  445. Votre présence ici ne fait aucun besoin : v.899 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  446. Partez ; vous devriez être déjà bien loin. v.900 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  447. Je pars dans le moment. Dites-moi, je vous prie... v.901 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  448. Puisque de babiller vous avez tant d'envie, v.902 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  449. Je vais vous écouter avec attention. v.903 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  450. Rentrez, rentrez. v.904 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  451. Eh ! Rentrez, vous dit-on. v.904 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  452. Différez, croyez-moi, de vous mettre en chemin, v.908 (Acte 3, scène 3, AGATHE)
  453. Et ne vous y mettez qu'en bonne compagnie. v.909 (Acte 3, scène 3, AGATHE)
  454. Allons, vite, rentrons. v.911 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  455. Oui, oui, je rentrerai : v.911 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  456. Que le ciel enverra quelque honnête personne v.913 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  457. Pour faire enfin cesser les chagrins qu'on nous donne. v.914 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  458. À tout homme en ce lieu l'entrée est interdite : v.917 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  459. Rien n'entre ici, s'il n'est du genre féminin : v.920 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  460. Jugez si quelque fille en ce lieu peut se plaire. v.921 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  461. Je ne veux point sitôt rentrer dans le logis, v.923 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  462. Pour donner tout le temps que les barreaux soient mis. v.924 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  463. Leurs plaintes et leurs cris me toucheraient peut-être. v.925 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  464. Je suis fâché, vraiment, v.927 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  465. Que pour moi votre fille ait un tel traitement. v.928 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  466. Cela sera bientôt. v.930 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  467. J'en suis ravi dans l'âme. v.930 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  468. Vous ne pouvez jamais prendre un plus beau dessein, v.931 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  469. Et vous faites fort bien de lui tenir la main. v.932 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  470. Tous les maris devraient faire ce que vous faites. v.933 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  471. J'empêcherai, parbleu, que celle que je prends v.935 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  472. Ah ! Que vous ferez bien ! Je suis si saoul des femmes ! ... v.937 (Acte 3, scène 5, CRISPIN)
  473. Se servent de main-mise un peu de temps en temps... v.939 (Acte 3, scène 5, CRISPIN)
  474. Ce garçon-là me plaît, et parle de bon sens. v.940 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  475. Pour moi, je ne vois rien de si digne de blâme, v.941 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  476. Qu'un homme qui s'endort sur la foi d'une femme ; v.942 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  477. Compte tranquillement sur sa frêle vertu ; v.944 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  478. Il faut faire soi-même, en tout temps, sentinelle ; v.946 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  479. Suivre partout ses pas ; l'enfermer, s'il le faut ; v.947 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  480. Quand elle veut gronder, crier encor plus haut. v.948 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  481. Le plus fin, tel qu'il soit, en est toujours la dupe. v.950 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  482. Qui pourra m'attraper, bien habile sera. v.952 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  483. Chaque jour, là-dedans, j'invente quelque adresse v.953 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  484. Quand vous seriez jaloux, devez-vous vous défendre v.961 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  485. Pour avoir plus qu'un autre un coeur sensible et tendre ? v.962 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  486. Bien des gens cependant raisonnent autrement. v.964 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  487. Un jaloux, disent-ils, qui sans cesse querelle, v.965 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  488. Sans relâche agité de fureur et d'ennui, v.967 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  489. Comme un monstre échappé de l'enfer en courroux. v.972 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  490. Mais pour moi, je soutiens un parti tout contraire, v.974 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  491. Céder à ce penchant, et qu'il faut, dans la vie, v.977 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  492. Pour le montrer aux sots qui blâment ma manière. v.981 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  493. Entrons chez vous, monsieur : là, pour vous satisfaire, v.982 (Acte 3, scène 5, CRISPIN)
  494. Je vous l'écrirai tout, sans qu'il vous coûte rien. v.983 (Acte 3, scène 5, CRISPIN)
  495. Je vous suis obligé ; je m'en souviendrai bien. v.984 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  496. Que le ciel vous maintienne en ces bons sentiments ; v.987 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  497. Et ne demeurez pas en ce lieu plus longtemps. v.988 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  498. Au secours ! Aux voisins ! Quel accident terrible ! v.989 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  499. Quelle triste aventure ! Ah ciel ! Est-il possible ? v.990 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  500. Pauvre seigneur Albert, que vas-tu devenir ? v.991 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  501. Le coup est trop mortel ; je n'en puis revenir. v.992 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  502. Mais encor faut-il bien savoir ce qui se passe. v.994 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
  503. Eh bien ! Agathe ? v.995 (Acte 3, scène 6, ERASTE)
  504. Agathe, en ce moment, v.995 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  505. Vient de devenir folle, et tout subitement. v.996 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  506. Ce maudit serrurier, venu pour nous griller ; v.1000 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  507. Dont ce noir forgeron condamnoit sa fenêtre, v.1002 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  508. Elle tient des discours remplis d'extravagance ; v.1005 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  509. Elle prend un habit, puis le change soudain v.1007 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  510. Avec ce qu'elle peut rencontrer sous sa main. v.1008 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  511. Puis prenant sa guitare, elle a, de sa façon, v.1011 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  512. Chanté différents airs en différent jargon. v.1012 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  513. Enfin, c'est cent fois pis que je ne puis vous dire : v.1013 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  514. On ne peut s'empêcher d'en pleurer et d'en rire. v.1014 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  515. Qu'entends-je ? Juste ciel ! v.1015 (Acte 3, scène 6, ERASTE)
  516. De ce triste accident vous êtes seul l'auteur ; v.1016 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  517. Et voilà ce que c'est que d'enfermer les filles ! v.1017 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  518. J'ai voulu dans sa chambre un moment l'enfermer ; v.1019 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  519. C'était des hurlements qu'on ne peut exprimer : v.1020 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  520. Mais je la vois venir. v.1023 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  521. Hélas ! à tout moment v.1023 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  522. Elle change de forme et de déguisement. v.1024 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  523. Toute la nuit entière, v.1025 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  524. Je l'aimerais encor mieux qu'une autre plus sage. v.1032 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  525. Vous êtes du métier ? Musiciens, s'entend ; v.1035 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  526. Fort vains, fort altérés, fort peu d'argent comptant : v.1036 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  527. Enfant de G ré sol ; et de plus, je m'en pique ; v.1038 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  528. D'un bout du monde à l'autre on vante mon talent. v.1039 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  529. Sur un certain duo , que je trouve excellent, v.1040 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  530. Que chacun de vous deux m'en dise ce qu'il pense. v.1042 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  531. Ce qui m'en plaît, monsieur, sa folie est gaillarde. v.1045 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  532. J'aime les gens de l'art. v.1047 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  533. L'air que vous entendez est fait en a mi la ; v.1048 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  534. C'est mon ton favori : la musique en est vive, v.1049 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  535. Les mouvements légers, nouveaux, vifs et pressés. v.1051 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  536. L'on m'envoya chercher, un de ces jours passés, v.1052 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  537. Dès que j'eus mis en chant un certain rigaudon, v.1055 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  538. Trois sages médecins venus dans la maison, v.1056 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  539. Qui venait d'exercer son grave ministère, v.1058 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  540. Sans respect du métier, se prenant par la main, v.1059 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  541. Se mirent à danser jusques au lendemain. v.1060 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  542. Voir une faculté faire en rond une danse, v.1061 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  543. Et sortir dans la rue ainsi tout en cadence, v.1062 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  544. Tu peux rire, et la voir en cet état affreux ! v.1064 (Acte 3, scène 7, ERASTE)
  545. Attendez... doucement... mon démon de musique v.1065 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  546. M'agite, me saisit... je tiens du chromatique. v.1066 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  547. Les cheveux à la tête en dresseront d'horreur... v.1067 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  548. Ne troublez pas le dieu qui me met en fureur. v.1068 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  549. Je sens qu'en tons heureux ma verve se dégorge. v.1069 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  550. Nous entendrons bientôt de beaux charivaris. v.1076 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  551. Agathe, mon enfant, ton erreur est extrême. v.1077 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  552. Eh bien ! Je chanterai ; v.1079 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  553. Et, si c'est ton désir encor, je danserai. v.1080 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  554. Ah ! Ciel ! Quelle aventure ! v.1081 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  555. Le maître de musique entend la tablature. v.1082 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  556. Çà, comptez bien vos temps, pour partir ; cette fois v.1083 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  557. C'est vous qui commencez. Allons, vite : un, deux, trois. v.1084 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  558. Partez donc, partez donc, musicien barbare, v.1085 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  559. Quelle rauque grenouille, au milieu de ses joncs, v.1087 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  560. Que je n'ai point l'honneur d'être musicien. v.1091 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  561. Pourquoi donc, ignorant, viens-tu, ne sachant rien, v.1092 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  562. Interrompre un concert où ta seule présence v.1093 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  563. Et se mêler au chant des tendres rossignols ? v.1096 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  564. J'en suis sa caution. v.1103 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  565. Qu'il fasse une musique, et prompte, et vive, et tendre, v.1105 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  566. Qui m'enlève. v.1106 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  567. Entends-tu ? v.1106 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  568. Je commence à comprendre. v.1106 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  569. Une fugue, en musique, est un morceau bien fort, v.1108 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  570. Je crois que je m'en vais devenir folle aussi. v.1128 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  571. Il est entré. Lisons... v.1129 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  572. "Vous serez surpris du parti que je prends ; mais l'esclavage où je me trouve devenant plus dur chaque jour, j'ai cru qu'il m'était permis de tout entreprendre. (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  573. Nous fassions éclater quelque noble entreprise, v.1134 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  574. Vous voulez l'enlever ? v.1136 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  575. D'accord. Mais, vous rendant service, v.1137 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  576. C'est fort bien entendu. v.1139 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  577. Vous serez épousé ; moi, je serai pendu. v.1140 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  578. Il me vient un dessein... tu connais bien Clitandre ? v.1141 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  579. D'un tel ami nous pouvons tout attendre : v.1142 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  580. Me choisir un asile en partant de ces lieux. v.1144 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  581. La joie et le plaisir règnent dans ce séjour, v.1147 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  582. Et nous y conduirons et l'hymen et l'amour. v.1148 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  583. Ah ! Monsieur, excusez l'ennui qui me possède. v.1149 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  584. Je reviens sur mes pas pour chercher du remède. v.1150 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  585. De sa science v.1153 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  586. Il a daigné tantôt me faire confidence : v.1154 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  587. Il a mille secrets pour guérir bien des maux ; v.1155 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  588. Peut-être en a-t-il un pour les faibles cerveaux. v.1156 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  589. Oui, oui, j'en ai plus d'un, dont l'effet salutaire... v.1157 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  590. Refuser, lorsqu'on vous en priait, v.1159 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  591. En nul lieu, de ma vie, v.1161 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  592. On ne me fit tel tour, pas même en Barbarie. v.1162 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  593. Crispin, je t'en conjure, v.1165 (Acte 3, scène 11, ERASTE)
  594. Tâche à guérir le mal que cette belle endure. v.1166 (Acte 3, scène 11, ERASTE)
  595. J'immole encor pour vous tout mon ressentiment. v.1167 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  596. Oui, je veux la guérir, et radicalement. v.1168 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  597. Rentrez. Je vais voir dans mon livre v.1169 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  598. Mais aussi soyez sûr que mon bien et ma vie... v.1173 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  599. Allez, je ne veux rien qu'elle ne soit guérie. v.1174 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  600. Es-tu donc à ses yeux devenu médecin ? v.1176 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
  601. Ma foi, je n'en sais rien. Ce que je puis vous dire, v.1177 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  602. Et voilà justement ce qui fait son erreur. v.1183 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  603. Il en faut profiter. Je ressens dans mon coeur v.1184 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
  604. Renaître en ce moment l'espérance et la joie. v.1185 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
  605. D'entreprendre un projet, sans ce premier mobile. v.1190 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  606. Nous sommes sans argent ; qui nous en donnera ? v.1191 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  607. Que leurs billets d'amour soient des lettres-de-change. v.1194 (Acte 3, scène 13, CRISPIN)
  608. Je ne puis revenir de tout ce que j'entends. v.1195 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
  609. Qu'une fille a d'esprit, de raison, de bon sens, v.1196 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
  610. Tous les soins que l'amour peut attendre de moi. v.1200 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
  611. Quelque secours d'argent nous serait nécessaire. v.1202 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
  612. Je ne puis demeurer en place un seul moment. v.1203 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  613. Je vais, je viens, je cours ; tout accroît mon tourment. v.1204 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  614. Près d'elle, mon esprit, comme le sien, se trouble ; v.1205 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  615. Cet homme qui tantôt m'a vanté sa science, v.1209 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  616. Veut-il de ses secrets faire l'expérience ? v.1210 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  617. En l'état où je suis, je dois tout accorder ; v.1211 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  618. Je me fais un plaisir de rendre un bon office. v.1213 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  619. On se doit en tout temps l'un à l'autre service. v.1214 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  620. L'homme dont il s'agit en ces lieux doit se rendre ; v.1217 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  621. J'ai voulu sur le mal le sonder et l'entendre. v.1218 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  622. Mais il m'en a parlé dans des termes si nets, v.1219 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  623. En me développant la cause et les effets, v.1220 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  624. Qu'en vérité, je crois qu'il en sait plus qu'un autre. v.1221 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  625. Comme le ciel envoie ici, sans y songer, v.1223 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  626. Je ne garantis point sa science profonde, v.1225 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  627. Vous savez que ces gens, venus du bout du monde, v.1226 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  628. Pour tout genre de maux apportent des trésors : v.1227 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  629. Si vous le souhaitez, vous en ferez l'essai. v.1232 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  630. D'un office d'ami simplement je m'acquitte. v.1233 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  631. Nous voyons tous les jours de ces sortes de gens v.1235 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  632. Apprendre, en voyageant, des secrets surprenants. v.1236 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  633. Ah ciel ! Vous allez voir bien une autre folie. v.1237 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  634. Si cela dure encore, il faudra qu'on la lie. v.1238 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  635. Bonjour, mes doux amis : Dieu vous gard', mes enfants. v.1239 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  636. Eh bien ! Qu'est-ce ? Comment passez-vous votre temps ? v.1240 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  637. Que le ciel pour longtemps la santé vous envoie, v.1241 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  638. Vous conserve gaillards, et vous maintienne en joie ! v.1242 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  639. Le chagrin ne vaut rien, et ronge les esprits ; v.1243 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  640. On trouverait encor des retours de jeunesse. v.1246 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
  641. Je me porte encor mieux que tous tant que vous êtes. v.1249 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  642. Je vide gentiment mes deux bouteilles. v.1253 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  643. Oui vraiment, du champagne encor, sans qu'il en reste. v.1254 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  644. On peut voir dans ma bouche encor toutes mes dents. v.1255 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  645. Vienne la Saint-Martin. v.1257 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  646. Tout autant : mais je suis encore verdelette ; v.1258 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  647. D'avoir des serviteurs, et qui m'en content, dà. v.1260 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  648. Ils ne valent plus rien ; et pour en ramasser, v.1263 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  649. Tiens, je ne voudrais pas seulement me baisser. v.1264 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  650. De ces vapeurs souvent est-elle travaillée ? v.1265 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
  651. Hélas ! Jamais. Il faut qu'on l'ait ensorcelée. v.1266 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  652. À mon âge, je vaux encor mon pesant d'or. v.1267 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  653. Les enfants cependant m'ont beaucoup fait de tort : v.1268 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  654. Si l'on ne m'avait mise à treize ans en ménage. v.1270 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  655. C'est tuer la jeunesse, à vous en parler franc, v.1271 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  656. Que la mettre sitôt en un péril si grand. v.1272 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  657. Je ne me souviens pas d'avoir presque été fille. v.1273 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  658. À vous dire le vrai, j'étais assez gentille. v.1274 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  659. À vingt-sept ans, j'avais déjà quatorze enfants. v.1275 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  660. Et tous garçons encor ; je n'en avais point d'autres, v.1277 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  661. Et n'en voyais aucun tourné comme les nôtres. v.1278 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  662. Les malheureux voudraient me voir à l'hôpital. v.1280 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  663. Ils m'ont, jusqu'à présent, chicané mon douaire ? v.1282 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  664. Un douaire gagné si légitimement ! v.1283 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  665. Hélas ! Peut-on plus loin pousser l'égarement ? v.1284 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  666. J'aurais très grand besoin de quelque cent pistoles ; v.1286 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  667. Prêtez-les-moi, monsieur, pour subvenir aux frais, v.1287 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  668. Tu rêves, mon enfant : mais pour te satisfaire, v.1289 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  669. J'avancerai les frais, et j'en fais mon affaire. v.1290 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  670. Si je n'ai cet argent, ce jour, en mon pouvoir, v.1291 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  671. Mais songe, mon enfant... v.1293 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  672. Vous ferez sagement. v.1295 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
  673. Il ne faut pas, de front, heurter son sentiment. v.1296 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
  674. À s'aller, de ce pas, jeter par la fenêtre. v.1298 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  675. Il me souvient que vous avez tantôt v.1299 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  676. Reçu ces cent louis, ou du moins peu s'en faut ; v.1300 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  677. Quel risque à ses désirs de vouloir condescendre ? v.1301 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  678. Il est vrai qu'à l'instant je pourrai lui reprendre. v.1302 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  679. Tiens, voilà cet argent : va, puissent au procès v.1303 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  680. Ces cent louis prêtés donner un bon succès ! v.1304 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  681. Je suis sûre à présent du gain de notre affaire : v.1305 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  682. Donne à mon procureur, Lisette, cet argent : v.1307 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  683. Je crois qu'à me servir il sera diligent. v.1308 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  684. Je reviens sur mes pas en habit plus décent, v.1311 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  685. Adieu. Qu'un jour le ciel vous rende ce service ! v.1314 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  686. Qu'une veuve est à plaindre, et qu'elle a de tourments, v.1315 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  687. Quand elle a mis au jour de méchants garnements ! v.1316 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  688. Prends bien garde à l'argent. v.1319 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  689. J'en réponds corps pour corps, il est en bonne main. v.1320 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
  690. Vous voyez à quel point cette folie augmente. v.1321 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
  691. Votre homme ne vient point, et je m'impatiente. v.1322 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
  692. Mais je le vois qui vient ; n'ayez plus de souci. v.1324 (Acte 3, scène 6, ERASTE)
  693. Eh ! Monsieur, venez donc. Avec impatience v.1325 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  694. Tous deux nous attendons ici votre présence. v.1326 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  695. Un savant philosophe a dit élégamment : v.1327 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  696. « Dans tout ce que tu fais hâte-toi lentement.» v.1328 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  697. J'ai depuis peu de temps pourtant bien fait des choses, v.1329 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  698. Hippocrate dit oui, mais Galien dit non ; v.1332 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  699. Et, pour mettre d'accord ces deux messieurs ensemble, v.1333 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  700. Je n'ai pas, pour venir, trop tardé, ce me semble. v.1334 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  701. Sent toujours de son mal quelque crise nouvelle : v.1338 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  702. En ces lieux écartés, n'ayant nuls médecins, v.1339 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  703. Monsieur m'a conseillé de la mettre en vos mains. v.1340 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  704. Sans doute elle serait beaucoup mieux dans les siennes ; v.1341 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  705. Mais j'espère employer utilement mes peines. v.1342 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  706. Moi ? Si j'en ai guéri ? Ah ! Vraiment, je le crois. v.1344 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  707. Il entre dans mon art quelque peu de magie. v.1345 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  708. Avec trois mots, qu'un juif m'apprit en Arabie, v.1346 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  709. Qui vraiment avait bien un autre vertigo. v.1348 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  710. Je laisse aux médecins exercer leur science v.1349 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  711. Sur les maux dont le corps ressent la violence : v.1350 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  712. Pour avoir le plaisir de vous rendre demain v.1355 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  713. Sans perdre plus de temps, entrons chez cette belle. v.1358 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  714. Non, s'il vous plaît, monsieur, il n'en est pas besoin ; v.1359 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  715. Et de vous l'amener je vais prendre le soin. v.1360 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  716. Tout va bien. La fortune à nos voeux s'intéresse. v.1361 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  717. Agathe, en ton absence, avec un tour d'adresse, v.1362 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  718. A su tirer d'Albert ces cent louis comptants. v.1363 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  719. Comment donc ? v.1364 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  720. Nous avons maintenant, sans chercher davantage, v.1365 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  721. De quoi sauver Agathe et nous mettre en voyage. v.1366 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  722. Pourvu qu'un seul moment nous puissions écarter v.1367 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  723. Tant qu'il suivra ses pas, nous ne saurions rien faire. v.1369 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  724. Et la fausse malade entend à demi-mot. v.1372 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  725. J'imagine un moyen des plus fous ; mais qu'importe ! v.1373 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  726. La pièce en vaudra mieux, plus elle sera forte. v.1374 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  727. Si quelque autre voulait prendre la frénésie. v.1378 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  728. Je m'offrirai d'abord à tout évènement. v.1379 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  729. Laisse-moi faire après le reste seulement : v.1380 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  730. Mais comment voulez-vous qu'Agathe à ce dessein, v.1383 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  731. Sans en avoir rien su, puisse prêter la main ? v.1384 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  732. Je l'instruirai de tout, je t'en donne parole. v.1385 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  733. Mais songe seulement à bien jouer ton rôle ; v.1386 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  734. Et lorsque dans ces lieux Agathe reviendra, v.1387 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  735. Et lui dire en deux mots ce qu'elle devra faire. v.1390 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  736. Ah ! Messieurs, sa folie à chaque instant augmente ; v.1393 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  737. Un transport martial à présent la tourmente. v.1394 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  738. Elle s'est mise en homme, à cet excès fatal. v.1396 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  739. Mon argent doit servir à lever des soldats ; v.1400 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  740. Elle veut m'enrôler. v.1401 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  741. Ah ! Marquis, en ce lieu v.1403 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  742. Je te trouve à propos, et viens te dire adieu. v.1404 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  743. J'ai trouvé de l'argent pour faire ma campagne ; v.1405 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  744. Et cette nuit enfin je pars pour l'Allemagne. v.1406 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  745. Ciel ! Quel égarement ! v.1407 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
  746. Pour tirer de leurs mains cent mauvaises pistoles, v.1409 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  747. Celui qui m'a prêté son argent, je le tiens v.1411 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  748. Pour le plus grand coquin, le plus juif, le plus chien v.1412 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  749. Que l'on puisse trouver en affaires pareilles : v.1413 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  750. Enfin me voilà prêt d'aller servir le roi ; v.1415 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  751. Il ne tiendra qu'à toi de partir avec moi. v.1416 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  752. Il faut, avec prudence, entrer dans sa manie. v.1418 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  753. Je quitte avec plaisir l'étendard de l'amour. v.1419 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  754. Je sais l'art de réduire aisément les plus fières. v.1422 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  755. La gloire est mon penchant, cette gloire inhumaine v.1425 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  756. À son char éclatant en esclave m'enchaîne. v.1426 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  757. Ce pauvre sexe meurt et d'amour et d'ennui, v.1427 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  758. Sans que je sois tenté de rien faire pour lui. v.1428 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  759. J'examinais ses yeux. à ce qu'on peut comprendre, v.1433 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  760. Quelque accès violent sans doute va la prendre, v.1434 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  761. Lequel sera suivi d'un assoupissement : v.1435 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  762. Ordonnez qu'on apporte un fauteuil vitement. v.1436 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  763. D'aller aux ennemis arracher la victoire ! v.1438 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  764. Que de veuves en deuil ! Que d'amantes en pleurs ! v.1439 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  765. Enfants, suivez-moi tous ; ranimez vos ardeurs. v.1440 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  766. Que tout ressente ici l'horreur et le carnage. v.1442 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  767. Les coquins n'oseraient soutenir notre vue. v.1445 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  768. En peu de temps, voilà bien du sang répandu. v.1447 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  769. Tout se prépare bien ; je la vois qui repose. v.1449 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  770. Son mal, à mon avis, ne provient d'autre chose v.1450 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  771. Qui veut avec effort se mettre en liberté. v.1452 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  772. Comment ! La pauvre fille est-elle possédée ! v.1454 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  773. Ce démon violent, dont il la faut sauver, v.1455 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  774. Est bien fort, et pourrait dans peu nous l'enlever. v.1456 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  775. En qui je fisse entrer cet esprit de folie, v.1458 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  776. Je vous répondrais bien... v.1459 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  777. Que je n'en ferai rien : je ne suis que trop folle. v.1462 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  778. Hâtez-vous donc. Son mal augmente à chaque instant. v.1463 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  779. Malepeste ! Ceci n'est pas un jeu d'enfant. v.1464 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  780. On ne saurait agir avec trop de prudence. v.1465 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  781. Quand dans le corps d'un homme un démon prend séance, v.1466 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  782. Je puis, sans me flatter, l'en tirer aisément ; v.1467 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  783. Mais dans un corps femelle, il tient bien autrement. v.1468 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  784. Pour savoir aujourd'hui jusqu'où va sa science, v.1469 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  785. Je veux bien me livrer à son expérience. v.1470 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  786. Je commence à douter de l'effet ; et je crois v.1471 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  787. Et vous mettre en état de ne pouvoir répondre. v.1474 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  788. Un genou contre terre, et vous tenez bien là, v.1476 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  789. Votre main dans la sienne étroitement serrée. v.1478 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  790. Ne consentez-vous pas qu'il lui donne la main, v.1479 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  791. Oui, je consens à tout. v.1481 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
  792. Tant mieux. Sans plus attendre, v.1481 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  793. Vous verrez un effet qui pourra vous surprendre. v.1482 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  794. Quelle sombre vapeur vient obscurcir ces lieux ! v.1484 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  795. Quel calme en mon esprit vient succéder au trouble ! v.1485 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  796. Quel tumulte confus dans mes sens se redouble ! v.1486 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  797. Quels abîmes profonds s'entr'ouvrent sous mes pas ! v.1487 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  798. Aux accès violents dont son coeur se transporte, v.1493 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  799. Il s'en va m'échapper. v.1499 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  800. Lisette, tiens ma clef ; va, cours vite là-haut ; v.1500 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
  801. Prends la fiole où... v.1501 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
  802. Je crains en ce désordre extrême, v.1501 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  803. Je reviens tout-à-l'heure. v.1505 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
  804. Je mets entre vos mains et mon sort et ma vie. v.1509 (Acte 3, scène 11, AGATHE)
  805. Mais je ne vois plus rien. Quel soupçon m'épouvante ? v.1514 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  806. Que sont-ils devenus ? Quel chemin ont-ils pris ? v.1516 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  807. Par leur feinte folie ils m'ont enfin séduit ; v.1519 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  808. Et moi seul en ce jour j'avAis perdu l'esprit. v.1520 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  809. Traîtres de ravisseurs, vous serez tous pendus. v.1524 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  810. De tous les gens de bien tu dois être maudit ; v.1527 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  811. Je te rends pour jamais au diable qui te fit. v.1528 (Acte 3, scène 12, ALBERT)

LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES. (1691)

  1. Vous en avez menti, messieurs les commis de la barrière, je ne dois rien : vous êtes des fripons. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  2. À peine suis-je entré dans la ville, qu'on fait derrière mon cheval l'opération à ma valise ; on en tire les hardes, et on la fait accoucher avant terme. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  3. En descendant à l'hôtellerie, on m'escamote ma casaque. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  4. Je fais deux pas dans la rue, un fiacre me couvre de boue depuis les pieds jusqu'à la tête ; un porteur de chaise me donne d'un de ses bâtons dans le dos : il vient un homme me saluer ; je lui ôte mon chapeau, un coquin par derrière m'arrache ma perruque ; et, pour comble de friponneries, on veut me faire payer l'entrée à la porte comme bête à cornes, parce que je viens pour me marier... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  5. Attendez donc que je sois... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  6. D'où vient, petit garçon, qu'il faut vous appeler tant de fois ? (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  7. Mademoiselle, c'est que j'achevais ma main au lansquenet. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
  8. N'est-il venu personne me demander ? (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  9. Il est venu cinq ou six personnes ; mais j'ai oublié leurs noms et ce qu'elles m'ont dit. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
  10. Monsieur le conseiller a dit qu'il allait revenir. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  11. Il est venu aussi cette grande femme qui a le visage si creux, qui vous viendra voir tantôt, quand elle aura été chez son libraire. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  12. C'est notre bel esprit ; je la tiens quitte de sa visite dès à présent. (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  13. Venez çà ; allez chez ma couturière, et dites-lui que je veux avoir mon habit aujourd'hui. (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  14. La mienne est toute déchirée entre les jambes, et ma chemise passe, révérence parler, par... (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
  15. Hé bien, cousine, as-tu bientôt mis la dernière main à ton visage ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  16. Dis-moi, je te prie, comment me trouves-tu aujourd'hui ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  17. J'ai beau arranger mes traits, il me semble qu'il y en a toujours quelqu'un qui se révolte contre mon économie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  18. Je sais bien, sans vanité, que j'ai quelque agrément ; mais avec un peu de beauté, et trois ou quatre mouches sur le nez, une fille ne va pas loin dans le siècle où nous sommes. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  19. Nous commençons tout doucement à monter en graine, et nous sommes assez fortes pour bien soutenir une thèse en mariage. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  20. J'en tombe d'accord. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  21. Je sens quelquefois qu'une fille n'est pas née pour vivre seule ; je t'avouerai même que j'emploie tout mon esprit pour attirer quelque amant dans le filet conjugal. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  22. Mais les hommes sont des pestes de poissons rusés qui viennent badiner autour de l'appât, et qui mordent rarement à l'hameçon. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  23. Le mariage se décrie de jour en jour ; je crois, pour moi, que nous allons voir la fin du monde. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  24. Quoique le mariage ne soit plus guère à la mode, les hommes ont beau faire, ils ne sauraient se passer de nous. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  25. Leur répugnance pour le mariage vient de la simplicité des filles qui ne savent pas jouer leur rôle. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  26. Je relève, avec art, les agréments que la nature m'a donnés : je joins à quelque brillant d'esprit les talents de la poésie et de la musique : pour mes manières, elles sont douces et insinuantes ; et, avec tout cela, point d'épouseurs. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  27. Mais que prétendent donc tous ces petits messieurs-là ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  28. On sait bien qu'il y a de certaines avances qui accrochent quelquefois. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  29. Mais vous en aurez menti, messieurs les soupirants ; et si j'accorde quelque faveur, ce ne sera, ma foi, que par-devant notaire, et en vertu d'un bon parchemin bien signé. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  30. Cependant ce n'est pas une chose si difficile que tu le penses, d'engager un homme. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  31. Savoir risquer un billet dans son temps, marcher sur le pied à l'un, tendre la main à l'autre, se brouiller avec celui-ci, se raccommoder avec celui-là : crois-moi, avec ce petit manège-là, il faut, bon gré, mal gré, que quelque bête donne dans les toiles. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  32. Il me semble que tu copies assez bien une coquette d'après nature. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  33. Prends-y garde, au moins : on ne fait plus guère de fortune à ce métier-là. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  34. Il n'y a plus que les sottes qui se persuadent d'attraper des hommes par des airs composés. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  35. Cousine, le monde m'en a plus appris qu'à toi, et je te suis caution qu'une fille n'est piquante qu'autant qu'elle a pris sel dans la coquetterie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  36. Vraiment ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  37. Ce ne sont pas là les maximes de ma mère, qui me prône tous les jours que la coquetterie est l'antipode du mariage ; et j'ai ouï dire cent fois à mon oncle qu'une fille coquette ressemble à ces vins pétillants dont tout le monde veut tâter, et dont personne ne veut acheter pour son ordinaire. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  38. Voilà-t-il pas mes contes de grand'mères, qui condamnent dans leurs enfants les plaisirs que l'âge leur refuse ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  39. Je veux, moi, te donner des conseils pour le mariage, plus courts et plus faciles : et afin que tu les retiennes mieux, je vais te les lire en vers. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  40. En vers, ma petite ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  41. Doit changer à tous les moments v.3 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  42. Tantôt, d'un air modeste, elle entre dans un coeur, v.5 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  43. Elle y porte à la fois la joie et la tendresse ; v.8 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  44. Elle sait finement, par un mélange heureux, v.9 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  45. N'en perds pas une syllabe. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  46. Je ne sais pas comment sera le reste, mais le début est fort vif. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  47. Elle tient toujours la balance v.14 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  48. Entre la crainte et l'espérance, v.15 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  49. Laissant un pauvre amant doucement s'enferrer. v.16 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  50. Trac, l'oiseau rentre au trébuchet. v.23 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  51. Rien ne se démentira. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  52. Un mari ne se prend pas comme un oiseau ; il faut bien d'autres piéges. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  53. Je te dis qu'en amour ils sont si niais, qu'une fille qui sait un peu son métier en va duper trente à la fois. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  54. Encore ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  55. Elle impose silence en faisant la novice ; v.25 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  56. Elle fait expliquer ceux qui n'en parlent pas, v.26 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  57. Et, dispensant ainsi la rigueur, la tendresse, v.30 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  58. Crois-moi, cousine, en cet état, v.31 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  59. Si quelque dupe enfin ne tâte du contrat. v.33 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  60. Il entre bien des ingrédients dans la composition d'une coquette. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  61. Savante comme tu l'es, tu devrais te mettre à montrer le coquettisme en ville : tu serais bientôt riche. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  62. Je n'y gagnerais pas de l'eau : toutes les filles savent cela. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  63. Dans le fond, on n'a que de bonnes intentions. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  64. Et quel reproche peut faire un homme quand une fille ne le trompe qu'en vue de mariage ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  65. Qu'il entre. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  66. Je te laisse avec lui ; car apparemment c'est un épouseur : et ma mère m'attend. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  67. Ta mère t'attend : va, va, elle est la maîtresse, elle attendra tant qu'elle voudra : demeure ici ; tu en apprendras plus avec moi en un quart_d_heure, que tu ne feras en toute ta vie avec ta mère. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  68. Ne t'ai-je pas dit cent fois que j'aime tout le monde sans aimer personne. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  69. Mon père m'a défendu de le voir, parce qu'il me destine à un bailli du Maine, qui doit arriver dans peu. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  70. Ne suis-je pas bien malheureuse ! (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  71. Malgré la rigueur de votre père, je viens vous assurer, mademoiselle, que je perdrai plutôt la vie que l'espérance d'être un jour votre époux. (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
  72. Vous savez, Monsieur_le_Comte, quels sont mes sentiments pour vous : cela vous doit suffire. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  73. Ne parlons point d'amour, si ce n'est en chansons. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  74. Vous chantez bien : voilà ma cousine qui accompagne parfaitement du clavecin : je veux vous entendre ensemble. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  75. Mezzetin, prenez bien garde que mon père ne vienne. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  76. Je ne dors ni ne veille ; je sens toujours là un tintamarre, comme s'il y avait un régiment de lutins. (Acte 1, scène 9, PIERROT)
  77. Il faut entendre patience. (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
  78. Ne vous avais-je pas prié de n'y plus venir ? (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
  79. Puisque monsieur vous l'a défendu, pourquoi y revenez-vous ? (Acte 1, scène 9, PIERROT)
  80. Est-ce que vous prétendez, mon petit monsieur, épouser ma fille malgré moi ? (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
  81. Monsieur, n'allez pas souffrir cela ; on vous prendrait pour un insensé. (Acte 1, scène 9, PIERROT)
  82. Mais, monsieur, encore une fois, je n'ai que faire de vos révérences : répondez à ce que je vous demande. (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
  83. Vous ferez bien, messieurs de la révérence, de ne regarder ma porte qu'avec une lunette ; je vous saluerais d'une manière... (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  84. Toujours des révérences ! (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  85. Va, va, tu n'as qu'à y revenir ; je te ferai danser un branle de sortie sans violons. (Acte 1, scène 10, PIERROT)
  86. Et vous, mademoiselle l'impertinente, ne vous ai-je pas défendu de le voir ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  87. Ma foi, monsieur, il faut dire la vérité ; voilà des filles bien civiles. (Acte 1, scène 11, PIERROT)
  88. Mais que veulent donc dire toutes ces cérémonies-là ? (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  89. J'attends aujourd'hui un gendre qui me vient du Bas-Maine ; je veux envoyer savoir s'il est venu. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  90. Si je prends un bâton... (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  91. Tu t'en mêles aussi ? (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  92. Je veux que tu passes chez monsieur Fesse-Mathieu, pour le prier de venir ici ; et que tu ailles de là dans la rue de la Huchette, savoir si le messager du Mans est arrivé. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  93. Vous attendez donc quelque panier de volaille ? (Acte 1, scène 11, PIERROT)
  94. J'attends le bailli de Laval, qui vient pour être mon gendre. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  95. Assurément. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  96. Monsieur, n'en faites rien ; il ne vient que des chapons de ce pays-là. (Acte 1, scène 11, PIERROT)
  97. Est-ce que tu n'entends pas que je demande une bougie pour cacheter une lettre ? (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  98. Pardonnez-moi... mais... c'est que... en vérité... mademoiselle ; je m'en vais... (Acte 1, scène 12, PIERROT)
  99. Pour moi, je ne sais plus quelle maladie a attaqué le cerveau de cet animal-là : il ne voit plus, il n'entend plus ; il a assurément quelque chose de brouillé dans son timbre. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  100. Je te demande une bougie, m'entends-tu ? Je crois qu'il me fera perdre l'esprit. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  101. Voilà une nouvelle folie que je ne lui connaissais pas encore. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  102. Parle, réponds ; dis donc à qui tu en as. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  103. Je n'oserais ; je sens là un tourbillon, un étouffement de la nature... heurtant contre l'amour. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
  104. Tenez, voilà une lettre qui vous dira tout cela. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
  105. En vérité, je suis ravie d'avoir fait une pareille conquête. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  106. Mademoiselle, je sais bien que mon mérite n'est pas capable de mériter ;... mais, d'un autre côté,... voilà que l'occasion,... votre beauté... Je ne suis pas bien riche ; mais, ma foi, je suis un bon garçon. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
  107. J'entends cela le mieux du monde ; mais je vous prie, monsieur Pierrot, d'étouffer un peu vos hoquets de tendresse, et d'aller porter cette lettre à monsieur de la Maltotière. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  108. La conquête de Pierrot n'est pas bien illustre : je sens néanmoins une secrète joie de voir que rien ne m'échappe. (Acte 1, scène 13, COLOMBINE)
  109. Quelque sévérité qu'affectent les femmes, elles ne sont jamais fâchées de s'entendre dire qu'on les aime. (Acte 1, scène 13, COLOMBINE)
  110. En vérité, monsieur Nigaudin, j'ai lieu de louer votre diligence : nous ne devons partir pour la Comédie que dans deux heures, et je suis ravie de pouvoir pendant ce temps-là profiter de votre conversation. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  111. Mademoiselle, quand il s'agira de venir vous offrir ses hommages, on n'obtiendra point de défaut contre moi : en cas de rendez-vous auprès des dames, je ne me laisse jamais contumacer, et je me rends bien vite à l'ajournement personnel. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  112. Que vous dites les choses galamment ! (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  113. Vous avez un tour aisé et naturel dans les expressions, que les autres n'ont point ; et il semble toujours que vous demandiez le coeur, quelque indifférente chose que vous puissiez dire. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  114. Moi, mademoiselle ! Je ne vous demande rien ; vous me prenez donc pour un escroc ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  115. Il est vrai que nous autres gens de robe, la plupart, nous avons la belle élocution à commandement. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  116. Tout franc, mademoiselle, les gens d'épée n'ont point le boute-dehors comme nous. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  117. Ne me parlez point des gens d'épée ; ils n'auraient jamais rien à vous dire, s'ils ne vous étourdissaient de leurs bonnes fortunes, et s'ils ne vous faisaient le calcul du nombre des bouteilles qu'ils ont vidées. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  118. Pour moi, je ne conçois pas bien la manie de la plupart des femmes d'aujourd'hui ; on ne saurait leur plaire, si l'on ne revient de Flandre ou d'Allemagne, et si l'on ne rapporte à leurs pieds un coeur tout persillé de poudre à canon. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  119. Ma foi, il y a bien de l'entêtement ; car, entre nous, il n'y a point de gens qui tiennent une procédure si irrégulière auprès des dames que les gens de guerre : ils sont brusques et entreprenants sur le fait des faveurs, et n'observent jamais les délais fixés par l'ordonnance de l'amour. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  120. Il est vrai qu'on n'est point en sûreté contre leurs entreprises ; et quand ils sont chez les dames, ils s'imaginent être dans un quartier d'hiver à vivre à discrétion. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  121. À propos de quartier d'hiver, mademoiselle, il me semble qu'ils sont venus cette année quinze jours plus tôt pour moi. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  122. J'avais hypothèque spéciale sur votre coeur, sans ce visage d'épetier qui est arrivé, et qui se prétend privilégié sur la chose : mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  123. Il est vrai qu'un juge craint fort peu de chose ; mais la plupart de ces gens de guerre sont des brutaux qui usent d'abord des voies de fait. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  124. Nous autres, nous faisons notre affaire en douceur, et nous n'aimons pas le fracas de la brette. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  125. Vous avez assez d'autres endroits pour vous faire distinguer. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  126. Ce n'est pas, ventrebleu ! (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  127. Qu'on n'ait du coeur. Je voudrais que vous me vissiez aux buvettes : je fais tout trembler ; et si tous mes confrères les praticiens me ressemblaient, il ne se recevrait pas le quart des nasardes qui se donnent tous les jours. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  128. Et je vous prendrais quelquefois pour un colonel de robe. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  129. N'est-il pas vrai que l'épée me sied bien ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  130. Je sens quelquefois des convulsions de bravoure que je ne saurais retenir. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  131. Si vous débrouillez aussi bien un procès que vous savez vous faire jour dans un coeur, que vous êtes un juge éclairé ! (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  132. Tout franc, mademoiselle, je ne me plains pas de mes lumières, et je vous avoue que j'ai une pénétration d'esprit qui me surprend quelquefois. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  133. Je jugeai dernièrement un gros procès à l'audience, dont je n'avais pas entendu un mot. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  134. Et comment avez-vous pu rendre la justice ? (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  135. L'une des parties m'avait envoyé un carrosse de cent pistoles, et l'autre deux chevaux gris de six cents écus ; vous jugez bien qui avait le bon droit ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  136. Je sais que deux chevaux gris mènent un procès bien rondement. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  137. Ma foi, vous avez raison ; les chevaux entraînèrent le carrosse. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  138. Comment donc ? (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  139. Voilà qui est bien brutal. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  140. Je sais bien ce que je fais. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  141. Il faudra qu'il soit bien lâche, s'il me bat sans épée. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  142. Si tu ne me laisses entrer, je mettrai le feu à la maison. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  143. Le voilà qui entre. Tenez, cachez-vous vite sous cette table-là, et ne remuez pas. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  144. Comment ! (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  145. Mordi, mademoiselle : il est plus difficile d'entrer chez vous que de prendre trois demi-lunes l'épée à la main. (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  146. Voilà qui est fait, je ne rends plus de visites qu'à des portes bâtardes. (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  147. Monsieur, je suis bien fâchée de l'accident de votre cravate : mais... (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  148. Mais, mademoiselle, on est bien aise de conserver le peu qu'on a de linge. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  149. Je suis revenu trente fois de l'assaut en meilleur équipage. (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  150. Ce n'est rien, monsieur... (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  151. Que voilà un habit bien entendu ! (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  152. Je ne suis pas mal fait, oui ; je dois ma taille à une douzaine de bouteilles de vin que je bois réglément par jour : un grand ventre sied bien à la tête d'un bataillon. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  153. Qu'est-ce donc que j'entends ? (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  154. Ce n'est rien, vous dis-je. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  155. Voilà vos inquiétudes qui vous prennent ; vous voudriez déjà être hors d'ici, et vous ne songez pas qu'il y a un siècle qu'on ne vous a vu. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  156. J'y viendrais plus souvent : mais tout le genre humain y aborde. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  157. Voyez-vous, mademoiselle, je suis le gentilhomme de France du meilleur commerce ; mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  158. Monsieur, je ménage tout le monde pour des raisons particulières ; mais je sais donner la préférence à qui le mérite. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  159. Je me distingue en voyant des gens de cour ; les officiers me font plaisir ; je trouve des ressources avec les financiers : et pour peu qu'on aime les bagatelles, c'est le moins qu'on puisse avoir que deux ou trois petits abbés dans une maison. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  160. Pour les abbés, passe : on sait bien que cette graine-là est nécessaire aux femmes : mais j'enrage de voir à vos trousses un tas de gens de robe, qui sont pour la plupart des croquants, à qui l'esprit n'a été donné que comme le sel aux jambons pour les conserver. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  161. Bon ! L'été les femmes les souffrent faute d'officiers : mais ce sont des oiseaux de semestre qui disparaissent avec les hirondelles. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  162. Et puis les affaires viennent sans qu'on y pense ; on a tous les jours, malgré soi, des procès ; et vous savez qu'auprès d'un juge sensible, l'enjouement d'une jolie femme est toujours la meilleure pièce d'un sac. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  163. Vous voyez entre autres un certain... Trigaudin... Nigaudin ; un petit friquet de chicane. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  164. Par la ventrebleu ! (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  165. Si jamais je l'y rencontre ; je n'aime pas le bruit, mais assurément je lui couperai les oreilles. (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
  166. Fi, monsieur, ne m'en parlez point ; je ne le saurais souffrir : c'est une éponge à sottises. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  167. Vous me paraissez bien enrhumée. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  168. Ce n'est rien, monsieur ; on ne peut pas toujours se porter si bien que vous. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  169. Je le crois, ma foi, qu'il est hon ; il y a plus de trente ans que je m'en sers jour et nuit ; je ne suis pas comme ces femmes qui le mettent le soir sur leur toilette. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  170. C'est-à-dire, monsieur le capitaine, que vous ne manquez pas de moyens pour trouver de l'argent. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  171. Chassez-moi ce chien de dessous cette table. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
  172. La Violette, laquais, prenez ma robe. (Acte 1, scène 17, NIGAUDIN)
  173. Mon petit ami, si vous ne dénichez au plus vite, je vous ferai amoureusement descendre par la fenêtre. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
  174. Adieu, monsieur ; nous ne serons pas toujours seul à seul ; et s'il vous tombe jamais quelque décret sur le corps, je vous apprendrai ce que c'est que de scandaliser un juge chez des femmes. (Acte 1, scène 18, NIGAUDIN)
  175. Va, va, petit regrattier de la justice, je me moque de toi et de tes décrets ; je suis en garnison dans une bonne citadelle. (Acte 1, scène 18, LE-CAPITAINE)
  176. On ne traite pas comme cela un conseiller assesseur, et je m'en plaindrai à votre citadelle. (Acte 1, scène 18, NIGAUDIN)
  177. Monsieur, je viens de chez votre notaire ; il vous prie bien fort de l'excuser ; il ne saurait venir aujourd'hui. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  178. Il faut prendre patience, pourvu qu'il vienne demain. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  179. Ni demain non plus : il lui est survenu une petite affaire ; je ne crois pas qu'il puisse venir si tôt. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  180. Tu as raison ; je ne crois pas qu'il revienne de longtemps. C'est bien dommage ; c'était le seul honnête homme de notaire que j'aie encore trouvé. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  181. Le ciel en soit loué ! (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  182. Je me déferai peut-être à la fin de ma fille, et je ne verrai plus dans ma maison des animaux de toute sorte d'espèces, et particulièrement cette assemblée de femmes, ou plutôt cette académie de folles qui s'y tenait. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  183. Tout franc, monsieur, je commençais à être bien las de toutes ces visageresses, et j'étais résolu de prendre mon congé ou de vous donner le vôtre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  184. Mais, monsieur, je voudrais bien vous lâcher un petit mot, tandis que je sommes sur la chose du mariage. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  185. Monsieur, regardez-moi bien ; tel que vous me voyez, je me vais marier. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  186. Monsieur, vous la connaissez bien ; c'est... mademoiselle votre fille. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  187. Vraiment, monsieur, cela est tout prêt ; on n'attend plus que votre consentement et le sien. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  188. Je ne sais, maraud, à quoi il tient que je ne t'assomme de coups. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  189. Je suis un garçon, une fois, et elle est une fille ; et puis, monsieur, je ne sais ce que c'est que de faire le blêche : vous me donnez quinze écus par an ; j'aime mieux n'en gagner que dix et être votre gendre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  190. Tenez, voilà votre diable de bailli ; est-ce qu'il est mieux fait que moi ? (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  191. Je crois, monsieur, que vous avez plus d'impatience de me faire votre gendre, que je n'en ai de vous voir mon beau-père. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  192. Monsieur du quartaut, vous n'en aurez peut-être que la baissière. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  193. J'espère, monsieur, que vous ne vous repentirez pas de l'affaire que vous faites ; car je puis vous assurer que je vous livre une fille toute neuve, et qui vous fera dans la suite un très bon usé. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  194. Vous pouvez aussi vous vanter que vous serez le beau-père de France le mieux engendré. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  195. Je n'ai aucune mauvaise qualité ; je hais le vin à la mort ; j'ai une aversion incroyable pour le jeu, et je suis fort aisé à vivre : je ne crois pas avoir assommé plus de vingt paysans ; et si, ce n'était que pour des bagatelles, quelques rentes seigneuriales. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  196. Vous dites donc, monsieur, que ma fille sera doucement avec vous ; et qu'est-ce que c'est que cela, s'il vous plaît ? (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  197. Vous m'assurez que sa dot ne court point de risque entre vos mains, et que vous ne jouez point ? (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  198. Il n'y a que des fripons qui s'amusent à ce métier-là. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  199. Je porte quelquefois des cartes et des dés par complaisance ; mais je ne m'en sers qu'en compagnie, et je vous assure que si j'étais seul je ne jouerais jamais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  200. Je vous l'ai toujours dit, monsieur ; il n'y a que les mauvaises compagnies qui gâtent la jeunesse. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  201. Pour du vin, vous n'en buvez pas ? (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  202. Est-ce que les honnêtes gens boivent du vin ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  203. Il l'a ; ce n'est que de l'eau-de-vie que je porte à une femme de qualité qui est en couche. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  204. Apparemment vous n'épouserez pas ma fille sans la voir ? (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  205. Pierrot, dis à Colombine qu'elle vienne saluer monsieur. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  206. Non, monsieur ; j'ai vu un chevalier avec un abbé qui sont venus pour l'emprunter jusqu'à sept heures. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  207. Comment donc ! (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  208. Si on me l'emprunte comme cela quand elle sera ma femme, elle ne durera pas si longtemps que je pensais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  209. Mon garçon, la fille de monsieur se prête donc quelquefois de main en main quand on la demande ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  210. Oui, monsieur, tous les jours ; il y a tout plein d'honnête monde qui la vient prendre pour la divertir. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  211. En tout cas, si dans six mois ou un an je ne m'accommodais pas de votre fille, en perdant quelque chose dessus, vous la reprendriez. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  212. Il n'y a rien à perdre sur cette fille-là ; vous en trouverez toujours votre argent. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  213. On ne parle point du loup qu'on n'en voie la queue. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  214. Tenez, la voilà. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  215. Ne vous avais-je pas bien dit qu'elle viendrait souper avec vous ? (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  216. Il n'y a point de fille à Paris si bien morigénée ; elle ne couche jamais en ville. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  217. Ma fille, voilà le bailli en question : tu ne voudras peut-être pas lui ouvrir ton coeur en ma présence ? (Acte 2, scène 3, TRAFIQUET)
  218. Monsieur, je ne vous rends pas un méchant office de vous laisser seul avec votre maîtresse. (Acte 2, scène 3, TRAFIQUET)
  219. Je suis confuse de vos civilités, monsieur ; et il faudrait avoir plus d'esprit que je n'en ai pour répondre à un compliment aussi bien tourné. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  220. Il est vrai que pour des compliments, il n'y a personne dans notre province qui ose me prêter le collet. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  221. J'ai harangué une fois notre intendant pendant deux heures, avec tant d'éloquence, qu'il s'endormit tout debout, et ne s'éveilla qu'une heure après que j'eus fini. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  222. Sitôt qu'il y a un fat dans un pays, on l'y envoie ; c'est le rendez-vous de tous les sots de la France ; et, de tous les Parisiens, je ne vois que les Normands et les Manceaux qui aient un peu de brillant. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  223. À vous entendre parler, vous ne paraissez pas content des cavaliers de ce pays-ci ; et les dames, qu'en dites-vous ? (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  224. La la ; elles sont d'assez bonne amitié : j'en ai trouvé quelques unes de jolies en mon chemin ; mais, tout franc, je n'en ai point encore vu une de votre calibre. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  225. Oui-da, oui-da, je trouve qu'elles se coiffent raisonnablement haut, et je crois que leurs maris ne sont guère coiffés plus bas, (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  226. Aujourd'hui à l'Opéra, demain à la Comédie, un autre jour au bal ; on entrelace cela de parties de jeu et de promenades. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  227. Vous voyez bien qu'il n'y a point de lieu où une femme soit si façonnière. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  228. Pour moi, je trouve cela le plus joli du monde ; mais que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  229. Les maris disent ce qu'ils veulent, et les femmes font ce qui leur plaît ; c'est la mode du pays. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  230. Et, s'il vous plaît, quand une femme revient du bal à cinq heures du matin avec un cavalier, qu'elle éveille toute la maison, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  231. Ils ne disent rien ; dès que la femme est rentrée, ils se rendorment. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  232. Un homme qui a le sommeil si bien en main n'a pas besoin d'être bercé. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  233. Mais, je vous prie, lorsqu'une femme vend ses pierreries pour faire l'équipage de quelque galant homme qui va à l'armée, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  234. Les Parisiens sont trop bons serviteurs du Roi pour trouver cela mauvais. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  235. Je ne m'en dédis point, voila de bonnes gens que ces Parisiens-là. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  236. Vaille que vaille, puisque j'ai fait les frais du voyage, je vous épouserai ; mais à condition que, dès le lendemain de la noce, vous vous mettrez dans la carriole du Mans pour venir régenter les chapons de ma basse-cour : l'air de Paris donne trop de maux de tête. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  237. Quelque loi que vous m'imposiez, elle me paraîtra toujours douce, pourvu que je sois sûre de passer avec vous le reste de mes jours : vous me tenez lieu de tout ; et du moment que je vous ai vu, j'ai senti pour vous... (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  238. Ne m'obligez pas de m'expliquer ; j'en dirais peut-être plus que je ne veux. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  239. Très volontiers ; rien n'est plus aisé : aussi bien je suis en pourparler avec un marquis de nos cantons qui s'en va à l'armée ; et, comme il a besoin d'argent, il veut me vendre sa charge de marquis avec sa pratique. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  240. Mais, en achetant une charge de marquis, n'oubliez pas, s'il vous plaît, de vous faire donner les airs déhanchés de ces messieurs-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  241. Je n'en ai que faire : quand on a été toute sa vie élevé dans le Bas-Maine, les airs de cour ne sont que trop familiers. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  242. Adieu, ma belle enfant ; touchez là : dans une heure au plus tard je vous fais marquise ou baillivesse ; vous choisirez. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  243. La sotte pécore qu'un homme qui a le mariage en tête ! (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  244. Pour m'essayer, le premier marquis qui me tombera sous la patte, j'en ferai un procureur fiscal. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  245. Je vous prie, mademoiselle ma fille, de ne point m'échauffer les oreilles ; je sais ce qu'il vous faut, et c'est à vous d'obéir quand je vous ai choisi un mari, entendez-vous ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  246. Comme je suis une partie des plus intéressées dans l'affaire, je crois, mon père, que mon choix est du moins aussi nécessaire que le vôtre ; et je vous dirai franchement que cet homme-là n'est point fait pour moi. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  247. J'en suis d'avis ; il faut vous l'essayer. (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  248. Je vous dis encore une fois, mon père, laissez-moi mener cette affaire-là. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  249. Vous êtes plus vieux que moi, j'en conviens ; mais je me connais mieux en maris que vous. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  250. C'est un homme qui se présente de front au mariage, et ne sait pas ce que c'est qu'un préliminaire d'amour. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  251. Comment veux-tu donc qu'il se présente ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  252. Tant mieux, s'il entre tout de suite en matière ; en fait de mariage, je n'aime point à voir préluder. (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  253. Vous prétendez qu'un homme que je n'ai jamais vu... (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  254. Oui, je le prétends. (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  255. Si tu as de la raison tu dois m'obéir, et prendre le parti qui se présente. (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  256. Le parti qui se présente ? (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  257. Oui, le parti qui se présente. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  258. Assurément ? (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  259. Je trouve sa taille dégagée et engageante. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  260. Va, va, ce n'est pas le plus nécessaire en ménage. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  261. Son esprit me charme, et je connais peu de gens qui en aient plus que lui. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  262. Et pourquoi donc n'en veux-tu point ? (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  263. Moi, je n'en veux pas ! (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  264. Il faudrait, mon père, que je fusse bien aveugle ou bien insensible pour, refuser un tel parti. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  265. J'allais me mettre en colère. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  266. Voyez, je vous prie, quand on ne s'entend pas. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  267. Viens, ma fille, que je t'embrasse. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  268. Que cet embrassement me fait de plaisir ! (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  269. Tu réponds dignement aux soins que j'ai pris de ton éducation. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  270. Et moi, pour reconnaître ton obéissance, je te promets d'augmenter ton trousseau de six chemises, et d'aller te voir toutes les fêtes et dimanches quand tu seras au Maine. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  271. Vraiment si ; il est bailli du Maine. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  272. Non, assurément. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  273. Je n'irai pas perdre un amant pour la mauvaise humeur d'un père : nous sommes dans un temps où il faut garder le peu qu'on en a. (Acte 2, scène 9, COLOMBINE)
  274. Voici notre amoureux Pierrot ; il faut l'écouter un moment et nous en divertir. (Acte 2, scène 10, COLOMBINE)
  275. Enfin, Pierrot, te voilà dans le bourbier jusqu'au cou. De quoi t'avises-tu d'être amoureux ? (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  276. Tu ne fais plus que quatre repas par jour ; tu ne saurais plus t'éveiller qu'à midi sonné : tu vois bien qu'en cet état-là tu ne peux pas faire longue vie. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  277. Hé bien, je mourrai. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  278. Sais-tu bien qu'il n'y a rien de si triste que la mort ? (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  279. Mademoiselle, assurément vous me ferez faire quelque mauvais coup : je me serais déjà jeté vingt fois par la fenêtre de notre grenier, s'il avait été seulement un étage plus bas. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  280. Tu te moques, Pierrot ; quand on est bien amoureux, on n'est pas à un étage près. (Acte 2, scène 10, COLOMBINE)
  281. Mademoiselle, voilà la comtesse de Flamèche et la marquise de Bistoquet qui demandent à vous voir. (Acte 2, scène 11, LE-LAQUAIS)
  282. De quel mauvais vent ces femmes-là abordent-elles chez moi ? (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
  283. Il faut que ce soient des provinciales. (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
  284. Ce sont des dames qui disent qu'elles demeurent depuis peu dans le quartier. (Acte 2, scène 11, LE-LAQUAIS)
  285. Faites-les entrer. (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
  286. Voilà de ces chiennes de visites que l'on ne saurait éviter. (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
  287. Bonjour, mademoiselle ; comment vous portez-vous ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  288. Il y a mille ans que j'ai envie de vous venir voir, et de profiter de l'honneur de votre voisinage. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  289. En vérité, mesdames, je suis dans la dernière confusion d'avoir si mai profité de l'honneur de votre visite. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  290. Apparemment que vous l'avez pris du bon faiseur ; je n'ai jamais rien vu d'aussi charmant. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
  291. Quand vous voudrez, nous jouerons ensemble ; mais je vous avertis que je suis la plus malheureuse fille du monde. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  292. Une charrette de foin a fait un embarras, ce qui nous a obligées de nous sauver chez Lamy, où nous avons bu chacune trois bouteilles de vin pour nous désennuyer. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  293. Madame la Marquise veut qu'on lui rende justice, et qu'on lui dise qu'il n'y a point de Breton qu'elle ne boive par-dessous la jambe ; c'est bien le plus hardi vin de femme ! (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  294. Avec ces talents-là, mesdames, il est à présumer que vous êtes mariées en Bourgogne ou en Champagne. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  295. À propos de mariage, ma belle voisine, on m'a dit que vous couchiez la noce en joue. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  296. Une fille comme vous peut-elle se résoudre à cette vilenie-là ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  297. Pour moi, madame, je ne trouve rien de vilain à faire tout ce que le monde fait, et ce que vous avez fait vous-même. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  298. Il est vrai ; mais je n'avais que quinze ans pour lors ; vous savez que c'est un âge terriblement scabreux pour une fille. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  299. Pourrez-vous abandonner votre taille aux accidents du mariage ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  300. Il faut bien prendre le bénéfice avec les charges. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  301. Faites comme moi, mademoiselle ; depuis que j'ai épousé mon mari, nous ne couchons plus ensemble. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
  302. Cela est fort bon pour vous, madame la Marquise, qui avez quantité d'enfants de votre premier lit ; mais une fille qui se marie est bien aise de savoir au juste à quoi elle est propre. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  303. Pour moi, je suis malheureuse en garçons ; je n'en saurais élever ; je n'en ai plus que dix-sept. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
  304. En vérité, madame, l'état vous est bien obligé de lui donner tant de bons sujets. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  305. J'en aurais bien eu vingt-cinq ou trente, si tout était venu à profit ; mais les fausses couches ont fait de terribles brèches dans ma famille. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  306. Depuis deux ans, Dieu merci, j'en suis un peu la maîtresse ; j'ai obligé monsieur le Comte à faire lit à part ; car je suis présentement bien revenue de la bagatelle. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  307. Et monsieur votre époux prendra-t-il toujours ce petit divorce en patience ? (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  308. Plusieurs partis me recherchent ; mais mon père me destine à un bailli du Maine, et... (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  309. Comment donc, madame ! (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  310. Encore si c'était un procureur fiscal ! (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  311. Non, madame, assurément je ne passerai pas, ou la peste m'étouffe ! (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
  312. Si je passe la première, je veux que cinq cent mille diables me tordent le cou ! (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  313. Non, je ne crois pas que de mémoire d'homme on ait reçu une visite aussi impertinente. (Acte 2, scène 13, COLOMBINE)
  314. Elles n'ont que faire de me tant dégoûter du bailli ; si je l'épouse, ce ne sera qu'à mon corps défendant. (Acte 2, scène 13, COLOMBINE)
  315. Monsieur le meneur de ballets, peut-on savoir qui sont ces sauterelles-là ? (Acte 2, scène 14, ARLEQUIN)
  316. Monsieur, ce sont des filles surnaturelles, qui connaissent les astres, les langues, et tout ce qu'il y a de plus extraordinaire au monde et hors du monde ; elles ne parlent qu'en vers : enfin, ce sont des filles d'un mérite sublime. (Acte 2, scène 14, MEZZETIN)
  317. Puisque ces créatures -là savent tant de belles choses, elles pourront donc bien me déterminer sur un mariage ? (Acte 2, scène 14, ARLEQUIN)
  318. Mesdames, pour venir à la conclusion, v.34 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  319. Vous saurez que je sens une convulsion, v.35 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  320. C'est bien dit ; à ces mots il n'est point de réplique. v.40 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  321. Vous m'entendez donc bien : enfin, sans tant parler, v.42 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  322. Comment ? v.44 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  323. C'est manquer de bon sens que de vivre sans femme. v.45 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  324. Celle-ci, par ma foi, lui rive bien son clou. v.47 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  325. Oui, l'hymen est des dieux le plus parfait ouvrage ; v.48 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  326. Le bridon qui retient la jeunesse fougueuse, v.52 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  327. L'onguent qui guérit seul la brûlure amoureuse, v.53 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  328. Et la forge, en un mot, de tout le genre humain. v.55 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  329. J'en connais bien pourtant de plus d'une fabrique, v.56 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  330. Qui ne furent jamais faits dans cette boutique ; v.57 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  331. Enfants du pur hasard ; et, sans aller plus loin, v.58 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  332. J'en trouverais peut-être ici plus d'un témoin. v.59 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  333. Non, l'hymen, quel qu'il soit, est un dur esclavage, v.60 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  334. Une mer où l'honneur bien souvent fait naufrage, v.61 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  335. Une terre fertile en bois malencontreux, v.63 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  336. Marchandise mêlée et bien de contrebande ; v.65 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  337. C'est l'écueil du plaisir : pour tout dire en un mot, v.66 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  338. Cet avis, à mon goût, vaut bien l'autre, madame. v.68 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  339. Un homme ne saurait vivre content sans femme ; v.69 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  340. Plutôt que prendre femme, épousez un désert : v.78 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  341. Par elle une maison va tout en décadence ; v.79 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  342. Elle ne met jamais de frein à sa dépense ; v.80 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  343. La femme est en tout temps un éminent danger, v.82 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  344. Appréhende le calme autant qu'il fait l'orage ; v.84 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  345. C'est l'arsenic du coeur : la fureur la conduit ; v.85 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  346. L'inconstance en tout temps ou l'escorte ou la suit, v.86 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  347. Et la vengeance, enfin, est toujours devant elle. v.87 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  348. Qui prétend se venger d'un époux offensif, v.89 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  349. Devient des animaux le plus vindicatif. v.90 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  350. Si des biens de fortune elle n'est point fournie, v.95 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  351. La folle quelquefois plaît par son enjouement ; v.98 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  352. Dans une femme, enfin, toujours quelque mérite v.99 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  353. De ses petits défauts aisément nous racquitte. v.100 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  354. Ces vertus de défauts sont souvent corrompues ; v.104 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  355. Et méprise un époux qui ne parle qu'en prose : v.108 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  356. C'est-à-dire attentive à l'amant qui languit, v.113 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  357. Que les femmes devraient jeter dans la rivière : v.116 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  358. Elle en dit peu de bien. v.117 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  359. Touchez là, j'en dirai, v.117 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  360. Foi de fille d'honneur, sitôt que j'en saurai. v.118 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  361. Je vous en prie, v.120 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  362. Ne me déguisez rien. v.121 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  363. Voilà donc l'enclouure et le mot péremptoire : v.123 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  364. Sur ce point douloureux on en fait bien accroire, v.124 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  365. Et l'on en dit bien plus qu'on n'en fait à Paris ; v.125 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  366. Que les hommes vont mettre en leurs têtes fourchues. v.128 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  367. Ce sont elles, morbleu, qui nous les plantent là, v.129 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  368. Bon ! Approchez, venez çà ; v.130 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  369. Regardez-moi bien. Non, vous n'avez point la mine v.131 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  370. De recevoir échec de la gent féminine. v.132 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  371. Vous êtes beau, joli, bien fait... v.133 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  372. Assurément. v.133 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  373. Allez, ne craignez rien. v.135 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  374. Contre les accidents qu'une femme vous garde. v.136 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  375. Moi je dis, à vous voir seulement par le dos... v.137 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  376. Je vous dis en deux mots v.138 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  377. Je vois sur votre teint bien du brouillamini. v.142 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  378. Vous me portez tout l'air d'en avoir une charge. v.144 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  379. Ah ! Je sens déjà là... v.145 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  380. Ma foi ! Je crois à l'ascendant. v.146 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  381. Je crains bien de payer un jour avec usure v.148 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  382. Plus courageux que moi prendra femme en commun, v.150 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  383. Je prétends me servir des droits du voisinage, v.151 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  384. En ces occasions, on court plus de danger v.153 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  385. Vous n'en tâterez point ! Halte-là, je vous prie. v.156 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  386. Si vous n'en prenez pas, v.157 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  387. Vous n'avez pas encor trois jours à vivre. v.158 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  388. Et si vous en prenez, moi, je vous signifie v.159 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  389. Que demain, au plus tard, vous n'êtes pas en vie. v.160 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  390. C'en est fait, je suis mort ! Je n'en puis revenir. v.161 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  391. N'en faites rien ; je suis le dernier de ma race. v.167 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  392. Je n'entends point parler de notre bailli ; il faut que le traité de cette charge de marquis l'arrête chez quelque notaire. (Acte 3, scène 1, COLOMBINE)
  393. Il n'en est pas encore où il pense ; je lui garde le meilleur pour le dernier. (Acte 3, scène 1, COLOMBINE)
  394. Que je suis heureuse de vous rencontrer ! (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  395. Il est vrai que j'ai le domestique du monde le plus brutal : qu'une femme de qualité me vienne voir, on ne m'en dit rien ; qu'une procureuse frappe à ma porte, on vient m'en faire la honte en pleine compagnie. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  396. En vérité, mademoiselle, il faut que votre train soit travaillé d'un prodigieux dévoiement de mémoire ; oui, je crois que je suis venue ici plus de dix fois depuis les calendes du mois dernier. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  397. Comment dites-vous cela, s'il vous plaît ? (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  398. Les calendes, mademoiselle ; c'est la manière de compter des Romains, et la mienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  399. Si ma servante datait sa dépense autrement, elle ne coucherait pas chez moi deux jours de suite. (Acte 3, scène 3, MADAME PINDARET)
  400. Si j'avais l'avantage de vous voir souvent, je crois que je deviendrais une habile fille. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  401. Il faut dire la vérité ; on se décrasse en ma compagnie, et tout le monde avoue que je n'ai point la conversation roturière. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  402. Ah ! Que cela est bien dit ! (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  403. Comment pouvez-vous fournir à la dépense d'esprit que vous faites ? (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  404. Si vous ne vous ménagez, vous n'en aurez jamais assez pour le reste de vos jours. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  405. Cela ne coûte rien à une femme comme moi, qui se joue des auteurs ; j'entretiens commerce avec les anciens, et je fraye aussi avec les modernes. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  406. Avec les anciens, madame ! (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  407. Assurément, mademoiselle ; j'en attrape assez le vrai, et je veux vous faire voir quelle est ma lecture quotidienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  408. Je prends toujours la précaution de me faire escorter de ce livre-là, quand je vais en visite de femmes, pour me dédommager des minuties de leur conversation. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  409. Voilà ce qui s'appelle mettre à profit jusqu'à son ennui. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  410. Toutes les visites de femmes me donnent la colique. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  411. J'allai voir, il y a quelque temps, une marquise ; je ne fus qu'un quart_d_heure avec elle, c'était pendant la canicule : sa conversation ne laissa pas de m'enrhumer si fort, que je me suis mise au gruau pendant trois semaines pour en revenir. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  412. Cela étant, madame, quand vous allez en visite de marquise, de crainte de vous enrhumer une seconde fois, il faudrait faire porter un manteau fourré avec votre Juvénal. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  413. Vous me surprenez. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  414. Mais non ; cela n'entre point dans l'esprit. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  415. Mais encore ? (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  416. En vérité, madame, vous fûtes bien heureuse d'en être quitte pour un rhume ; cela valait bien la peine de tomber en apoplexie. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  417. Non, madame ; cela n'est pas venu jusqu'à moi. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  418. Vous me ferez, je vous assure, un sensible plaisir. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  419. Ce n'est pas cela ; c'est un rondeau sur une absence, que je laisse quelque temps mitonner sur le réchaud de la réflexion... (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  420. Ni cela ; c'est la vie de Thémistocle, en vers burlesques. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
  421. Je tiens un poème épique aux cheveux, qui surprendra tout Paris. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
  422. Vous entendez bien cela ? (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
  423. Oui, cela s'entend de reste ; peu s'en faut que je ne le sente. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  424. Qu'il change au moindre petit vent. v.177 (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  425. Quel merveilleux talent vous avez pour la poésie ! (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  426. Oui, mademoiselle. C'est une des plus nobles sciences qu'il y ait ; elle a pour objet tout ce qui tombe sous les sens, et par conséquent, le corps humain, qui est la plus belle et la plus parfaite de toutes les structures humaines. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  427. Adieu, mademoiselle ; je sens que ma colique veut me reprendre. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
  428. Hé bien, morbleu ! (Acte 3, scène 6, ARELQUIN)
  429. Je veux tracer un menuet avec vous. (Acte 3, scène 6, ARELQUIN)
  430. Je vous prie, monsieur, de m'en dispenser ; je suis d'une fatigue outrée, et voilà huit nuits de suite que je cours le bal. (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
  431. Madame, vous danserez en vers, ou vous crèverez en prose. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  432. Allons, courage, madame ; voulez-vous qu'on envoie quérir votre Juvénal ? (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
  433. Voilà un menuet qui m'a mise sur les dents. (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
  434. Hé bien, mademoiselle, ne vous avais-je pas bien dit qu'il n'y avait guère de marquis plus ridicule que moi ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  435. À vous sincèrement, pour un marquis de nouvelle impression, vous ne jouez pas mal votre rôle, et l'on croirait que vous l'auriez étudié toute votre vie. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  436. Vous ne le prenez pas mal. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  437. Que nous faut-il à nous autres gens de cour ? Beaucoup de bonne opinion, saupoudrée de quelques grains d'effronterie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  438. Voilà toute notre science auprès des femmes. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  439. Vous avez des inquiétudes horribles dans les jambes, et vous ne sauriez vous tenir un moment en place. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  440. Il n'y a que le théâtre de l'Opéra où je me trouve un peu en brassière ; je n'y saurais pirouetter à ma fantaisie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  441. Il y a longtemps que j'ai secoué la pudeur de ces demi-gens de qualité qui commencent à se donner au public. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  442. Ventrebleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  443. Je ne sais pas, pour moi, quel plaisir prennent certaines gens, à la Comédie, de venir étouffer un acteur jusque sur les chandelles. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  444. Comment voulez-vous qu'un pauvre diable de comédien se fasse entendre au bout d'une salle ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  445. Mais, de bonne foi, monsieur le Marquis, croyez-vous que ce soit pour voir peigner votre perruque, prendre du tabac, et faire votre carrousel sur le théâtre, que le parterre donne ses quinze sols ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  446. N'est-ce pas bien de l'honneur pour lui de voir des gens de qualité ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  447. Ma foi, quand il n'aurait que ce plaisir-là, cela vaut bien une mauvaise comédie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  448. Assurément ; c'est ce qui fait qu'il s'est mis en droit de vous siffler aussi bien que les méchantes pièces. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  449. Il est vrai que le parterre devient terriblement orgueilleux : ce sont ces Italiens qui ont achevé de le gâter. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  450. Savez-vous bien que cet été ils l'ont traité de monseigneur dans un placet ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  451. J'enrage ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  452. Vous avez beau pester, le parterre fait du bien à tout le monde ; il redresse les auteurs, il tient les comédiens en haleine ; un fat ne se campe point impunément devant lui sur les bancs du théâtre : en un mot, c'est l'étrille de tous ceux qui exposent leurs sottises au public. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  453. Je vous baise les mains : je n'entends point la comédie dans une loge comme un sansonnet ; je veux, morbleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  454. Qu'on me voie de la tête aux pieds, et je ne donne mon écu que pour rouler pendant les entr'actes, et voltiger autour des actrices. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  455. Hé bien, Margot, m'apportez-vous mon manteau ? (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  456. Oui, mademoiselle j'espère qu'il vous habillera parfaitement bien : depuis que je travaille, je n'ai jamais vu d'habit si bien taillé. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  457. Une petite créature bien émerillonnée. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  458. Vous voulez bien, monsieur le Marquis ; me permettre d'essayer mon manteau ? (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  459. Oui-da, mademoiselle ; vous pouvez vous habiller jusqu'à la chemise inclusivement. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  460. C'est que monsieur Harpillon m'a défendu de regarder les hommes ; et il serait fâché s'il savait que je me fusse montrée. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  461. C'est un des gros fermiers, qui est mon parrain ; il fait du bien à toute notre famille, et il a déjà donné un bon emploi à mon grand frère. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  462. J'entends, j'entends ; monsieur Harpillon a mis le frère dans un bureau, et mettra, s'il peut, la soeur en chambre. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  463. Monsieur, il n'y a point de ce que vous pensez à son fait : c'est un homme qui n'a que de bons desseins ; il m'a promis de m'épouser ; et pour preuve de cela, il m'a déjà envoyé une housse verte avec une bergame. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  464. Tenez, monsieur, pour avoir été un jour promener avec mon cousin, vous ne sauriez croire quels contes on a faits. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  465. Écoutez, Margot, votre montée a peut-être raison, et il pourrait bien y avoir quelque chose à refaire à votre réputation. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  466. Margot peut aller partout, monsieur le Marquis ; elle est sage, et j'en réponds corps pour corps. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  467. Croyez-moi, les environs de Paris sont terriblement dangereux. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  468. Dieu m'en garde, monsieur ! (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  469. Ma mère me l'a défendu, et m'a dit que c'était un vrai coupe-gorge pour une fille. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  470. Je suis votre servante, monsieur ; on ne travaille point en homme au logis. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  471. Hé bien, viens les faire chez moi. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  472. Justement ! (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  473. Vous n'avez qu'à vous y attendre. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  474. Mais il me semble, Margot, que ce manteau-là monte bien haut ; on ne voit point ma gorge. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  475. Taisez-vous, Margot ; vous êtes une sotte : tenez, remportez votre manteau ; j'y suis faite comme je ne sais quoi. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  476. Plus je vois cette enfant-là, plus elle me plaît... (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  477. Je vois bien que vous êtes un gausseur: je mourrais de peur, si je touchais un homme seulement du bout du doigt. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  478. Nous autres gens de qualité, nous aimons quelquefois à rabattre sur la grisette. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  479. Et de notre mariage qu'en dirons-nous ? (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  480. Je vous dirai, monsieur le Marquis, qu'avant que de vous épouser, je vous demande encore une grâce. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
  481. Nous sommes un certain nombre de filles qui avons fait serment de ne point prendre de mari qui n'ait été reçu auparavant dans notre académie. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
  482. Vous vous moquez ; j'ai des empêchements plus que légitimes. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  483. Ne vous mettez pas en peine : on vous habillera en femme ; on vous fera peut-être faire serment d'être un époux commode, de laisser faire à votre femme tout ce qu'il lui plaira, de n'être point de ces maris coquets qui vivent de rapine, et laissent leurs femmes pour aller picorer sur le commun. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
  484. Quand on a de cette besogne-là toute taillée chez soi, on n'a guère envie d'aller travailler en ville. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  485. Voilà qui est bien drôle, qu'il faille, pour vous épouser, commencer par se déshumaniser ! (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  486. Gentille, v.186 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  487. Ou peu s'en faut. v.187 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  488. Reçois cette coiffure en malice féconde ; v.189 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  489. Avec cet ornement, v.190 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  490. Tu peux facilement v.191 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  491. Insulter hardiment v.192 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  492. Avec cet ornement, v.194 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  493. Sur ce nez en pied de marmite ; v.200 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
  494. Je peux présentement résister à la pluie ; me voilà bien peint. (Acte 3, scène 11, ARLEQUIN)
  495. Monsieur, je vous prie de me dire si je suis mâle ou femelle ; car, ma foi, je n'y connais rien. (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
  496. S'il y en a, c'est vous qui les avez faites, et qui avez voulu que je me sois fait et marquis et ce que me voilà... (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
  497. Voyez, ne me voilà-t-il pas bien désigné ? (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
  498. Il faudra pourtant que vous y veniez. (Acte 3, scène 12, PIERROT)
  499. Ce que j'ai vu tantôt, et ce que je vois présentement, m'oblige de vous dire, monsieur le bailli, que vous pouvez, tout de ce pas, vous en retourner dans le Bas-Maine, manger vos chapons ; car pour ma fille, vous n'en croquerez que d'une dent. (Acte 3, scène 12, TRAFIQUET)
  500. Que d'une dent, monsieur le bailli, que d'une dent. (Acte 3, scène 12, PIERROT)
  501. Allez-vous-en au diable, vous et votre fille, petit vilain grigou raccourci. (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
  502. Il faut qu'un provincial ait bien le diable au corps, pour venir s'équiper d'une femme à Paris. (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
  503. Et qu'une fille à Paris soit bien près de ses pièces pour épouser un bailli du Bas-Maine. (Acte 3, scène 12, COLOMBINE)

LE DISTRAIT (1697)

  1. Quand on vous en parle, on vous met en courroux. v.3 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  2. Vous ne prendrez point des sentiments plus doux ? v.4 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  3. Fort bien ! Non, oui, non : beau discours ! Vos répliques v.5 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  4. Me paraissent, pour moi, tout à fait laconiques. v.6 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  5. Et pour rendre un moment le discours plus diffus, v.8 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  6. Gagne-t-on en cinq ans un million sans crime ? v.14 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  7. Je hais ces fort-vêtus qui, malgré tout leur bien, v.15 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  8. Sont un jour quelque chose, et le lendemain rien. v.16 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  9. Il est bien fait ; il a du coeur et de l'esprit. v.20 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  10. Fort bien ! La réponse est honnête ; v.21 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  11. Dans vos brusques humeurs je ne puis vous comprendre. v.25 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  12. Comment prétendez-vous que soit fait votre gendre ? v.26 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  13. Je prétends qu'il soit fait comme on n'en trouve point ; v.27 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  14. Qu'il ait, avec du bien, une honnête naissance ; v.29 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  15. Qu'il ne soit point enfin, pour tout dire de lui, v.35 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  16. Comme les jeunes gens que je vois aujourd'hui. v.36 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  17. Cet homme à rencontrer sera très difficile ; v.37 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  18. Et, si vous le trouvez, je vous tiens fort habile. v.38 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  19. Vous nous en faites voir un rare et beau portrait : v.39 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  20. Et si vous ne voulez de gendre qu'ainsi fait, v.40 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  21. Je sais bien qu'à parler de lui sans passion, v.47 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  22. Il est particulier en sa distraction ; v.48 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  23. Il répond rarement à ce qu'on lui propose ; v.49 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  24. Mais ce n'est pas un crime enfin d'être ainsi fait. v.51 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  25. On peut être, à mon sens, homme sage et distrait. v.52 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  26. Oh bien ! Je vous apprends que vous vous abusiez ; v.55 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  27. Et que, pour m'engager à lui donner ma fille, v.58 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  28. L'oncle dont il attend sa fortune et son bien v.59 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  29. D'un dédit mutuel cimenta ce lien. v.60 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  30. Et j'attends son retour pour la cérémonie. v.62 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  31. Si je n'avais en vue un tel engagement, v.63 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  32. Il n'aurait pas chez moi pris un appartement. v.64 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  33. Vous êtes tous les jours témoin de sa tendresse. v.66 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  34. Mais m'assurerez-vous que Léandre, en son coeur, v.67 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  35. À vos intentions n'ait pas un coeur rebelle ? v.70 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  36. Et je voudrais bien voir qu'elle eût quelque v.74 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  37. Son coeur s'expliquera sans rien dissimuler. v.76 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  38. Eh bien, Lisette ! Est-ce fait ? Me voilà. v.79 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  39. Vous avez bonne voix. Quel bruit ! À vous entendre, v.81 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  40. J'ai cru qu'à la maison le feu venait de prendre. v.82 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  41. Répondez seulement à ce que l'on souhaite. v.85 (Acte 1, scène 2, MADAME GROGNAC)
  42. Vous parlez bien à l'aise, avec votre censure. v.89 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  43. Nous avons toutes deux enragé tout le jour v.91 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  44. Contre un maudit crochet qui prenait mal son tour. v.92 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  45. Belle occupation, vraiment ! Qu'elle descende. v.93 (Acte 1, scène 2, MADAME GROGNAC)
  46. Je vais vous l'amener. v.95 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  47. Et je ne dirai rien que ce qu'il faudra dire. v.98 (Acte 1, scène 3, MADAME GROGNAC)
  48. La voilà. Vous verrez quels sont ses sentiments. v.99 (Acte 1, scène 3, MADAME GROGNAC)
  49. Venez, mademoiselle, et saluez les gens. v.100 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  50. Plus bas ; encor plus bas. Ô ciel ! Quelle ignorance ! v.101 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  51. Ne savoir pas encor faire la révérence, v.102 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  52. Depuis trois ans et plus qu'elle apprend à danser ! v.103 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  53. Son maître tous les jours vient pourtant l'exercer : v.104 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  54. Mais que peut-on apprendre en trois ans ? v.105 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  55. Elle a bien aujourd'hui l'esprit atrabilaire. v.106 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  56. Nous attendons encore un maître italien, v.107 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  57. Qui doit venir tantôt. v.108 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  58. Je vous le défends bien. v.108 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  59. Je ne veux point chez moi gens de cette séquelle ; v.109 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  60. Levez la tête. Encor. Soyez droite. Approchez. v.111 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  61. Faut-il tendre toujours le dos quand vous marchez ? v.112 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  62. Présentez mieux la gorge, et baissez cette épaule. v.113 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  63. Elle rit. Bon, tant mieux ; j'en tire un bon augure. v.117 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  64. Je dois vous obéir ; et, quand je l'entendrai, v.123 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  65. On devrait s'en passer, si l'on avait bon sens. v.127 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  66. N'étaient-ils pas ainsi tous faits de votre temps ? v.128 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  67. Vous n'avez pas laissé d'en prendre un étant fille. v.129 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  68. Et qui fut votre père, étant bien mon mari, v.132 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  69. M'enleva malgré moi ; sans cela, de ma vie, v.133 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  70. De me donner un maître il ne m'eût pris envie. v.134 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  71. On ne fait donc point mal à se faire enlever ? v.136 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  72. Eh bien ! Vit-on jamais un esprit plus reptile ? v.137 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  73. C'est une grosse bête, et qui n'est propre à rien. v.139 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  74. Elle est bien votre fille, et vous ressemble bien. v.140 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  75. Vous m'avez ordonné le silence. v.141 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  76. Vous pourriez à la fin lasser ma patience. v.142 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  77. Je veux plus doucement la sonder sur ce point. v.143 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  78. Je n'en demande point : v.144 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  79. Mais, s'il s'en rencontrait quelqu'un qui pût me plaire, v.145 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  80. Comment donc ? v.147 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  81. çà, dites-moi, quelqu'un vous tiendrait-il au coeur ? v.148 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  82. Allons, parlez-nous sans rien craindre. v.149 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  83. Je sens, lorsque je vois un petit homme à peindre... v.150 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  84. Eh bien donc ? v.151 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  85. Je sens là je ne sais quoi qui plaît ; v.151 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  86. Mais je ne saurais bien vous dire ce que c'est. v.152 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  87. Oh ! Je le sais bien, moi : c'est l'amour qui murmure. v.153 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  88. J'apprends avec plaisir une telle aventure. v.154 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  89. Et quel est, s'il vous plaît, ce jeune adolescent v.155 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  90. Qui vous fait ressentir ce mouvement naissant ? v.156 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  91. Lisette ; et tu nous peux en faire le portrait. v.160 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  92. Homme de qualité, qui revient de la guerre ; v.162 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  93. Qui vous parle en sifflant, et qui siffle en parlant ; v.164 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  94. Qui près du sexe encor vit assez sans façon : v.167 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  95. Songez qu'il m'appartient. C'est un jeune homme à faire. v.170 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  96. Il a de la valeur ; il est bien à la cour. v.171 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  97. Qu'il s'y tienne. v.172 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  98. Il peut lui convenir de bien, d'esprit, et d'âge. v.173 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  99. De quel front, s'il vous plaît, sans mon consentement, v.175 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  100. Osez-vous bien penser à quelque attachement ? v.176 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  101. Vous êtes bien hardie et bien impertinente ! v.177 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  102. L'amour du chevalier pourrait être innocente. v.178 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  103. Le dédit pour Léandre en est une assurance. v.181 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  104. Je ne l'ai jamais vu ; mais on m'en a parlé v.183 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  105. Et je vous défends, moi, de le voir de la vie. v.185 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  106. Mais lui, s'il me veut voir, puis-je l'en empêcher ? v.188 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  107. À ces simplicités qui sortent de sa bouche, v.189 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  108. Rentrez ; et là-dedans allez voir si j'y suis. v.195 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  109. Je ne prends point d'avis : je suis indépendante. v.197 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  110. Mais, Madame, entre nous, il est de la raison... v.199 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  111. Mais, Monsieur, entre nous, quand de votre façon, v.200 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  112. Vous aurez, s'il se peut encor, garçon ou fille, v.201 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  113. De vos enfants alors vous pourrez disposer v.203 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  114. Allons vite, rentrez : faites ce qu'on ordonne. v.205 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  115. À l'hymen que tantôt vous vouliez contracter. v.208 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  116. Mais ce dédit fâcheux étourdit ma prudence. v.210 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
  117. Léandre a pour Clarice un penchant dans le coeur ; v.211 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
  118. D'un oncle fort âgé, dont dépend sa fortune. v.214 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
  119. La mère d'Isabelle est un diable en procès ; v.215 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  120. Vient d'arriver en poste ici couvert de crotte : v.225 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  121. Le bon est qu'en courant il a perdu sa botte, v.226 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  122. Et que, marchant toujours, enfin il s'est trouvé v.227 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  123. L'aventure est comique, ou je me donne au diable. v.230 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  124. Mais ce n'est rien encore ; et son valet m'a dit v.231 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  125. (Je le crois aisément) que le jour qu'il partit v.232 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  126. Pour aller voir mourir son oncle en Normandie, v.233 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  127. Il suivit le chemin qui mène en Picardie, v.234 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  128. Fussiez-vous descendu du lugubre Héraclite v.238 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  129. De père en fils, parbleu, vous rirez de ce trait. v.239 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  130. Faudra-t-il qu'en tous lieux vos airs extravagants, v.243 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  131. Vos ris immodérés, donnent à rire aux gens ? v.244 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  132. Si quelqu'un rit de moi, moi, je ris de bien d'autres. v.245 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  133. C'est que nous prétendons avoir tous deux raison. v.248 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  134. Pour moi, je n'ai pas tort. Il faut bien que je rie v.249 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  135. Lucinde, qui, pour rendre un adieu plus touchant, v.255 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  136. Ne sont pas des sujets qui doivent faire rire ? v.257 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  137. Eh bien ! Votre satire v.258 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  138. S'exerce-t-elle assez ? D'un trait envenimé v.259 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  139. Toujours l'honneur du sexe est par vous entamé. v.260 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  140. De vos jours bien souvent vous ne les avez vues. v.262 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  141. Vous dansez tout-à-fait en cadence. v.266 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  142. Vous mettez votre gloire à tenir bien du vin ; v.268 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  143. Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, v.270 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  144. Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : v.271 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  145. Rit plus cent fois de vous que de la comédie. v.278 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  146. Soyez bref en tout cas, car Lisette s'endort ; v.280 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  147. Cent fois bien autrement et me lasse et m'ennuie ; v.282 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  148. Le bien que je voulais faire en votre faveur. v.284 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  149. Votre père en mourant, ainsi que votre mère, v.285 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  150. Vous laissèrent de bien une somme légère ; v.286 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  151. Vous devez de moi seul attendre du secours. v.288 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  152. J'aime, je bois, je joue ; et ne vois en cela v.291 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  153. Rien qui puisse attirer ces réprimandes-là. v.292 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  154. Je me lève fort tard, et je donne audience v.293 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  155. Oui ; mais en récompense, v.294 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  156. Vous donnez peu d'argent. v.295 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  157. Chez des femmes de bien dont l'honneur est entier, v.299 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  158. Et qui de leur vertu parfument le quartier. v.300 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  159. Et chacun, en bon ordre, aussi sage que moi, v.303 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  160. Cette vie innocente est-elle condamnée ? v.305 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  161. Un malade, entre nous, se conduirait-il mieux ? v.307 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  162. Qui travaillons ce soir en bon vin de champagne. v.310 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  163. Car à cinq chevaliers, en nous cotisant tous, v.312 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  164. Et ramassant écus, livres, deniers, oboles, v.313 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  165. Nous n'avons encor pu faire que deux pistoles. v.314 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  166. Heureux le cabaret, Monsieur, qui vous attend ! v.315 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  167. Vous voilà cinq seigneurs bien en argent comptant ! v.316 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  168. Comment gouvernes-tu cet objet de mes voeux ? v.319 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  169. Que je veux mettre en oeuvre, et que j'affectionne : v.322 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  170. Vous en seriez charmé, si vous la connaissiez. v.324 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  171. Elle ne prétend pas songer à cette affaire. v.326 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  172. Elle ne prétend pas ! Il faut que nous voyions v.327 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  173. Qui des deux doit avoir quelques prétentions. v.328 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  174. Elle ne prétend pas ! Parbleu, le mot me touche ; v.329 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  175. Et vous prendrez plutôt la lune avec les dents. v.332 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  176. Hé ! Doucement de grâce ; v.333 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  177. Ralentissez un peu cette amoureuse audace. v.334 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  178. Et chez les gens ainsi s'en va-t-on de plein saut ? v.336 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  179. Elle ne prétend pas ! Ah ! Vous pouvez lui dire v.337 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  180. Et nous savons la règle établie en tel cas. v.339 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  181. Je la trouve admirable ; elle ne prétend pas ! v.340 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  182. Je n'épargnerai rien pour la rendre capable v.341 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  183. De prendre à votre amour un parti convenable. v.342 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  184. Vous, cependant, tâchez, avec des airs plus doux, v.343 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  185. J'y penserai, mon oncle. Adieu. v.345 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  186. Une affaire à présent m'empêche de le voir : v.347 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  187. Une ample effusion ; et cependant, la belle, v.349 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  188. J'adore ta maîtresse, et je sens que je t'aime v.354 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  189. Il va tâter du vin ! Ma foi, les jeunes gens, v.359 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  190. À ne rien déguiser, aiment bien en ce temps ? v.360 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  191. Heu ! Les femmes, déjà si souvent attrapées, v.361 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  192. Seront-elles encor par les hommes dupées ? v.362 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  193. Maudit soit le premier qui nous ensorcela ! v.364 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  194. Si les femmes souvent leur rendent la pareille. v.366 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  195. Fraîchement débarqué, je parAis à tes yeux, v.368 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  196. Et mes cheveux encor sont sous la papillote. v.369 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  197. Eh bien ! Ton maître enfin a-t-il trouvé sa botte ? v.370 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  198. Il m'en fait bien d'autres tous les jours. v.372 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  199. Hier encore, en mangeant un oeuf sur son assiette, v.373 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  200. Léandre arrive, il monte, il va, rien ne l'arrête ; v.381 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  201. Il entre en une chambre où la toilette est prête, v.382 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  202. Où la dame du lieu, qui ne s'endormait pas, v.383 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  203. Attendait son époux couchée entre deux draps. v.384 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  204. Il croit être en sa chambre ; et, d'un air de franchise, v.385 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  205. Assez diligemment il se met en chemise, v.386 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  206. Prend la robe de chambre et le bonnet de nuit ; v.387 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  207. Et bientôt il allait se mettre dans le lit, v.388 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  208. Tout en robe de chambre, ainsi qu'il plut à Dieu. v.392 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  209. Mais un moment plus tard, pour t'achever mon conte, v.393 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  210. Le maître du logis en avait pour son compte. v.394 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  211. Nous venons, mon enfant, de courre un bénéfice. v.397 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  212. Pour te rendre service. v.398 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  213. Mais nos soins empressés ne nous ont rien valu ; v.399 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  214. Ah ! Lisette, j'enrage. v.401 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  215. Notre espoir dans le port vient de faire naufrage. v.402 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  216. Nous attendions en paix que son âme à toute heure v.405 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  217. Passât de cette vie en une autre meilleure ; v.406 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  218. Quand, un beau jour enfin, le ciel, par charité, v.408 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  219. Qu'escortaient en chemin nombre d'apoplexies. v.410 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  220. En faveur de quelqu'un déshérité ton maître ? v.418 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  221. Quelque enfant provenu d'un hymen clandestin ? v.420 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  222. Non. Il ne fit jamais d'enfants, par avarice. v.421 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  223. Malgré nos voeux ardents n'a pas voulu mourir. v.423 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  224. Le trait est vraiment noir, et ne peut se souffrir. v.424 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  225. Et je n'en donnais pas une dose modique ; v.426 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  226. Le pauvre agonisant en languît un peu moins : v.428 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  227. Et le bonhomme enfin, à quatre-vingt-neuf ans, v.431 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  228. Malgré sa fièvre lente et ses redoublements, v.432 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  229. Son crachement de sang, et ses trois pleurésies, v.434 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  230. Nous en avons été pour les frais du voyage : v.438 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  231. Pour prendre sur les lieux nos petits intérêts. v.440 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  232. Il doit de temps en temps nous donner des nouvelles ; v.441 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  233. Sans avoir donc rien fait, vous voilà de retour ! v.443 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  234. Je vous applaudis fort. Mais comment va l'amour ? v.444 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  235. Son esprit se promène encor sur quelque objet. v.448 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  236. Partage son amour, et le tient en cervelle. v.450 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  237. Et surtout de grands biens, que Clarice n'a pas ; v.452 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  238. C'est un homme, morbleu, tout plein de sentiments. v.456 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  239. Mais, s'il aime Clarice ensemble et ma maîtresse, v.457 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  240. Que puis-je faire, moi, pour servir sa tendresse ? v.458 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  241. Il le fera fort bien dans sa distraction. v.460 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  242. C'est un homme étonnant et rare en son espèce : v.461 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  243. Il rêve fort à rien, il s'égare sans cesse ; v.462 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  244. Prend souvent l'un pour l'autre ; il va sans savoir où. v.467 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  245. On dit qu'il est distrait ; mais moi, je le tiens fou : v.468 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  246. Aimant, comme j'ai dit, sa maîtresse en héros : v.471 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  247. Il est et sage et fou ; voilà l'homme en deux mots. v.472 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  248. Si Léandre ressent une tendresse extrême v.473 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  249. De tes soins empressés nous attendrons l'effet. v.479 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  250. Il m'attend. J'ai voulu, comme le cas me touche, v.481 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  251. Apprendre, en arrivant, ta santé par ta bouche. v.482 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  252. En très bonne santé j'arriverais ici, v.484 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  253. Bon ! C'est des postillons l'ordinaire aventure. v.486 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  254. Jusqu'au revoir. Adieu, courrier malencontreux. v.487 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  255. Cette friponne-là serait bien mon affaire. v.490 (Acte 2, scène 2, CARLIN)
  256. Je ne sais si l'absence, aux amants peu propice, v.493 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  257. On en trouve bien peu de ces coeurs généreux v.495 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  258. Qui, dans l'éloignement, sachent garder leurs feux : v.496 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  259. Un moment les éteint, ainsi qu'il les fit naître. v.497 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  260. Léandre heurte Carlin sans s'en apercevoir. v.499 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  261. Je serais bien à plaindre, aimant comme je fais, v.500 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  262. Plus je ressens d'amour, plus j'ai d'inquiétude. v.502 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  263. Je veux entrer chez elle, et sans perdre de temps. v.504 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  264. J'y cours, et je reviens, Monsieur, à l'heure même. v.506 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  265. Disposé de mon coeur en faveur de l'amour. v.509 (Acte 2, scène 4, LEANDRE)
  266. Mais je vois tout d'un coup mon attente trompée. v.510 (Acte 2, scène 4, LEANDRE)
  267. Je te dis qu'à l'instant ils étaient sur ma table. v.514 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  268. Il faut donc qu'un lutin soit venu les cacher. v.516 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  269. Il en tient un peu là. Sa présence d'esprit v.520 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  270. Je rêve, et j'ai certain ennui... v.524 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  271. Je veux bien l'avouer, je n'aime que Clarice. v.527 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  272. Ma famille prétend, attendu mes besoins, v.528 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  273. Son bien me remettrait en fort bonne figure ; v.530 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  274. Biens, fortune, intérêts, gloire, sceptre, grandeur, v.532 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  275. Rien ne saurait bannir Clarice de mon coeur ; v.533 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  276. Je ressens de la voir la plus ardente envie... v.534 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  277. Fort bien. Qui te l'a dit ? v.536 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  278. Comment, qui me l'a dit ? v.536 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  279. Mais connais-tu comment la chose est avenue, v.538 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  280. Et par quel accident ma botte s'est perdue ? v.539 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  281. Je l'avais ce matin en montant à cheval. v.540 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  282. Riez, c'est fort bien fait, le trait est sans égal. v.541 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  283. D'adoucir les tourments de près d'un mois d'absence. v.547 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  284. Chaque jour, chaque instant augmente vos attraits ; v.549 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  285. Chaque amant parle ainsi : mais souvent, de retour, v.552 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  286. Il oublie avec lui de ramener l'amour. v.553 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  287. Le premier en amour il prit cette méthode : v.555 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  288. Qu'ils sont dans ce grand art bien plus savants que nous. v.557 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  289. Et mon maître s'en sert, comme vous pouvez voir. v.560 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  290. À m'alarmer toujours l'amour me rend habile. v.563 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  291. Sur vos distractions ne me rassurent pas. v.565 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  292. J'appréhende en secret que quelque amour nouvelle... v.566 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  293. L'amour prend dans ses yeux ses plus puissantes armes ; v.571 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  294. Qu'entends-je ? Justes dieux ! Ton maître est infidèle ; v.574 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  295. Je suis au désespoir ; et je sens dans mon coeur v.576 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  296. Mon amour outragé se changer en fureur. v.577 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  297. Quel sujet tout-à-coup vous a mise en colère, v.578 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  298. Si quelqu'un me déplaît en ce moment, c'est vous. v.580 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  299. Eh bien ! Ne voilà pas ? v.584 (Acte 2, scène 6, CARLIN)
  300. Et je veux que du ciel la vengeance et la foudre v.586 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  301. Me punisse à vos yeux, et me réduise en poudre, v.587 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  302. Prononcez-vous un nom dont mon amour s'offense ? v.591 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  303. De ce cruel soupçon ma tendresse s'aigrit ; v.597 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  304. Que pour quelque autre objet je devienne sensible. v.599 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  305. Quels que soient vos discours pour me persuader, v.604 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  306. J'aime trop, pour ne pas toujours appréhender ; v.605 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  307. Me rassurent un peu de mes frayeurs mortelles. v.607 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  308. Je vous juge innocent, et crois que votre erreur v.608 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  309. Provient de votre esprit plus que de votre coeur. v.609 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  310. Avec ces sentiments vous me rendez justice. v.610 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  311. Il aime fort mon frère, et toute son envie v.614 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  312. Pour lui-même à la cour il brigue un régiment. v.616 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  313. Je m'offre à le servir pour avoir l'agrément. v.617 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  314. Hé ! Bonjour, mon ami. Quelle heureuse rencontre ! v.619 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  315. Je t'en sais fort bon gré. Viens-tu par inventaire, v.622 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  316. Un amant en grand deuil a toujours son mérite ; v.627 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  317. Du moment qu'on hérite, on est sûr d'être aimé. v.629 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  318. Comment ! Comme Carlin ! Sachez que, sans reproche, v.630 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  319. Chacun vaut bien son prix. Carlin, dans certains cas, v.632 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  320. L'oncle a donc fait la chose enfin de bonne grâce ? v.635 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  321. Ses écus, ses louis étaient-ils neufs ou vieux ? v.637 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  322. Nous n'y prenons pas garde ; et toujours, avec joie, v.638 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  323. Nous recevons l'argent tel que Dieu nous l'envoie. v.639 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  324. J'en ai bien du regret. v.640 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  325. L'air vient fort au sujet. v.641 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  326. Je te le veux chanter ; j'en ai fait la musique, v.642 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  327. "Des rigueurs d'une Iris qui rit de ma tendresse ; v.645 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  328. "Là mon amour expire, et Bacchus en secret v.646 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  329. "Et Bacchus en secret v.650 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  330. Qu'en dis-tu ? v.654 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  331. La scène, prend Clarice par le bras, croyant parler v.659 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  332. Vos intérêts en tout m'ont toujours été chers ; v.661 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  333. Je me sens obligée à votre honnêteté. v.664 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
  334. Je suis, comme l'on sait, assez bien près du roi, v.668 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  335. Je veux vous faire avoir un régiment. v.669 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  336. D'accord. Il vous ressemble en cela davantage. v.671 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
  337. Mais regardez-moi bien. v.674 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
  338. Madame ; et maintenant je vois que je m'abuse. v.675 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  339. Ma soeur, un régiment ! v.676 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  340. Ce serait de milice un nouveau supplément : v.677 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  341. Cette troupe, je crois, serait bientôt complète. v.679 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  342. Je m'en flatte en secret ; du moins il me le dit. v.681 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
  343. Je crois bien que vos voeux tendent au mariage : v.682 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  344. Ma soeur en vaut la peine ; elle est belle, elle est sage. v.683 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  345. Comment donc, point du tout ? v.684 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  346. Cependant vous l'aimez ? v.686 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  347. Mais, si vous voulez bien qu'en ami je m'explique, v.687 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  348. Votre air n'a point ce tour tendre, agréable, aisé, v.688 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  349. Et le chant, entre nous, m'en paraît trop usé. v.689 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  350. Non vraiment. v.693 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  351. J'ai donc tort en ce cas. v.693 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  352. Je vous entretenais ici de votre flamme ; v.694 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  353. Près d'elle on me verrait pousser bien loin l'affaire ; v.699 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  354. Je fais à petit bruit mon chemin en douceur. v.701 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  355. J'ai jusqu'ici conduit mon affaire en silence ; v.702 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  356. J'abhorre le fracas, le bruit, la turbulence ; v.703 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  357. J'ai, Carlin, en secret, un ordre à te prescrire ; v.710 (Acte 2, scène 9, LEANDRE)
  358. Va chez mon horloger, et reviens au plus tôt. v.712 (Acte 2, scène 9, LEANDRE)
  359. Prends de ce tabac... non, tu n'iras que tantôt. v.713 (Acte 2, scène 9, LEANDRE)
  360. Qu'à votre appartement, Madame, je vous mène. v.715 (Acte 2, scène 10, LEANDRE)
  361. Vous êtes trop honnête, il n'en est pas besoin. v.716 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
  362. Vous êtes encor là ! Je vous croyais bien loin. v.717 (Acte 2, scène 10, LEANDRE)
  363. Une femme suffit, tenez-vous à la vôtre ; v.722 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
  364. N'allez pas, par méprise, en conter à quelque autre. v.723 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
  365. Elle vous le rendrait avec les intérêts. v.725 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
  366. Je cherche vainement, et ne vois point Clarice. v.727 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
  367. N'étant plus en ce lieu, vous ne sauriez la voir. v.728 (Acte 2, scène 11, CARLIN)
  368. J'avais dans ce moment cent choses à lui dire. v.731 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
  369. Et quand vous la voyez, c'est cent fois pis encore. v.734 (Acte 2, scène 11, CARLIN)
  370. Il aurait bien besoin de deux grains d'ellébore. v.735 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
  371. On m'a toujours bien dit qu'il fallait dans la vie v.738 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
  372. De notre diligence on peut se prévaloir ; v.744 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  373. Il n'est encore, au plus, que sept heures du soir. v.745 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  374. Ma mère en est la cause, et ce qu'elle me dit v.748 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  375. Me brouille tout le teint, me sèche et m'enlaidit. v.749 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  376. Elle enrage à vous voir si grande et si bien faite. v.750 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  377. Et qu'elle a fait sa charge environ cinquante ans, v.753 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  378. D'abjurer la tendresse, et d'avoir la prudence v.754 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  379. De faire recevoir sa fille en survivance. v.755 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  380. Que ce serait bien fait ! Car enfin, en amour, v.756 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  381. Si pour le chevalier votre âme est attendrie. v.759 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  382. Oh ! Je n'en sais pas tant. v.760 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  383. Mais encor ? v.761 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  384. Je ne sais si ce que mon coeur sent v.761 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  385. Se peut nommer amour ; mais enfin je t'avoue v.762 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  386. Que j'ai quelque plaisir d'entendre qu'on le loue : v.763 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  387. Ses manières, son air, occupent mon esprit ; v.769 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  388. Et souvent, quand je dors, d'agréables mensonges v.770 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  389. M'en présentent l'image au milieu de mes songes. v.771 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  390. Mais enfin c'est un mal dont vous ne guérirez v.773 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  391. Qu'avec un récipé d'un hymen salutaire, v.774 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  392. Le chevalier, tout franc, est bien mieux votre fait. v.776 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  393. Qui vole incessamment de plaisirs en plaisirs, v.780 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  394. S'embarrassant fort peu si ce qu'elle dépense v.782 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  395. Vient d'un autre ou de lui. C'est cette nonchalance v.783 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  396. Les femmes, plus qu'ailleurs, adorent leurs maris. v.785 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  397. Tu sais bien que ma mère est d'une humeur étrange ; v.786 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  398. Elle m'a défendu de voir le chevalier. v.788 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  399. Quelque moyen heureux que l'amour fera naître, v.791 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  400. De votre amour pour moi je veux prendre ce gage. v.798 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  401. Nous autres gens de cour, v.800 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  402. Voudrais-tu donc me voir, en amoureux novice, v.802 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  403. De l'amour à ses pieds apprendre l'exercice, v.803 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  404. Et je n'en trouve point, tant je suis malheureux ! v.808 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  405. Je le crois bien, Monsieur, vous êtes dangereux ! v.809 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  406. J'ai bien bu cette nuit ; et, sans fanfaronnades, v.810 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  407. À votre intention j'ai vidé cent rasades. v.811 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  408. Mon feu, qui dans le vin s'éteint le plus souvent, v.812 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  409. Reprend vigueur pour vous, et s'irrite en buvant. v.813 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  410. Il fait, parbleu, bien chaud. v.814 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  411. Ce regain de cheveux est encor bon à voir. v.816 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  412. Oh ! Monsieur, je sais bien... v.819 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  413. Un homme là-dedans est tout enveloppé ; v.820 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  414. Je ne me trouve bien que dans un canapé. v.821 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  415. Fais-m'en approcher un pour m'étendre à mon aise. v.822 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  416. Tenez-vous sur vos pieds, Monsieur, ne vous déplaise. v.823 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  417. J'enrage quand je vois des gens qu'à tout moment v.824 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  418. Il faudrait étayer comme un vieux bâtiment, v.825 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  419. Ne s'en portaient que mieux sur des meubles de bois. v.829 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  420. Paix donc ; ne lui dis rien, Lisette, qui le blesse. v.830 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  421. Bon ! Bon ! Il faut apprendre à vivre à la jeunesse. v.831 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  422. Lisette est en courroux. çà, changeons de discours. v.832 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  423. Comment suis-je avec vous ? M'adorez-vous toujours ? v.833 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  424. Cette maman encor fait-elle la hargneuse ? v.834 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  425. Elle m'a depuis peu défendu de vous voir. v.836 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  426. Je prétends vous combler d'une gloire parfaite ; v.838 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  427. Car ce n'est qu'en mari que mon coeur vous souhaite. v.839 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  428. En mari ! Mais, Monsieur, vous êtes chevalier : v.840 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  429. Ces gens-là ne sauraient, dit-on, se marier. v.841 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  430. Sortez. Non, revenez. v.845 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  431. Ne vous y jouez pas. Il me vient dans la tête v.847 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  432. Nous attendons un maître en langue italienne ; v.850 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  433. Elle approche, elle vient. ô ciel ! v.852 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  434. C'est fort bien dit. v.852 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  435. En cette occasion j'admire ton esprit. v.853 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  436. J'ai par bonheur été deux ans en Italie. v.854 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  437. Ah ! Vraiment, je vous trouve en bonne compagnie. v.855 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  438. Ne le voit-on pas bien ? v.856 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  439. C'est, comme on vous a dit, ce maître italien v.857 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  440. Qui vient montrer sa langue. v.858 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  441. Il prend bien de la peine. v.858 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  442. Ma fille, pour parler, n'a que trop de la sienne. v.859 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  443. Qu'elle apprenne à se taire, elle fera bien mieux. v.860 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  444. Ce serait espagnol ; italien aux femmes ; v.862 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  445. L'amour par son accent se glisse dans leurs âmes : v.863 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  446. Il faut les accorder en genre, en nombre, en cas. v.873 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  447. Tout votre italien est plein d'impertinence v.874 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  448. Ayez pour la grammaire un peu de révérence. v.875 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  449. Il faut présentement passer au verbe actif ; v.876 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  450. Nous allons commencer par le verbe amo , j'aime. v.878 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  451. Ma joie en est extrême. v.879 (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  452. Conjuguez avec moi, pour bien prendre l'accent. v.881 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  453. Vous me pardonnez bien si je la réprimande. v.885 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  454. Il faut plus tendrement prononcer ce mot-là : v.886 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  455. Elle en saura bientôt trois fois plus que son maître. v.891 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  456. Vous pourrez aussi bien dire le pluriel. v.893 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  457. Elle en dit déjà trop, Monsieur ; et dans les suites v.894 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  458. J'ai trop bien commencé pour ne pas achever. v.896 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  459. Un gentilhomme ici d'assez belle espérance ; v.899 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  460. Votre neveu ! Comment ! v.902 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  461. Vous n'êtes pas, Monsieur, un maître italien ? v.904 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  462. Il est vrai, j'en conviens ; v.905 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  463. Je ne montre parfois l'italien aux filles. v.907 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  464. Comment, impertinente ! v.908 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  465. Ah ! Point d'emportement. v.908 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  466. Madame, doucement ; v.909 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  467. Lorsque je vous défends... v.912 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  468. Je veux que nous dansions ensemble une courante. v.917 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  469. Et vous, pour éviter de vous mettre en courroux, v.919 (Acte 3, scène 5, VALERE)
  470. Dans votre appartement rentrez, je vous en prie. v.920 (Acte 3, scène 5, VALERE)
  471. Ouf ! Ouf ! Je n'en puis plus. v.921 (Acte 3, scène 5, MADAME GROGNAC)
  472. Pour éviter le bruit, j'avais trouvé moyen v.922 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  473. De le faire passer pour maître italien ; v.923 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  474. Et vous êtes venu... v.924 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  475. Mon imprudence est haute ; v.924 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  476. Je m'en vais la rejoindre, et tâcher de calmer v.926 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  477. Son esprit violent, prompt à se gendarmer. v.927 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  478. Comment donc ! Vous riez, et vous ne craignez pas v.930 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  479. La foudre toute prête à tomber en éclats ! v.931 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  480. Léandre vient ; il faut nous ranger du passage. v.933 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
  481. Écoutons un moment ; nous n'oserions sortir. v.934 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
  482. Il ne manquera pas d'en faire ici paraître. v.936 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
  483. D'où viens-tu ? Parle donc, réponds-moi. v.938 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  484. Et voilà votre montre enfin raccommodée : v.944 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  485. Elle sonne à présent. v.945 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  486. Il me l'a bien gardée. v.945 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  487. De bon tabac d'Espagne ; en voilà pour goûter. v.947 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  488. C'est du meilleur qu'on puisse jamais prendre, v.948 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  489. Dont on frauda les droits en revenant de Flandre. v.949 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  490. La montre ! Ah ! Voilà bien pour la faire sonner ! v.951 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  491. Oh ! Je n'y pensais pas ; j'ai jeté l'un pour l'autre. v.953 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  492. Cours à l'appartement de l'aimable Clarice, v.956 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  493. Sache si pour la voir le moment est propice ; v.957 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  494. Peins-lui bien mon amour, et quel est mon chagrin v.958 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  495. Va vite, cours, reviens. v.960 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  496. La montre est tout en pièces. v.960 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  497. Et m'en faire présent... v.962 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  498. Je t'attends. v.963 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  499. J'obéis, et reviens sur mes pas. v.963 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  500. Carlin, j'attends tout de ton zèle. v.964 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  501. Si Clarice venait à parler d'Isabelle, v.965 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  502. Dis-lui bien que mon coeur n'en fut jamais touché ; v.966 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  503. Par de plus nobles noeuds je me sens attaché. v.967 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  504. De fixer le penchant d'un homme raisonnable. v.969 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  505. Vous pourra coûter cher, aux sentiments qu'il montre. v.972 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  506. Eh bien ! C'est un malheur. Fais-lui bien concevoir v.974 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  507. Et que mon oncle en vain veut faire une alliance v.976 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  508. Dont mon amour murmure, et dont mon coeur s'offense. v.977 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  509. C'est une babillarde, en intrigues habile, v.981 (Acte 3, scène 9, CARLIN)
  510. Et qui, dans un besoin, pourrait montrer en ville. v.982 (Acte 3, scène 9, CARLIN)
  511. Oui, tu pourras lui dire. Avec impatience v.985 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  512. J'attendrai ton retour ; va, cours en diligence. v.986 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  513. C'est pendant trop de temps nous cacher à sa vue ; v.990 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  514. Vous vouliez bien sur nous jeter quelque regard. v.992 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  515. Sans ce fâcheux dédit qui vient troubler ma joie, v.993 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  516. Vous voulez bien, Monsieur, me permettre à mon tour, v.995 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  517. Au pouvoir de l'amour c'est en vain qu'on résiste. v.997 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  518. Jamais rien de plus beau ne s'offrit aux regards ; v.1004 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  519. Les amours près de vous volent de toutes parts. v.1005 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  520. De fixer le penchant d'un homme raisonnable : v.1011 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  521. Lui faire prendre d'elle une plus juste estime : v.1015 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  522. C'est une babillarde, en intrigues habile, v.1018 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  523. Et qui pourrait montrer, en un besoin, en ville. v.1019 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  524. Ah ! Maraud de Carlin, dans peu ton imprudence v.1022 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  525. Recevra de ma main sa juste récompense. v.1023 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  526. J'entends venir quelqu'un. Ah ! Ciel ! Quel embarras ! v.1024 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  527. C'est Madame Grognac qui revient sur ses pas. v.1025 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  528. Votre mère en personne. v.1026 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  529. Quel parti prendre, ô ciel ! Je tremble, je frissonne. v.1027 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  530. Sa brusque humeur sur nous pourrait bien éclater : v.1028 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  531. Entrez-y. v.1032 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  532. À venger pleinement les affronts qu'on m'a faits ! v.1037 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  533. Puisqu'il faut aussi bien que je vous entretienne, v.1039 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  534. Et vous dise en deux mots que je veux, dès ce jour, v.1040 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  535. Vous savez ses desseins, et qu'un dédit m'engage, v.1042 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  536. En mariage ? v.1043 (Acte 3, scène 10, LEANDRE)
  537. Comment donc ? Oui, monsieur, en mariage, oui ; v.1044 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  538. Et je prétends, de plus, que ce soit aujourd'hui. v.1045 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  539. Ce dédit m'embarrasse et me tient en cervelle. v.1050 (Acte 3, scène 11, LEANDRE)
  540. J'ai fait ce que vos feux attendoient de mon zèle, v.1051 (Acte 3, scène 12, CARLIN)
  541. Ah ! Madame, en ces lieux v.1052 (Acte 3, scène 12, LEANDRE)
  542. Quel bonheur tout nouveau vous présente à mes yeux ? v.1053 (Acte 3, scène 12, LEANDRE)
  543. Malgré votre dédit, je viens ici vous dire v.1054 (Acte 3, scène 12, CLARICE)
  544. Mon coeur en est charmé ; mais je crains votre humeur, v.1056 (Acte 3, scène 12, CLARICE)
  545. Et qu'une autre que moi ne règne en votre coeur. v.1057 (Acte 3, scène 12, CLARICE)
  546. Mon maître ici m'envoie avec ce mot d'écrit. v.1060 (Acte 3, scène 13, LAQUAIS)
  547. Vous pouvez de ses soins bientôt tout vous promettre. v.1063 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
  548. Je vous quitte un moment, et je monte là-haut v.1064 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
  549. Pour lui faire réponse, et reviens au plus tôt. v.1065 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
  550. Si dans mon cabinet vous vouliez bien écrire, v.1066 (Acte 3, scène 14, LEANDRE)
  551. Vous me ferez plaisir, Madame, assurément. v.1068 (Acte 3, scène 14, LEANDRE)
  552. Puisque vous le voulez, j'en use librement. v.1069 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
  553. Et de continuer à vous rendre service. v.1071 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
  554. J'aurai fait en deux mots. v.1072 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
  555. Vos feux sont en bon train. v.1072 (Acte 3, scène 15, CARLIN)
  556. Je vous vois bientôt prêts à vous donner la main : v.1073 (Acte 3, scène 15, CARLIN)
  557. Dans votre cabinet, Monsieur, j'entends du bruit. v.1076 (Acte 3, scène 17, CARLIN)
  558. En plaçant là Clarice, en mon esprit distrait, v.1080 (Acte 3, scène 17, LEANDRE)
  559. Je n'ai pas réfléchi que dans le même endroit v.1081 (Acte 3, scène 17, LEANDRE)
  560. Isabelle ! Ah ! J'enrage. v.1082 (Acte 3, scène 17, CARLIN)
  561. Nous allons bientôt voir arriver du carnage. v.1083 (Acte 3, scène 17, CARLIN)
  562. Quelle prospérité ! Pour une, en voilà trois. v.1085 (Acte 3, scène 18, CARLIN)
  563. Mon dessein n'était point de vous y mettre ensemble. v.1091 (Acte 3, scène 18, LEANDRE)
  564. Je ne veux rien savoir. v.1093 (Acte 3, scène 18, CLARICE)
  565. Dans peu, Monsieur Carlin, nous en feront raison. v.1097 (Acte 3, scène 20, LISETTE)
  566. Courons-y donc : je crains quelque accident cruel ; v.1100 (Acte 3, scène 22, CERLIN)
  567. Et ces deux filles-là se vont battre en duel. v.1101 (Acte 3, scène 22, CERLIN)
  568. Mais, depuis un moment, mon âme est bien changée. v.1103 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  569. Comment ! v.1104 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
  570. D'où vous peut donc venir un si prompt changement ? v.1105 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  571. J'ai pensé mûrement aux soins du mariage, v.1106 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  572. Aux chagrins presque sûrs où son joug nous engage, v.1107 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  573. L'hymen est trop souvent un écueil pour l'amour. v.1109 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  574. Je ne me sens point propre aux soins d'une famille ; v.1110 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  575. Je sais bien que l'hymen peut avoir ses dégoûts ; v.1112 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
  576. Chaque état a les siens, et nous les sentons tous. v.1113 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  577. Cependant vous vouliez de moi ce bon office. v.1114 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  578. Plus nos sens étonnés frémissent du danger. v.1116 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  579. Calmez-vous ; je prétends y réussir sans peine. v.1119 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
  580. Léandre sent pour vous une sincère ardeur : v.1120 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  581. Je pourrais bien ici répondre de son coeur ; v.1121 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  582. Qui retient jusqu'ici son esprit en balance. v.1123 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  583. Pour vous laver la tête, et vous dire en deux mots... v.1125 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  584. Vous n'ayez pas encor les airs d'un homme sage ? v.1127 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  585. Si j'en faisais autant, je passerais chez vous v.1128 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  586. Que j'aime à la fureur, et qui m'aime encor plus ; v.1132 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  587. Est venu brusquement gâter tout le mystère, v.1134 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  588. Eh ! Ventrebleu, v.1137 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  589. Apprenne maintenant à vivre à la vieillesse, v.1139 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  590. Et qu'on trouve des gens, avec des cheveux gris, v.1140 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  591. Plus étourdis cent fois que nos jeunes marquis ? v.1141 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  592. Je n'y connais plus rien. Dans le siècle où nous sommes, v.1142 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  593. Il faut fuir dans les bois, et renoncer aux hommes. v.1143 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  594. Pour enrichir un frère, en faire un gros seigneur, v.1148 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  595. Doit renoncer au monde. v.1149 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  596. C'est l'amour de mon bien. v.1151 (Acte 4, scène 2, CLARICE)
  597. Je prétends lui donner cinquante mille écus, v.1152 (Acte 4, scène 2, VALÈRE)
  598. Vous réservant, à vous, de mon bien le surplus ; v.1153 (Acte 4, scène 2, VAL?RE)
  599. Veux-tu que sur ce point je m'explique en bon frère ? v.1155 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  600. Tu sais bien qu'entre-nous nous parlons assez net. v.1156 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  601. Un hymen, quel qu'il soit, n'est point du tout ton fait. v.1157 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  602. Et le premier enfant te gâterait la taille. v.1159 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  603. Mon frère, cependant, tu veux te marier. v.1161 (Acte 4, scène 3, CLARICE)
  604. Le devoir d'une femme engage à mille choses ; v.1162 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  605. Le plaisir de l'hymen est terrestre et grossier. v.1164 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  606. Mon frère, cependant, tu veux te marier. v.1165 (Acte 4, scène 3, CLARICE)
  607. Notre mère l'était, dit-on, en son vivant ; v.1168 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  608. Si quelque amant venait frapper ta fantaisie, v.1170 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  609. Mon frère, cependant... v.1172 (Acte 4, scène 3, CLARICE)
  610. Mon frère, cependant, tu veux te marier. v.1173 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  611. Et je viens vous chercher ici pour vous apprendre v.1178 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  612. Elle m'a commandé de lui faire venir un notaire. v.1180 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  613. Bon ! Bon ! Il faut la prévenir. v.1181 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  614. Au cabinet encor venez-vous prendre place ? v.1183 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  615. Quelque nouvel amant, en dépit des jaloux, v.1184 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  616. Vous donne-t-il ici quelque autre rendez-vous ? v.1185 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  617. Comment ! Un rendez-vous ? Que dis-tu ? Prends bien garde ; v.1186 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  618. Léandre a bien voulu m'ouvrir son cabinet, v.1189 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  619. Où j'ai trouvé d'abord Isabelle enfermée. v.1190 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  620. L'augure est vraiment bon pour nos futurs amours ! v.1193 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  621. Ici mal à propos votre esprit se gendarme ; v.1194 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  622. Le mal est donc bien grand pour faire un tel vacarme ! v.1195 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  623. Ne vous souvient-il plus du maître italien, v.1196 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  624. Eh bien ? v.1198 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  625. Eh bien ! Pour éviter le retour de la dame, v.1198 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  626. Clarice est arrivée en ce même réduit v.1201 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  627. Et toutes deux d'abord s'en vont chez un garçon : v.1204 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  628. C'est prendre son parti. L'asile est vraiment bon ! v.1205 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  629. Mais Léandre aujourd'hui triomphe encor de moi. v.1209 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  630. Mets-toi dans un couvent, tu ne saurais mieux faire. v.1211 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  631. Je prends comme je dois tes conseils là-dessus ; v.1212 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  632. Le maudit instrument qu'une langue femelle ! v.1215 (Acte 4, scène 5, LE CHEVALIER)
  633. Comment ! De ma maîtresse effleurer la vertu ! v.1217 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
  634. J'entends venir quelqu'un. Adieu, je me retire. v.1218 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
  635. Un sort heureux, Monsieur, vous présente à mes yeux. v.1220 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  636. Peut-être elle pourra revenir en ces lieux. v.1221 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  637. Je sais que vous voulez devenir mon beau-frère ; v.1222 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  638. C'est fort bien fait à vous : ma soeur a de quoi plaire ; v.1223 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  639. Elle est riche en vertus ; pour en argent comptant, v.1224 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  640. C'est, comme vous voyez, peu de bien que cela. v.1228 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  641. Comment ? v.1230 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  642. Et je suis fort content de vous par ce côté. v.1233 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  643. Dans le fond cependant c'est une bagatelle ; v.1235 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  644. Mais je serais content de vous en voir défait. v.1236 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  645. Fait insulte au bon sens, et vise à la folie. v.1239 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  646. Tous les hommes, Monsieur, sont différemment fous ; v.1241 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  647. Chacun a sa folie, et j'ai grâce à vous rendre v.1242 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  648. De ne trouver en moi qu'un défaut à reprendre. v.1243 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  649. Ce que je vous en dis n'est que par amitié ; v.1244 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  650. On ne m'entend jamais censurer ni médire, v.1246 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  651. Et je ne dis ici que ce que j'entends dire. v.1247 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  652. Doit donner rarement créance à ce qu'on dit. v.1249 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  653. De louange et d'encens les hommes sont avares ; v.1250 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  654. Ils font rarement grâce aux vertus les plus rares ; v.1251 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  655. De leurs traits médisants ils chargent le prochain. v.1253 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  656. Je suis toujours en garde, et n'ai pas voulu croire v.1254 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  657. Cent bruits semés de vous, fâcheux à votre gloire. v.1255 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  658. Fat, insolent, ingrat, suffisant, imposteur ? v.1261 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  659. Qui de ces vices-là seulement vous soupçonne : v.1263 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  660. Mais on ne me dit pas de vous autant de bien v.1264 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  661. Que je souhaiterais. On dit (je n'en crois rien) v.1265 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  662. Qu'en discours vous prenez un peu trop de licence ; v.1266 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  663. Que vous parlez toujours avant que de penser ; v.1268 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  664. Vous passez en hiver les nuits au clair de lune, v.1271 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  665. À souffler dans vos doigts, et prendre vos ébats v.1272 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  666. Que souvent vous prenez trop de vin de champagne, v.1274 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  667. Enfin, que sais-je, moi ? L'on charge ma mémoire v.1278 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  668. De cent mauvais récits que je ne veux pas croire : v.1279 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  669. Et tout homme prudent doit se garder toujours v.1280 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  670. Redites-nous encor ce petit air bacchique. v.1283 (Acte 4, scène 6, CARLIN)
  671. Vous avez fort bien fait de lui river son clou. v.1284 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  672. C'est bien à faire à lui de vous appeler fou ; v.1285 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  673. Et vous deviez encor lui mieux laver la tête. v.1286 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  674. J'ai bien un autre soin qui m'occupe et m'arrête. v.1287 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  675. Tu t'imagines bien que Clarice en courroux v.1288 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  676. Se livre tout entière à ses transports jaloux, v.1289 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  677. Mais sais-tu bien, maraud, qu'avec ta remontrance, v.1298 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  678. Monsieur, en conscience, v.1299 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  679. Ma manière est fort bonne, et n'en veux point changer. v.1301 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  680. Qui masquent en tout temps leur coeur et leur visage. v.1303 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  681. Mon défaut prétendu, mon peu d'attention, v.1304 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  682. Fait la sincérité de mon intention. v.1305 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  683. Dans le fond de mon coeur d'indigne menterie ; v.1307 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  684. Je dis ce que je pense, et sans déguisement ; v.1308 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  685. Je suis, sans réfléchir, mon premier mouvement ; v.1309 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  686. Rêver dans un fauteuil, répondre en coq-à-l'ânes, v.1314 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  687. Et bien d'autres encor. v.1317 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  688. Un cerveau faible, étroit, qui ne tient qu'une chose, v.1318 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  689. Peut répondre en tout temps à ce qu'on lui propose ; v.1319 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  690. Mais celui qui comprend toujours plus d'un objet v.1320 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  691. Peut bien être excusé s'il est un peu distrait. v.1321 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  692. Que je remette ici chaque chose en sa place, v.1323 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  693. Il n'est pas encor temps que je m'aille coucher. v.1324 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  694. À répondre à cent sots selon leur sot caprice ? v.1327 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  695. Ce qu'on pense vaut mieux cent fois que leurs discours. v.1328 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  696. J'irais de ma pensée interrompre le cours, v.1329 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  697. Pour un plaisant qui vient de son bruit m'enivrer, v.1332 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  698. La belle est en courroux ; toute mon innocence v.1339 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  699. Ne me rassure pas, et je crains sa présence. v.1340 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  700. Comme ordinairement j'en use en pareil cas. v.1342 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  701. Pût vous rendre près d'elle un accès plus facile. v.1344 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  702. Une lettre, Monsieur, remet bien une affaire ; v.1348 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  703. Et trois ou quatre mots, en hâte barbouillés, v.1349 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  704. Font souvent embrasser des amants bien brouillés. v.1350 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  705. En cette occasion, Carlin, je te veux croire. v.1351 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  706. Je vais, je cours, je vole, et je reviens à vous. v.1353 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  707. Et ma main, sur-le-champ, en va signer l'aveu. v.1358 (Acte 4, scène 8, LÉANDRE)
  708. Tenez, monsieur, voilà... v.1359 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  709. Comment ! Es-tu donc ivre ? v.1359 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  710. Et je serai bientôt aussi distrait que vous. v.1362 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  711. Votre absence d'esprit est une maladie v.1363 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  712. Qui se gagne aisément. v.1364 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  713. Donne-moi promptement. v.1368 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  714. Vous pouvez même aussi vous escrimer en vers, v.1370 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  715. En sonnet, en ballade, en ode, en élégie. v.1371 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  716. Des plumes que je prends vient empêcher l'effet. v.1373 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  717. Je le crois bien, Monsieur ; car voilà le cornet, v.1374 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  718. L'écriture est un art bien utile aux amants ! v.1377 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  719. Petits soins, rendez-vous, doux raccommodements, v.1378 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  720. Cette ferme en un an produirait plus de rente v.1383 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  721. Que le papier timbré ne peut rendre en quarante. v.1384 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  722. Vous versez à grands flots l'encre sur votre écrit. v.1386 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  723. On croira qu'un démon en a formé les traits ; v.1390 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  724. Je tiens dès à présent la lettre indéchiffrable. v.1392 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  725. Il faut recommencer, le mal n'est pas bien grand. v.1393 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  726. Je ne plains point, Carlin, la peine que je prends. v.1394 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  727. C'est très bien fait. Mais moi, je plains fort Isabelle. v.1395 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  728. C'est un style éloquent qu'un billet au porteur, v.1398 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  729. Si vous vous en serviez... v.1400 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  730. Quand une belle voit, comme par supplément, v.1401 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  731. Quatre doigts de papier plié bien proprement v.1402 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  732. « Monsieur, par la présente, il vous plaira payer v.1406 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  733. À damoiselle, en blanc, d'elle valeur reçue... » v.1408 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  734. Fait taire l'éloquence et l'art de Cicéron. v.1410 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  735. Qui trafiquent d'un coeur. v.1412 (Acte 4, scène 9, LÉANDRE)
  736. Aujourd'hui bien des femmes v.1412 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  737. Se mêlent du trafic. v.1413 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  738. Le ciel en soit loué ! Me voilà hors de crise. v.1415 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  739. Et j'attendais encore un trait de votre crû. v.1418 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  740. Tu deviens insolent. v.1419 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  741. Ce n'est que par tendresse. v.1419 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  742. Tiens, porte de ce pas la lettre à son adresse. v.1420 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  743. De ton zèle empressé j'attends tout dans ce jour, v.1421 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  744. Pour vous servir plus vite en cette conjoncture, v.1423 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  745. Je m'en vais emprunter les ailes de mercure. v.1424 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  746. Mais non, j'ai, grâce au ciel, encore deux bons yeux. v.1429 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  747. Le billet que je tiens doit aller à Clarice. v.1432 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  748. Lui donne en peu de mots son congé par écrit. v.1437 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  749. Il peut se fourvoyer sans rien appréhender ; v.1441 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  750. Et que de l'engager on ait eu la pensée. v.1444 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  751. Pense-t-il que l'on soit bien tenté de sa peau, v.1446 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
  752. Et de la tienne aussi ? v.1447 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
  753. Pour m'outrager encore, il a mis tant d'étude v.1448 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  754. Le traître a fait le coup, je m'en suis bien douté. v.1450 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
  755. Mon parti sur ce point est fort facile à prendre. v.1451 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  756. Je ne veux rien entendre. v.1452 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  757. Va-t'en porter ailleurs ton cartel amoureux. v.1454 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
  758. Il est enfin parti, malgré son éloquence. v.1459 (Acte 5, scène 2, LISETTE)
  759. Eh bien ! La mère encor fait-elle le lutin ? v.1461 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
  760. Elle peut revenir et nous trouver ensemble. v.1464 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
  761. Je vous prends en ces lieux sous ma protection. v.1466 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
  762. Tout est bien avancé, v.1469 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
  763. Nous aurons de la peine à venir à bout d'elle. v.1472 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
  764. Nous la flatterons tant, qu'il faudra bien enfin v.1478 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
  765. Qu'elle me cède un bien dont mon amour est digne. v.1479 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
  766. Eh bien ! Ma chère soeur, quel soin ici t'amène ? v.1483 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
  767. Et quelle intention est maintenant la tienne ? v.1484 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
  768. Tant mieux. Mais puisque enfin vous épousez Léandre, v.1487 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  769. L'amitié, la raison m'obligent à vous rendre v.1488 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  770. Suivez-moi seulement, et demeurez en paix. v.1493 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  771. Tenez, voilà la lettre, et le cas que j'en fais. v.1494 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  772. L'ai-je bien entendu ? Dois-je en croire mes yeux ? v.1497 (Acte 5, scène 5, CLARICE)
  773. Mais je puis sur-le-champ m'éclaircir encor mieux. v.1498 (Acte 5, scène 5, CLARICE)
  774. Je vois, je tiens, je sens toute sa perfidie. v.1500 (Acte 5, scène 5, CLARICE)
  775. Ministre impertinent d'un maître malheureux. v.1502 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  776. Avec ces vains détours penses-tu me tromper ? v.1505 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  777. Viens çà, maraud ; réponds, parle. v.1507 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  778. « Je suis au désespoir, Mademoiselle, que l'aventure du cabinet vous ait donné quelque soupçon de ma fidélité. » (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  779. Ouf, hai ! Je n'en puis plus ; vous serrez le sifflet. v.1509 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
  780. Que je lise, maraud ! Que veux-tu qu'il m'apprenne ? v.1511 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
  781. Mais il vient ; vous pouvez l'étrangler : le voilà. v.1514 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
  782. J'ai peine, en le voyant, à tenir ma colère. v.1515 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  783. Vous voilà donc, Monsieur ! Cherchez-vous en ces lieux v.1517 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  784. Que ma rivale encor se présente à mes yeux ? v.1518 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  785. Je la tiens d'Isabelle ; et le cas qu'elle en fait v.1521 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  786. Peut me venger assez de ton lâche forfait. v.1522 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  787. Un autre que Carlin en vos mains l'a remise ? v.1523 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  788. Lasse ma patience, et me fait de ces tours. v.1526 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  789. Je le vois. Viens çà, traître ; aux dépens de ta vie v.1527 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  790. Ah ! Monsieur, doucement, v.1529 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  791. Grâce ; je n'ai point fait encor mon testament. v.1530 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  792. Quelle faute insensé ! v.1538 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  793. Ne t'avais-je pas dit de la rendre à Clarice ? v.1540 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  794. À Clarice, Monsieur ? Je veux être pendu, v.1541 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  795. Si je me ressouviens de l'avoir entendu. v.1542 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  796. Pour lui faire sentir son peu de jugement, v.1545 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  797. De grace prêtez-moi cette lettre un moment. v.1546 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  798. Bon ! C'est où je l'attends. v.1547 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  799. Viens, tête sans cervelle, v.1547 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  800. La présence d'esprit au suprême degré. v.1550 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  801. Pardonnez mon erreur en faveur de ma flamme : v.1552 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  802. Vous tâchez, inconstant, à me séduire en vain ; v.1554 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  803. Ma curiosité m'en a fait lire assez ; v.1561 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  804. Je n'en ai que trop lu. v.1562 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  805. Mon_Dieu, recommencez. v.1562 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  806. En changeant le dessus, nous changeons bien la thèse. v.1563 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  807. Vous avez le bras bon, soit dit par parenthèse. v.1564 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  808. « Je suis au désespoir que l'aventure du cabinet vous ait pu donner quelque soupçon de ma fidélité. (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  809. Votre rivale ne servira qu'à rendre votre triomphe plus parfait. (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  810. Monsieur, par la présente, il vous plaira payer à damoiselle, en blanc, d'elle valeur reçue, et dieu sait la valeur. » (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  811. Vous aurez bientôt fait votre paix à ce prix. v.1569 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  812. C'est ce malheureux-là qui, pendant que j'écris, v.1570 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  813. M'embarrasse l'esprit de ses impertinences. v.1571 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  814. J'ai diablement d'esprit ; on écrit mes sentences. v.1572 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  815. Vous trouvez maintenant les termes plus coulants ; v.1573 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  816. Et vous ne venez plus pour étrangler les gens. v.1574 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  817. De trouver innocent un coupable qu'on aime ; v.1576 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  818. Des mouvements jaloux aux transports de l'amour ! v.1578 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  819. Fait qu'il ne vous croit pas où souvent il vous voit. v.1582 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  820. Avec empressement, Monsieur, je viens vous dire v.1584 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
  821. Que mon plaisir serait de pouvoir, en ce jour, v.1585 (Acte 5, scène 8, VAL?RE)
  822. Au gré de vos souhaits contenter votre amour. v.1586 (Acte 5, scène 8, VAL?RE)
  823. Mais il faut du dédit encor vous délier, v.1589 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
  824. Et procurer de plus l'hymen du chevalier. v.1590 (Acte 5, scène 8, VAL?RE)
  825. Il me vient dans l'esprit un petit stratagème. v.1592 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  826. La vieille ne songeait, dans votre engagement, v.1593 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  827. Qu'au bien qu'on vous devait laisser par testament. v.1594 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  828. La mère ne sait point que je suis en ces lieux ; v.1598 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  829. Elle ne m'a point vu ; je puis aisément dire v.1599 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  830. J'entends venir quelqu'un. C'est Madame Grognac. v.1602 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
  831. Le dessein en est pris ; je ne vous quitte point v.1605 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  832. Que je ne sois enfin satisfait sur ce point. v.1606 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  833. Je prétends, malgré vous, devenir votre gendre : v.1607 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  834. Vous ne sauriez mieux faire ; et, pour vous en défendre, v.1608 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  835. Là, là... doucement. v.1613 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  836. Ennuyeux harangueur. C'est une affaire faite, v.1616 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  837. Monsieur sera mon gendre. Et pour me délivrer v.1617 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  838. Des importunités qui pourraient trop durer, v.1618 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  839. J'ai mandé tout exprès en ces lieux un notaire. v.1619 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  840. Moi, je m'inscris en faux contre ce qu'il peut faire. v.1620 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  841. Quand il ne voudrait point encor se marier, v.1625 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  842. Un fat dont la conduite est tout impertinente. v.1627 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  843. Cela ne rendra pas le contrat moins valide. v.1631 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
  844. Place, place au courrier qui vient à toute bride. v.1632 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  845. Votre oncle ici m'envoie... ouf ! Je suis éreinté ! ... v.1634 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  846. Pour vous dire... attendez... v.1635 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  847. Tu nous fais bien attendre. v.1635 (Acte 5, scène 10, CLARICE)
  848. N'as-tu point de sa part quelque lettre à me rendre ? v.1636 (Acte 5, scène 10, LÉANDRE)
  849. De vos pleurs bien plutôt lâchez ici la bonde, v.1639 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  850. En apprenant le coup le plus fatal du monde, v.1640 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  851. Jusque dans l'avenir de nos neveux derniers. v.1642 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  852. La volonté de l'homme est bien ambulatoire ! v.1644 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  853. Bien informé d'ailleurs que vous aimiez Clarice, v.1648 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  854. Et que vous deveniez réfractaire à ses lois, v.1649 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  855. Sans avoir, en mourant, égard à ma prière, v.1651 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  856. Il a testamenté tout d'une autre manière ; v.1652 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  857. Et l'avare défunt, descendant au cercueil, v.1653 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  858. Ah ! Juste ciel ! Qu'entends-je ? v.1655 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  859. Le défunt a bien fait, et je l'en applaudis ; v.1657 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  860. Il devait, à mon sens, encore faire pis. v.1658 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  861. Votre hymen à présent ne me convient en rien : v.1661 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  862. Pour épouser ma fille il faut avoir du bien. v.1662 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  863. D'un pareil testament. S'il épouse Isabelle, v.1664 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  864. Je lui donne à présent mon bien après ma mort. v.1665 (Acte 5, scène 10, VAL?RE)
  865. En faveur de l'amour faites, vous, cet effort. v.1666 (Acte 5, scène 10, VAL?RE)
  866. Il est bien étourdi. v.1667 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  867. De l'être encore plus : si je vaux quelque chose, v.1668 (Acte 5, scène 10, LE CHEVALIER)
  868. Euh ! J'ai cette courante encore sur le coeur. v.1670 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  869. Qu'il deviendra plus sage, et que vous le signiez. v.1674 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  870. Vous, pour le prix d'une juste tendresse, v.1675 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  871. Comment donc ! Rêvez-vous, monsieur ? Êtes-vous fou, v.1677 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  872. Et vous me permettrez maintenant de vous dire v.1680 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  873. Que ce faux testament, Madame, n'est qu'un jeu v.1681 (Acte 5, scène 10, VAL?RE)
  874. Inventé par Carlin pour tirer votre aveu. v.1682 (Acte 5, scène 10, VAL?RE)
  875. Le dénouement est bien prêt à se faire. v.1683 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  876. Ne nous as-tu pas dit que l'oncle, en sa colère, v.1684 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  877. À d'autres qu'à Léandre, avait laissé son bien ? v.1685 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  878. Ma foi, je le croyais. Mais, puisqu'il n'en est rien, v.1686 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  879. Le ciel en soit loué ! v.1687 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  880. Voulut vous enlever, vous le laissâtes faire : v.1691 (Acte 5, scène 10, LISETTE)
  881. Votre fille est encor plus sage que sa mère. v.1692 (Acte 5, scène 10, LISETTE)
  882. J'ai, si vous la grondez, un menuet tout prêt. v.1694 (Acte 5, scène 10, LE CHEVALIER)
  883. Vous saurez, en un mot, v.1701 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  884. Vous l'avez commencé, finissez votre ouvrage : v.1704 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  885. Et je prétends, de plus, qu'en formant ces liens, v.1705 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  886. On les sépare encore et de corps et de biens. v.1706 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  887. Rentrons, et sur-le-champ terminons cette affaire. v.1707 (Acte 5, scène 11, VALÈRE)
  888. De prendre à l'avenir le même rendez-vous. v.1710 (Acte 5, scène 11, LE CHEVALIER)
  889. Lorsque j'en donnerai, je serai plus secrète. v.1711 (Acte 5, scène 11, ISABELLE)
  890. Laissez votre oncle en paix. Quel diantre de langage ! v.1715 (Acte 5, scène 12, CARLIN)
  891. Tu m'en fais souvenir, je l'avais oublié. v.1718 (Acte 5, scène 12, LEANDRE)
  892. Pour le lendemain, passe ; et j'en vois aujourd'hui v.1721 (Acte 5, scène 13, CARLIN)
  893. Qui voudraient bien pouvoir l'oublier comme lui. v.1722 (Acte 5, scène 13, CARLIN)

LE RETOUR IMPRÉVU (1700)

  1. Je suis fort aise de vous rencontrer. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  2. Parlons ensemble un peu sérieusement, je vous prie, mademoiselle Lisette. (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
  3. Aussi sérieusement qu'il vous plaira, Madame Bertrand. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  4. Savez-vous bien que je suis fort mécontente de la conduite et des manières de ma nièce ? (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  5. Comment donc, madame ! (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  6. Elle ne fait rien que de mal ; et le pis que j'y trouve, c'est qu'elle garde auprès d'elle une coquine comme vous, qui ne lui donnez que de mauvais conseils, et qui la poussez dans un précipice où son penchant ne l'entraîne déjà que trop. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  7. Voilà un discours très sérieux au moins, madame ; et si je répondais aussi sérieusement, la fin de la conversation pourrait bien faire rire ; mais le respect que j'ai pour votre âge, et pour la tante de ma maîtresse, m'empêchera de vous répondre avec aigreur. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  8. Vous avez bien de la modération ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  9. Il serait à souhaiter, madame, que vous en eussiez autant : vous ne seriez pas la première à scandaliser votre nièce, et à la décrier, comme vous faites, dans le monde, par des discours qui n'ont point d'autre fondement que le dérèglement de votre imagination. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  10. Comment, impudente ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  11. Le dérèglement de mon imagination ! (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
  12. C'est le dérèglement de vos actions qui me fait parler ; et il n'y a rien de plus horrible que la vie que vous faites. (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
  13. Comment donc, madame ! (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  14. Y a-t-il rien de plus scandaleux que la dépense que Lucile fait tous les jours ? (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  15. Une fille qui n'a pas un sou de revenu ! (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
  16. C'est bien à elle d'avoir seule une grosse maison, des habits magnifiques ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  17. Est-il défendu de faire fortune ? (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  18. Et comment la fait-elle, cette fortune ? (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  19. Fort innocemment : elle boit, mange, chante, rit, joue, se promène ; les biens nous viennent en dormant, je vous assure. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  20. Elle verra ce qui lui arrivera ; elle n'aura pas un sou de mon bien. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  21. Premièrement, ma fille unique ne veut plus être religieuse ; je m'en vais la marier : mon frère le chanoine, qui lui en veut depuis longtemps, la déshéritera ; car il est vindicatif. (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
  22. Patience, patience ; elle ne sera pas toujours jeune. (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
  23. Vraiment, c'est pour cela que nous songeons à profiter de la belle saison. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  24. Fort bien ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  25. Et tout le profit qui vous en demeurera, c'est que vous mourrez toutes deux à l'hôpital, et déshonorées encore, (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
  26. À la bonne heure, je ne m'en mêle point ; je la renonce pour ma nièce, et je ne prétends pas aider tromper personne. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  27. Nous ferons bien nos affaires sans vous ; ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  28. Bonjour, ma chère enfant. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  29. Qui est cette vieille madame avec qui tu étais en conversation ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  30. Si fait vraiment, je ne connais autre ; je ne l'avais pas bien envisagée. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  31. C'est une femme fort à son aise, qui a de bonnes rentes sur la Ville, des maisons à Paris. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  32. Lucile est fort bien apparentée, au moins. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  33. Oui, mais elle n'en est pas plus riche. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  34. Il ne faut désespérer de rien ; cela peut venir. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  35. Comment diable ! (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  36. Mais sais-tu bien qu'en temps de peste, cette fille-là pourrait devenir un très gros parti ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  37. Le parti n'est pas mauvais dès à présent ; et la beauté... (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  38. Tu as raison, sa beauté lui tient lieu de tout, et mon maître est absolument déterminé à l'épouser. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  39. Et elle, absolument déterminée à épouser ton maître. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  40. Il y aura peut-être quelque tribulation à essuyer au retour de notre bon homme de père : mais il ne reviendra pas si tôt ; nous aurons le temps de nous préparer ; et mon maître ne sera pas malheureux, s'il n'a que ce chagrin-là de son mariage. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  41. Comment donc ? (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  42. Tu es encore un plaisant visage, de croire que Clitandre puisse jamais se repentir d'avoir épousé Lucile, une fille que j'ai élevée ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  43. Une fille belle, jeune, et bien faite ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  44. Tiens, veux-tu que je te parle franchement ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  45. Clitandre fait de la dépense, parce qu'il est amoureux : l'amour rend libéral ; le mariage corrige l'amour. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  46. Si mon maître devenait avare, où en serions nous ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  47. Il est d'un naturel trop prodigue pour devenir jamais trop économe. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  48. Je t'en réponds. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  49. Trois garçons de la Guerbois viennent d'arriver avec tout leur attirail de cuisine ; Camel, le fameux Camel, marchait à leur tête. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  50. L'illustre Forel a envoyé six douzaines de bouteilles de vin de Champagne comme il n'y en a point : il l'a fait lui-même. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  51. Comment te portes-tu, mon enfant ? (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
  52. Va, cours, ma chère Lisette, la prier de se rendre au plus tôt ici ; je n'ai d'heureux moments que ceux que je passe avec elle. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
  53. Que vous êtes bien faits l'un pour l'autre ! (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  54. Elle s'ennuie à la mort quand elle ne vous voit point : elle ne tardera pas, je vous en réponds. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  55. Hé bien, monsieur, vous allez donc épouser ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  56. Vous voici, grâce au ciel, bientôt à la conclusion de votre amour, et à la fin de votre argent. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  57. C'est vraiment bien fait, de terminer ainsi toutes ses affaires. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  58. Mais, s'il vous plaît, qu'allons-nous faire en attendant le retour de monsieur votre père, qui est en Espagne depuis un an pour les affaires de son commerce ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  59. Et que ferons-nous quand il sera revenu ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  60. Que tu es impertinent avec tes réflexions ! (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  61. Mon ami, jouissons du présent ; n'ayons point de regret au passé, et ne lisons point des choses fâcheuses dans l'avenir. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  62. N'as-tu pas reçu de l'argent pour moi ces jours passés ? (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  63. Il n'y a que trois semaines que j'ai touché une demi-année d'avance de ce fermier à qui vous avez donné quittance de l'année entière. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  64. J'ai reçu, l'autre semaine, dix-huit cents livres de ce curieux, pour ces deux grands tableaux dont votre père avait refusé deux mille écus quelque temps avant que de partir. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  65. J'ai encore eu deux cents louis d'or de ce fripier, pour cette tapisserie que monsieur votre père avait achetée, il y a deux ans, cinq mille francs, à un inventaire. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  66. Oui, oui, nous avons fait de bons marchés pendant son absence, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  67. Voilà un petit rafraîchissement qui nous mènera quelque temps, et nous travaillerons ensuite sur nouveaux frais. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  68. Travaillez-y donc vous-même ; car pour moi je fais conscience d'être l'instrument et la cheville ouvrière de votre ruine ; c'est par mes soins que vous avez trouvé le moyen de dissiper plus de dix mille écus, sans compter douze ou quinze mille francs que vous devez encore à plusieurs quidams, usuriers ou notaires (c'est presque la même chose), qui nous vont tomber sur le corps au premier jour. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  69. Celui qui m'embarrasse le plus, c'est ce persécutant monsieur André ; et si, je ne lui dois que trois mille cinq cents livres. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  70. Il a, depuis quatre jours, obtenu contre vous une sentence des consuls ; et il ne serait pas plaisant que, le jour de la noce, il vous coucher au Châtelet. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  71. Nous trouverons des expédients pour nous parer de cet inconvénient. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  72. Quel expédient trouver ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  73. Nous avons fait argent de tout : les revenus sont touchés d'avance ; la maison de la ville est démeublée à faire pitié ; nous avons abattu les bois de la maison de campagne, sous prétexte d'avoir de la vue. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  74. Si mon père peut être encore cinq ou six mois sans revenir, j'aurai tout le temps de réparer, par mon économie, les premiers désordres de ma jeunesse. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  75. Assurément. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  76. Il vaut mieux que vous fassiez toutes ces sottises-là de son vivant qu'après sa mort ; il ne serait plus en état d'y remédier. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  77. Allez, monsieur, vous n'avez pas tant de tort qu'on dirait bien. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  78. Monsieur votre père fera un gros profit pendant son voyage ; vous aurez fait une grosse dépense pendant son absence : quand il reviendra, de quoi aura-t-il à se plaindre ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  79. Que tu parles aujourd'hui de bon sens, mon pauvre Merlin ! (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  80. Entre nous, ce n'est pas un grand génie que monsieur votre père ; je l'ai mené autrefois par le nez, comme vous savez ; je lui fais accroire ce que je veux : et quand il reviendrait présentement, je me sens encore assez de vigueur pour vous tirer des affaires les plus épineuses. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  81. Allons, monsieur, grande chère et bon feu ; le courage me revient. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  82. Combien serez-vous à table aujourd'hui ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  83. Et votre bon ami le Marquis, soi-disant tel, qui vous aide à manger si généreusement votre bien, et qui n'est qu'un fat au bout du compte, y sera-t-il ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  84. Les démarches que vous me faites faire, Clitandre, ne peuvent être justifiées que par le succès qu'elles vont avoir ; et je serais entièrement perdue dans le monde, si le mariage ne mettait fin à toutes les parties de plaisir où je me laisse engager tous les jours. (Acte 1, scène 5, LUCILE)
  85. Je n'ai jamais eu d'autres sentiments, belle Lucile ; et voilà votre amie qui peut vous en rendre témoignage. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
  86. Je suis caution de la bonté de votre coeur, et vous touchez au moment de la justifier par vous-même. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  87. Mais moi qui n'entre pour rien dans l'aventure, et qui n'ai point en vue de conclusion, quel personnage est-ce que je fais dans tout ceci ? (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  88. On dira qu'on se fait pendre par compagnie ; et par compagnie, il ne tiendra qu'à vous de vous faire épouser : mon maître a tant d'amis ! (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  89. Prenez-en quelqu'un, Madame : plus on est de fous, plus on rit. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  90. Je me donne au diable, pendant que nous sommes en train, il me prend envie d'épouser Lisette aussi par compagnie, moi ; c'est une chose bien contagieuse que l'exemple. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  91. Je voudrais que le nôtre la pût engager à nous imiter ; et j'ai un jeune homme de mes amis qui s'est brouillé depuis quelques jours avec sa famille. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
  92. Voilà le vrai moyen de le raccommoder. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  93. Le coeur vous en dit-il ? (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  94. Non ; ces sortes d'alliances-là ne me plaisent point. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  95. Je ne dépends de personne ; je veux prendre un mari aussi indépendant que moi. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  96. C'est bien fait ; il n'est rien tel que d'avoir tous deux la bride sur le cou. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  97. Mais voici votre Marquis qui vient au rendez-vous. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  98. Vous m'attendez, c'est bien fait : je suis l'âme de vos parties, j'en conviens ; le premier mobile de vos plaisirs, je le sais. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  99. en sommes-nous ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  100. Aurons- nous du vin abondamment ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  101. Allons, de la gaîté ; je ne me suis jamais senti de si belle humeur ; et je vous défie de m'ennuyer. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  102. En vérité, monsieur le Marquis, vous vous êtes bien fait attendre. (Acte 1, scène 6, CIDALISE)
  103. Cela serait beau, qu'un Marquis fût le premier au rendez-vous ! (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  104. On croirait qu'il n'aurait rien à faire. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  105. Je vous assure, mesdames, qu'à moins de voler, on ne peut pas faire plus de diligence : il n'y a pas, en vérité, trois quarts d'heure que je suis parti de Versailles. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  106. Vous connaissez ce cheval barbe et cette jument arabe que je mets ordinairement à ma chaise ; il n'y a pas deux meilleurs animaux pour un rendez-vous de vitesse. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  107. Un postillon, qui n'est pas plus gros que le poing, et qui va comme le vent. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  108. Il me semble que vous faites ordinairement votre cour à Paris. (Acte 1, scène 6, LUCILE)
  109. Hé bien, qu'est-ce, mon cher ? (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  110. Te voilà au comble des plaisirs ; tu vas nager dans les délices : tu sais l'intérêt que je prends à tout ce qui te touche. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  111. Quelle félicité, lorsque deux coeurs bien épris approchent du moment attendu... (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  112. Je ressens mon bonheur dans toute son étendue. (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
  113. Et vous, la belle cousine, qu'est-ce ? Le coeur ne vous en dit-il point ? (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  114. Il faut que l'exemple vous encourage. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  115. Ne voulez-vous point, en vous mariant, payer vos dettes à l'amour et à la nature ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  116. L'état de fille ne m'a point encore ennuyée. (Acte 1, scène 6, CIDALISE)
  117. Ce sera quand il vous plaira, au moins, que nous ferons quelque marché de coeur ensemble : je suis fait pour les dames ; et les dames, sans vanité, sont aussi faites pour moi. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  118. Je veux être déshonoré, si je ne vous trouve fort à mon g é : je me sens même de la disposition à vous aimer un jour à l'adoration, à la fureur ; mais point de mariage au moins, point de mariage ; j'aime les amours sans conséquence : vous m'entendez bien ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  119. Vraiment, ce discours-là est assez clair ; il n'a pas besoin de commentaire. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  120. Il est vrai que je n'ai pas mon pareil pour débourgeoiser un enfant de famille, le mettre dans le monde, le pousser dans le jeu, lui donner le bon goût pour les habits, les meubles, les équipages. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  121. Je le mène un peu raide ; mais ces petits messieurs-là ne sont-ils pas trop heureux qu'on leur inspire les manières de cour, et qu'on leur apprenne à se ruiner en deux ou trois ans ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  122. Avez-vous bien des écoliers ? (Acte 1, scène 6, LUCILE)
  123. Je ne le vois point ici : c'est un joli garçon ; je l'aime ; je le trouve admirable pour faire une ressource, pour écarter les créanciers, amadouer des usuriers, persuader des marchands, démeubler une maison en un tour de main. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  124. Que ton père a eu de prévoyance, d'esprit, de jugement, de te laisser un gouverneur aussi sage, un économe aussi entendu ! (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  125. Ce coquin-là vaut vingt mille livres de rente, comme un sou, à un enfant de famille. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  126. Messieurs et mesdames, quand vous voudrez entrer, le souper est tout prêt. (Acte 1, scène 7, MERLIN)
  127. Oui, c'est bien dit ; ne perdons point de temps. (Acte 1, scène 7, LE-MARQUIS)
  128. Je vous disais bien que Merlin était un joli garçon. (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
  129. Je me sens en disposition louable de bien boire du vin ; vous allez voir si j'en tiens raisonnablement. (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
  130. Les moments sont trop chers aux amants ; n'en perdons aucun. (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
  131. Voilà, Dieu merci, les affaires en bon train : nos amants sont en joie ; fasse le ciel que cela dure longtemps ! (Acte 1, scène 8, MERLIN)
  132. Bonjour, Merlin ; soyez le bien retrouvé. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  133. Comment te portes-tu ? (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  134. Et vous le mal revenu. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  135. Monsieur Jaquinet, comment t'en va ? (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  136. Tu vois, mon enfant, le mieux du inonde. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  137. Comment, vous avez fait un bon voyage ! (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  138. Tu n'es donc pas venu tout seul ? (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  139. Vraiment non ; je suis arrivé avec mon maître ; et pendant qu'il est allé avec le carrosse de voiture faire visiter à la douane quelques ballots de marchandises, il m'a fait prendre les devants pour venir dire à monsieur son fils qu'il est de retour en parfaite santé. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  140. Il semble que tu ne me fais guère bonne mine ; et tu ne me parais pas trop content de notre arrivée. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  141. Non ; il sera ici dans un moment. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  142. Dans un moment ! (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  143. Revenir si mal à propos, et ne pas avertir qu'il revient, encore ! (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  144. Cela est bien traître ! (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  145. Te voilà bien intrigué ! (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  146. Va te reposer ; entre au logis, tu trouveras bonne compagnie : ne t'effarouche point, on te fera boire de bon vin de Champagne. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  147. Cela n'est pas bien difficile. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  148. Dis à mon maître que son père est de retour, mais qu'il ne s'embarrasse point : je vais l'attendre ici, et tâcher de faire en sorte que nous puissions... (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  149. Je me donne au diable, si je sais comment m'y prendre. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  150. Dis-lui qu'il se tienne en repos ; et toi, commence par t'enivrer, et tu t'iras coucher. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  151. J'exécuterai tes ordres à merveille, ne te mets pas en peine. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  152. Allons, Merlin, de la vivacité, mon enfant, de la présence d'esprit, Ceci est violent : un père qui revient en impromptu d'un long voyage ; un fils dans la débauche, sa maison en désordre, pleine de cuisiniers ; les apprêts d'une noce prochaine ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  153. Tenons-nous un peu à l'écart, et songeons d'abord aux moyens de l'empêcher d'entrer chez lui. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  154. Enfin, après bien des travaux et des dangers, voilà, grâce au ciel, mon voyage heureusement terminé ; je retrouve ma chère maison, et je crois que mon fils sera bien sensible au plaisir de me revoir en bonne santé. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  155. Nous le serions bien davantage à celui de te savoir encore bien loin d'ici. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  156. Les enfants ont bien de l'obligation aux pères qui se donnent tant de peine pour leur laisser du bien. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  157. Oui ; mais ils n'en ont guère à ceux qui reviennent si mal à propos. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  158. Je ne veux pas différer davantage à rentrer chez moi, et à donner à mon fils le plaisir que lui doit causer mon retour : je crois que le pauvre garçon mourra de joie en me voyant. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  159. Je le tiens déjà plus que demi-mort. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  160. Suis-je bien éveillé ? (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  161. Mais vraiment ! (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  162. Sérieusement parlant, serait-ce vous, mon cher maître ? (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  163. Comment te portes-tu ? (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  164. Voilà qui est bien. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  165. Entrons au logis. (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  166. Nous ne vous attendions point, je vous assure ; et vous êtes tombé des nues pour nous, en vérité. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  167. Non ; je suis venu par le carrosse de Bordeaux, où mon vaisseau est heureusement abordé depuis quelques jours... (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  168. Mais nous serons aussi bien... (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  169. Que vous vous portez bien ! (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  170. Il faut que l'air du pays d'où vous venez soit merveilleux pour les gens de votre âge. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  171. Vous y deviez bien demeurer, monsieur, pour votre santé,.... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  172. Comment se porte mon fils ? (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  173. A-t-il eu grand soin de mes affaires ; et mes deniers ont-ils bien profité entre ses mains ? (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  174. Pour cela, je vous en réponds ; il s'en est servi d'une manière... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  175. Vous ne sauriez comprendre comme ce jeune homme-là aime l'argent : il a mis vos affaires dans un état... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  176. Que tu me fais de plaisir, Merlin, de m'apprendre une si bonne nouvelle ! (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  177. Je trouverai donc une grosse somme d'argent qu'il aura amassée ? (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  178. Comment, point du tout ! (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  179. Et non, vous dis-je : ce garçon-là est bien meilleur ménager que vous ne pensez ; il suit vos traces ; il fatigue son argent à outrance ; et sitôt qu'il a des pistoles, il les fait travailler jour et nuit. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  180. Voilà ce que c'est de donner aux enfants de bonnes leçons et de bons exemples à suivre. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  181. Je me meurs d'impatience de l'embrasser : allons, Merlin. (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  182. Voilà un coquin d'usurier qui prend bien son temps pour venir demander de l'argent. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  183. Savez-vous bien, monsieur Merlin, que je suis las de venir tous les jours sans trouver votre maître, et que, s'il ne me paie aujourd'hui, je le ferai coffrer demain, afin que vous le sachiez. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  184. Je vous l'expliquerai tantôt : ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  185. Une affaire de deux mille écus qui me sont dûs par son maître, dont j'ai le billet, et, en vertu d'icelui, une bonne sentence par corps, que je vais faire mettre à exécution. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  186. Oui, justement, Clitandre, un enfant de famille, dont le père est allé je ne sais où, et qui sera bien surpris, à son retour, quand il apprendra la vie que son fils mène pendant son absence. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  187. Autant que le fils est joueur, dépensier et prodigue, autant le père, à ce qu'on dit, est un vilain, un ladre, un fesse-mathieu. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  188. Oui, monsieur ; c'est un effet de sa bonne conduite de devoir cet argent-là. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  189. Comment ! (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  190. Car je vois bien, à la mine, que monsieur est du métier. (Acte 1, scène 12, G?RONTE)
  191. Comme les honnêtes gens se connaissent ! (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  192. Qui en vaut plus de quinze ; et comme il n'avait que vingt-quatre mille francs d'argent comptant, pour ne pas manquer un si bon marché, il a emprunté les deux mille écus en question de l'honnête fripon que vous voyez. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  193. Au contraire, je ne me sens pas de joie. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  194. Oh çà, monsieur, ce Clitandre, qui vous doit de l'argent, est mon fils. (Acte 1, scène 12, G?RONTE)
  195. Et monsieur est son père, entendez-vous ? (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  196. J'en ai bien de la joie. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  197. Ne vous mettez point en peine de vos deux mille écus ; j'approuve l'emploi que mon fils en a fait. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  198. Revenez demain, c'est de l'argent comptant. (Acte 1, scène 12, G?RONTE)
  199. Et, dis-moi un peu, dans quel endroit de la ville mon fils a-t-il acheté cette maison ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  200. Dans quel endroit ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  201. Mais vraiment, c'est aussi dans celui-ci qu'il l'a achetée. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  202. Tenez, voyez-vous bien cette maison couverte d'ardoise, dont les fenêtres sont reblanchies depuis peu ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  203. Hé bien ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  204. Justement, de madame Bertrand ; la voilà : c'est une bonne acquisition, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  205. Oui vraiment. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  206. Mais pourquoi cette femme-là vend-elle ses héritages ? (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  207. Il lui est survenu un grand malheur ; elle est devenue folle. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  208. Elle est devenue folle ! (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  209. Je m'embourbe ici de plus en plus. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  210. Elle n'en avait point ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  211. Non assurément. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  212. Je suis fâché de son accident. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  213. Te voilà bien consterné ! (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  214. Serait-il arrivé quelque accident à mon fils ? (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  215. M'aurait-on volé pendant mon absence ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  216. J'ai peine à retenir mes larmes. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  217. N'entrez pas, monsieur. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  218. Hé bien ! (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  219. Le diable s'en est emparé, monsieur ; il nous a fallu déloger à mi-terme. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  220. Oui, monsieur : il y revient des lutins si lutinants... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  221. Il n'y a sorte de niches qu'ils ne m'aient faites ; tantôt ils me chatouillaient la plante des pieds, tantôt ils me faisaient la barbe avec un fer chaud ; et, toutes les nuits régulièrement, ils me donnaient des camouflets qui puaient le soufre... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  222. Mais, encore une fois, je crois que tu te moques de moi. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  223. Point du tout, monsieur : qu'est-ce qu'il m'en reviendrait ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  224. Nous avons vu là-dessus les meilleures devineresses de Paris, la Duverger même ; il n'y a pas moyen de les faire déguerpir : ce diable-là est furieusement tenace ; c'est celui qui possède ordinairement les femmes, quand elles ont le diable nu corps. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  225. Une frayeur soudaine commence à me saisir. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  226. Je suis perdu ; j'ai caché en terre un sac de cuir où il y n vingt mille francs. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  227. Voilà ce que c'est ; les diables cherchent les trésors, comme vous savez. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  228. Et en quel endroit ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  229. Justement, c'est là où ils font leur sabbat. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  230. À gauche en entrant, sous une grande pierre noire qui est à côté de la porte. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  231. Vous deviez bien nous en avertir ; vous nous eussiez épargné bien de l'embarras. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  232. C'est à gauche en entrant, dites-vous ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  233. Oui ; l'endroit n'est pas difficile à trouver. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  234. Je le trouverai bien. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  235. Mais savez-vous bien, monsieur, que vous jouiez là à nous faire tordre le cou ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  236. Et toute la somme est-elle en or ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  237. Toute en louis vieux. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  238. Bon, elle en sera plus aisée à emporter. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  239. Oh çà, monsieur, puisque nous savons la cause du mal, il ne sera pas difficile d'y remédier ; je crois que nous en viendrons à bout : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  240. J'ai peine à me persuader tout ce que tu me dis : cependant on fait tant de contes sur ces matières-là, que je ne sais qu'en croire. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  241. Je m'en vais au-devant de mes hardes, et je reviens sur mes pas, pour voir ce qu'il faut faire en cette occasion. (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  242. On ne saurait avoir un peu de bien que les hommes ou le diable ne cherchent à vous l'attraper. (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  243. Cela n'est que trop vrai : mais, pour nous en consoler, j'ai trouvé un trésor. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
  244. Il y a dans la cave, en entrant, à gauche, sous une grande pierre noire, un sac de cuir qui contient vingt mille francs. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
  245. Oui, mon enfant ; je te dirai cela plus amplement : cours au sac, au sac ; c'est le plus pressé. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
  246. J'entends monsieur Géronte qui revient sur ses pas : sauve-toi au plus vite. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
  247. J'ai trouvé mes gens à deux pas d'ici, et je les ai fait demeurer, parce qu'il m'est venu en pensée de mettre mes ballots dans cette maison que mon fils a achetée. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  248. Je ne la remets pas bien ; viens-t'en m'y conduire toi-même. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  249. Je le veux bien, monsieur ; mais... (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  250. Le diable ne s'est pas emparé de celle-1à ; mais madame Bertrand y loge encore. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  251. Elle y loge encore ! (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  252. Oui, vraiment. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  253. On est convenu qu'elle achèverait le terme ; et comme elle a l'esprit faible, elle se met dans une fureur épouvantable quand on lui parle de la vente de cette maison ; c'est là sa plus grande folie, voyez-vous. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  254. Je lui en parlerai d'une manière qui ne lui fera pas de peine. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  255. Allons, viens. (Acte 1, scène 17, G?RONTE)
  256. Tu me fais perdre patience. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  257. Je veux absolument lui parler, te dis-je. (Acte 1, scène 17, G?RONTE)
  258. Hé bien, monsieur, parlez-lui donc ; la voilà qui vient heureusement ; mais souvenez-vous toujours qu'elle est folle. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  259. Comment ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  260. Voilà monsieur Géronte de retour, je pense ! (Acte 1, scène 18, MADAME BERTRAND)
  261. Oui, madame, c'est lui-même ; mais il est revenu fou : son vaisseau a péri ; il a bu de l'eau salée un peu plus que de raison ; cela 1ui a tourné la cervelle. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  262. S'il s'avise de vous accoster par hasard, ne prenez pas garde à ce qu'il vous dira ; nous allons le faire enfermer. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  263. Hé bien, qu'est-ce, monsieur Géronte ? (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  264. Vous voilà donc de retour en ce pays-ci ? (Acte 1, scène 18, MADAME BERTRAND)
  265. Prêt à vous rendre mes petits services. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  266. J'ai bien du chagrin, en vérité, du malheur qui vous est arrivé. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  267. Il faut prendre patience. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  268. On dit qu'il revient des esprits dans ma maison ; il faudra bien qu'ils en délogent, quand ils seront las d'y demeurer. (Acte 1, scène 18, G?RONTE)
  269. Je voudrais bien, madame Bertrand, mettre dans votre maison quelques ballots que j'ai rapportés de mon voyage. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  270. Il ne se souvient pas que son vaisseau a péri : quelle pitié ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  271. Madame, je ne prétends point abuser de l'état où vous êtes. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  272. Mais vraiment, Merlin, cette femme-là n'est pas si folle que tu disais. (Acte 1, scène 18, G?RONTE)
  273. Elle a quelquefois de bons moments, mais cela ne dure pas. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  274. Dites-moi, madame Bertrand, êtes-vous toujours aussi sage, aussi raisonnable qu'à présent ? (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  275. Je ne pense pas, monsieur Géronte, qu'on m'ait jamais vue autrement. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  276. Mais si cela est, votre famille n'a point été en droit de vous faire interdire. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  277. Mais si vous n'êtes pas ordinairement plus fou qu'à présent, je trouve qu'on a grand tort de vous faire enfermer. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  278. Me faire enfermer ! (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  279. Hé bien ! (Acte 1, scène 18, G?RONTE)
  280. Êtes-vous fâchée qu'on ait vendu votre maison ? (Acte 1, scène 18, G?RONTE)
  281. On a vendu ma maison ? (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  282. Mon pauvre monsieur Géronte, ma maison n'est point vendue, et elle n'est point à vendre. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  283. La, la, ne vous chagrinez point ; je prétends que vous y ayez toujours votre appartement comme si elle était à vous, et que vous fussiez dans votre bon sens. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  284. Qu'est-ce à dire, comme si j'étais dans mon bon sens ? (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  285. Puisque vous le prenez sur ce ton-là, vous sortirez de la maison ; elle m'appartient, et j'y ferai mettre mes ballots malgré vous. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  286. À quoi pensez-vous de vous mettre en colère contre une femme qui a perdu l'esprit ? (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  287. Vous n'avez qu'à y venir ; je vais vous y attendre. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  288. Hâtez-vous de le faire enfermer : il devient furieux, je vous en avertis. (Acte 1, scène 18, MADAME BERTRAND)
  289. Je ne sais pas comment je me tirerai de cette affaire. (Acte 1, scène 19, MERLIN)
  290. Vient-on, s'il vous plaît, faire tapage à la porte d'un honnête homme, et scandaliser toute une populace ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  291. Les diables de chez vous sont un peu ivrognes ; ils se plaisent dans la cave. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  292. Il nous est revenu que le maître de ce logis vient d'arriver d'un long voyage : serait-ce vous par aventure ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  293. Je vous en félicite. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  294. C'est quelque chose de beau que les voyages, et cela façonne bien un jeune homme : il faut savoir comme monsieur votre fils s'est façonné pendant le vôtre ; les jolies manières... (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
  295. Ce garçon-là est bien généreux : il ne vous ressemble pas ; vous êtes un vilain, vous. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
  296. Ces lutins-là sont d'une insolence... (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  297. Nous avons eu bien du chagrin, bien du souci, bien de la tribulation de votre retour ; je veux dire, de votre absence : votre fils en a pensé mourir de douleur, en vérité ; il a pris toutes les choses de la vie en dégoût ; il s'est défait de toutes les vanités qui pouvaient l'attacher à la terre ; richesses, meubles, ajustements. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  298. Il serait mort, je crois, de chagrin pendant votre absence, sans cet honnête monsieur-là. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  299. Que venez-vous de faire chez moi, monsieur, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  300. Ne le voyez-vous pas bien sans que je vous le dise ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  301. J'y viens de boire du bon vin de Champagne, et en fort bonne compagnie. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
  302. Votre fils est encore à table, qui se console de votre absence du mieux qu'il est possible. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
  303. Halte là, s'il vous plaît, je ne souffrirai pas que vous entriez là-dedans. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  304. Je n'entrerai pas dans ma maison ? (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  305. Il serait beau, vraiment, qu'au retour d'un voyage, après une si longue absence, un fils qui sait vivre, et que j'ai façonné, eût l'impolitesse de recevoir son très cher et honoré père dans une maison où il n'y a que les quatre murailles ! (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  306. Et ma belle tapisserie, qui me coûtait près de deux mille écus, qu'est-elle devenue ? (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  307. Nous en avons eu dix-huit cents livres ; c'est bien vendre. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  308. Comment, bien vendre ! (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  309. Une tenture comme celle-là ! (Acte 1, scène 20, G?RONTE)
  310. Le sujet était lugubre ; elle représentait la brûlure de Troie : il y avait là-dedans un grand vilain cheval de bois qui n'avait ni bouche ni éperons : nous en avons fait un ami. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  311. Ah, pendard ! (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  312. N'aviez-vous pas aussi deux grands tableaux qui représentaient quelque chose ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  313. Oui vraiment ; ce sont deux originaux d'un fameux maître, qui représentent l'enlèvement des Sabines. (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  314. Justement : nous nous en sommes aussi défaits, mais par délicatesse de conscience. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  315. Par délicatesse de conscience ! (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  316. Vraiment, je viens d'apprendre de jolies choses, monsieur Géronte ; et votre fils, à ce qu'on dit, engage ma nièce dans de belles affaires. (Acte 1, scène 21, MADAME-BERTRAND)
  317. Ne nous plaignons point les uns des autres, et ne parlons point mal des absents ; il ne faut point condamner les personnes sans les entendre. (Acte 1, scène 21, LE-MARQUIS)
  318. Un peu d'attention, monsieur Géronte. (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
  319. vous prenez les choses du bon côté... (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
  320. quand vous serez content, tout le monde le sera... (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
  321. Tout ceci est un effet du zèle et de l'imagination de Merlin, pour vous empêcher d'entrer chez vous, où j'étais avec Lucile dans le dessein de l'épouser. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
  322. Je vous demande pardon de ma conduite passée : consentez à ce mariage, je vous prie : on vous rendra votre argent ; et je promets que vous serez content de moi dans la suite. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
  323. Ah, pendard ! (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)
  324. Lucile est ma nièce ; et si votre fils l'épouse, je lui donnerai un mariage dont vous serez content. (Acte 1, scène 23, MADAME-BERTRAND)
  325. Qu'on me rende mon argent, je me sens assez d'humeur à consentir à ce que vous voulez ; c'est le moyen de vous empêcher de faire pis. (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)
  326. C'est bien dit ; cela me plaît. (Acte 1, scène 23, LE-MARQUIS)
  327. Cela est heureux que vous soyez venu tout à propos pour être de la noce. (Acte 1, scène 23, LE MARQUIS)

ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME (1694)

  1. Pour m'expliquer en termes plus clairs, j'ai avancé la dépense du voyage depuis notre garnison jusqu'à ce village-ci ; nous y avons déjà séjourné quinze jours sur mes crochets : je vous prie que nous comptions ensemble, et je vous demande mon congé. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  2. Tu prends bien ton temps. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  3. Puis-je le mieux prendre, monsieur ? (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  4. Vous venez d'être réformé ; il faut bien que vous réformiez votre train. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  5. Ma foi, monsieur, je me suis brouillé avec elle dès le jour que je suis entré chez vous : mais, Dieu merci, je suis au-dessus de la fortune ; je veux me retirer du monde. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  6. Oui, monsieur, j'ai fait depuis peu des réflexions morales sur la vanité des plaisirs mondains : je suis las d'être bien battu et mal nourri ; je suis las de passer la nuit à la porte d'un lansquenet, et le jour à vous détourner des grisettes ; je suis las enfin d'avoir de la condescendance pour vos débauches, et de m'enivrer au buffet, pendant que vous vous enivrez à table. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  7. Je vais me rendre mari d'une certaine Lisette, qui est le bel esprit de ce village-ci. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  8. Les plus jolies filles de Poitou la consultent comme un oracle, parce qu'elle a fait ses études sous une coquette de Paris ; c'est là où elle est devenue amoureuse de moi. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  9. Je n'ai point encore trouvé en mon chemin cette Lisette si aimable ; j'en sais mauvais gré à mon étoile. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  10. Mais cette digression vous fait oublier qu'il s'agit entre vous et moi d'une petite règle d'arithmétique. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  11. Il y a huit ans que je vous sers ; à vingt-cinq écus de gages, somme totale, six cents livres ; sur quoi j'ai reçu quelques coups de canne, coups de pied au cul ; partant reste toujours six cents livres, que je vous prie de me donner présentement. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  12. J'ai eu la patience de garder huit ans un coquin comme toi ! (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  13. Huit ans, un valet à pendre ! (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  14. Vous avez été jusqu'à présent très content de mon service, et vous cessez de l'être dans le moment que je vous demande mes gages. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  15. Va, mon cher, je veux bien encore ne te point chasser de chez moi. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  16. Vraiment, monsieur, ce n'est pas vous qui me chassez ; c'est moi qui vous demande mon congé, et les six cents livres. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  17. La vie champêtre ne convient point à un intrigant, à un fourbe. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  18. Je sais bien que j'ai tous les talents pour faire fortune à la ville ; mais je borne mon ambition à Lisette, à qui j'apporte en mariage les six cents livres dont je vais vous donner quittance. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  19. Tu n'as que tes affaires en tête : parlons un peu des miennes. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  20. J'ai si bien fait, par mon manège, que le père est à présent aussi amoureux de moi que sa fille. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  21. Vous n'avez que vos affaires en tête ; reparlons un peu des miennes. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  22. Agathe m'attend chez elle à quatre heures ; et, avant que d'y aller, j'ai à régler certaines choses avec le notaire. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  23. Le notaire m'attend, Pasquin. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  24. Puisque tu veux absolument que nous finissions d'affaire ensemble... (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  25. Tu m'attendris, Pasquin ; je ne veux pas te voir davantage. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  26. Je n'ai plus rien à ménager avec cet homme-là ; Lisette me sollicite de rompre son mariage avec Agathe. (Acte 1, scène 2, PASQUIN)
  27. Allons voir ce qui en sera. (Acte 1, scène 2, PASQUIN)
  28. Peu s'en faut. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  29. Il ne s'agissait entre lui et moi que de deux articles. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  30. Je lui demandais mon congé et mes gages : il a partagé le différend par moitié ; il m'a donné mon congé, et me retient mes gages. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  31. Te feras-tu encore tirer l'oreille pour m'aider à rompre son mariage, en faveur de mon pauvre frère Colin à qui Agathe était promise ? (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  32. Il ne tient qu'à toi de rendre la joie à tout le village. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  33. Ce n'était que fêtes, danses et chansons préparées pour les noces de Colin et d'Agathe ; et depuis que ton officier réformé est venu nous enlever le coeur de cette jolie fermière, toute notre galanterie poitevine est en deuil. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  34. Et moi, je ne considère plus rien. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  35. Je suis bien sotte de prier quand j'ai droit de commander. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  36. Colin est mon frère, et s'il n'épouse point Agathe par ton moyen, Lisette n'épousera point Pasquin. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  37. Tu me mets bien librement le marché à la main ! (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  38. Doucement. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  39. Il va, il vient, il piétine, il peste contre son infidèle, et a toujours quelque raisonnement d'enfant qu'il veut qu'on écoute ; enfin, c'est un petit obstiné que j'ai été contrainte d'enfermer, afin qu'il me laissât en paix travailler à ses affaires. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  40. Je crois que le voilà encore. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  41. J'ai sauté par la fenêtre de la salle où tu m'avais enfermé, pour te venir dire que tout le tripotage de veuve que tu veux faire pour attraper ce Dorante, par-ci, par-là, tant y a que tout ça ne vaut rien. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  42. Assurément. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  43. J'ai trouvé un secret pour qu'Agathe me r'aime, et j'ai commencé à imaginer... (Acte 1, scène 4, COLIN)
  44. Et va-t'en achever d'imaginer ; laisse-moi exécuter. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  45. Tenez, si Pasquin me dit que je n'ai pas pus d'esprit que toi, pour ce qui est d'Agathe, je veux bien m'en retourner dans la salle. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  46. C'est que j'ai eune ruse pour faire venir Agathe dans un endroit où je vous cacherai tous deux. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  47. Fort bien ! (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
  48. Et pis, quand a sera là, je li dirai : Çà, gnia personne qui nous écoute ; n'est-y pas vrai, Agathe, qu'ou m'avez dit cent fois qu'ou m'aimiez ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
  49. N'est-y pas vrai, li redirai-je, que quand vous me dites ça, je dis, moi, que les paroles étaient belles et bonnes, mais que ça ne tient guère, à moins qui n'y ait quelque chose, là, qui signifie qu'ou n'oseriez pus prendre d'autre mari .que moi ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
  50. N'est-y pas vrai, ce li ferai-je encore, qu'un certain jour que l'épingle de votre collet était défaite, je le soulevis tout doucement, tout doucement ?... (Acte 1, scène 4, COLIN)
  51. Et nous serons cachés pour entendre tout cela ? (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
  52. Assurément. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  53. Je ne barguignerai point à li faire tout dire ; car si a m'épouse, l'épousaille couvre tout ; et sinon, je sis bien aise qu'on sache que la récolte appartient à sti qui a défriché la terre. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  54. Donc, je dirai à Agathe : N'est-y pas vrai, quand j'eu entr'ouvart votre collet, que je pris dessous un papier dans votre sein, et que sur ce papier vous m'aviez fagoté en lacs d'amour votre nom parmi le mien, pour montrer ce que je devions être l'un à l'autre ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
  55. A dira peut-être que c'est qu'a dormait ; mais je sais bien qu'a ne faisait que semblant ; car a se réveillit tout juste quand... (Acte 1, scène 4, COLIN)
  56. Hé bien, enfin ! (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  57. Vous sortirez tous deux de votre cache, et vous li direz : Agathe, faut qu'ou vous mariez rien qu'avec Colin tout seul, ou nous allons dire partout qu'ous aimez deux hommes à la fois. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  58. Les femmes en font gloire. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  59. J'y vas, mais j'enrage. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  60. Çà, il s'agit de guérir Agathe de l'entêtement où elle est pour ton maître. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  61. Quand l'amour s'est une fois emparé d'un coeur aussi simple que celui d'Agathe, il est difficile de l'en chasser ; il se trouve mieux logé là que chez une coquette. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
  62. J'avoue que les grands airs de ton maître ont saisi la superficie de son imagination ; mais le fond du coeur est encore pour Colin. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  63. Il faut empêcher Agathe de sortir de chez elle, afin qu'elle ne vienne point rompre les mesures que nous avons prises. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  64. Comment nous y prendrons-nous ? (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  65. Attendez. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
  66. Nous lui avons fait venir des habits de Paris. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
  67. La voici qui vient ; songe à la renvoyer chez elle. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  68. Il y a deux heures que je l'attends chez moi. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  69. Vous vous trompez, madame, mon maître est trop amoureux pour vous faire attendre. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  70. Je vous avais bien dit que ses empressements ne dureraient pas. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  71. Dorante doit être aujourd'hui amoureux de moi à la folie ; car il m'a promis que son amour augmenterait tous les jours, et il m'aimait déjà bien hier. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  72. En une nuit, il arrive de grandes révolutions dans le coeur d'un Français. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  73. Oui, sur la fin de ce siècle-ci, les amants et les saisons se sont bien déréglés ; le chaud et le froid n'y dominent plus que par caprice. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  74. En Poitou nous avons une règle certaine ; c'est que le jour des noces, le thermomètre de la tendresse est à son plus haut degré ; mais le lendemain il descend bien bas. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  75. Quand Colin me disait tout simplement qu'il me serait fidèle, je le croyais ; et je ne croirais pas Dorante qui est gentilhomme, et qui fait des serments horribles qu'il m'aimera toujours ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  76. En amour, les serments d'un courtisan ne prouvent rien ; c'est le langage du pays. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  77. Si vous vouliez m'écouter une fois en votre vie, je vous ferais voir que Dorante... (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  78. Parlons des beaux habits que mon maître vous a fait venir. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  79. J'en suis charmée. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  80. Je voudrais bien l'être aussi ; niais je ne sais pas lequel je dois mettre des deux habits. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  81. Dis-moi, Pasquin, lequel aimera-t-il mieux de l'innocente ou de la gourgandine ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  82. Il faut que les femmes de Paris aient bien de l'esprit pour inventer de si jolis noms. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  83. Elles n'inventent point de modes qui ne servent à cacher quelque défaut. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  84. Falbala par haut pour celles qui n'ont point de hanches ; celles qui en ont trop le portent plus bas. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  85. Je ne pourrai jamais venir à bout d'arranger tant de machines sur ma tête ; il n'y a pas de place pour en mettre seulement la moitié. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  86. Quand il s'agit de placer des fadaises, la tête d'une femme a plus d'étendue qu'on ne pensé. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  87. Mais vous me faites souvenir que j'ai ici le livre instructif que la coiffeuse a envoyé de Paris. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  88. Il s'intitule : « Les Éléments de la toilette, ou le Système harmonique de la coiffure d'une femme. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  89. Le firmament, le dixième ciel, v.5 (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  90. Pour le premier, il ne contient qu'une table alphabétique des principales pièces qui entrent dans la composition d'une commode, comme : (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  91. Cherche-moi l'endroit où le livre dit que se met la souris. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  92. C'est ici quelque part ; attendez... (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  93. « Suppléments ingénieux qui donnent du relief aux joues plates. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  94. « Cornettes fuyantes pour faire sortir les yeux en avant. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  95. Nota qu'on appelle petit bois un paquet de cheveux hérissés, qui garnissent le pied de la futaie bouclée. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  96. Allez vite arranger votre toilette ; je vous, enverrai mon maître sitôt qu'il aura fini une petite affaire. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  97. Qu'il ne me fasse pas attendre au moins. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  98. On vient à bout de tout en ce monde, quand on sait prendre chacun par son faible ; les hommes par les femmes, les femmes par les habits. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  99. Çà, il faut à présent nous assurer de ton maître. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  100. Il est chez le notaire ; il faut qu'il repasse par ici ; pour aller chez Agathe, et je l'arrêterai pendant que tu iras te déguiser en veuve. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  101. Récapitulons un peu ce déguisement. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  102. Tu es bien sûr que ton maître n'a jamais vu la veuve ? (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  103. Assurément. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  104. Pour se venger, elle a pris plaisir à se trouver masquée à deux ou trois assemblées où il était, de faire la passionnée ; en un mot, de se moquer de lui, trouvant toujours des excuses pour ne se point démasquer. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  105. Tant pis ; car on ne saurait bien contrefaire la veuve, qu'on n'ait contrefait la femme mariée. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  106. Voilà mon maître qui vient. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  107. Amuse-le pendant que je me déguiserai ; et après, tu iras avertir Agathe qu'elle vienne nous surprendre ; tu la feras écouter notre conversation. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  108. Comment lui tournerai-je la chose ? (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
  109. Un homme qui se croit aimé de toutes les femmes en est aisément la dupe. (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
  110. Ne m'arrête point ; Agathe m'attend. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  111. Ce n'est plus de mes affaires que je veux vous parler à présent. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  112. Je meurs d'impatience de la voir. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  113. Ne t'ai-je pas dit que la sotte est devenue invisible à Poitiers ? (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  114. Apparemment elle voulait éprouver votre constance. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  115. L'heureux moment est venu ; elle est ici, monsieur. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  116. Il n'y a rien de plus vrai ; et depuis que vous m'avez quitté... (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  117. Mais n'en parlons plus, vous avez le coeur pris pour Agathe. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  118. Il faudra se faire violence. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  119. Avec vingt mille écus on achète un régiment, on est utile au prince ; tu sais qu'un gentilhomme doit se sacrifier pour les besoins de l'État. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  120. Entre nous, l'État n'a pas besoin de vous, puisqu'il vous a remercié de vos services à la tête de votre compagnie. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  121. La veuve est venue ce matin de Poitiers pour vos beaux yeux ; et depuis que vous m'avez quitté, on vient de m'offrir de sa part cent pistoles, si je puis livrer votre coeur. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  122. Je serai ravi de te faire gagner cent pistoles. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  123. En rabattant sur les gages. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  124. On est convenu avec moi que le hasard amènerait la veuve sous cet orme dans un quart_d_heure. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  125. Fort bien ! (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  126. Il faut que vous vous promeniez, sans faire semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  127. Elle va venir, sans faire semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  128. Pour lors vous l'aborderez, vous, en faisant semblant de rien ; elle vous écoutera en faisant semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  129. Voilà comment se font les mariages des Tuileries. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  130. Çà, préparez-vous à aborder la veuve en petit maître. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  131. Cachez-vous un oeil avec votre chapeau, la main dans la ceinture, le coude en avant, le corps d'un côté et la tête de l'autre ; surtout, gardez-vous bien de vous promener sur une ligne droite, cela est trop bourgeois. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  132. Ce maraud-là en sait presque autant que moi. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  133. Voici l'occasion monsieur, de faire profiter les talents que vous avez pour le grand art de la minauderie. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  134. Si vous pouviez vous souvenir de cette mine que vous fîtes l'autre jour à la comédie, là, une certaine mine qui perdit de réputation cette femme à qui vous n'aviez jamais parlé. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  135. Voici la veuve, monsieur ; faites semblant de rien ; hem, semblant de rien. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  136. N'y a-t-il rien de nouveau en Catalogne ? (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  137. La promenade est bien déserte aujourd'hui. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  138. De quel côté vient le vent ? (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  139. Apparemment, c'est pour le défunt. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  140. Elle est sensible aux bons airs. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  141. Vous avez raison ; votre geste est tout plein de mérite, et vous avez encore plus d'esprit de loin que de près. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  142. Si elle vous entendait chanter, elle serait charmée, monsieur. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  143. Il me fait soupirer, gémir, sentir l'absence v.11 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  144. Il n'est point de belle en France v.14 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  145. Et, pour toute récompense, v.16 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  146. Il m'enchaîne comme un forçat. v.17 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  147. Je vais chanter, pour me désennuyer, un petit air que je fis à Poitiers pour cette charmante veuve. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  148. Quelle aventure, Pasquin ! (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  149. J'y venais chercher la solitude, et pleurer en liberté. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  150. La vue d'un joli homme fait rentrer la douleur en dedans. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  151. Je vous l'ai dit cent fois, charmante spirituelle, je suis le cavalier de France le plus spécifique pour la consolation des dames. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  152. Un cavalier fait comme vous ne saurait en consoler une, qu'il n'en afflige mille autres. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  153. Périssent de jalousie toutes les femmes du monde, pourvu que vous vouliez bien... (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  154. N'achevez pas, monsieur ; je crains que vous ne me fassiez des propositions que je ne pourrais entendre sans horreur ; car, enfin, il n'y a encore que huit ans que mon mari est mort. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  155. Vous allez rouvrir une plaie qui n'est pas encore bien refermée. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  156. Je sens que mon feu se rallume. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  157. Elle parle du défunt ; vos affaires vont bien. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  158. Il m'a fait promettre, en mourant ... (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  159. Profitez du moment, monsieur : elle est femme ; et puisque sa parole baisse, il faut qu'elle soit bien faible. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  160. Je tiendrai... ma promesse... ou bien... (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  161. Va-t'en. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  162. Nous sommes seuls, madame ; accordez-moi donc enfin ce que vous m'avez tant de fois refusé à Poitiers ; levez ce voile cruel... (Acte 1, scène 11, DORANTE)
  163. C'est donc pour cela qu'il me faisait tant attendre ? (Acte 1, scène 12, AGATHE)
  164. Je l'avoue finalement ; à votre refus, j'avais baissé les yeux sur une petite fermière ; parce que je trouvais une somme d'argent pour nettoyer de gros biens que j'ai en direction : mais d'honneur je ne l'ai jamais regardée que comme un enfant, une poupée avec quoi on se joue ; et depuis les charmantes conversations de Poitiers, vous n'avez point désemparé mon coeur. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  165. Apparemment que je vous crois, puisque je veux bien vous donner ma main. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  166. Mais, avant toutes choses, il faut que vous disiez à Agathe, en ma présence, que vous ne l'avez jamais aimée. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  167. En votre présence ? (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  168. Nullement. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  169. Mais enfin, dire en face à une femme que je ne l'aime point, c'est l'assassiner : le coup est mortel, madame ; et je dois avoir des ménagements pour une pauvre petite créature, qui... (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  170. Qui, puisqu'il faut vous faire la confidence, a eu pour moi certaines faiblesses. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  171. Comme il ment ! (Acte 1, scène 13, AGATHE)
  172. Je me laisse enlever, je vous épouse : faut-il d'autres marques de mon amour ? (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  173. Au moins, je vous ordonne d'aller tout présentement rompre l'engagement que vous avez avec le père. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  174. Allez promptement, et revenez dans une demi-heure m'attendre sous cet orme. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  175. Mais me ferai-je connaître après ce qu'on lui vient de dire de moi ? (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  176. Ne craignez rien, ma bouchonne. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  177. Vous m'aviez enlevé mon amant ; mais je suis déjà vengée, puisqu'il vous a sacrifiée à moi. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  178. Vous êtes bien fâchée, n'est-ce pas, de perdre un si joli petit homme ? (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  179. Je ne suis fâchée que de ce qu'il vous vient de dire des faussetés de moi. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  180. Ne le croyez pas au moins, madame ; c'est un méchant qui en dira tout autant de vous. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  181. Est-ce que vous me soupçonnez de ce que ce menteur-là vous a dit ? (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  182. Dorante ne saurait mentir ; il est gentilhomme. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  183. Je crois, comme je l'ai toujours cru, que vous êtes fort sage, et que Dorante est le plus grand scélérat ; mais je suis contente, vous avez tout entendu. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  184. Hé bien, que vous dit le coeur présentement ? (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  185. Colin m'aime-t-il encore ? (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  186. Il fera tout comme s'il vous aimait ; et sitôt que vous lui aurez dit un mot, il ne songera plus qu'à se venger de Dorante. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  187. Qu'il ne s'y joue pas : Dorante m'a dit qu'il était bien méchant. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  188. Il s'agit d'une vengeance qui servira de divertissement à toute notre petite société galante. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  189. Il sera berné... qu'il ne manquera rien. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  190. Pasquin me vient de dire que tout allait bien, pourvu que je patientisse ; mais, quand je devrais tout gâter, je ne saurais plus me tenir en place ; je sis trop amoureux. (Acte 1, scène 15, COLIN)
  191. Ce n'est pas de vous au moins que je dis que je sis amoureux : il ferait beau var que j'aimisse encore eune... ingrate ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
  192. Gnia pu moyen de retenir mon naturel. (Acte 1, scène 15, COLIN)
  193. Vous allez user toute votre tendresse ; gardez-en un peu pour quand vous serez mariés, vous en aurez besoin. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  194. Çà, Dorante va venir m'attendre sous l'orme ; nous avons résolu de nous moquer de lui. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  195. Pierrot, Nanette et Licas nous doivent aider ; ils sont là tout prêts. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  196. Notre Licas et notre Pierrot feraient un opéra en deux heures. (Acte 1, scène 16, NANETTE)
  197. Retirez-vous ; c'est à moi à commencer. (Acte 1, scène 16, NANETTE)
  198. Voici à peu près l'heure rendez-vous. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
  199. J'ai bien fait de ne voir ni le père ni la fille : si la veuve m'allait manquer, je serais bien aise de retrouver Agathe. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
  200. J'entends des villageois qui chantent ; laissons-les passer. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
  201. Il est vrai que je t'ai aimé ; mais c'est justement pour cela que je ne t'aime plus. (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  202. Que je triompherais bientôt de mon rival, v.20 (Acte 1, scène 18, NICAISE)
  203. Tu m'en voulus donner une preuve certaine. v.21 (Acte 1, scène 18, NICAISE)
  204. Ah ! Que n'en ai-je profité ! v.22 (Acte 1, scène 18, NICAISE)
  205. Mais j'ai passé l'écueil du dangereux moment. v.28 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  206. J'ai pensé faire la sottise : v.29 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  207. Ces poitevines sont galantes naturellement. (Acte 1, scène 19, DORANTE)
  208. La veuve est partie, monsieur ; une de ses tantes est venue l'enlever à ma barbe. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
  209. Monsieur, j'ai sellé votre anglais ; le voilà attaché, à la porte : si vous voulez suivre le carrosse, il n'est pas encore bien loin. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
  210. La voici justement. (Acte 1, scène 20, DORANTE)
  211. Je vais bien me moquer de lui. (Acte 1, scène 21, ATGATHE)
  212. Pardon, ma charmante ; j'ai eu une affaire indispensable. (Acte 1, scène 21, DORANTE)
  213. Je sais bien comme vous m'aimez, (Acte 1, scène 21, AGATHE)
  214. Mais vous, qui parlez, est-ce aimer, que de pouvoir attendre jusqu'à demain ? (Acte 1, scène 21, DORANTE)
  215. Hé bien, marions-nous tout à l'heure. (Acte 1, scène 21, AGATHE)
  216. Dites donc au papa qu'il abrége les formalités : ces articles, ce contrat, me désespèrent. (Acte 1, scène 21, DORANTE)
  217. La sotte coutume pour les amants qui sont bien pressés ! (Acte 1, scène 21, PASQUIN)
  218. Nous irons dans un moment trouver mon père ; et, s'il nous fait trop attendre, nous nous marierons tous deux tout seuls. (Acte 1, scène 21, AGATHE)
  219. Attendez-moi sous l'orme, v.34 (Acte 1, scène 22, LE-CHOEUR)
  220. Vous m'attendrez longtemps. v.35 (Acte 1, scène 22, LE CHOEUR)
  221. Qu'entends-je ? (Acte 1, scène 23, DORANTE)
  222. Ma foi, je m'en vais danser. (Acte 1, scène 23, PASQUIN)
  223. Ils s'avancent, cédons-leur la place. (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  224. Vous pouvez différer un moment ? (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  225. Attendez-moi sous l'orme, v.36 (Acte 1, scène 24, LE-CHOEUR)
  226. Vous m'attendrez longtemps. v.37 (Acte 1, scène 24, LE CHOEUR)
  227. Pasquin, voici bien des circonstances. (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  228. Fort bien, mes enfants. v.38 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  229. Menuet de Poitou. v.40 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  230. Prenez la fillette v.42 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  231. Au premier mouvement ; v.43 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  232. Au changement : v.45 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  233. Souvent la plus tendre v.46 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  234. Qu'on fait trop attendre, v.47 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  235. Au rendez-vous. v.49 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  236. En tout cas, il faut faire bonne contenance. (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  237. L'argent ni l'équipage v.52 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  238. Attendez-la sous l'orme, v.56 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  239. Peut-être elle viendra. v.57 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  240. Mais le contrat en forme, v.63 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  241. Attendez-moi sous l'orme, v.65 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  242. Monsieur l'aventurier. v.66 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  243. Tenait la souris sous la patte ; v.68 (Acte 1, scène 24, COLIN)
  244. Il la lâchit pour prendre un rat. v.70 (Acte 1, scène 24, COLIN)
  245. Tout bellement, ou nous ferons sonner le tocsin sur vous. (Acte 1, scène 24, PIERROT)
  246. Je viendrai saccager ce village-ci avec un régiment que j'achèterai exprès. (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  247. Ce sera des deniers de la veuve ? (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  248. Attendez-moi sous l'orme, v.71 (Acte 1, scène 24, LE VILLAGE)
  249. Vous m'attendrez longtemps. v.72 (Acte 1, scène 24, LE VILLAGE)

LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX (1705)

  1. Par quelle agréable aventure v.3 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  2. Que je ne me tiens guère en place. v.6 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  3. J'ai tant de différents emplois, v.7 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  4. De me rencontrer quelquefois. v.10 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  5. Entretient quelquefois commerce avec les cieux. v.14 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  6. Ce travail me lasse et m'ennuie, v.15 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  7. Qui ne songent là-haut qu'à respirer l'encens, v.17 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  8. Rendre la nature féconde, v.22 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  9. Mener quatre chevaux quinteux, v.23 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  10. Ai-je encor trouvé, moi, quelque jour de repos ? v.29 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  11. Quoi qu'il en soit, parlons sans feindre ; v.30 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  12. À vous servir je serai diligent. v.31 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  13. Le seigneur Jupiter, dont vous êtes l'agent, v.32 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  14. Voudrait-il en dire deux mots ? v.36 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  15. En ont tous épousé quelqu'une. v.41 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  16. Lui fait souvent courir les champs. v.45 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  17. Mais le bon Jupiter ne s'en étonne pas, v.48 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  18. Quand la dame, en revanche, a formé le dessein v.52 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  19. Et qu'un galant se rend patron v.54 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  20. Il faut qu'il en passe par là, v.57 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  21. On me donne cent qualités. v.64 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  22. Je suis l'agent du dieu qui lance le tonnerre ; v.65 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  23. Je conduis les morts aux enfers. v.66 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  24. Mon pouvoir s'étend sur les mers. v.67 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  25. Je suis le dieu de l'éloquence. v.68 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  26. Fort petite est la différence. v.71 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  27. Entre tant de métiers mis dans votre apanage, v.77 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  28. Qui pourraient fatiguer quatre dieux comme vous, v.78 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  29. Et tant d'honnêtes gens exercent mon emploi, v.83 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  30. Mais venons donc au fait dont il est question. v.87 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  31. Me donnent, à Paris, quelque occupation ; v.89 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  32. De venir ici de si loin, v.96 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  33. Qui du théâtre encor puissent prendre le soin ? v.98 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  34. Enleva le fameux Molière, v.100 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  35. Le censeur de son temps, l'amour des beaux esprits, v.101 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  36. La comédie en pleurs, et la scène déserte, v.102 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  37. Avec ce rare auteur sont presque ensevelis. v.106 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  38. Pour paraître encore une fois. v.110 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  39. Plaute fut, en son temps, les délices de Rome, v.111 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  40. Il tient ici son rang parmi les beaux esprits : v.113 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  41. Qu'on le fasse venir. v.115 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  42. Entre des dieux tels que nous sommes v.117 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  43. Laissons les compliments aux hommes ; v.119 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  44. Ils en sont les dupes toujours. v.120 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  45. Pendant que tu vivais, je t'ai comblé de gloire, v.121 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  46. Et t'ai prodigué mes bienfaits. v.124 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  47. Il est vrai. Mais enfin, quelque amour qui vous guide, v.125 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  48. N'ont rien de réel, de solide, v.127 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  49. Et n'ôtent pas toujours les soins du lendemain. v.128 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  50. Et souvent de mourir de faim ; v.131 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  51. Et si j'avais à reprendre naissance, v.132 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  52. Que mignon de votre excellence. v.135 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  53. Les faveurs qu'Apollon dispense aux beaux esprits ; v.137 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  54. J'en pourrais mieux parler qu'un autre. v.139 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  55. Si Plaute a fait en ce lieu sa retraite, v.147 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  56. Où donc renverrons-nous nos rimeurs d'aujourd'hui ? v.148 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  57. Un poète aisément s'endort dans la mollesse. v.149 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  58. L'abondance souvent, unie à la paresse, v.150 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  59. Enfin, quel qu'ait été votre sort domestique, v.153 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  60. Je viens, charmé de vos talents, v.154 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  61. Trouverait à Paris encor ses partisans. v.158 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  62. J'en doute fort. Les caractères, v.159 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  63. En près de deux mille ans ont bien changé, je crois. v.161 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  64. Elles ne trouvaient point l'hymen un esclavage ; v.166 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  65. Elles changeaient d'époux au gré de leurs désirs. v.168 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  66. Aux coquettes du temps permet encor parfois v.173 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  67. D'avoir autant d'amants qu'elles en peuvent faire. v.174 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  68. C'est un tempérament ; et, comme je le vois, v.175 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  69. L'usage adoucit bien la rigueur de la loi. v.176 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  70. Mais voit-on encor, par la ville, v.177 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  71. Qui chez les grands de Rome allaient chercher à vivre, v.180 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  72. Et qui ne cessaient de les suivre, v.181 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  73. Que dans mes vers j'ai souvent exprimés ? v.184 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  74. Qui valent bien des parasites. v.190 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  75. Le goût étant changé, comme enfin je le vois, v.191 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  76. Je pourrais peut-être encor plaire. v.199 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  77. Je me souviens qu'un de ces jours, v.200 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  78. Pour mettre la pièce en état. v.212 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  79. Et moi, je vais commencer ma carrière, v.213 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  80. Et rendre au monde son éclat. v.214 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  81. Messieurs, ne soyez point en peine v.215 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  82. Comment je puis si promptement v.216 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  83. Ajuster cette pièce, et faire en un moment v.217 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  84. Ayez pour mon travail quelque peu d'indulgence, v.223 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  85. Et vous n'aurez pas lieu de vous en repentir. v.224 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  86. Avocats babillards, insolents créanciers ; v.227 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  87. Tous ces gens sont sous mon empire. v.228 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  88. Ni mon art, ni mon éloquence : v.234 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  89. C'est payer trop, en vérité, v.235 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  90. Quelques moments de complaisance ; v.236 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  91. Pour me faire enrager il semble qu?il soit fait : v.239 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  92. Je ne puis plus longtemps souffrir sa négligence ; v.240 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  93. Tous les jours le coquin lasse ma patience. v.241 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  94. Il sait que je l'attends. v.242 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  95. Mais enfin je le vois. v.242 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  96. D'où viens-tu donc, maraud ? Dis, parle, réponds-moi. v.243 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  97. Quant à présent, monsieur, je ne vous puis rien dire ; v.244 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  98. Un moment, s'il vous plaît, souffrez que je respire : v.245 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  99. Je ne sais qui me tient, que de vingt coups de canne... v.248 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  100. Ah, monsieur ! Ces commis sont de terribles gens ! v.251 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  101. Ils ne répondent point que par monosyllabes. v.253 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  102. Mais, monsieur... Revenez. Faites-moi le plaisir... v.255 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  103. Vous me rompez la tête ; allez. Enfin, les traîtres, v.256 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  104. Las d'avoir pour objet un visage ennuyeux, v.262 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  105. J'ai cru qu'au cabaret j'attendrais beaucoup mieux. v.263 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  106. Mais le mauvais exemple, encor plus que le vin, v.266 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  107. Me retient, malgré moi, dans le mauvais chemin. v.267 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  108. Je me sens de bien vivre une assez bonne envie. v.268 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  109. De parler librement me donne l'avantage. v.273 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  110. En pareil cas que moi vous vous êtes trouvé ; v.274 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  111. Assez souvent, d'un vin bien pris et mal cuvé, v.275 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  112. De ces petits excès je ne vous ai rien dit : v.279 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  113. Leur passer leurs défauts, comme ils passent les nôtres. v.281 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  114. Si je te connaissais à ce seul vice enclin ; v.283 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  115. Mais ton maudit penchant à mille autres te porte : v.284 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  116. Tu ressens pour le jeu la pente la plus forte... v.285 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  117. Je vous entends jurer au travers de la porte : v.288 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  118. Et ce qui peut tous deux nous différencier, v.290 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  119. Je vous imite en tout. Vous, d'une ardeur extrême, v.292 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  120. Isabelle à présent vous retient sous sa loi ; v.298 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  121. À ses yeux tout divins on ne rende les armes ? v.301 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  122. Je la vis chez sa tante, où j'en fus enchanté ; v.302 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  123. Autrefois cependant pour sa tante Araminte, v.304 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  124. Ainsi vous voyez bien... v.310 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  125. Oui, je vois, en un mot, v.310 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  126. Pour t'empêcher de dire encor quelque sottise, v.312 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  127. J'obéis : cependant, si je voulais parler, v.314 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  128. De la mienne elle n'a ni l'air ni la façon. v.318 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  129. Et l'adresse bien mise, ont dissipé ma crainte. v.321 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  130. Lisez plutôt ces mots distinctement écrits : v.322 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  131. C'est « À monsieur Ménechme, à présent à Paris. » v.323 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  132. Il est vrai ; mais enfin, quoi que tu puisses dire, v.324 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  133. Enfin, ce n'est point là ma valise. v.326 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  134. Cependant à la vôtre elle ressemble fort. v.327 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  135. Mais vous me prenez donc, monsieur, pour une bête ? v.329 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  136. En revenant de Flandre, où par trop brusquement v.330 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  137. Vous avez pris congé de votre régiment ; v.331 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  138. Ainsi je n'ai rien fait que bien dans tout ceci. v.338 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  139. Dans un moment, monsieur, je vais vous satisfaire. v.341 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  140. Ouais ! La clef n'entre point. v.342 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  141. Romps chaîne et cadenas. v.342 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  142. Or sus, instrumentons. v.344 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  143. Comment donc, malheureux ! v.346 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  144. Et ces lettres, maraud, qui faisaient mon bonheur, v.350 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  145. Qui me les rendra ? Dis. v.352 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  146. Tenez, en voilà d'autres v.352 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  147. D'ordinaire avec moi passent fort mal leur temps ? v.355 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  148. Mon dessein n'était pas de vous mettre en colère. v.356 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  149. Mais sans perdre de temps faisons notre inventaire. v.357 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  150. Ce meuble de chicane appartient sûrement v.358 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  151. L'habit est vraiment leste, et des plus à la mode. v.360 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  152. Quel est l'excès de cet étonnement ? v.362 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  153. L'aventure ne peut se comprendre aisément. v.363 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  154. Elle tient du prodige ; v.365 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  155. Si vous ne mentez pas, monsieur, je vous croirai. v.367 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  156. Tu sais qu'ayant perdu père, mère et parents, v.370 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  157. Et demeurant sans bien dès mes plus tendres ans, v.371 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  158. En différents pays j'ai brusqué la fortune, v.376 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  159. Et je sais, par des gens qui m'en ont fait rapport, v.378 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  160. Mourut en accouchant de vous et de ce frère ; v.381 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  161. En toute sa personne est rendu trait pour trait ; v.383 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  162. Que vos airs dans les siens sont si reconnaissables, v.384 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  163. Nous nous ressemblions, mais si parfaitement, v.386 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  164. Que les yeux les plus fins s'y trompaient aisément ; v.387 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  165. Et notre père même, en commençant à croître, v.388 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  166. Valentin. À ce frère appartient la valise ; v.393 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  167. Et j'apprends, en lisant la lettre que je tiens, v.394 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  168. Que notre oncle est défunt, et qu'il laisse ses biens v.395 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  169. À ce frère jumeau, qui doit ici se rendre. v.396 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  170. La nouvelle en effet a de quoi vous surprendre. v.397 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  171. Écoute, je te prie, avec attention. v.398 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  172. Ceci mérite bien quelque réflexion. v.399 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  173. La date, le dessus, et le nom bien écrit, v.402 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  174. Dans mes préventions confirment mon esprit. v.403 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  175. Mon frère, pour venir au gré de cette lettre, v.404 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  176. Et je conclus enfin, sans être fort habile, v.408 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  177. Que mon frère est déjà peut-être en cette ville. v.409 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  178. Je vous attends, monsieur, pour vous remettre « comptant les soixante mille écus que votre oncle vous a laissés par testament, et pour épouser mademoiselle Isabelle, dont je vous ai plusieurs fois parlé dans mes lettres : le parti vous convient fort, et son père Démophon souhaite cette affaire avec passion. (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  179. Ne manquez donc point de vous rendre au plus tôt à Paris, et faites-moi la grâce de me croire votre très humble et très obéissant serviteur, (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  180. Cela pourrait bien être ; et je suis stupéfait v.410 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  181. Des effets surprenants que le hasard a faits. v.411 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  182. Il faut que justement je fasse une méprise, v.412 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  183. Et que notre bonheur vienne de ma sottise. v.413 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  184. Nous trouvons en un jour un vieil oncle enterré, v.414 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  185. Qui laisse de grands biens dont il vous a frustré : v.415 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  186. Un frère qui reçoit tous ces biens qu'on lui laisse, v.416 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  187. Et qui vient enlever encor votre maîtresse. v.417 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  188. Voilà tout à la fois cinq ou six incidents v.418 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  189. Capables d'étourdir les plus habiles gens. v.419 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  190. Nous ferons tête à tout ; et de cette aventure v.420 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  191. Soixante mille écus nous feraient grand besoin. v.422 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  192. Va, cours, informe-toi, ne perds pas un moment. v.426 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  193. Vous connaissez mon zèle et mon empressement ; v.427 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  194. Qui, dans une heure au plus, m'en diront des nouvelles. v.429 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  195. Il faudra feindre encor que je brûle d'amour. v.431 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  196. Elle est vieille, et jalouse à désoler les gens ; v.434 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  197. Ses airs et ses discours sont tous impertinents ; v.435 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  198. Enfin, c'est une folle, et qui veut qu'on la flatte : v.436 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  199. Mais Araminte sort. Va vite où je t'envoie. v.440 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  200. Je ne puis demeurer en place, ni chez moi. v.442 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  201. Pareil empressement doit l'agiter, je crois. v.443 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  202. Comment me trouves-tu ? Dis, Finette. v.444 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  203. Votre beauté surprend, ravit, enlève, enchante. v.445 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  204. Ait pris soin par mes mains de votre ajustement. v.447 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  205. L'Amour ! Le pauvre enfant ! v.452 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  206. Votre aimable présence v.452 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  207. Me dédommage bien des chagrins de l'absence. v.453 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  208. Fi donc, badin ! L'amour quelquefois, quoique absente, v.456 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  209. À votre souvenir me rendait-il présente ? v.457 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  210. Votre portrait charmant, et qui fait tout mon bien, v.458 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  211. Que je reçus de vous, quand vous prîtes le mien, v.459 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  212. Me consolait un peu d'une absence effroyable : v.460 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  213. Le mien a-t-il sur vous fait un effet semblable ? v.461 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  214. Votre image m'occupe et me suit en tous lieux ; v.462 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  215. Et cette nuit encor, je rappelle mon songe, v.464 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  216. (Ô douce illusion d'un aimable mensonge !) v.465 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  217. Avait semé de fleurs nouvellement écloses : v.469 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  218. Qui reçoit dans son sein un torrent de cristal, v.471 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  219. Où cent flots écumants, et tombant en cascades, v.472 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  220. Semblent être poussés par autant de Naïades ; v.473 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  221. Cent mille Amours poussaient une conque marine, v.477 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  222. Faisaient au gré des airs flotter des étendards. v.479 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  223. Mon âme, à cet aspect, d'étonnement saisie... v.481 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  224. Oui, madame, vous-même, en propre original. v.483 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  225. L'esprit donc enchanté d'un si noble spectacle, v.484 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  226. De grâce, dites-moi, parlant sincèrement, v.486 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  227. Vous sentiez la déesse une lieue à la ronde. v.489 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  228. Et preniez de Vénus la douceur naturelle, v.497 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  229. Mon valet, en entrant, a causé mon réveil. v.499 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  230. Et voilà des valets I'ordinaire imprudence ! v.501 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  231. Toujours mal à propos ils viennent vous trouver. v.502 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  232. Votre bonheur toujours ne fût pas en chimère, v.505 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  233. Et qu?un heureux hymen, entre nous concerté, v.506 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  234. Mais j?en crains le retour : dans le siècle où nous sommes, v.508 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  235. Le dégoût dans l'hymen est naturel aux hommes ; v.509 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  236. Et la possession souvent du premier jour v.510 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  237. Je sens qu'il doit aller par-delà la mort même ; v.513 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  238. Mon âme, en y pensant, de douleur possédée... v.516 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  239. Je veux que nous dînions ensemble dans ce jour. v.519 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  240. Et vous augmenterez la bonne compagnie. v.521 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  241. Madame, cet honneur m'est bien avantageux. v.522 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  242. Une affaire à présent m'arrache de ces lieux : v.523 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  243. Pour revenir plus tôt, je pars en diligence. v.524 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  244. Allez. Je vous attends avec impatience. v.525 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  245. Ici, dans un moment, je reviens sur mes pas. v.526 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  246. Mais, en revanche aussi, je l'aime à la folie. v.528 (Acte 2, scène 4, ARAMINTE)
  247. Comment le trouves-tu ? v.529 (Acte 2, scène 4, ARAMINTE)
  248. Son valet Valentin n'est pas mal fait aussi : v.530 (Acte 2, scène 4, FINETTE)
  249. Mais quelqu'un vient ici. v.531 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  250. Ici, comme chez moi, vous pouvez m'ennuyer. v.534 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  251. Et j'apprends, par les mots du billet que voici, v.542 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  252. Que cet homme en ce jour doit arriver ici. v.543 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
  253. J'en suis vraiment fort aise. v.544 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  254. N'ayant, comme je crois, nul penchant pour l'amour, v.547 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  255. Je me suis bien promis qu'en faveur de l'affaire, v.548 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
  256. Vous feriez de vos biens donation entière, v.549 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
  257. Jusqu'à ma mort ! Vraiment ce projet me plaît fort ! v.551 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  258. L'âge, comme je crois, peut encor me permettre v.553 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  259. D'aspirer à l'hymen ; et d'avoir des enfants. v.554 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  260. On ne la croit plus jeune ! Il est de sottes gens ! v.559 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  261. Et je raisonne ainsi : J'en ai cinquante, et passe ; v.561 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  262. Et je sais fort bien, moi, que cela ne peut être. v.564 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  263. Ce que je puis vous dire en termes clairs et nets, v.566 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  264. C'est qu'il faut de mon bien vous passer pour jamais ; v.567 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  265. Que, malgré les complots qu'en votre âme vous faites, v.569 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  266. Je prétends enterrer, avec l'aide de Dieu, v.570 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  267. Les enfants que j'aurai, vous et ma nièce. Adieu. v.571 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  268. C'est moi qui vous le dis ; m'entendez-vous, mon frère ? v.572 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  269. Monsieur, une autre fois, ou bien ne parlez pas, v.574 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  270. Ou prenez, s'il vous plaît, de meilleurs almanachs. v.575 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  271. Ma maîtresse est encor, malgré vous, jeune et belle ; v.576 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  272. Et tous les connaisseurs vous la soutiendront telle. v.577 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  273. Je jugeais à peu près quels seraient ses discours ; v.578 (Acte 2, scène 7, DÉMOPHON)
  274. Et j'ai fort prudemment cherché d'autres secours. v.579 (Acte 2, scène 7, D?MOPHON)
  275. Allons voir le notaire, et prenons des mesures v.580 (Acte 2, scène 7, D?MOPHON)
  276. Pour rendre, s'il se peut, les affaires bien sûres. v.581 (Acte 2, scène 7, D?MOPHON)
  277. Si l'homme en question est tel qu'on me l'a dit, v.582 (Acte 2, scène 7, D?MOPHON)
  278. Terminons au plus tôt l'hymen dont il s'agit. v.583 (Acte 2, scène 7, D?MOPHON)
  279. Vous m'en voyez, monsieur, encor tout hors d'haleine. v.585 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  280. J'ai même rencontré ce Gascon, ce Marquis, v.590 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  281. À qui, depuis un an, nous devons cent louis... v.591 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  282. Il me l'a, tu le sais, prêtée en galant homme ; v.593 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  283. Et du premier argent que je pourrai toucher, v.594 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  284. De m'acquitter vers lui rien ne peut m'empêcher. v.595 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  285. Tant mieux. Ne sachant plus enfin quel parti prendre, v.596 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  286. À la douane encor j'ai bien voulu me rendre ; v.597 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  287. On voit bien qu'il n'a pas goûté l'air de Paris ; v.606 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  288. Et c'est un franc Picard qui tient de son pays. v.607 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  289. Cet air sauvage et dur qui règne encore en lui. v.611 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  290. J'ai flatté son esprit ; enfin, j'ai si bien fait, v.614 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  291. Qu'il veut, comme je crois, me prendre pour valet. v.615 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  292. J'ai d'abord enseigné l'auberge que voici. v.618 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  293. Il doit dans un moment me venir joindre ici. v.619 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  294. Pour obtenir plus tôt Isabelle du père, v.624 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  295. Et tirer, qui plus est, cet argent du notaire : v.625 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  296. Oui vraiment. v.626 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  297. Cela pourrait peut-être arriver aisément. v.627 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  298. Mais comment ferions-nous, dans ce hardi dessein, v.630 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  299. Pour mettre promptement cette affaire en bon train ? v.631 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  300. Il faut premièrement quitter cette parure, v.632 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  301. Prendre d'un héritier l'habit et la figure, v.633 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  302. L'air entre triste et gai. Le deuil vous sied-il bien ? v.634 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  303. Si c'est comme héritier, ma foi, je n'en sais rien : v.635 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  304. Jamais succession ne m'est encor venue. v.636 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  305. Faites bien le dolent à la première vue. v.637 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  306. Imposez au notaire, et soyez diligent, v.638 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  307. Autant que vous pourrez, à toucher cet argent. v.639 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  308. Nantissez-vous de tout sans rien mettre au hasard ; v.642 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  309. S'il tenait cet argent, il se pourrait bien faire v.644 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  310. Si pour ce bien offert tu me vois quelque ardeur, v.646 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  311. Je l'adore ; et je puis te dire, en confidence : v.648 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  312. Qu'elle ne me voit pas avec indifférence ; v.649 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  313. Son père n'en sait rien, et ne me connaît pas ; v.650 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  314. Pour l'obtenir de lui je n'ai fait aucun pas ; v.651 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  315. Et n'ayant pour tout bien que la cape et l'épée, v.652 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  316. Quelque raison encor m'arrête en ce moment. v.654 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  317. J'ai pris certain engagement ? v.655 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  318. Sur cet engagement bannissez votre crainte. v.657 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  319. Allons au fait. Pour mettre en état notre affaire, v.660 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  320. Ainsi vous n'aurez pas besoin d'en prendre une autre. v.665 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  321. Allez vous encrêper sans perdre un seul instant. v.666 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  322. Pour dîner avec elle Araminte m'attend. v.667 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  323. Vous avez maintenant bien autre chose à faire ; v.668 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  324. Il vient de ce côté, je ne me trompe pas ; v.670 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  325. Mais, dis-moi cependant... v.672 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  326. Je n'ai rien à vous dire ; v.672 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  327. De tout, dans un moment, je saurai vous instruire. v.673 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  328. Pour tenir ma parole, ici je vous attends. v.675 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  329. Oui vraiment me voilà ; mais j'ai cru de ma vie v.676 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  330. Quel pays ! Quel enfer ! J'ai fait cent mille tours ; v.678 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  331. Je n'ai jamais couru tant de risque en mes jours. v.679 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  332. Conduisant leur capture, insultent les passants. v.683 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  333. De leur maudit bâton me donnent dans les reins. v.687 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  334. Quel bruit confus ! Quels cris ! Je crois qu'en cette ville v.688 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  335. Comment ! J'aimerais mieux cent fois être au sabbat. v.691 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  336. Contre la foi publique, en arrivant, m'est prise ; v.693 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  337. On la change en une autre, où ce qui fut dedans, v.694 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  338. À le bien estimer, ne vaut pas quinze francs : v.695 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  339. Il faut en ce pays être un peu sur ses gardes. v.697 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  340. Me rendra désormais plus alerte et plus fin. v.699 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  341. Heureusement encor, laissant ma malle au coche, v.700 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  342. J'ai mis fort prudemment mon argent dans ma poche. v.701 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  343. En toute occasion on voit les gens d'esprit. v.702 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  344. Dans un appartement fort propre et fort tranquille. v.704 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  345. Comptez-vous de rester longtemps en cette ville ? v.705 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  346. Je viens m'y marier. v.708 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  347. Que l'on ne conclut pas en un jour, d'ordinaire. v.709 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  348. J'y viens pour prendre aussi soixante mille écus, v.710 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  349. Qu'un oncle que j'avais, et qu'enfin je n'ai plus, v.711 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  350. Attendu qu'il est mort, par grâce singulière, v.712 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  351. Assurément. v.714 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  352. La guerre m'a défait d'un frère heureusement. v.715 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  353. Il a de l'autre monde entrepris le voyage, v.717 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  354. Et n'est point revenu. v.718 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  355. Justement, c'est ainsi qu'il a nom. v.726 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  356. Qui vous peut enseigner mieux que moi sa maison ? v.727 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  357. Oui. Sauriez-vous encore où demeure un notaire. v.729 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  358. Ali ! Vraiment, je le crois ; v.730 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  359. Il est de mes amis, et nous irons ensemble. v.732 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  360. Qu'elle ne vienne ici gâter ce que j'ai fait. v.734 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  361. Le dîner se morfond ; ma maîtresse s'ennuie. v.736 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  362. Ah ! Vous voilà, monsieur ! Vraiment j'en suis ravie ! v.737 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  363. Voir qui peut empêcher que vous ne venez pas : v.739 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  364. Ma maîtresse ne peut en deviner la cause. v.740 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  365. En peu de temps, vraiment, vous avez pris le deuil. v.743 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  366. Venez-vous d'un convoi, monsieur ? v.745 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  367. Je suis comme il me plaît. Les filles, en ces lieux, v.746 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  368. Mon zèle de ces soins ne peut se dispenser : v.750 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  369. À ce qui vous survient je dois m'intéresser : v.751 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  370. Ma maîtresse a pour vous une tendresse extrême, v.752 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  371. Je veux être pendu v.754 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  372. Si, jusqu'à ce moment, j'en ai jamais rien su. v.755 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  373. Vous en avez pourtant déjà fait quelque épreuve : v.756 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  374. Et, si vous en voulez de plus solide preuve, v.757 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  375. Oui vraiment. v.759 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  376. Vous n'avez pas, je crois, d'autre dessein en tête. v.760 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  377. Voilà, sur ma parole, une agente d'amour. v.762 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  378. Elle en a bien la mine. v.763 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  379. Mille amants sont venus s'offrir à ma maîtresse ; v.764 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  380. Mais Ménechme est le seul qui flatte sa tendresse. v.765 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  381. D'où vous savez le mien. v.766 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  382. Je n'en sus jamais rien. v.767 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  383. Je ne m'y connais pas, ou bien, sur ma parole, v.772 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  384. Vous êtes là, ma mie, en très mauvaise école. v.773 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  385. Laissons ce badinage. En un mot, comme en cent, v.774 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  386. Ma maîtresse à dîner chez elle vous attend. v.775 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  387. Belle et de bonne humeur, qui loge en son quartier. v.778 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  388. A pu, dans un moment, déranger sa cervelle ? v.781 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  389. Il me tient quelquefois un discours vain et vague, v.784 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  390. À tel point qu'on dirait souvent qu'il extravague. v.785 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  391. Perdre en si peu de temps et mémoire et raison ? v.787 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  392. Voulez-vous, de bon sens, me dire une parole ? v.788 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  393. Et me faire enrager depuis une heure ou deux ? v.791 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  394. Une amie, un dîner, et cent discours encore, v.793 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  395. Tous plus sots l'un que l'autre, à quoi l'on ne comprend v.794 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  396. Non plus qu'à de l'algèbre, ou bien à l'Alcoran ? v.795 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  397. Votre maîtresse ailleurs, en ses nobles projets, v.798 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  398. Peut à d'autres oiseaux tendre ses trébuchets. v.799 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  399. Et vous, son émissaire et son honnête agente, v.800 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  400. Quelque malheur enfin vous en arrivera, v.802 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  401. Je vous en avertis, quittez ce métier-là. v.803 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  402. Nous verrons si dans peu vous aurez l'insolence v.805 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  403. Je ne le connais plus, et ne sais où j'en suis. v.810 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  404. On me l'avait bien dit, que ces femmes coquettes, v.812 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
  405. Des nouveaux débarqués s'informaient avec soin, v.814 (Acte 2, scène 4, M?NESCHME)
  406. Justement, c'est de là qu'elle a pu le savoir : v.818 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
  407. Et si de m'attraper quelqu'un se met en tête, v.820 (Acte 2, scène 4, M?NESCHME)
  408. Ne restons pas, monsieur, en ce lieu plus longtemps : v.822 (Acte 2, scène 4, VALENTIN)
  409. Les femmes à Paris ont des attraits tentants, v.823 (Acte 2, scène 4, VALENTIN)
  410. Où les coeurs les plus fiers enfin se laissent prendre. v.824 (Acte 2, scène 4, VALENTIN)
  411. Votre conseil est bon ; entrons sans plus attendre. v.825 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
  412. Vous verrez si je mens : parlez-lui, le voilà. v.827 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  413. Tandis que de vous voir je meurs d'impatience, v.828 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  414. Vous témoignez, monsieur, bien de l'indifférence ! v.829 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  415. Le dîner vous attend ; et vous savez, je crois, v.830 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  416. En vérité, Madame, il faut que je vous dise... v.832 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  417. Je trouve surprenant... Je ne m'attendais pas v.834 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  418. À voir ce que je vois... Car enfin vos appas, v.835 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  419. Quoiqu'un peu... dérangés... pourraient bien me confondre : v.836 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  420. Le trouble où je vous vois, ce noir déguisement, v.838 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  421. Ne m'annoncent-ils point de triste événement ? v.839 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  422. Vous est-il survenu quelque mauvaise affaire ? v.840 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  423. Parlez, mon cher enfant. Daignez ne me rien taire. v.841 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  424. Tout mon bien est à vous, et ne l'épargnez pas. v.843 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  425. Tout le bien et le mal, les plaisirs et les peines, v.845 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  426. Tout, entre deux amants, doit ne devenir qu'un. v.846 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  427. Il faut mettre nos maux et nos biens en commun ; v.847 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  428. Mais je ne comprends point quels discours sont les vôtres. v.852 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  429. Bon ! Madame, il m'en a tantôt tenu bien d'autres. v.853 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  430. Dans ses discours, parfois, il est impertinent. v.854 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
  431. Entrons donc pour dîner. v.855 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  432. Je ne puis maintenant ; v.855 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  433. Je n'ai jamais senti ni froid ni chaud pour vous. v.859 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  434. Hé bien ! Peut-on plus loin porter l'impertinence ? v.860 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  435. Ferme, monsieur ; ici poussez bien l'insolence : v.861 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  436. Mais, ma foi, si jamais chez nous vous revenez, v.862 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  437. Quand j'irai, je consens, pour punir ma folie, v.864 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  438. Mais d'où venez-vous donc ? Ne me déguisez rien. v.866 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  439. Vous feignez l'ignorer ; mais vous le savez bien. v.867 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  440. N'avez-vous pas tantôt envoyé voir au coche v.868 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  441. Qui je suis, d'où je viens, où je vais ? v.869 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  442. Et de quel coche ici me venez-vous parler ? v.870 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  443. Et je ne pense pas que, de Paris à Rome, v.872 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  444. Il faut assurément qu'il ait trop bu d'un coup : v.875 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  445. Je suis las, à la fin, de tant d'impertinences. v.877 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  446. Des soins plus importants me mettent en souci : v.878 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  447. Qui viennent comme vous chercher des aventures. v.881 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  448. Les deux plus grands fripons... Si vous m'en voulez croire, v.884 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  449. Frottons-les comme il faut, pour venger notre gloire. v.885 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  450. Doucement, s'il vous plaît ; modérez votre ardeur. v.886 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  451. Je ne me suis jamais senti tant de vigueur. v.887 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  452. De tout ce différend je ne veux rien connaître, v.889 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
  453. Et je ne prétends point me battre contre toi. v.890 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
  454. D'avoir à cet ingrat déclaré ma tendresse ! v.893 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  455. Finette, tu le sais ; rien ne te fut caché. v.894 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  456. Est venu promptement, il passera de même. v.897 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  457. Va, n'attends plus de moi que haine et que rigueurs. v.898 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  458. Bon ! Je me passerai fort bien de vos faveurs. v.899 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  459. Ah ! Maudit renégat, le plus méchant du monde ! v.900 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  460. Que le ciel te punisse, et l'enfer te confonde ! v.901 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  461. Si nous avions bien fait, nous t'aurions étranglé. v.902 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  462. Il faut assurément qu'on l'ait ensorcelé ; v.903 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  463. Choisissez mieux vos gens pour placer vos tendresses. v.905 (Acte 2, scène 6, MÉNESCHME)
  464. Mais voyez quelle rage et quel déchaînement ? v.906 (Acte 2, scène 7, MÉNESCHME)
  465. J'ai senti cependant un tendre mouvement ; v.907 (Acte 2, scène 7, M?NESCHME)
  466. Le diable m'a tenté. J'ai trouvé la suivante v.908 (Acte 2, scène 7, M?NESCHME)
  467. D'un minois revenant, et fort appétissante. v.909 (Acte 2, scène 7, M?NESCHME)
  468. Vous avez jusqu'au bout bravement combattu ; v.910 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
  469. Mais entrons au plus tôt dans cette hôtellerie, v.912 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
  470. Pour n'être plus en butte à quelque brusquerie. v.913 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
  471. Je brûle cependant d'aller voir ma maîtresse : v.916 (Acte 2, scène 7, MÉNESCHME)
  472. Savoir en quel état les choses peuvent être ; v.921 (Acte 2, scène 8, VALENTIN)
  473. S'il agit de sa part ; s'il a bon air en deuil. v.922 (Acte 2, scène 8, VALENTIN)
  474. Courage, Valentin ; ferme ; bon pied, bon oeil. v.923 (Acte 2, scène 8, VALENTIN)
  475. Rien n'est plus surprenant ; et votre ressemblance v.924 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  476. Il n'est homme à présent dont vous ne trompiez l'oeil. v.927 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  477. Qu'en prétends-tu donc faire ? v.932 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
  478. Pour vous mieux distinguer, faisait fort prudemment. v.934 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  479. Je ne ris nullement : v.935 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  480. Et je pourrais fort bien, le premier, m'y méprendre. v.936 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  481. Le notaire à ces traits s'est déjà laissé prendre : v.937 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
  482. Et dans une heure il doit me compter mon argent. v.939 (Acte 3, scène 1, LE CHEVALIER)
  483. Pour vous, en ce lieu même, Araminte l'a pris, v.943 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  484. Croyant qu'elle tendait un piège à sa vertu, v.946 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  485. L'a brusquement traitée ; il s'est presque battu ; v.947 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  486. Il vous croit trop bien mort ; et jamais, quoiqu'on ose, v.952 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  487. L'aventure est plaisante, et j'en ris à mon tour. v.954 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
  488. Voilà mon maître ici fraîchement arrivé, v.959 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  489. Qui se nomme Ménechme, et qui vient de Péronne, v.960 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  490. À dessein d'épouser votre fille en personne. v.961 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  491. Ah, monsieur ! Permettez que cet embrassement v.962 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  492. Vous fasse voir l'excès de mon contentement. v.963 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  493. Dans cet embrassement à vos yeux se déploie, v.965 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
  494. Et que tout le respect ici vous soit rendu, v.966 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  495. Que doit à son beau-père un gendre prétendu. v.967 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  496. Votre taille, votre air, votre esprit, tout m'enchante v.968 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  497. Et mon âme serait entièrement contente, v.969 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  498. Si votre oncle défunt, que je voyais souvent, v.970 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  499. Pour voir cette alliance était encor vivant. v.971 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  500. Ah, monsieur ! N'allez pas rappeler de sa cendre v.972 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
  501. Un oncle que j'aimais d'une amitié bien tendre. v.973 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  502. Et combien, à sa mort, j'ai répandu de pleurs. v.975 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  503. Bien triste... et qui pourrait... Mais il était bien vieux. v.978 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  504. Cinquante ans environ. v.980 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  505. Ce mot se peut entendre v.980 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  506. En diverses façons, suivant qu'on le veut prendre. v.981 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  507. Qui causa de sa mort le funeste accident. v.986 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  508. Il est vrai... cependant... v.987 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  509. Prenons une matière et plus vive et plus gaie. v.989 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  510. Que son air et ses traits pourront vous contenter. v.991 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  511. Je compte, en vérité, bien peu sur mon mérite. v.993 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
  512. Et du premier coup d'oeil vous saurez l'enchanter. v.995 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  513. Je me connais en gens, croyez-en ma parole : v.996 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  514. Que je forme et pétris comme il mie prend plaisir. v.998 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  515. (Ce qui me tromperait bien fort), je suis son père. v.1000 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  516. Et pour voir à mes lois combien elle défère, v.1001 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  517. Mettez-vous à l'écart, je m'en vais l'appeler ; v.1002 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  518. Et, sans être aperçu, vous l'entendrez parler. v.1003 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  519. Laissez-moi seul ici ; va-t'en trouver mon frère : v.1004 (Acte 3, scène 3, LE-CHEVALIER)
  520. J'en demeure d'accord. v.1006 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
  521. Mais je ne pourrai pas, dans son ardent transport, v.1007 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
  522. L'empêcher de venir ici voir sa maîtresse ; v.1008 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
  523. Que vous soyez succinct en discours amoureux. v.1010 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
  524. Va vite ; je ne suis qu'un moment en ces lieux. v.1011 (Acte 3, scène 3, LE-CHEVALIER)
  525. Un homme de province, assez bien fait pourtant, v.1014 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  526. Qu'entends-je ? v.1016 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  527. Ce parti vous est fort convenable ; v.1016 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  528. La naissance, le bien, tout m'en est agréable ; v.1017 (Acte 3, scène 4, D?MOPHON)
  529. Permettez-moi de dire, avecque déférence, v.1020 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  530. Que je ne prétends point me marier. v.1022 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  531. Comment ! v.1022 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  532. D'où vous vient pour l'hymen ce brusque éloignement ? v.1023 (Acte 3, scène 4, D?MOPHON)
  533. Vous n'avez pas tenu toujours un tel langage. v.1024 (Acte 3, scène 4, D?MOPHON)
  534. Il est vrai ; mais enfin l'esprit vient avec l'âge. v.1025 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  535. J'en connais les dangers. Aujourd'hui les époux v.1026 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  536. Ils veulent qu'une femme épouse leurs caprices : v.1028 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  537. Et je n'en voudrais pas, quand ce serait un prince. v.1033 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  538. Si vous le haïssez, il s'en peut trouver d'autres v.1036 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
  539. De qui les sentiments différeront des vôtres. v.1037 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  540. Que vois-je ? Juste ciel ! Et quel étonnement ! v.1038 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  541. Ait rendu son esprit à mes lois si contraire : v.1041 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  542. Un époux fait à peindre, un jeune homme bien né, v.1047 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  543. Dont l'esprit est égal au bien, à la naissance. v.1048 (Acte 3, scène 4, D?MOPHON)
  544. Si votre sot dégoût et vos folles pensées v.1052 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  545. Ne rompaient mes desseins et toutes mes visées. v.1053 (Acte 3, scène 4, D?MOPHON)
  546. À ne vous point mentir, depuis que je l'ai vu, v.1054 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  547. Mon coeur n'est plus si fort contre lui prévenu. v.1055 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  548. Ah ! Te voilà donc, traître ! Avec quelle impudence v.1060 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  549. Oses-tu dans ces lieux soutenir ma présence ! v.1061 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  550. Vous me prenez ici pour un autre, je crois. v.1066 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
  551. Tu 'abusais, hélas ! d'une feinte tendresse : v.1069 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  552. Sans connaître le tien et toute sa noirceur. v.1071 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  553. Vous m'honorez vraiment par-delà mes mérites ; v.1072 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
  554. Mais je ne comprends rien à tout ce que vous dites. v.1073 (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
  555. À quoi tend ce discours ? Quelle bizarre humeur ? v.1075 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
  556. Oui, monsieur, dont j'enrage ; v.1076 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
  557. De plus, ma soeur aînée, et n'en est pas plus sage. v.1077 (Acte 3, scène 5, D?MOPHON)
  558. Quel caprice nouveau, quel démon, dis-je, enfin, v.1078 (Acte 3, scène 5, D?MOPHON)
  559. Vous oblige à venir, en faisant le lutin, v.1079 (Acte 3, scène 5, D?MOPHON)
  560. Ne vous vit, ni connut, et n'en a nulle envie ? v.1081 (Acte 3, scène 5, D?MOPHON)
  561. Il a fait de mon bien un assez long usage : v.1084 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  562. J'ai fait à mes dépens son dernier équipage ; v.1085 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  563. Je vous le disais bien, qu'elle était un peu folle. v.1088 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
  564. Oh ! J'en donne ma parole. v.1089 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
  565. À m'entendre tenir des discours insultants. v.1091 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
  566. À madame à présent je quitte la partie ; v.1092 (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
  567. Je reviendrai sitôt qu?elle sera partie. v.1093 (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
  568. Pour un moment, monsieur, souffrez que je vous quitte ; v.1096 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
  569. Je reviens sur mes pas achever ma visite. v.1097 (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
  570. Mais je veux l'épouser en dépit de la fille, v.1100 (Acte 3, scène 6, ARAMINTE)
  571. Du père, des parents, de toute la famille, v.1101 (Acte 3, scène 6, ARAMINTE)
  572. En dépit de lui-même, et de moi-même aussi. v.1102 (Acte 3, scène 6, ARAMINTE)
  573. Toujours de plus en plus son cerveau se démonte. v.1104 (Acte 3, scène 7, DÉMOPHON)
  574. Il est vrai que souvent pour elle j'en ai honte. v.1105 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
  575. Ne soit venue ici causer quelque malheur. v.1107 (Acte 3, scène 7, DÉMOPHON)
  576. Vous savez bien qu'il est, en femmes comme en filles, v.1112 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  577. Vous voilà promptement de retour ! v.1114 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  578. J'en suis ravi. v.1115 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  579. Je viens vous donner le bonjour, v.1115 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  580. Et par même moyen, amant tendre et fidèle, v.1116 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  581. En peu de mots, voilà tout ce qui me conduit. v.1119 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  582. Combien de ce parti mon âme est satisfaite : v.1121 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  583. Ma fille en est contente ; elle vous a fait voir v.1122 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  584. Qu'elle suit maintenant l'amour et le devoir. v.1123 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  585. Elle a senti d'abord un peu de répugnance ; v.1124 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  586. Mais, vous voyant, son coeur n'a plus fait de défense. v.1125 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  587. Vous sortez d'avec elle, et paraissez content. v.1127 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  588. Quand ma soeur est venue, avec ses sots discours, v.1130 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  589. De notre conférence interrompre le cours. v.1131 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  590. Que j'ai vu votre fille ? En quel temps ? Comment ? Où ? v.1134 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  591. Tout à l'heure, en ces lieux. v.1135 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  592. Quoi qu'il en soit enfin, à présent je la vois ; v.1138 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  593. J'en suis assez content ; mais j'en fais peu de cas v.1143 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  594. J'en dirai mon avis quand vous aurez parlé. v.1146 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  595. J'aime les gens d'esprit plus que personne en France : v.1148 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  596. J'en ai du plus brillant, et le tout sans science. v.1149 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  597. Je trouve que l'étude est le parfait moyen v.1150 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  598. De gâter la jeunesse, et n'est utile à rien : v.1151 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  599. Et quand un gentilhomme, en commençant à vivre, v.1153 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  600. Sait tirer en volant, boire, et signer son nom, v.1154 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  601. Prendrez-vous une charge à la cour, à l'armée ? v.1156 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  602. La guerre me ferait d'ailleurs assez d'envie, v.1160 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  603. Si des gens bien versés en l'art d'astrologie v.1161 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  604. Ne m'avaient assuré que je vivrai cent ans : v.1162 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  605. Vous êtes de bon sens, v.1166 (Acte 3, scène 8, VALENTIN)
  606. Quel discours ! Quel travers ! Est-ce lui que j'entends ? v.1167 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  607. Vous avez bien la mine, et soit dit entre nous, v.1170 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  608. Je sais à quel devoir l'état de femme engage. v.1172 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  609. Cependant ce regard amoureux et fripon v.1174 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  610. Pour le temps à venir ne me dit rien de bon : v.1175 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  611. J'en tire un argument, sans être philosophe, v.1176 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  612. Plaît-il ? Qu'en dites-vous ? v.1178 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  613. Monsieur, ne craignez rien ; v.1178 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  614. Isabelle toujours doit se porter au bien. v.1179 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  615. Ciel ! Peut-on me tenir de tels discours en face ? v.1180 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  616. Monsieur me flatte trop ; ses tendres compliments v.1182 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  617. Me font connaître assez quels sont ses sentiments. v.1183 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  618. Mon gendre avait d'abord de plus belles manières. v.1184 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  619. Les filles n'aiment pas les hommes si sincères. v.1185 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
  620. Femme, maîtresse, ami, tout m'est indifférent ; v.1187 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
  621. Je ne me contrains pas, et dis ce que je pense. v.1188 (Acte 3, scène 9, M?NESCHME)
  622. C'est bien fait. Vous aurez, je crois, la complaisance v.1189 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  623. Vous souffrir en une hôtellerie ! v.1192 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  624. Pour quelque temps encor vivre à ma liberté. v.1194 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
  625. Soit. Je vais travailler à l'hymen projeté. v.1195 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  626. Mon gendre prétendu me paraît bien sauvage ; v.1196 (Acte 3, scène 9, D?MOPHON)
  627. Mais le bien qu'il apporte est un grand avantage. v.1197 (Acte 3, scène 9, D?MOPHON)
  628. Tout franc, qu'en dites-vous ? v.1199 (Acte 3, scène 10, MÉNESCHME)
  629. C'est le marchand fripier qui nous rend sa visite. v.1204 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  630. De mon petit devoir humblement je m'acquitte v.1205 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  631. Et je viens des premiers vous donner le bonjour. v.1207 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  632. Moi, ma fille, ma femme : elles tremblaient de peur v.1210 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  633. Qui s'est mis dans l'esprit que tous les gens qu'il voit v.1218 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  634. C'est sa folie enfin : il n'aborde personne v.1220 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  635. Qu'il ne vous ait point fait quelque sot compliment. v.1222 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  636. Sa folie est nouvelle et rare assurément. v.1223 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  637. J'ai, pendant votre absence, v.1228 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  638. Obtenu contre vous certain mot de sentence, v.1229 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  639. J'ai différé toujours d'en charger un huissier : v.1231 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  640. Mais vous êtes vraiment trop bon et trop honnête ! v.1233 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  641. Comment vous nomme-t-on ? v.1234 (Acte 3, scène 11, M?NESCHME)
  642. Oh ! Vous le savez bien. v.1234 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  643. Je veux être un maraud si j'en sus jamais rien. v.1235 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  644. Ignorez-vous encore v.1236 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  645. Oui, vraiment, je l'ignore. v.1237 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  646. Sa mémoire est perdue ; il ne se souvient plus, v.1238 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  647. Ni de ce qu'il a fait, ni des gens qu'il a vus. v.1239 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  648. Son nom même, son nom, bien souvent il l'oublie. v.1241 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  649. Ciel ! Que me dites-vous ? Quel triste événement ! v.1242 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  650. Et comment se peut-il qu'à son âge... v.1243 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  651. Comment ! v.1243 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  652. On l'a mis, à la guerre, en une batterie v.1244 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  653. Qui de son souvenir empêche l'action. v.1247 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  654. De son faible cerveau... la membrane trop tendre... v.1248 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  655. Oh ! L'effet du canon ne saurait se comprendre. v.1249 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  656. Je plains bien le malheur qui vous est survenu ; v.1250 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  657. Mais je puis assurer que le tout m'est bien dû. v.1251 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  658. Oui, je sais, sans en faire aucun doute, v.1252 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  659. Et vois que la raison est chez vous en déroute. v.1253 (Acte 3, scène 11, M?NESCHME)
  660. Monsieur, souvenez-vous que ce sont des habits v.1254 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  661. Qu'à votre régiment l'an passé je fournis. v.1255 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  662. Mon régiment, à moi ? Cherchez ailleurs vos dettes ; v.1256 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  663. Et je n'ai pas le temps d'entendre vos sornettes : v.1257 (Acte 3, scène 11, M?NESCHME)
  664. Les articles sont tous contenus au mémoire. v.1261 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  665. Tiens, voilà ton mémoire, et comme j'en fais cas. v.1262 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  666. Je vous ferai bien voir... v.1266 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  667. Vous causerez ici quelque accident funeste. v.1272 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  668. De quoi s'avise-t-il de me venir chercher v.1279 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
  669. Pour être le plastron de ses impertinences ? v.1280 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
  670. Qu'il prenne un autre champ pour ses extravagances. v.1281 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
  671. Présentement, monsieur, nos pas seraient perdus ; v.1283 (Acte 3, scène 12, VALENTIN)
  672. Il n'est pas chez lui, mais bientôt il doit s'y rendre : v.1284 (Acte 3, scène 12, VALENTIN)
  673. Dans peu, pour l'aller voir, je reviendrai vous prendre. v.1285 (Acte 3, scène 12, VALENTIN)
  674. Je vous attendrai donc. Allez, ne tardez pas. v.1287 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
  675. Je m'en vais un moment tranquilliser ma bile. v.1288 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
  676. Tout est devenu fou, je crois, dans cette ville. v.1289 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
  677. Ma foi, de tous les gens que j'ai vus aujourd'hui, v.1290 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
  678. Je prétends l'observer autour de cette place. v.1292 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
  679. Le poisson, de lui-même, entre dans notre nasse : v.1293 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
  680. Tout succède à mes voeux, et j'espère, en ce jour, v.1294 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
  681. Servir utilement la Fortune et l'Amour. v.1295 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
  682. Mon maître a tout le temps de toucher son argent. v.1298 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  683. Je reviens en ce lieu, ministre diligent, v.1299 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  684. Ne fasse encor trop tôt découvrir le mystère. v.1301 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  685. Je ris, lorsque je pense à ce qui s'est passé : v.1303 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  686. Parbleu, vive les gens pleins d'imaginative ! v.1305 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  687. Se sent, en la voyant, brûler de nouveaux feux, v.1307 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  688. En attendant qu'il vienne, v.1308 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  689. Souffre que mon amour un moment t'entretienne, v.1309 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  690. Porte ailleurs tes présents ; ne me parle jamais. v.1311 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  691. Ton maître m'a traitée avec tant d'insolence, v.1312 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  692. Qu'il faut sur le valet que j'en prenne vengeance. v.1313 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  693. Ah ! Cela ne vaut rien. v.1314 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  694. Il est dur quelquefois et brutal comme un chien. v.1315 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  695. J'ai de ses vilains mots l'oreille encor blessée ; v.1316 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  696. Et ma maîtresse en est si fort scandalisée, v.1317 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  697. Je viens lui demander et lettres et portrait. v.1319 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  698. Dont la garde, à mon sens, est assez inutile : v.1321 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  699. Mais pour le portrait d'or, attendu le métal, v.1322 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  700. Quand le besoin d'argent nous presse et nous harcèle, v.1324 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  701. Tu sais, ma pauvre enfant, qu'on troque la vaisselle. v.1325 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  702. A bien voulu descendre aux ténébreux manoirs, v.1330 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  703. Soixante mille écus d'argent sec et liquide v.1332 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  704. Ont mis notre fortune en un vol bien rapide. v.1333 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  705. La mort, le testament, et reçu notre somme, v.1337 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  706. Mon maître est diablement habile à succéder. v.1339 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  707. Oli ! Je n'en doute point. v.1340 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  708. Sois-en juge toi-même. v.1340 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  709. Tu vois bien qu'il ferait une sottise extrême, v.1341 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  710. S'il se piquait encor d'avoir des feux constants : v.1342 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  711. Il faut bien, dans la vie, aller selon le temps. v.1343 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  712. Nous nous passerons bien d'amants tels que vous êtes. v.1344 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  713. Je prends un vol plus fier, et suis haussé d'un cran. v.1347 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  714. Mes mains de cet argent seront dépositaires ; v.1348 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  715. Je veux que l'on me voie, avec des airs fendants, v.1351 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  716. Intendants, cuisiniers, rempliront mon palais : v.1355 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  717. J'en suis d'avis. v.1364 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  718. Pour toi ma tendresse est extrême. v.1364 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  719. Mais quelqu'un vient ici. v.1365 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  720. À vos ordres, monsieur, vous me voyez rendu. v.1366 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  721. Vous m'avez, en ce lien, quelque temps attendu ; v.1367 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  722. M'envoie ici, monsieur, demander son portrait, v.1371 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  723. Ses lettres, ses bijoux. En nous rendant les nôtres, v.1372 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  724. Elle m'a commandé de vous rendre les vôtres. v.1373 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  725. C'est l'usage parmi tous les honnêtes gens : v.1375 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  726. Quand il est survenu rupture ou brouillerie, v.1376 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  727. Et que de se revoir on n'a plus nulle envie, v.1377 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  728. On se rend l'un à l'autre et lettres et portraits. v.1378 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  729. Pour moi, dans pareil cas, toujours j'en use ainsi. v.1382 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  730. Savez-vous bien, ma mie, enfin que tout ceci v.1383 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  731. M'ennuie étrangement, me lasse et me fatigue ; v.1384 (Acte 4, scène 3, M?NESCHME)
  732. Vous pourriez bien sentir ce que pèse mon bras ? v.1386 (Acte 4, scène 3, M?NESCHME)
  733. Voilà votre portrait, et rendez-nous le nôtre. v.1388 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  734. Que ma maîtresse prit en vous donnant le sien. v.1390 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  735. Hé bien ! v.1391 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  736. Allez-vous dire encor que ce sont là des fables, v.1392 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  737. Et que rien n'est plus faux ? v.1393 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  738. Je le dis, le soutiens, et je le soutiendrai. v.1394 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  739. J'en jurerai. v.1395 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  740. Je ne sais ce que c'est, ou l'enfer me confonde. v.1400 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  741. Hé bien ! Connaissez-vous ce visage et ces traits ? v.1406 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  742. Comment diable ! C'est moi ! Qui l'eût pensé ! Jamais ? v.1407 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  743. Il entre là-dessous quelque sorcellerie ; v.1412 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  744. Ou du moins j'entrevois quelque friponnerie. v.1413 (Acte 4, scène 3, M?NESCHME)
  745. Vous verrez qu'en venant par le coche, à leurs frais, v.1414 (Acte 4, scène 3, M?NESCHME)
  746. Allez apprendre ailleurs à connaître vos gens, v.1418 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  747. Rendez donc le portrait. v.1420 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  748. Savez-vous bien qu'avant de partir de ces lieux, v.1422 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  749. Je pourrais bien, monsieur, vous arracher les yeux ? v.1423 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  750. Rendez-lui son portrait, et vous défaites d'elle. v.1425 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  751. Vous savez ce que c'est qu'une amante en courroux : v.1426 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  752. Les enfers déchaînés seraient cent fois plus doux. v.1427 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  753. Quoi qu'il dise, l'amour le tient, encore au coeur : v.1430 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  754. Je vais le ramener un peu par la douceur. v.1431 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  755. Tu reviendras tantôt, je te ferai tout rendre. v.1432 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  756. Eh bien ! Jusqu'à ce temps je veux encore attendre ; v.1433 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  757. Je reviens, et je mets le feu dans la maison. v.1435 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  758. Mais peut-on sur les gens être tant acharnée ? v.1436 (Acte 4, scène 4, MÉNESCHME)
  759. Pour me persécuter l'enfer l'a déchaînée. v.1437 (Acte 4, scène 4, M?NESCHME)
  760. Quand on est, comme vous, jeune, aimable et bien fait, v.1438 (Acte 4, scène 4, VALENTIN)
  761. À ces petits malheurs on est souvent sujet. v.1439 (Acte 4, scène 4, VALENTIN)
  762. Entre amants, tel dépit n'est qu'une bagatelle ; v.1440 (Acte 4, scène 4, VALENTIN)
  763. Les cent louis nous vont donner de l'embarras. v.1443 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  764. Qué jé t'embrasse... encore... et millé fois pour une. v.1445 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  765. Quelqué contentément j'aie à té révoir, v.1446 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  766. Monsieur, je suis fâché de vous voir en courroux ; v.1450 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  767. Jé sors d'uné maison, qué la terre engloutisse, v.1456 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  768. Et qu'avec elle encor la nature périsse ! v.1457 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  769. Où, jusqu'au dernier sou, j'ai quitté mon argent. v.1458 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  770. M'oblige à té prier dé vouloir bien mé rendre v.1460 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  771. Cent louis qué dé moi lé bésoin té fit prendre. v.1461 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  772. Excuse si jé viens ici t'importuner ; v.1462 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  773. En l'état où jé suis, on doit tout pardonner. v.1463 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  774. Si je dis qu'en ce point ma surprise est extrême. v.1465 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  775. Je ne vous connais point. Comment auriez-vous pu v.1466 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  776. Me prêter cent louis, ne m'ayant jamais vu ? v.1467 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  777. Quel est donc cé discours ? Il mé passe. À l'entendre... v.1468 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  778. Le vôtre est-il pour moi plus facile à comprendre ? v.1469 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  779. Vous né mé dévez pas cent louis ? v.1470 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  780. Il né vous souvient pas qu'allant en Allémagne, v.1472 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  781. Étant vide d'argent pour fairé la campagne, v.1473 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  782. Jé né mé souviens pas d'un mot dé tout cela. v.1475 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  783. À moi ? J'aurais perdu le sens et la raison, v.1478 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  784. De prétendre emprunter de l'argent d'un Gascon. v.1479 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  785. Cet hommé-ci présent peut rendré témoignage ; v.1480 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  786. Viens çà, bélître ; parle ; oseras-tu nier v.1482 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  787. Cé qué son mauvais coeur tâche en vain d'oublier ? v.1483 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  788. Il m?en vient dans l'esprit quelque confuse idée v.1485 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  789. Quelqué confuse idée ? Oh ! Moi, j'en suis certain. v.1486 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  790. Çà, monsieur, mon argent, ou l'épée à la main. v.1487 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  791. Quoi ! Pour ne vouloir pas vous donner cent pistoles, v.1488 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  792. Vous satisfaire, moi ! Mais je ne vous dois rien ; v.1494 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  793. Faites-nous assigner, nous vous répondrons bien. v.1495 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  794. Quand on mé doit, voilà lé sergent qué jé porte. v.1496 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  795. Juste ciel ! Quel brutal ! Si faut-il que j'en sorte. v.1497 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  796. Combien vous est-il dû ? v.1498 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  797. Cent louis. v.1499 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  798. Cent louis ! J'en paierai la moitié. v.1499 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  799. Qué jé dévienne atome, ou qu'à l'instant jé meure, v.1500 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  800. Lui n'a plus rien à perdre. v.1504 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  801. Il est pourtant bien rude... v.1505 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  802. Il me faut plus de temps pour me mettre en courroux. v.1507 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  803. Je n'ai pas cent louis, mais en voilà soixante. v.1508 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  804. Tirez-moi de ses mains ; faites qu'il se contente. v.1509 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  805. Je me battrais en diable, et nous verrions beau jeu. v.1511 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  806. Et vous m'aviez fait voir des sentiments d'honneur ; v.1515 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  807. Je lui conseille encor de me chanter injure. v.1520 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
  808. Pour me faire enrager, tous semblent s'être unis. v.1523 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
  809. Je n'en connais aucun ; et tous, à les entendre, v.1524 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
  810. Sont mes meilleurs amis, et viennent me surprendre. v.1525 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
  811. Je n'ai besoin de vous ni de votre entremise ; v.1529 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
  812. Je vous suis obligé des services rendus : v.1530 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
  813. Et j'appréhende encor, dans mon soupçon extrême, v.1532 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
  814. D'être d'intelligence à me tromper moi-même. v.1533 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
  815. Le pauvre diable en a, par ma foi, tout son soûl ; v.1534 (Acte 4, scène 7, VALENTIN)
  816. Il faudra qu'il décampe, ou qu'il devienne fou ; v.1535 (Acte 4, scène 7, VALENTIN)
  817. Pour peu de temps encor qu'en ces lieux il habite, v.1536 (Acte 4, scène 7, VALENTIN)
  818. Ah ! Mon cher Valentin, tu me vois hors de moi ; v.1538 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
  819. J'ai reçu mon argent ; regarde, je te prie, v.1540 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  820. Des billets que je tiens la force et l'énergie ; v.1541 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  821. De huit, de cinq, de sept. J'achèterais, je pense, v.1544 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  822. Deux ou trois marquisats des mieux rentés de France. v.1545 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  823. Quelle aubaine ! Le bien vous vient de toutes parts. v.1546 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  824. De grâce, laissez-moi promener mes regards v.1547 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  825. Où l'amour se distille en de fades paroles, v.1552 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  826. Va, j'en connais le prix tout aussi bien que toi ; v.1554 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
  827. Mais jusqu'ici l'usage en fut peu fait pour moi : v.1555 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  828. J'espère à l'avenir m'en servir comme un autre. v.1556 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  829. Vous ignorez encor quel bonheur est le vôtre ; v.1557 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  830. Votre frère pour vous vient encor d'être pris. v.1558 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  831. Le Marquis, qui jadis nous prêta cent louis, v.1559 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  832. Est venu brusquement lui demander la somme. v.1560 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  833. Notre jumeau prudent n'en a voulu rien faire ; v.1564 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  834. Il en a délivré plus de moitié comptant, v.1566 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  835. Que le Marquis a pris toujours en rabattant. v.1567 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  836. Oui vraiment. Il est un peu brutal, v.1571 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  837. Il a sur son chapitre étendu sa satire, v.1573 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  838. Et tenu, face à face, un propos aigre-doux, v.1574 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  839. Il faut de cette erreur détromper sa pensée. v.1577 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
  840. Lui dire que pour vous ma tendresse est éteinte. v.1581 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  841. Aimez-la, j'y consens ; je fais voeu désormais v.1582 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  842. Non ; je ne comprends pas, v.1587 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  843. De dire, de sang-froid, ces duretés en face. v.1589 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  844. Vous saurez qu'en ces lieux... v.1590 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  845. Je ne veux rien savoir. v.1590 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  846. C'est bien fait. v.1591 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  847. Veux-tu que je m'expose encore à ses sottises ? v.1592 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  848. Mon_Dieu ! Non. Sans sujet vous en venez aux prises. v.1593 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  849. Je vais dans un moment dissiper ce soupçon : v.1594 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  850. Oh ! Pour moi, j'ai raison ; toi-même, sois-en juge. v.1596 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  851. Entre vous excité va finir en deux mots. v.1598 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  852. Monsieur vous a tantôt tenu certains propos v.1599 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  853. Je ne dirai plus rien, si vous parlez toujours. v.1602 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  854. L'homme qui vous a fait d'impertinents discours, v.1603 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  855. Et quoique l'un soit l'autre, ils diffèrent entre eux ; v.1606 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  856. Tous les deux ne font qu'un, et cependant font deux. v.1607 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  857. De quels contes en l'air me fais-tu l'embarras ? v.1610 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  858. Sans l'entendre parler, ne vous emportez pas. v.1611 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  859. La chose, j'en conviens, ne paraît pas trop claire : v.1612 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  860. Mais sachez que monsieur en ces lieux a son frère, v.1613 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  861. Quelque étrange que soit ce surprenant récit, v.1618 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  862. L'amour rend ma méprise et juste et pardonnable. v.1620 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  863. Ce courroux à mes yeux vous rend plus adorable. v.1621 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  864. Je me méprends aussi : transporté de plaisirs, v.1623 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  865. Je pousse un peu trop loin mes tendres entreprises. v.1624 (Acte 4, scène 9, LE CHEVALIER)
  866. Épouser l'un pour l'autre, et prendre le contraire : v.1629 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  867. Vous apprendrez par là quel est le vrai des deux. v.1630 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  868. Mon coeur me le dira bien plutôt que mes yeux. v.1631 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  869. Sans ce coeur j'y renonce, et je n'en veux aucune. v.1633 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  870. Trêve de compliments. Quand vous serez époux, v.1634 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  871. Il vous sera permis de tout dire entre vous. v.1635 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  872. La gloire en d'autres lieux vous et moi nous appelle. v.1636 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  873. Que madame à présent en paix rentre chez elle. v.1637 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  874. Comme il a commencé, mette l'affaire à fin. v.1639 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  875. Que l'on puisse trouver une âme encor si noire. v.1641 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  876. Lorsque je l'ai pressé de rendre le portrait, v.1642 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  877. Poursuivez votre pointe, et faites bien valoir v.1646 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  878. Les droits que la raison met en votre pouvoir. v.1647 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  879. Les filles, en ce temps, si souvent attrapées, v.1652 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  880. Sur la foi des serments avoient été trompées ; v.1653 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  881. Se faisaient d'un écrit confirmer les serments ; v.1655 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  882. Je vois bien maintenant que, dans ce siècle ingrat, v.1658 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  883. Vit, j'ai bien résolu, dans mon coeur courroucé, v.1662 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
  884. De venger, si je puis, tout le sexe offensé. v.1663 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
  885. Quoi donc ! Il ne tiendra, pour engager le monde, v.1664 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  886. Qu'à venir étaler une perruque blonde ! v.1665 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  887. Une tête éventée, un petit freluquet, v.1666 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  888. Parce qu'il a bon air, et qu'on a le coeur tendre, v.1668 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  889. Impunément viendra nous plaire et nous surprendre ; v.1669 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  890. Sans en venir après à la conclusion ! v.1671 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  891. Non, c'est une noirceur qui crie au ciel vengeance. v.1672 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  892. Il faut de cet abus réprimer la licence ; v.1673 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  893. Et, quand ce ne serait que pour vous en venger, v.1674 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  894. Il faudrait l'épouser pour le faire enrager. v.1675 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  895. Est-ce donc pour s'aimer qu'on s'épouse à présent ? v.1678 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  896. Cela fut bon du temps du monde adolescent : v.1679 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  897. Et j'en vois tous les jours qui ne font pas un crime v.1680 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  898. Où les appas flétris s'effacent pour longtemps. v.1683 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  899. Ce conseil bienfaisant que mon zèle vous donne, v.1684 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  900. Que tout ce que l'hymen a de plus dangereux. v.1687 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  901. Le hasard justement en ce lieu vous amène ; v.1688 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
  902. Le hasard nous sert donc tous deux également, v.1690 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  903. Mon frère ; car chez vous j'allais pareillement. v.1691 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  904. N'êtes-vous point, ma soeur, encore détrompée ? v.1693 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
  905. N'est rien qu'une chimère et pure vision ? v.1695 (Acte 5, scène 2, D?MOPHON)
  906. Ménechme m'appartient, et voilà la promesse v.1700 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  907. Qu'il me fit de sa main pour marquer sa tendresse. v.1701 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  908. Il est, vous dis-je, à moi ; je l'ai bien acheté. v.1703 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  909. Entendez-vous, ma nièce ? v.1704 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  910. J'entends bien. v.1705 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  911. Sans mentir, vous êtes fort plaisante v.1705 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  912. De vouloir m'enlever un coeur comme le sien, v.1706 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  913. Et vous approprier si hardiment mon bien ! v.1707 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  914. Ce sont ces yeux charmants qui les volent aux autres. v.1712 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  915. Oh ! Je suis à la fin bien las de vous entendre. v.1716 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
  916. Heureusement ici je vois venir mon gendre. v.1717 (Acte 5, scène 3, DÉMOPHON)
  917. Vous n'amenez donc pas le notaire en ces lieux ? v.1718 (Acte 5, scène 3, D?MOPHON)
  918. J'ai cherché son logis en vain une heure ou deux, v.1719 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  919. Et je viens vous prier de m'y vouloir conduire, v.1720 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  920. Je l'attends, et je crois qu'il ne tardera pas. v.1722 (Acte 5, scène 3, DÉMOPHON)
  921. Me vient de ma santé demander des nouvelles ; v.1725 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  922. Me veut mener souper au cabaret prochain ; v.1727 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  923. Et de tous ces gens-là, me confonde l'enfer, v.1730 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  924. Si j'en connais aucun, non plus que Lucifer ! v.1731 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  925. Traître ! C'en est donc fait ; malgré ta foi donnée, v.1732 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  926. Tu te veux engager dans un autre hyménée, v.1733 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  927. Malgré tous tes serments, malgré ton premier choix ! v.1734 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  928. Ah ! Nous y voilà donc encore une autre fois ! v.1735 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  929. Sans donner seulement une larme à ma mort ! v.1739 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  930. Cette femme est sur moi rudement endiablée ! v.1740 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  931. Il faut assurément qu'on l'ait ensorcelée. v.1741 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  932. Vous, qui pour nous jadis eûtes tant de tendresse, v.1744 (Acte 5, scène 3, FINETTE)
  933. Cette pauvre innocente a-t-elle mérité v.1746 (Acte 5, scène 3, FINETTE)
  934. Qu'elle expire en tes bras, que le diable l'emporte, v.1748 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  935. Et te puisse avec elle entraîner, que m'importe ? v.1749 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  936. Perfide ! Je me veux venger de ton forfait. v.1751 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  937. J'ai ta promesse en main ; voilà ta signature : v.1752 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  938. Travaillez au plus tôt à la faire enfermer. v.1755 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  939. Mais voilà votre nom « Ménechme. » En confidence, v.1756 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  940. Avez-vous avec elle eu quelque intelligence ? v.1757 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  941. Je veux bien à vos yeux, et devant que je sorte, v.1761 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  942. Qui que tu sois enfin, laisse-moi, je te prie. v.1765 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  943. Ah ! Monsieur Robertin, vous venez justement ; v.1766 (Acte 5, scène 4, DÉMOPHON)
  944. Et nous vous attendons avec empressement. v.1767 (Acte 5, scène 4, D?MOPHON)
  945. Dans un jour plein de joie, en ce lieu réunie. v.1769 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  946. Je crois que ma présence ici ne déplaît pas, v.1770 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  947. Mais un époux bien fait, tel que l'Amour lui donne, v.1772 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  948. Elle n'a maintenant plus rien à désirer. v.1774 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  949. Si ce n'est d'être veuve, et me voir enterrer : v.1775 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  950. De pareils sentiments n'entrent point dans mon âme. v.1777 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  951. Monsieur ne pense pas aussi ce qu'il vous dit. v.1778 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  952. Et dans lui l'on renomme v.1781 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  953. Et pour vous bien louer, je n'ai point de parole. v.1785 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  954. Rien ne presse si fort. v.1787 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
  955. À ce bel hymen, moi, s'il vous plaît, je m'oppose ; v.1788 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
  956. Et j'en ai dans les mains une très juste cause. v.1789 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
  957. Qui, plus que celle-là, me tient sans doute au coeur. v.1794 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  958. Tout ce qui vous convient est toujours le meilleur. v.1795 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  959. Je n'aurais pas usé de tant de diligence, v.1796 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  960. Si vous n'étiez venu chez moi me faire instance v.1797 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  961. Vous m'avez fait l'honneur de me rendre visite : v.1801 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  962. Mais je l'ai bien payé. Soixante mille écus v.1802 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  963. N'ont pas rendu vos pas ni vos soins superflus. v.1803 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  964. Entendons-nous un peu. Que voulez-vous donc dire ? v.1804 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  965. Je ne ris nullement, et me fâche à la fin. v.1806 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  966. Comment donc ? v.1812 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  967. En bon argent comptant, ou billets au porteur, v.1814 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  968. Quoi ! Monsieur, vous auriez le front et I'insolence... v.1816 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  969. Quoi ! Monsieur, vous auriez l'audace et l'impudence,... v.1817 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  970. De nier hardiment de les avoir reçus ? v.1819 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  971. Hé ! Messieurs, doucement ; je suis pour vous honteux, v.1822 (Acte 5, scène 4, DÉMOPHON)
  972. Monsieur pourrait-il bien avoir l'âme assez noire,... v.1824 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  973. Faites-lui son procès ; et, s'il en est besoin, v.1826 (Acte 5, scène 4, FINETTE)
  974. Hé ! Qu'est-ce donc, messieurs ? Voilà bien du grabuge ! v.1828 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  975. De notre différend cet homme sera juge ; v.1829 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
  976. Il ne m'a point quitté, je m'en rapporte à lui. v.1830 (Acte 5, scène 5, M?NESCHME)
  977. Qu'il parle. Ai-je reçu quelque argent aujourd'hui v.1831 (Acte 5, scène 5, M?NESCHME)
  978. Sans doute, en belle espèce. v.1832 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  979. Vous ont été comptés en argent ou valeur. v.1834 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  980. Tu peux soutenir... v.1836 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
  981. Oui, je soutiens que la somme v.1836 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  982. A tantôt été mise entre les mains d'un homme v.1837 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  983. Qui prétend épouser la fille de monsieur ; v.1839 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  984. Je vous prenais, monsieur, pour un homme de bien ; v.1846 (Acte 5, scène 5, DÉMOPHON)
  985. Mais je vois à présent que vous ne valez rien. v.1847 (Acte 5, scène 5, D?MOPHON)
  986. Sans autre procédure, il faut qu'il soit pendu. v.1851 (Acte 5, scène 5, FINETTE)
  987. Non, je ne pense pas que l'enfer soit capable v.1852 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
  988. De vomir sur la terre, en sa rage exécrable, v.1853 (Acte 5, scène 5, M?NESCHME)
  989. Et... je ne puis parler, tant je suis en courroux. v.1855 (Acte 5, scène 5, M?NESCHME)
  990. Ma présence, je crois, est ici nécessaire, v.1856 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  991. Pour découvrir le fond d'un surprenant mystère. v.1857 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  992. Quel prodige en ces lieux ! v.1858 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  993. Quelle aventure, ô ciel ! Dois-je en croire mes yeux ? v.1859 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  994. Si c'est quelque vapeur ; mais enfin je vois double. v.1861 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  995. Quel objet se présente, et que me fait-on voir ? v.1862 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  996. C'est mon portrait qui marche, ou bien c'est mon miroir. v.1863 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  997. Pourquoi prendre, monsieur, mon nom et ma figure ? v.1864 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  998. Voilà, sur ma parole, encor quelque fripon ! v.1866 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  999. Je ne m'avise point d'aller prendre le vôtre. v.1868 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  1000. Pour moi, dès le berceau, je n'en ai point eu d'autre. v.1869 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1001. Mon père, en son vivant, se fit nommer ainsi. v.1870 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  1002. Le mien, tant qu'il vécut, porta ce nom aussi. v.1871 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1003. En accouchant de moi l'on vit mourir ma mère. v.1872 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  1004. La mienne est morte aussi de la même manière. v.1873 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1005. Et moi pareillement. v.1874 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1006. J'avais un certain frère, un mauvais garnement, v.1875 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  1007. Du mien, depuis ce temps, j'ignore la fortune. v.1877 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1008. Le mien est mon image, et qui me voit, le voit. v.1879 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1009. Que cet embrassement v.1882 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1010. Vous témoigne ma joie et mon ravissement. v.1883 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  1011. Mon frère, est-ce bien vous ? Quelle heureuse rencontre ! v.1884 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  1012. Mon frère, en vérité... je m'en réjouis fort : v.1886 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  1013. Mais j'avais cependant compté sur votre mort. v.1887 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  1014. En tout ceci, madame, il n'y va rien du nôtre ; v.1888 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  1015. L'incident que je vois, certes, n'est pas commun. v.1890 (Acte 5, scène 6, DÉMOPHON)
  1016. Il te faut un époux ; en voilà deux pour un : v.1891 (Acte 5, scène 6, D?MOPHON)
  1017. Choisis le bon pour toi, ma fille, et te contente. v.1892 (Acte 5, scène 6, D?MOPHON)
  1018. Puisque vous m'accordez le choix qui se présente, v.1893 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
  1019. Portée également de l'une et l'autre part, v.1894 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
  1020. Je prends monsieur : il faut en courir le hasard. v.1895 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
  1021. Et moi, je prends monsieur. v.1896 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  1022. Il semble, à vous entendre, v.1896 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  1023. Que vous n'ayez ici qu'à vous baisser et prendre. v.1897 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  1024. Puisque chacun ici prend ce qui lui convient, v.1898 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  1025. Par droit d'aubaine aussi, Finette m'appartient. v.1899 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  1026. Moi, je vous prends tous deux. Je veux que l'on m'instruise v.1900 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  1027. En quelles mains enfin cette somme est remise. v.1901 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  1028. N'en soyez point en peine, et je les ai reçus. v.1903 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1029. C'est moi qui, pour la mienne, ayant pris sa valise, v.1904 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  1030. C'est lui qui, pour un legs, vient d'arriver ici : v.1906 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  1031. C'est moi qu'on a cru mort, et qui m'en suis saisi : v.1907 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  1032. C'est moi qui, dans l'ardeur d'une feinte tendresse, v.1908 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  1033. Je n'ai rien fait de mal dans toute cette affaire, v.1913 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  1034. Et j'ai du testateur suivi l'intention. v.1914 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  1035. Monsieur l'est comme vous ; vous n'avez rien à dire. v.1916 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  1036. Mais vous aurez bientôt tout lieu d'être content, v.1918 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1037. En épousant madame, acquitter ma parole. v.1920 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  1038. Comment donc ! Voulez-vous que j'épouse une folle ? v.1921 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  1039. Que trente mille écus facilitent l'affaire. v.1928 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1040. Bien d'autres, avant nous, en formant ce lien, v.1934 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  1041. S'en sont dit tout autant, et se connaissaient bien. v.1935 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  1042. Vous n'avez, je le vois, que mon bien seul en vue ; v.1940 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  1043. Mais, en me mariant, votre attente est déçue. v.1941 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  1044. Oui, je l'épouserai, pour me venger de vous, v.1942 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  1045. Lui donner tout mon bien, et vous désoler tous. v.1943 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  1046. Ce sera très bien fait. v.1944 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  1047. Je voulais un Ménechme : en lui donnant la main, v.1946 (Acte 5, scène 6, DÉMOPHON)
  1048. Vous ne changerez rien à mon premier dessein. v.1947 (Acte 5, scène 6, D?MOPHON)
  1049. Dans l'excès du bonheur que le destin m'envoie, v.1948 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  1050. Mon coeur ne peut suffire à contenir sa joie. v.1949 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  1051. Marions-nous aussi, pour nous désennuyer. v.1951 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  1052. À ne t'en point mentir, j'en aurais grande envie ; v.1952 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  1053. J'en fais une cent fois bien plus grande que toi ; v.1954 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  1054. Messieurs, j'ai réussi dans l'hymen qui s'apprête ; v.1956 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  1055. Mais si je méritais vos applaudissements, v.1958 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  1056. Ce jour mettrait le comble à mes contentements. v.1959 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)

LA CRITIQUE DE L'HOMME À BONNES FORTUNES. (1690)

  1. Vous me paraissez bien fâché. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  2. Je sors présentement de l'hôtel de Bourgogne, et j'en suis si outré, que si je trouvais à présent un comédien italien, la moindre chose qu'il lui en coûterait , ce serait une oreille. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  3. Je n'en suis guère plus content que vous. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  4. Tenez, voilà tout ce que j'ai pu sauver de mon manteau ; j'ai laissé le reste au parterre. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  5. Rien ne prouve mieux la dépravation du goût du siècle, que l'affluence des femmes, des carrosses et des chevaux qui vont à cette comédie. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  6. Franchement, vous autres gens d'épée, vous avez quelque sujet de la fronder : il me semble que parfois on vous donne sur la crête. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  7. L'amour par articles ; c'est un endroit bien appétissant pour les femmes. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  8. Ma foi, s'il y a quelque chose de passable, c'est quand le Vicomte dépouille cette innocente jusqu'à un jonc d´or qu'elle a au doigt. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  9. Ces couleurs ne crayonnent pas mal les gens d'épée, qui pendant un quartier d'hiver vous sucent une femme jusqu'au dernier bijou. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  10. Dans le fond, on n'a en vue que le service du roi. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  11. Hé bien, Claudine, parviendrons-nous à souper ? (Acte 1, scène 2, NIVELET)
  12. On n'attend plus que cette Comtesse avec sa cousine, qui sont allées à ces bateleurs d'Italiens. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  13. Elles devraient être revenues ; il y a deux heures que tout est fait. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  14. Je crois que cette peste de pièce-là me fera devenir folle. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  15. L'auberge est tous les soirs en déroute, et nos messieurs ne reviennent plus qu'à neuf heures. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  16. Ces visages de comédiens ne sauraient-ils jouer dès le matin ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  17. La la, Claudine, tout doucement ; ne te fâche pas. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  18. J'en refuse autant d'un autre. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  19. Çà donc, vous plaît-il de vous tenir ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  20. La belle Claudine est bien pie-grièche aujourd'hui ! (Acte 1, scène 2, NIVELET)
  21. Vous arrêterez-vous, grands baguenaudiers ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  22. Je vous dis encore que je ne ris pas. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  23. Claudine, tu es bien loup-garou ! (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  24. Enfin, si ma tante m'avait crue, je n'aurais jamais demeuré dans une auberge ; mais puisqu'on m'y a forcée, m'y voilà ; j'enrage pourtant assez. (Acte 1, scène 2, NIVELET)
  25. Mais encore, qu'as-tu donc, Claudine ? (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  26. Comment donc ? (Acte 1, scène 2, NIVELET)
  27. Cent mille brimborions. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  28. Tu as un peu de peine, Claudine ; mais aussi tu gagnes bien de l'argent, et je m'assure que tu te fais un beau magot. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  29. Il est vrai ; voilà un gros venez-y-voir ! (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  30. Tu ferais bien mieux d'acheter un bon mari de cet argent-là ; cela est bien meilleur pour une fille. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  31. Voilà encore un plaisant fretin que des hommes ! (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  32. Les rues en seraient pavées, que je ne voudrais pas en ramasser un ; et puis, en cas de mari, comme vous savez, pour quinze écus on ne peut pas avoir grand'chose... (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  33. Monsieur, je n'en puis plus ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  34. En l'état où je suis ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  35. C'est pour en mourir, hi, hi, hi ! (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  36. Si ma sage-femme était là, je n'en ferais pas à deux fois ; mon pauvre monsieur le Baron, ron, ron, ron ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  37. Et vous, mademoiselle, où le mal vous tient-il ? (Acte 1, scène 3, NIVELET)
  38. Ma foi, Monsieur Nivelet, si nous n'y prenons garde, voilà deux femmes qui vont nous crever dans la main. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  39. Nous venons de cette damnée pièce, où l'on est deux heures à entrer, et trois heures à sortir, et, qui pis est, hé, hé !... (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  40. Monsieur Nivelet, vous qui savez la procédure, à telle fin que de raison, il faut faire assigner les comédiens en garantie de couche. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  41. Assurément. (Acte 1, scène 3, NIVELET)
  42. Si la justice s'en mêle, il faudra bien que l'on me rende ce que l'on m'a pris. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  43. Comment donc ! (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  44. Étiez-vous auprès de quelque insolent ? (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  45. C'était bien un filou qui m'a pris ma bourse, où il y avait dix louis, hi, hi, hi ! (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  46. Si l'on ne vous a pris que cela, patience. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  47. Claudine, courez vite chez le médecin, demander une potion pour rassurer une femme qui a pensé accoucher dans la presse. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  48. Claudine, tu lui demanderas aussi s'il n'a rien pour faire retrouver ce qu'une fille a perdu à la comédie. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  49. Je m'en vais chez notre apothicaire ; il a de toutes ces drogues-là. (Acte 1, scène 3, CLAUDINE)
  50. Pour vous, mademoiselle, tenez-vous en repos dans ce fauteuil, en attendant qu'on serve. (Acte 1, scène 3, NIVELET)
  51. Et moi, je suis si soûl de la comédie, que je m'en vais me mettre au lit sans boire et sans manger, et, qui pis est, je m´en sortirai, ou le diable m'entraîne, que lorsque l'on aura renvoyé tous ces gueux de comédiens-là en Italie. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  52. Je crois qu'il ne me reste de vie que pour faire mon testament. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  53. Comment, monsieur le Marquis ! (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  54. Ma foi, mademoiselle, il ne me reste présentement pas grand'chose ; je n'ai qu'un parement de manche, le cuir de mes poches, et quelques lambeaux de chemise. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  55. D'où vient donc tout ce délabrement-là ? (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  56. Avoir résisté trois semaines à la tentation, et m'être laissé aller comme un coquin ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  57. Ventrebleu ! (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  58. J'enrage du meilleur de mon âme. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  59. Que maudits soient la bonne fortune, Arlequin, sa clique, et la curiosité qui m'a pris aujourd'hui ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  60. J'ai levé le nez tantôt au coin d'une rue ; j'ai vu un papier rouge, j'ai demandé à mon laquais, qui lit ordinairement pour moi, ce que c'était : le brutal m'est venu dire que c'était encore cette comédie dont tant de femmes m'avaient rompu la tête. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  61. J'y ai été ; et vous voyez comme j'en reviens. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  62. C'est une chose qui crie vengeance que le mauvais goût de Paris, et l'âpreté que l'on a en ce pays-ci pour les sottises. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  63. Je suis sûre que si l'on jouait cette comédie-là en province, en trente ans il n'y aurait pas un chat. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  64. Paris n'est-il pas le magasin de l´impertinence ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  65. Il ne faut que les fesses d'un singe pour mettre tous les badauds en campagne. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  66. Pour moi, je crois qu'il faudra que je retourne encore plus de vingt fois à cette comédie-là pour y trouver le mot pour rire. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  67. Monsieur_le_Marquis, vous me feriez bien plus de plaisir d'y retrouver ma bourse. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  68. L'impertinente scène que celle de ce Docteur qui recommande le silence, et qui parle toujours ! (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  69. Ce qui me console de mon argent, c'est qu'il faut que Colombine crève sous ce rôle-là ; elle n'a pas encore huit jours dans le ventre. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  70. Et que dites-vous, s'il vous plaît, de ce fat de Vicomte, avec ses boutons à jouer à la boule, et cette valise en forme de manchon ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  71. J'enrage quand je vois le parterre s'efflanquer de rire à des sottises qui n'ont pas le sens commun. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  72. Il faut avouer que l'auteur est un brutal parrain, d'avoir nommé Bergamotte le héros de la pièce ; encore pour du tabac, je lui pardonnerais. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  73. Il y a comme cela cent endroits dans la pièce qui me font presque vomir. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  74. On ne laisse pas de s'égosiller de rire ; comme, par exemple, le tuyau d'orgue, la fille de hasard, le cheval de louage, et cette autre innocente qui va dire à son père que si son apothicaire ne lui donne que quarante-cinq ans, c'est qu'il ne le voit que par derrière. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  75. Apparemment, à cause de la presse, vous vous serez mise au parterre. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  76. M'avez-vous vu serpenter sur le théâtre ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  77. Mais je ne comprends pas quel plaisir prennent certaines personnes à être toujours derrière les acteurs. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  78. C'est le bel air, et les gens de qualité ne voient plus la comédie que par le dos. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  79. De quelque côté que l'on voie cette damnée pièce-là, elle est affreuse par tous les endroits. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  80. Avez-vous remarqué, quand les tableaux ont paru, comme je me suis tenu ferme au milieu du théâtre, en dépit des sifflets ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  81. Écoutez, c'est un dangereux ennemi ; je le craindrais plus avec ses sifflets, que bien des marquis avec leurs épées. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  82. Un homme qui a séance sur le théâtre ne fait point de comparaison avec des gens qui entendent la comédie debout. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  83. Quand je suis grosse, je ne lave jamais ; cela m'enrhume. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  84. Hé bien, ma cousine, comment vous trouvez-vous de votre vapeur de couche ? (Acte 1, scène 5, LA COUSINE)
  85. Ma foi, madame, ne nous faites plus de ces frayeurs-là ; l'ai cru que vous nous serviriez votre enfant sur table. (Acte 1, scène 5, NIVELET)
  86. Que Monsieur Bonaventure vient à propos ! (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
  87. Comme il sent son avoine ! (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  88. C'est-à-dire que vous venez de la Comédie italienne ; car c'est la rage de Paris. (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
  89. Oh çà, dites-nous-en quelque chose : il n'y a point d'homme qui raconte si bien que vous. (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
  90. Je fais gloire d'obéir à vos ordres ; mais il est bien difficile de parler et de souper tout ensemble, et j'ai grand'faim. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  91. Les habiles gens trouvent du temps pour tout. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  92. Cela fait que la petite voudrait bien être mariée. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  93. De toute une coin6die, je n'en perdrais pas un mot. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  94. Or, il y a là-dedans un garçon qu'on appelle Pierrot ; et puis il survient un Vicomte avec un singe, qui est le plus beau rôle de la pièce. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  95. J'entends, j'entends. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  96. Je suis toujours dans les coulisses à badiner avec les actrices ; mais j'ai envoyé mes porteurs au parterre, qui m'ont dit que la pièce ne valait pas le diable. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  97. On peut les en croire, car ce sont, ma foi, les meilleurs porteurs de Paris. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  98. Au commencement, il y a trois robes de chambre qui font le sujet de la comédie ; et comme, çà, à la fin, le prince des Curieux fait le dénouement, avec un perroquet ; et je vous soutiens que voilà le sujet de droit fil. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  99. Il faut que monsieur Bonaventure n'en ait vu que le quart. (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
  100. À vous dire le vrai, les gens de qualité qui comblaient le théâtre m'en ont caché deux actes : mais je n'y ai rien perdu ; leurs airs et leurs façons valent bien la comédie. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  101. Je n'ai pas encore commencé. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  102. Monsieur, dans une auberge, on n'engraisse pas à faire des récits. (Acte 1, scène 6, CLAUDINE)
  103. Tenez, allez-vous mettre au lit avec cela. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  104. Comment donc ! (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  105. Est-ce que vous me prenez pour un chien, beau Marquis de balle affamé ? (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  106. L'ami, les épaules vous démangent. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  107. Comment ! (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  108. Vous avais-je pas bien dit, ma cousine, que cette enragée de comédie nous porterait guignon ? (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)

LA CRITIQUE DU LÉGATAIRE (1708)

  1. Messieurs, nous aurons l'honneur de vous donner demain la tragédie de... et, le jour suivant, vous aurez encore une représentation du Légataire. (Acte 1, scène 1, LE-COMÉDIEN)
  2. Ventrebleu ! (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  3. Monsieur, nous ne nous lassons jamais des pièces, tant qu'elles nous donnent de l'argent. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  4. Je suis las de voir ce Poisson avec son bredouillement et son item. Ma foi, c'est un mauvais plaisant ; tu vaux mieux que lui. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  5. C'est le public qui détermine le sort des ouvrages d'esprit, et le nôtre ; et, lorsque nous le voyons venir en foule à quelque comédie nouvelle, nous jugeons que la pièce est bonne, et nous n'en voulons point d'autre garant. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  6. C'est bien à lui que je m'en rapporte ! (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  7. À qui donc, monsieur, voulez-vous vous en rapporter ? (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  8. À moi, morbleu, à moi : il y a plus de sens, de raison et d'esprit dans cette tête-là qu'il n'y en a sur votre théâtre, dans vos loges, et dans votre parterre, quand ces trois ordres seraient réunis ensemble. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  9. Cette maxime est bonne pour les sots ; mais non pas pour moi. Je ne me laisse jamais entraîner au torrent : je fais tête au parterre ; et quand il approuve quelque endroit, c'est justement celui que je condamne. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  10. Je vous dirai, monsieur, que nous autres comédiens nous sommes d'un sentiment bien contraire : c'est de ce tribunal-là que nous attendons nos arrêts ; et, quand il a prononcé, nous n'appelons point de ses décisions. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  11. Et moi, morbleu, j'en appelle comme d'abus ; j'en appelle au bon sens ; j'en appelle à la postérité ; et le siècle à venir me fera raison du mauvais goût de celui-ci. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  12. Quelque succès qu'ait notre pièce, nous n'espérons pas, monsieur, qu'elle passe aux siècles futurs : il nous suffit qu'elle plaise présentement à quantité de gens d'esprit, et que la peine de nos acteurs ne soit pas infructueuse. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  13. Si j'étais de vous autres comédiens, j'aimerais mieux tirer la langue d'un pied de long que de représenter de pareilles sottises : mourez de faim, morbleu, mourez de faim avec constance plutôt que de vous enrichir avec une aussi mauvaise pièce : et qu'est ce que c'est encore que cette Critique dont vous nous menacez ? (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  14. C'est ce que je ne vous dirai pas : le public en jugera. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  15. Monsieur, je vous laisse avec lui : tâchez à le faire convenir qu'il a tort ; mais ne lui exposez que de bonnes raisons : il ne se paie pas de mauvais discours, je vous en avertis, et il a souvent imposé silence à des gens qui avaient autant d'esprit que vous. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  16. Je lui parlerais fort bien, si je me trouvais tête à tête avec lui ; mais la partie n'est pas égale : il faut remettre l'affaire à une autre fois, et voir si ces messieurs voudront me rendre ma place. (Acte 1, scène 3, LE-CHEVALIER)
  17. Holà, quelqu'un de mes gens ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  18. Sitôt que votre carrosse sera devant la porte, on viendra vous avertir ; mais vous en avez encore pour un quart_d_heure tout au moins. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  19. Il faudra que je demeure ici encore un quart_d_heure ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  20. On m'attend au Marais pour faire une reprise de lansquenet ; je vais souper proche les Incurables ; nous devons courir le bal toute la nuit ; et, sur les huit heures du matin, il faut que je me trouve à un réveillon à la porte Saint-Bernard. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  21. Voilà, madame, bien de l'ouvrage à faire en fort peu de temps. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  22. Ma vivacité fournira à tout ; et si vous ne voulez pas me suivre, voilà Monsieur Boniface qui ne m'abandonnera point dans l'occasion : c'est un jeune poète que je produis dans le monde, un bel esprit qui fait des vers pour moi quand j'en ai besoin : je l'ai amené à la comédie pour m'en dire son sentiment. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  23. Comment ! (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  24. Il me sert de chaperon ; il a une mine sans conséquence : que voulez-vous qu'une femme fasse d'un visage comme le sien ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  25. Je prétends bien qu'il vienne au bal avec moi. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  26. Mon carrosse, en arrivant, a été une heure dans la rue Dauphine sans pouvoir avancer ni reculer ; le voilà présentement dans le même embarras. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  27. Cela est étrange, que dans une ville policée comme Paris les rues ne soient pas libres, et que messieurs les comédiens empêchent la circulation des voitures. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  28. Cela crie vengeance. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  29. Parbleu, Monsieur Boniface, je suis bien aise de vous rencontrer dans les foyers. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  30. Vous venez de voir cette comédie qui a fait courir tant de monde ; je serai charmé que vous m'en disiez votre sentiment : j'ai autrefois entendu des petits vers de votre façon qui n'étaient pas impertinents. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  31. Monsieur Boniface a cent fois plus d'esprit qu'il ne paraît. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  32. J'aime les gens dont la mine promet peu et tient beaucoup. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  33. On voit bien, madame la Comtesse, que vous vous connaissez en physionomie. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  34. C'est une source d'imagination vive, hardie, échauffée ; rien ne l'arrête, rien ne l'embarrasse : je lui trouve un fonds de science qui m'étonne, une fécondité qui m'épouvante. Croiriez-vous, monsieur le Marquis, qu'il a fait vingt-cinq comédies, et, pour le moins, autant de tragédies ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  35. Les comédiens n'en veulent jouer aucune : mais ce qu'il y a de beau, c'est que ses comédies font pleurer, et que ses tragédies font rire à gorge déployée. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  36. Madame_la_Comtesse est, à son ordinaire, vive et pétulante ; il faut qu'elle se divertisse toujours aux dépens de quelqu'un. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  37. Allons, Monsieur Boniface, faites-nous part de vos lumières ; et dites-nous, je vous prie, votre avis sur la pièce que nous venons de voir. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  38. Parlez, parlez, Monsieur Boniface ; mais soyez court : votre récit commence déjà à m'ennuyer : je n'aime point les grands parleurs ; c'est le défaut des gens de votre métier. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  39. Je rencontrai dernièrement un auteur dans la rue, qui fit à toute force arrêter mon carrosse ; il me fatigua de ses vers pendant une heure entière ; il en récita au laquais, au cocher, aux chevaux ; et, si un autre carrosse ne fût survenu, qui lui serra les côtes de fort près, et lui fit quitter prise, je crois qu'il parlerait encore, ou qu'il serait devenu lui-même la catastrophe de sa tragédie. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  40. Je ne suis encore qu'un jeune candidat dans la république des lettres, un nourrisson des Muses ; mais je soutiens que la pièce est vicieuse a capite ad calcem, c'est-à-dire de la tête aux pieds. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  41. Nous avons un peu lu notre Poétique d'Aristote ; et nous savons la différence de l'épopée avec le poème dramatique, qui vient du grec ???à ?ò ??ã?, id est, agere. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  42. Il faut avouer que cette langue grecque est admirable : il faut que vous me l'appreniez, Monsieur Boniface... (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  43. Je ne m'arrête point à la diction, je laisse cette critique aux esprits subalternes ; c'est à l'analyse, à la conduite, à la texture d'une pièce que je m'attache ; et, par là, je vous prouverai que celle-ci est impertinente. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  44. N'est-il pas vrai qu'il s'agit dans cette pièce d'un testament qui fait le noeud et le dénouement de toute l'intrigue ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  45. Qui est-ce qui fait ce testament ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  46. Or est-il que le code Justinien, titre douze, paragrapho primo de testamentis, nous apprend que ceux qui sont sous la puissance d'autrui ne peuvent pas tester. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  47. Le valet est sous la puissance de son maître ; ergo je soutiens que le valet n'a pu faire de testament ; et, de là, je conclus que la pièce est détestable. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  48. Voilà ce qui s'appelle saper un ouvrage par les fondements, raisonner juste, et décider comme j'aurais fait. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  49. C'est un gouffre de science. Mon_Dieu, que j'aurais envie de l'embrasser ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  50. Mais la pudeur m'en empêche. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  51. Ce n'est pas, ma foi, que vous ne m'en donniez tous deux une ample matière. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  52. Ce sont tous termes de l'art, qui sont cités fort à propos ; l'épopée, le code, le Justinien, le paragrapho. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  53. Apprenez, monsieur le jurisprudent hors de saison, qu'il n'est point question, dans une comédie, du droit romain ni de Justinien : il s'agit de divertir les gens d'esprit avec art ; et je vous soutiens, moi, que la conduite de cette pièce est très sensée. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  54. C'est dont nous ne convenons pas parmi nous autres savants. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  55. Le premier acte expose le sujet ; le second fait le noeud ; dans le troisième commence l'action ; elle continue dans les suivants : tout concourt à l'événement ; l'embarras croît jusqu'à la dernière scène ; le dénouement est tiré des entrailles du sujet. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  56. Tous les acteurs sont contents, et les spectateurs seraient bien difficiles s'ils ne l'étaient pas, puisqu'il me paraît qu'ils ont été divertis dans les règles. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  57. Pour moi, je n'entends point vos règles de comédie : mais mon frère le Chevalier, qui a bon goût, et qui est presque aussi sage que moi, m'a dit qu'elle ne valait rien ; il ne l'a pourtant point encore vue. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  58. C'est le moyen d'en juger bien sainement. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  59. Il n'a cependant manqué aucune représentation. La première, il ne vit rien ; la seconde, il n'entendit pas un mot ; la troisième, il ne vit ni n'entendit ; et, toutes les autres fois, il était dans les foyers occupé devant le miroir à rajuster sa personne, ranimer sa perruque, se renouveler de bonne mine, pour être en état de donner la main quelque femme de qualité, et la conduire avec succès dans son carrosse. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  60. Je ne m'étonne pas s'il en parle si bien. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  61. Pour moi, ne trouvant plus de place dans les premières loges, je l'ai vue la première fois dans l'amphithéâtre, où je me trouvai entourée de cinq ou six jeunes seigneurs qui ne cessèrent de folâtrer autour de moi : jamais jolie femme ne fut plus lutinée ; et, si la pièce n'avait promptement fini, je ne sais, en vérité, ce qu'il en serait arrivé. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  62. Vous avez bien raison, madame la Comtesse, de pester ; vous n'avez jamais tant couru de risque en vos jours qu'à cette comédie. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  63. Pour moi, j'étais dans le parterre à la première représentation ; il ne m'en a jamais tant coûté pour voir une mauvaise comédie : une moitié de mon justaucorps fut emportée par la foule, et j'eus bien de la peine à sauver l'autre au milieu des flots de laquais qui m'inondèrent de cire en sortant, et me brûlèrent tout un côté de ma perruque. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  64. Les auteurs qui ont des habits aussi mûrs que le vôtre, Monsieur Boniface, ne doivent point se trouver dans le parterre à une première représentation. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  65. Vous êtes là un tas de mauvais poètes cantonnés par peloton (je ne parle pas de ceux qui sont avoués d'Apollon, dont on doit respecter les avis) ; vous êtes là, dis-je, comme des âmes en peine, tout prêts à donner l'alarme dans votre quartier, et à sonner le tocsin sur un mot qui ne vous plaira pas. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  66. Sont-ce deux ou trois termes hasardés, négligés ou mal interprétés qui doivent décider d'un ouvrage de deux mille vers ? (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  67. Tu te rends, Marquis ; tu fléchis ; tu demandes quartier. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  68. Courage, Monsieur Boniface ; remettez-vous ; l'ennemi plie ; tenez bon, quand il devrait aujourd'hui vous en coûter votre manteau. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  69. Mais enfin, vous conviendrez que la pièce est... (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  70. Horrible, détestable, archidétestable ; et qu'il n'y a que les entr'actes qui la soutiennent. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  71. Que voulez-vous dire avec vos entr'actes ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  72. Il me semble qu'il n'y en a point. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  73. Il n'y en a point ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  74. Comment appelez-vous donc ces pirouettes, ces caracoles, ces chaudes embrassades qui se font sur le théâtre pendant qu'on mouche les chandelles ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  75. Voilà ce qui s'appelle des scènes d'action et de mouvement des plus comiques. Place au théâtre ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  76. Mais je perds ici bien du temps. Mon cher Monsieur Boniface, voyez, je vous prie, si mon carrosse n'est point à la porte : de moment en moment je sens que je m'exténue ; je fonds, je péris, je deviens nulle. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  77. Dans un moment, madame, je viens vous rendre réponse. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  78. Allez toujours devant, j'y serai aussitôt que vous ; ayez soin seulement que nous buvions bien frais, et que le rôt soit cuit à propos. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  79. Bonjour, mon cher monsieur Bredouille ; que j'ai de joie de vous rencontrer ici ! (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
  80. Madame, vous voyez devant vous l'homme de France qui fait la meilleure chère, et qui a cinquante bonnes mille livres de rente. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
  81. Je ne connais autre que monsieur Bredouille ; j'ai été vingt fois à sa maison de campagne : c'est lui qui a inventé les poulardes aux huîtres, les poulets aux oeufs, et les cervelles aux olives. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  82. Si je n'étais pas retenue, je lui proposerais de nous donner ce soir à souper, pour nous dédommager de la mauvaise comédie que nous venons de voir. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  83. Je la trouve excellente : je ne me suis jamais tant diverti ; et monsieur Clistorel m'a guéri de toute la mauvaise humeur que j'y avais apportée. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  84. D'où venait ton chagrin, mon gros bredouilleux ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  85. Et pleures-tu, par avance, le malheur qui nous menace de ne point avoir de glace pendant l'été ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  86. Mon cuisinier avait, à dîner, manqué sa soupe ; ses entrées ne valaient pas le diable, et le coquin avait laissé brûler un faisan qu'on m'avait envoyé de mes terres. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  87. Comment ! (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  88. Si je te faisais l'anatomie de cette pièce-là, tu tomberais dans un dégoût qui t'ôterait l'appétit pendant tout le carnaval. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  89. Ne me la faites donc pas ; il n'est point ici question d'anatomie. Est-ce que le testament ne vous a pas réjouie ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  90. Il y a là deux item qui valent chacun une comédie. Et cette veuve, morbleu, cette veuve, n'est-elle pas à manger ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
  91. Et c'est justement la scène de la veuve qui m'a donné un dégoût pour la pièce ; j'ai une antipathie extrême pour cet habit ; et si mon mari mourait aujourd'hui je me remarierais demain pour n'être pas obligée de me représenter sous un si lugubre équipage. Je crois que je ne ferais pas mal dès à présent de choisir quelqu'un pour lui succéder. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  92. Qu'en dis-tu, Marquis ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  93. Ce serait très bien fait. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
  94. Et que dites-vous, s'il vous plaît, de ce gentilhomme normand, monsieur Alexandre Choupille, de l'enfant posthume, du Clistorel, et de la servante qui ne veut pas être interloquée ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  95. Hé bien 1 interloquée, interloquée ! (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  96. Pour moi, je n'y entends point tant de façon ; quand une chose me plaît, je ne vais point m'alambiquer l'esprit pour savoir pourquoi elle me plaît. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  97. Monsieur parle de fort bon sens. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
  98. Madame_la_Comtesse, par exemple, je ne la détaille point par le menu ; il suffit qu'elle me plaise en gros : je n'examine point si elle a les yeux petits, le nez rentrant, la taille renforcée ; elle me plaît, je n'en veux point davantage. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  99. Monsieur Bredouille a raison ; car, voyez-vous, une femme est comme une comédie : il y a de l'intrigue, du dénouement. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  100. Monsieur Bredouille, par exemple, je n'examine point s'il est gros ou menu, gras ou maigre ; il a de bon vin, on le va voir : en faut-il davantage ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  101. Oui, rien n'est plus clair que ce raisonnement-là. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
  102. Je vais souper à la Place Royale, où nous devons attaquer un aloyau dans les formes ; et je serais au désespoir que la scène commençât sans moi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  103. C'est très bien fait, monsieur Bredouille ; ne manquez pas d'en couper une douzaine de tranches à mon intention, et de boire autant de rasades à ma santé. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  104. Il n'est pas encore déshabillé ; il faut l'appeler pour nous en divertir. (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
  105. Les comédiens sont bien plaisants, de jouer sur leur théâtre un corps aussi illustre que celui des apothicaires ; et ce petit myrmidon de Clistorel bien impertinent de s'attaquer à un homme comme moi ! (Acte 1, scène 7, CLISTOREL)
  106. Comment donc ! (Acte 1, scène 7, LA COMTESSE)
  107. Je crois qu'en voilà encore un autre : je m'imaginais qu'il fût unique en son espèce. (Acte 1, scène 7, LA COMTESSE)
  108. Savez-vous que je suis doyen des apothicaires ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  109. Vous, doyen des apothicaires ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  110. La plaisante figure pour un doyen ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  111. Parbleu, figure vous-même ; je serais bien fâché que la mienne fût aussi ridicule que la vôtre. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  112. Et moi, je serais au désespoir de vous ressembler : ne voilà-t-il pas un petit gentilhomme bien tourné ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  113. Depuis deux cents ans nous tenons boutique d'apothicaire, de père en fils, dans le faubourg Saint-Germain. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  114. Je puis me vanter qu'il n 'y a point d'homme en France qui ait plus raccommodé de visages que moi. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  115. Je croyais qu'un visage n'était pas de la compétence d'un apothicaire. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  116. Il faudra donc, monsieur Clistorel, que vous préludiez quelque jour sur le mien. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  117. Je suis jeune encore, comme vous voyez ; mais quand j'ai bu du vin de Champagne, j'ai le lendemain le coloris obscur, les nuances brouillées, et des erreurs au teint, qui me vieillissent de dix années. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  118. Je puis l'assurer que mon visage ne lui fera point d'affront, et qu'il en aura de l'honneur. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  119. Pourquoi donc, mon petit comédien, connaissant mon mérite, êtes-vous assez impudent pour me jouer en plein théâtre ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  120. Nous y jouons bien tous les jours les médecins, qui valent bien les apothicaires. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  121. J'ai joué, en campagne, les rois et les empereurs. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  122. Un pygmée, un extrait d'homme comme vous représenterait Achille, Agamemnon, Mithridate ! (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  123. Ne voilà-t-il pas un Mithridate bien fourni pour faire fuir des légions romaines ? (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  124. Je vous prie, monsieur Clistorel le sérieux, de nous dire seulement deux vers, pour voir comment vous vous y prenez. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
  125. Et vous aurez pour vous, malgré les envieux, v.1 (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  126. Et Lisette, et Crispin, et l'enfer, et les dieux. v.2 (Acte 1, scène 8, CLISTOREL COMEDIEN)
  127. Voilà un plaisant visage pour avoir fait quatorze enfants à sa femme ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  128. Cela est faux, je lui en ai fait dix-neuf. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  129. Tant mieux, pourvu qu'ils soient tous de votre façon. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  130. Apprenez que, sur l'honneur, madame Clistorel n'a jamais fait de quiproquo. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  131. Vous en avez menti. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  132. J'en ai menti ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  133. Monsieur l'apothicaire, monsieur le comédien, monsieur Clistorel, monsieur Mithridate... (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  134. Avorton de comédien ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  135. Doucement, messieurs, doucement : je ne souffrirai point qu'il arrive de malheur, et que deux Clistorels se coupent la gorge en ma présence. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  136. Vous, monsieur Clistorel l'apothicaire, retournez dans votre boutique, et vous, monsieur Clistorel le comédien, je veux que vous me meniez au bal, et que nous dansions ensemble le rigaudon, la chasse, les cotillons, la jalousie, et toutes les autres danses nouvelles, où j'excelle assurément ; et je puis me vanter qu'il n'y a point de femme qui se trémousse dans un bal avec plus de noblesse, de cadence, de vivacité, de légèreté et de pétulance. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  137. Madame, votre carrosse est à la porte, et vous descendrez quand il vous plaira. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BONIFACE)
  138. Il a bien fait de venir ; j'allais me jeter dans le premier venu. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
  139. Hé bien, morbleu ! (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
  140. Cela vaut mieux que l'autre ; et je vous jure que l'on ne la jouera point que je n'y revienne. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
  141. Je conseille à l'assemblée d'en faire autant. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)

LE LÉGATAIRE UNIVERSEL (1704)

  1. M'envoie à ton lever, zélé collatéral, v.3 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  2. Savoir comment son oncle a passé la nuit. v.4 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  3. Et pare de la mort le trait fatal en vain ; v.7 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  4. Étendra de son long Géronte en un cercueil. v.12 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  5. Un remède par moi lui vient d'être donné, v.15 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  6. Tel que l'apothicaire en avait ordonné. v.16 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  7. Il est tombé sur moi deux fois en léthargie- v.18 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  8. Tu prends soin ? v.20 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  9. Aussi, sans me targuer d'une vaine science, v.21 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  10. J'entends ce métier-là mieux que fille de France. v.22 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  11. Peste, le beau talent ! Tu te fais bien payer, v.23 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  12. Il ne me donne rien ; mais j'ai, pour récompense, v.25 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  13. Le droit de lui parler avec toute licence. v.26 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  14. Je ne puis t'exprimer où va sa vilenie. v.30 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  15. Il croit qu'étant petit, il lui faut moins d'argent ; v.35 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  16. Et qu'attendu sa taille, il ne paiera pas tant. v.36 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  17. Mais dans son testament ses grâces départies v.38 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  18. Doivent me racquitter de son avare humeur : v.39 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  19. Ainsi je renouvelle avec soin mon ardeur. v.40 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  20. Il fait son testament ? v.41 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  21. Y voir coucher mon nom en riche caractère. v.42 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  22. C'est très bien espérer : j7espère bien encor v.43 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  23. Y voir aussi coucher le mien en lettres d'or. v.44 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  24. Tout beau, l'ami, tout beau ! L'on dirait, à t'entendre, v.45 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  25. Qu'à la succession tu peux aussi prétendre. v.46 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  26. Déjà ne sont-ils pas assez de concurrents, v.47 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  27. Sans t'aller mettre encore au rang des aspirants ? v.48 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  28. Il en a tant et tant, que parfois j'en ai honte : v.50 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  29. J'en comptai l'autre jour, en lignes paternelles, v.53 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  30. Cent sept mâles vivants : juge encor des femelles. v.54 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  31. J'en pourrais bien aussi tirer ma quote-part ; v.56 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  32. Je suis un peu parent, et tiens à la famille. v.57 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  33. Ma première femme était assez gentille, v.58 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  34. Que nous pourrions bien être alliés par les femmes ; v.62 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  35. Et de monsieur Géronte il s'en faudrait bien peu v.63 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  36. Oui-da ; tu peux passer pour parent de campagne, v.65 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  37. Qu'à faire un testament Géronte prenne soin. v.68 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  38. Secundo, quoiqu'il soit diablement amoureux, v.71 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  39. Veut qu'un bon testament, bien sûr et bien fidèle, v.74 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  40. C'est qu'Éraste nous fait trois cents livres de rente, v.77 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  41. Si nous réussissons au gré de son attente : v.78 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  42. Ce don, de notre hymen formera les liens. v.79 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  43. Ainsi tant de raisons sont autant de moyens v.80 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  44. Et je conclus enfin qu'il faut conjointement v.83 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  45. Agir pour arriver au susdit testament. v.84 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  46. Comment diable ! Crispin, tu plaides comme un ange ! v.85 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  47. Je le crois. Mon talent te paraît-il étrange ? v.86 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  48. L'époux un peu jaloux m'en a fait déserter. v.92 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  49. J'ai bataillé, ma foi, deux ans sans en sortir ; v.95 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  50. Hé bien ! Mon oncle est-il en état d'être vu ? v.99 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  51. Ah, monsieur ! Depuis hier il est encor déchu ; v.100 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  52. Les lettres de répit qu'il prend contre la mort v.103 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  53. Quel que soit mon espoir, je sens que la nature v.106 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  54. Excite dans mon coeur de tristes sentiments. v.107 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  55. Je sentis autrefois les mêmes mouvements, v.108 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  56. Pour aller en bateau rendre aux défunts visite. v.110 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  57. J'en avais dans le coeur un plaisir plein d'appas, v.111 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  58. Comme tant de maris l'auraient en pareil cas ; v.112 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  59. Cependant la nature, excitant la tristesse, v.113 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  60. Combattaient tour à tour, et prenaient le dessus ; v.116 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  61. En sorte que l'espoir... la douleur légitime... v.117 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  62. L'amour... On sent cela bien mieux qu'on ne l'exprime. v.118 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  63. Mais ce que je puis dire, en vous accusant vrai, v.119 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  64. Je ressens pour mon oncle une amitié sincère ; v.121 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  65. Je donne dans son sens en tout pour lui complaire ; v.122 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  66. Je conviens avec lui qu'il a toujours raison. v.124 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  67. Deux notaires, hélas ! Cela me fend le coeur. v.127 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  68. C'est pour instrumenter avecque plus d'honneur. v.128 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  69. Hé ! Dis-moi, mon enfant, en pleine confidence, v.129 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  70. Elle est très bien fondée ; et, depuis quelques jours, v.131 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  71. Avec madame Argante il tient certains discours v.132 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  72. Je n'ai de leur dessein rien appris davantage. v.134 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  73. Votre maîtresse est mise aussi dans l'entretien. v.135 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  74. Pour moi, je crois qu'il veut vous laisser tout son bien, v.136 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  75. Que tu flattes mes sens ! Que ma joie est parfaite ! v.138 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  76. L'Amour, parle en mon coeur : la charmante Isabelle v.141 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  77. Et pour le testament me fait faire des voeux... v.143 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  78. L'Amour et l'intérêt seront contents tous deux. v.144 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  79. De cent cohéritiers devînt le sot partage ? v.146 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  80. Une succession qui doit, par parenthèse, v.149 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  81. Vous rendre un jour heureux, et nous mettre à notre aise ? v.150 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  82. Si votre oncle vous fait le bien qu'il se propose, v.153 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  83. Sans trop vanter mes soins, j'en suis un peu la cause : v.154 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  84. Non par l'espoir du bien que vous pouvez attendre, v.157 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  85. Mais par un naturel et délicat et tendre. v.158 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  86. Que cette fille-là connaît bien votre coeur ! v.159 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  87. N'allez pas en user comme de l'autre, non ! v.163 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  88. Monsieur Géronte vient, il faut changer de ton. v.164 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  89. Va vite, cours, dis-leur qu'ils soient prêts au besoin. v.167 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  90. Voilà pour un notaire un nom bien ridicule. v.170 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  91. Je suis, en vérité, v.171 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
  92. Charmé de vous revoir en meilleure santé. v.172 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
  93. Mon oncle en ce fauteuil sera plus à son aise. v.175 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
  94. Et je viens d'essuyer un dangereux assaut : v.178 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  95. Pour vos jours en péril nous permet d'espérer. v.181 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  96. Il faut présentement songer à réparer v.182 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  97. Prendre de bons bouillons, de sûrs confortatifs, v.185 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  98. Enfin ne vous laisser manquer de nulles choses. v.187 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  99. Mais il faut tant d'argent pour se faire soigner, v.189 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  100. Qui pourrait s'en passer et mourir tout d'un coup, v.193 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  101. La santé dans le monde étant le premier bien, v.197 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  102. Un homme de bon sens n'y doit ménager rien. v.198 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  103. C'est tout argent perdu dans cette occasion ; v.201 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  104. Et dans peu vous saurez mes sentiments aussi ; v.206 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  105. Je veux, en bon parent, vous les faire connaître. v.207 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  106. Oui vraiment, et beaucoup. v.209 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  107. Qui, d'un regard avide, et d'une dent de loup, v.210 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  108. Dans le fond de leur coeur dévorent par avance v.211 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  109. Avec de tels parents. v.214 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  110. Je sais ce qu'il en est. v.214 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  111. Que tout l'or qui pourrait me tomber en partage. v.216 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  112. J'en suis persuadé. Je voudrais me venger v.217 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  113. D'un vain tas d'héritiers, et les faire enrager ; v.218 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  114. Pour lui laisser mon bien et la mettre à son aise. v.220 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  115. Non, je ne comprends pas de plus charmant plaisir v.222 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  116. Le maintien interdit, et la mine allongée, v.224 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  117. Lire un long testament où, pâles, étonnés, v.225 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  118. Je reviendrais, je crois, exprès de l'autre monde. v.228 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  119. Par les maux que je sens, d'avoir longtemps vécu ; v.230 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  120. Que j'endure les maux d'une âcre sciatique, v.232 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  121. Qui, malgré le bâton que je porte en tout lieu, v.233 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  122. Fait souvent qu'en marchant je dissimule un peu ; v.234 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  123. Et je vois bien des gens se tromper à ma mine. v.236 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  124. Je veux pourtant songer à mettre ordre à mon bien, v.241 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  125. Avant qu'un prompt trépas m'en ôte le moyen. v.242 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  126. Tu conviens que le ciel a versé dans son âme v.247 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  127. Les qualités qu'on doit chercher en une femme ? v.248 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  128. Ni de fille plus propre à rendre un homme heureux. v.250 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  129. Je m'en vais l'épouser. v.251 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  130. J'en ai, je vous l'avoue, une allégresse extrême. v.252 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  131. D'Isabelle, en ce jour ; et, par ce mariage, v.255 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  132. Je lui donne, à ma mort, tout mon bien en partage. v.256 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  133. Vous ne pouvez mieux faire, et j'en suis très content : v.257 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  134. Je voudrais, comme vous, en pouvoir faire autant. v.258 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  135. Vous voulez de l'hymen allumer le flambeau, v.261 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  136. Je sais ce qu'il me faut : apprenez, je vous prie, v.263 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  137. Je prends une compagne, et de qui tous les jours v.265 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  138. De gens qui, furetant les clefs du coffre-fort, v.269 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  139. Me détendront mon lit peut-être avant ma mort ? v.270 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  140. Je me verrai mourir en repos et sans bruit. v.274 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  141. Prendra seule le soin de toute la maison. v.278 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  142. Ah ! Le joli garçon ! Aurais-je dû m'attendre v.279 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  143. Qu'il eût pris cette affaire ainsi qu'on lui voit prendre ? v.280 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  144. Votre bien seul m'est cher. v.281 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  145. Va, tu n'y perdras rien ; v.281 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  146. Quoi qu'il puisse- arriver, je te ferai du bien, v.282 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  147. Et tu ne seras pas frustré de ton attente. v.283 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  148. Mais quelqu'un vient ici. v.284 (Acte 1, scène 5, GÉRONTE)
  149. Je vais les amener. v.285 (Acte 1, scène 5, ÉRASTE)
  150. Ni de mon lavement, ni de ma léthargie. v.288 (Acte 1, scène 6, GÉRONTE)
  151. Elles ont toutes deux bon nez ; dans un moment v.289 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  152. Elles le sentiront de reste assurément. v.290 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  153. Qui nous ont mis pour vous en des peines mortelles. v.292 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
  154. Ils me voudraient déjà voir dans la sépulture : v.295 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  155. Mon oncle a le visage, ou du moins peu s'en faut, v.297 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  156. D'un galant de trente ans. v.298 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
  157. Oui, qui mourra bientôt. v.298 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  158. Je serais bien malade, et plus qu'à l'agonie, v.299 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  159. Si des yeux aussi beaux ne me rendaient la vie. v.300 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  160. Ma fille, en ce moment vous voyez devant vous v.301 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
  161. Oui, madame, c'est vous (pour le moins je m'en flatte) v.303 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  162. Mon hymen avec vous est un sûr émétique ; v.307 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  163. Et je vous prends enfin pour mon dernier topique. v.308 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  164. Je ne sais pas, monsieur, pour quoi vous me prenez ; v.309 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  165. Mais ce choix m'interdit, et vous me surprenez. v.310 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  166. Et vous n'aurez pas lieu de vous en repentir. v.313 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
  167. Madame, le devoir m'y fera consentir ; v.314 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  168. Ne trouvera-t-il pas en moi ce qu'il espère. v.316 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  169. Il se trompe bien fort, s'il prétend, sur ma mine, v.319 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  170. Devoir trouver en moi toute la médecine : v.320 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  171. Je connais bien mes yeux ; ils ne feront jamais v.321 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  172. Au pouvoir de ces yeux je rends plus de justice. v.323 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  173. Au feu que je ressens si l'amour est propice, v.324 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  174. Ah ! Par ma foi, je crois qu'il en fera de belles. v.328 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  175. Si le diable vous tente et vous veut marier, v.329 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  176. Je m'en rapporte à vous : madame est vive et belle ; v.331 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  177. Bien fait, et de bon air, qui n'ait pas vingt-cinq ans ; v.333 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  178. C'est un bon testament, un testament, morbleu, v.337 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  179. Bien fait, bien cimenté, qui doit vous tenir lieu v.338 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  180. De tendresse, d'amour, de désir, de ménage, v.339 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  181. De femme, de contrats, d'enfants, de mariage. v.340 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  182. Vraiment, c'est fort bien fait. v.341 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  183. Qui vous a donc si bien affilé le caquet ? v.342 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  184. Elle me dit parfois librement ses pensées ; v.344 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  185. Je le souffre en faveur de quelques bons talents, v.345 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  186. Je ne sais ce que c'est que de flatter les gens. v.346 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  187. Je crois qu'en vérité vous ne sauriez mieux faire. v.356 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  188. Oui, je vous soutiens, moi, qu'une jeune personne, v.360 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  189. Malgré sa répugnance et l'orgueil de ses sens, v.361 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
  190. Doit suivre aveuglément le choix de ses parents ; v.362 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
  191. À devoir renoncer encore au mariage ; v.364 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
  192. Et tous les médecins qui connaissent ses maux v.369 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  193. Ont juré Galien, qu'à son retour des eaux, v.370 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  194. Il n'aurait sûrement ni goutte sciatique, v.371 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  195. Je pourrais de mon chef avoir quelques enfants. v.374 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  196. Et je jurerais, moi, cependant du contraire. v.376 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  197. Certain devoir pressant m'appelle en certain lieu. v.382 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  198. Un seul de vos regards, d'un mouvement facile, v.387 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  199. Opère plus en lui, dès la première fois, v.389 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  200. Que les médicaments qu'il prend depuis six mois. v.390 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  201. Le bon homme m'attend, et ne fait rien sans moi. v.394 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  202. Voilà, je vous l'avoue, une belle entrevue ! v.396 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  203. C'est trop nous retenir, laissez-nous donc partir. v.397 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  204. Je voudrais vous pouvoir donner la préférence. v.400 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  205. Pour conclure à mes yeux cet hymen projeté, v.402 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  206. Quand je vous la promis, vous me fîtes serment v.405 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  207. Que votre oncle, en faveur de cet engagement, v.406 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
  208. Vous ferait de ses biens donation entière. v.407 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
  209. En épousant ma fille, il offre de le faire : v.408 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
  210. Vous, madame, y consentiriez-vous ? v.409 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  211. Assurément, monsieur, il sera mon époux. . v.410 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  212. Et ne venez-vous pas de me dire vous-même v.411 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  213. Qu'elle trouvait à prendre un parti présenté, v.413 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  214. Devait de ses parents suivre la volonté ? v.414 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  215. Il est certains esprits qu'il faut prendre de biais, v.417 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  216. Mais le bien qu'il lui fait... v.421 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  217. De rompre cet hymen ; et je vous promets, moi, v.422 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  218. Et qu'il fera pour moi quelque heureux testament. v.425 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
  219. S'il le fait, ma fille est à vous absolument. v.426 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  220. Que je serais bientôt cause de son trépas ; v.429 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
  221. Que l'affaire est rompue, et qu'il n'y pense pas. v.430 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
  222. Que mon sort est heureux ! Qu'il est digne d'envie ! v.432 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  223. Mais Lisette s'avance, et j'entends quelque bruit. v.433 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
  224. Comment mon oncle est-il ? v.434 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
  225. Le prix que j'en attends vous répond de mon coeur. v.438 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
  226. Eh bien ! Vous souffrirez que votre oncle, à son âge, v.439 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  227. Qu'il vous frustre d'un bien que vous devez avoir ! v.441 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  228. Hélas ! Ma pauvre enfant, j'en suis au désespoir. v.442 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
  229. Mais l'affaire n'est pas encore consommée, v.443 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
  230. Et son feu pourrait bien s'en aller en fumée. v.444 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
  231. La mère, en ma faveur, change de volonté, v.445 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
  232. Et va, d'un mot d'écrit entre nous concerté, v.446 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
  233. Remercier mon oncle, et lui faire comprendre v.447 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
  234. Qu'il est un peu trop vieux pour en faire son gendre. v.448 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
  235. Je veux dans le complot entrer conjointement. v.449 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  236. Et que deviendrait donc enfin le testament v.450 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  237. Et qui doit cimenter un jour nos alliances, v.452 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  238. Et rompre absolument l'hymen qu'il prétend faire. v.455 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  239. J'en ai fait dire un mot à son apothicaire ; v.456 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  240. C'est un petit mutin, qui doit venir tantôt, v.457 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  241. Je n'ai senti jamais à la fois tant de maux. v.462 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  242. N'ont-elles point été justement irritées v.463 (Acte 2, scène 4, G?RONTE)
  243. De ce que je les ai si brusquement quittées ? v.464 (Acte 2, scène 4, G?RONTE)
  244. Je dirai cependant qu'en entrant en matière, v.467 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  245. Suffit qu'en épousant il ait fait un bon choix. v.470 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
  246. Il est vrai. Cependant j'ai quelque répugnance v.471 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  247. Le sort en est jeté, suivons ma destinée. v.476 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  248. Je voudrais inventer quelque petit cadeau v.477 (Acte 2, scène 4, G?RONTE)
  249. Qui coûtât peu d'argent, et qui parût nouveau. v.478 (Acte 2, scène 4, G?RONTE)
  250. J'ordonne sur ce point bien mieux qu'un médecin. v.481 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
  251. Il faut entendre aussi ronfler les violons ; v.485 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  252. Cela fait que bien peu vous valez dans le nôtre. v.488 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  253. Ma maîtresse, qui sort dans ce moment d'ici, v.489 (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
  254. Depuis notre entrevue, monsieur, j'ai fait réflexion sur le mariage proposé, et je trouve qu'il ne convient ni à l'un ni à l'autre ; ainsi vous trouverez bon, s'il vous plaît, qu'en vous rendant votre parole, je retire la mienne, et que je sois votre très humble et très obéissante servante, (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  255. Vous pouvez maintenant, sans que l'on vous punisse, v.495 (Acte 2, scène 5, ISABELLE)
  256. Voilà votre congé bien signé. v.497 (Acte 2, scène 5, ISABELLE)
  257. Je m'en étonne peu. v.498 (Acte 2, scène 5, ÉRASTE)
  258. Il faut les obliger à tenir leur parole. v.500 (Acte 2, scène 5, ?RASTE)
  259. Je me garderai bien de suivre ton avis, v.501 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  260. Et d'un plaisir soudain tous mes sens sont ravis. v.502 (Acte 2, scène 5, G?RONTE)
  261. Je ne sais pas comment, ennemi de moi-même, v.503 (Acte 2, scène 5, G?RONTE)
  262. Un sort à cet hymen m'entraînait malgré moi, v.505 (Acte 2, scène 5, G?RONTE)
  263. Attends un peu là-bas, et que rien ne te presse ; v.511 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  264. Voyez comme je prends promptement mon parti ! v.513 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  265. De l'hymen tout d'un coup me voilà départi. v.514 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  266. De prendre femme, et faire, en un jour si célèbre, v.519 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  267. Du flambeau de l'hymen une torche funèbre. v.520 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  268. Tantôt vous faisiez bien, et maintenant bien mieux. v.522 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  269. Je veux mettre ordre au bien que j'ai reçu du ciel, v.525 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  270. Et faire en ta faveur un legs universel v.526 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  271. Par un bon testament. v.527 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  272. Épargnez cette idée à mon âme attendrie : v.528 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  273. Le mot de testament ; il semble m'annoncer, v.530 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  274. Je frémis, quand je pense à ce moment cruel. v.533 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  275. J'ai deux parents encor pour qui le sang s'explique : v.536 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  276. L'un est fils de mon frère, et tu sais bien son nom, v.537 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  277. Gentilhomme normand, assez gueux, ce dit-on ; v.538 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  278. La fille de ma soeur, par conséquent ma nièce, v.540 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  279. Certain baron qui n'eut pour bien que ses aïeux. v.542 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  280. Je veux donc, en faveur de l'amitié sincère v.543 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  281. Jouiront, pour plaider, d'un bien comme cela ! v.549 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  282. Qu'ils voulaient à Paris venir dans peu de temps, v.553 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  283. Pour me voir, m'embrasser, et retourner contents. v.554 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  284. De quoi vivre à leur aise, et soutenir noblesse. v.556 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  285. N'êtes-vous pas, monsieur, maître de votre bien ? v.557 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  286. Tout ce que vous ferez, je le trouverai bien. v.558 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  287. Mais vous ne songez pas que le laquais attend. v.561 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  288. Je vais l'expédier, et reviens à l'instant. v.562 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  289. Il est vrai : mon neveu viendra m'accompagner ; v.566 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  290. J'en suis bien assuré. Viens, Éraste ; suis-moi. v.569 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  291. Nos affaires vont prendre une face nouvelle, v.571 (Acte 2, scène 7, LISETTE)
  292. Et la fortune enfin nous rit et nous appelle. v.572 (Acte 2, scène 7, LISETTE)
  293. Ah ! Te voilà, Crispin ! Et d'où diantre viens-tu ? v.573 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  294. Ma foi, pour te servir j'ai diablement couru ; v.574 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  295. Ces notaires sont gens d'approche difficile. v.575 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  296. Dans un jardin, à table, en un petit réduit, v.578 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  297. Je crois qu'ils passaient là quelque acte à la sourdine. v.580 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  298. Lui-même il voulait faire un héritier en forme : v.588 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  299. Mais le ciel, par bonheur, en ordonne autrement ; v.589 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  300. Il pense maintenant à faire un testament v.590 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  301. La nouvelle est trop bonne ; il faut qu'en sa faveur v.593 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  302. Et qu'un épanchement de joie et de tendresse, v.595 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  303. En te congratulant... L'amour qui m'intéresse... v.596 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  304. Il faut, ma chère enfant, que je t'embrasse encor. v.598 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  305. Dans tes emportements sois sage et plus modeste. v.599 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  306. Mais, comme en ce bas monde il n'est nuls biens parfaits, v.601 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  307. Il met au testament une fâcheuse clause. v.603 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  308. Hé, dis-moi, mon enfant, quelle est-elle ? v.604 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  309. De son argent comptant quarante mille écus v.605 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  310. Pour deux parents lointains, et qu'il n'a jamais vus. v.606 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  311. Quarante mille écus d'argent sec et liquide ! v.607 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  312. C'est de l'argent comptant dont je fais plus de cas. v.609 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  313. Vous en aurez menti, cela ne sera pas, v.610 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  314. Et qui sont ces parents ? v.613 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  315. Gentilhomme, natif d'entre Falaise et Caen : v.614 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  316. Plaideuse s'il en fut, comme on m'a dit souvent, v.617 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  317. Qui, de vingt-cinq procès, en perd trente par an. v.618 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  318. C'est tirer du métier toute la quintessence. v.619 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  319. Il faut lui faire perdre encore celui-ci. v.621 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  320. L'un et l'autre bientôt arriveront ici. v.622 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  321. Comme d'un arsenal, quelque ruse nouvelle v.624 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  322. A-t-il vu quelquefois ces deux parents ? v.626 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  323. Il a su seulement, par une lettre écrite, v.627 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  324. Qu'ils viendraient à Paris pour lui rendre visite. v.628 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  325. Qu'il n'a de ta figure encore nulle idée. v.632 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  326. L'intention de l'oncle, et le tort qu'on lui fait ? v.634 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  327. Il ne le sait que trop : dans son coeur il enrage, v.635 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  328. Je serai ce quelqu'un, je te le promets bien. v.637 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  329. De la succession les parents n'auront rien ; v.638 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  330. Qu'ils soient déshérités ; de plus, qu'il les maudisse, v.640 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  331. Eux et leurs descendants à perpétuité, v.641 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  332. Le prix qui m'est promis me rendra tout facile : v.644 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  333. D'accord... mais enfin... v.645 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  334. Comment donc ! v.646 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  335. Ne nous reprochons rien. v.647 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  336. Nous sommes but à but, ne sais-je point des tiennes ? v.648 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  337. J'ai cela de commun avec d'honnêtes gens. v.650 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  338. Mais enfin sur ce point à tort tu t'inquiètes ; v.651 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  339. Le testament de l'oncle acquittera mes dettes ; v.652 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  340. Et tel n'y pense pas qui doit payer pour moi. v.653 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  341. Mais on vient. v.654 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  342. Va m'attendre là-bas : dans peu j'irai t'instruire v.655 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  343. Les gens d'esprit n'ont point besoin de précepteur. v.658 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  344. Je parle en cet écrit comme il faut à la mère : v.659 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  345. Dont elle recevra mon petit compliment ; v.661 (Acte 2, scène 9, G?RONTE)
  346. Je crois qu'elle sera surprise assurément. v.662 (Acte 2, scène 9, G?RONTE)
  347. Moi-même entre ses mains je promets de la mettre, v.664 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
  348. Et ce qu'elle aura fait en lisant votre écrit. v.666 (Acte 2, scène 9, ?RASTE)
  349. Cela sera-t-il bien que toi-même on te voie ? v.667 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  350. Dis-leur de bouche encor qu'elles ne pensent pas v.669 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  351. À renouer l'hymen dont je fais peu de cas... v.670 (Acte 2, scène 9, G?RONTE)
  352. De vos intentions je sais tout le mystère. v.671 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
  353. Te donner tout mon bien. v.673 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  354. Elles en crèveront toutes deux de dépit. v.674 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
  355. Demeurez en repos ; je sais ce qu'il faut dire, v.675 (Acte 2, scène 9, ?RASTE)
  356. Et de notre entretien je reviens vous instruire. v.676 (Acte 2, scène 9, ?RASTE)
  357. Je me sens de moitié plus léger et plus sain. v.678 (Acte 2, scène 10, GÉRONTE)
  358. Ah ! Dieu vous garde en ces lieux ! v.681 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
  359. Qui vous a mis si fort la bile en mouvement ? v.685 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
  360. Comment ? v.686 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
  361. Je viens, vraiment, d'apprendre une belle nouvelle, v.687 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  362. Il vous faudrait encore, v.691 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  363. Comment donc ! Dans la vie, v.695 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  364. Vraiment, c'est bien de même ! Avez-vous le courage v.699 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  365. Et la mâle vigueur requise en mariage ? v.700 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  366. J'ai fait quatorze enfants à ma première femme, v.703 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  367. Et, si dans mes travaux la mort ne me surprend, v.705 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  368. J'espère à la seconde en faire encore autant. v.706 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  369. Ce sera très bien fait. v.707 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
  370. N'est point fait, croyez-moi, pour ce genre d'escrime. v.708 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  371. J'ai lu dans Hippocrate, il n'importe en quel lieu, v.709 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  372. « Tout vieillard qui prend fille alerte et trop fringante, v.711 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  373. De son propre couteau sur ses jours il attente. » v.712 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  374. Virgo libidinosa senem jugulat. (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  375. Moi ! Le ciel m'en préserve ! Et ce sont tous des ânes, v.715 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  376. Ou du moins les trois quarts : ils m'ont fait cent chicanes v.716 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  377. Au procès qu'ils nous ont sottement intenté ; v.717 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  378. Ils voulaient obliger tous les apothicaires v.719 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  379. À faire et mettre en place eux-mêmes leurs clystères, v.720 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  380. Et que tous nos garçons ne fussent qu'assistants. v.721 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  381. Fi donc ! Ces médecins sont de plaisantes gens ! v.722 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
  382. Faire, en jeune apprenti, ces fonctions secrètes ! v.724 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  383. Vous avez fort bien fait, dans cette procédure, v.727 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
  384. D'avoir jusques au bout soutenu la gageure. v.728 (Acte 2, scène 11, G?RONTE)
  385. J'étais bien résolu, plutôt que de plier, v.729 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  386. Leur dessein, en effet, était bien ridicule. v.731 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
  387. C'est bien fait. Ces messieurs voulaient vous offenser : v.733 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
  388. Ce que vous m'avez fait ? Vous voulez prendre femme, v.735 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  389. Pour crever ; et moi seul j'en aurai tout le blâme. v.736 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  390. Prendre une femme, vous ! Allez, vous êtes fou. v.737 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  391. Prenez-moi de bonnes médecines, v.739 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  392. Quelque bon lavement fort et diurétique : v.744 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  393. Ô le beau jouvenceau, pour entrer en ménage ! v.751 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  394. À le bien mesurer, il n'est pas, que je crois, v.757 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  395. Il ne reviendra plus ; son départ me chagrine. v.760 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
  396. Pour un, vous en aurez mille tout à la fois. v.761 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  397. Que ce qu'on vous vendait quatre fois davantage. v.768 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  398. Fais-le-moi donc venir. v.769 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
  399. Souvenez-vous toujours, quand vous serez tranquille, v.772 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  400. Dans votre testament de me faire du bien. v.773 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  401. Je t'en ferai, pourvu qu'il ne m'en coûte rien. v.774 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
  402. Éraste ne vient point me rendre de réponse. v.775 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
  403. Suffit que vous devez être de vous content : v.778 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  404. Vous n'avez jamais fait rien de plus héroïque v.779 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  405. Que de rompre un hymen aussi tragi-comique. v.780 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  406. Je suis content de moi dans cette occasion, v.781 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
  407. Bon ! C'était cent fois pis encor que tout cela. v.785 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  408. Mais enfin tout va bien. v.786 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  409. J'ai beau heurter, crier, aucun ne se présente. v.788 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  410. Vient-on chez un malade ainsi rendre visite ? v.792 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  411. Tu ne te trompes pas, ma chère enfant ; c'est moi. v.794 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  412. Qu'un Géronte en ce lieu tenait son domicile ; v.796 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  413. Parbleu, j'en suis bien aise. Ah, monsieur ! Touchez là. v.798 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  414. Cet homme assurément prétend me démembrer. v.802 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  415. Mes traits vous sont nouveaux : savez-vous bien pourquoi ? v.805 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  416. Gentilhomme normand, prit pour femme une fille v.808 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  417. Mon père se fâcha de cette diligence ; v.811 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  418. Mais un ami sensé lui dit, en confidence, v.812 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  419. Qu'il est vrai que ma mère, en faisant ses enfants, v.813 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  420. N'observait pas encore assez l'ordre des temps ; v.814 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  421. Une femme, en effet, v.817 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  422. Qu'à tout considérer quelquefois j'en ai honte, v.820 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  423. En me mettant au jour, soit disgrâce ou faveur, v.821 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  424. Apprenez, mon neveu, si par hasard vous l'êtes, v.823 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  425. Je le crois : cependant, tant qu'elle fut vivante, v.827 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  426. On tient que sa vertu fut un peu chancelante. v.828 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  427. Quoi qu'il en soit enfin, légitime ou bâtard, v.829 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  428. Je suis votre neveu, quoi qu'en dise l'envie ; v.831 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  429. De plus, votre héritier, venant de Normandie v.832 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  430. C'est bien fait ; et je loue assez l'intention. v.834 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  431. Quand vous en allez-vous ? v.835 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  432. Cela dépend du temps que vous avez à vivre. v.836 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  433. Qu'après vous avoir vu, bien cloué, bien muré, v.838 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  434. Qui dit ses sentiments en pleine liberté. v.841 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  435. À te dire le vrai, j'en suis épouvanté. v.842 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  436. Vous avez, dit-on même, acquis, en plus d'un lieu, v.849 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  437. Savez-vous, mon neveu, qui tenez ce langage, v.851 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  438. Que, si de mes deux bras j'avais encor l'usage, v.852 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  439. Je vous ferais sortir par la fenêtre. v.853 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  440. La maison m'appartient : ce que je puis souffrir, v.857 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  441. C'est de vous y laisser encor vivre et mourir. v.858 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  442. Ah, ciel ! Quel garnement ! v.859 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  443. Au bel appartement mène-moi, je te prie. v.860 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  444. Est-il voisin du tien ? Je te trouve à mon gré ; v.861 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  445. Bonne chère, grand feu : que la cave enfoncée v.863 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  446. Et l'on peut hardiment le ronger jusqu'aux os. v.866 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  447. Cent louis neufs comptant, en avance d'hoirie ; v.868 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  448. Grands dieux ! Vit-on jamais insolence semblable ? v.871 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  449. Vous venez tourmenter un oncle à l'agonie ; v.875 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  450. En repos laissez-moi finir ma triste vie, v.876 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  451. D'accord. Mais quand viendra ce jour ? v.878 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  452. Je vous en donne six ; mais après, ventrebleu, v.881 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  453. Je vous fais enterrer mort ou vif. Je vous laisse. v.883 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  454. Mon oncle, encore un coup, tenez votre promesse, v.884 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  455. Ou je tiendrai la mienne. v.885 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  456. Quel neveu vos parents vous ont-ils donné là ? v.886 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  457. Cependant, à le voir, il a quelque air de vous : v.890 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  458. Enfin, on s'aperçoit qu'il tient de la famille. v.892 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  459. Par ma foi, s'il en tient, il lui fait peu d'honneur. v.893 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  460. Ah ! Le vilain parent ! v.894 (Acte 3, scène 3, G?RONTE)
  461. De laisser votre bien, une si belle somme, v.895 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  462. Vingt mille écus comptant, à ce beau gentilhomme ? v.896 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  463. Moi, lui laisser mon bien ! J'aimerais mieux cent fois v.897 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  464. L'enterrer pour jamais. v.898 (Acte 3, scène 3, G?RONTE)
  465. Que monsieur le neveu, si j'en crois mon présage, v.899 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  466. Aurait aussi bien fait de demeurer chez lui. v.902 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  467. Si c'est sur mon bien seul qu'il fonde sa cuisine, v.903 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  468. Et qu'il n'aura pas lieu de rire à mes dépens. v.905 (Acte 3, scène 3, G?RONTE)
  469. C'est fort bien fait : il faut apprendre à vivre aux gens. v.906 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  470. Qui ne peuvent cacher leurs naturels perfides : v.908 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  471. Quand ils n'assomment pas un oncle assez âgé, v.909 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  472. Ils prétendent encor qu'il leur est obligé. v.910 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  473. Mais Éraste revient, et nous allons apprendre v.911 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  474. Comment tout s'est passé. v.912 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  475. Tu te fais bien attendre ! v.912 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  476. Il vient de m'accoster là-bas tout hors d'haleine, v.915 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  477. Et m'a dit en deux mots le sujet qui l'amène. v.916 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  478. J'aurais bien eu besoin ici de ta présence v.919 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  479. Pour réprimer l'excès de son impertinence ; v.920 (Acte 3, scène 4, G?RONTE)
  480. Lisette en est témoin. v.921 (Acte 3, scène 4, G?RONTE)
  481. Ah ! Le mauvais pendard, v.921 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  482. À qui monsieur voulait de son bien faire part ! v.922 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  483. J'ai bien changé d'avis : je te donne parole v.923 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  484. Qu'il n'aura de mon bien jamais la moindre obole. v.924 (Acte 3, scène 4, G?RONTE)
  485. Et tout s'est fait au gré de notre intention. v.926 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  486. Votre lettre a produit un effet qui m'enchante. v.927 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  487. On a montré d'abord une âme indifférente ; v.928 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  488. Elles me paraissaient s'en soucier fort peu : v.930 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  489. Aujourd'hui de vos biens unique légataire, v.932 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  490. Oui, je te l'ai promis ; c'est mon intention. v.934 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  491. Dont elles ne seront de six mois bien remises. v.936 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  492. J'en suis persuadé. v.937 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  493. Qui doit bien vous surprendre, et m'a surpris aussi ; v.938 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  494. Et qu'as-tu su répondre à ces belles pensées ? v.943 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  495. Sans avoir, sur ce point, su votre sentiment, v.945 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  496. Et de plus, obtenu votre consentement. v.946 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  497. Ne t'embarrasse point encor de mariage. v.947 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  498. Que mon exemple ici serve à te rendre sage. v.948 (Acte 3, scène 4, G?RONTE)
  499. Moi, j'approuverais fort cet hymen et ce choix : v.949 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  500. Il convient à monsieur de suivre cette envie, v.951 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  501. Non à vous, qui devez renoncer à la vie. v.952 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  502. Je ne sais pas, monsieur, au vrai ce qu'il en est ; v.954 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  503. Vous ne vous êtes pas encor fait enterrer. v.958 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  504. Avec de tels discours et ton air d'insolence, v.959 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  505. Tu pourrais, à la fin, lasser ma patience. v.960 (Acte 3, scène 4, G?RONTE)
  506. Et dis ce que je pense avecque liberté. v.962 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  507. Qui porte le grand deuil, vient vous rendre visite, v.964 (Acte 3, scène 5, LE LAQUAIS)
  508. Encore des parents ! v.965 (Acte 3, scène 5, GÉRONTE)
  509. Non, je te le défends. v.966 (Acte 3, scène 5, GÉRONTE)
  510. Gardez-vous bien, monsieur, d'en user de la sorte ; v.967 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
  511. Va-t'en la faire entrer. v.969 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
  512. Entre tant de parents, ce serait bien le diable v.971 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  513. S'il ne s'en trouvait pas quelqu'un de raisonnable. v.972 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  514. Permettez, s'il vous plaît, que cet embrassement v.973 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  515. Vous témoigne ma joie et mon ravissement : v.974 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  516. Je vois un oncle enfin, mais un oncle que j'aime, v.975 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  517. Et que j'honore aussi cent fois plus que moi-même. v.976 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  518. C'est lui, je le sais bien ; v.977 (Acte 3, scène 7, ÉRASTE)
  519. Nous avons eu là-bas un moment d'entretien. v.978 (Acte 3, scène 7, ?RASTE)
  520. Qu'on donne promptement un fauteuil à ma nièce. v.980 (Acte 3, scène 7, GÉRONTE)
  521. Je suis assez content déjà de la parente. v.983 (Acte 3, scène 7, GÉRONTE)
  522. Elle sait vraiment vivre, et sa taille est charmante. v.984 (Acte 3, scène 7, ÉRASTE)
  523. Et ce que c'est d'avoir des enfants en bas âge : v.988 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  524. Cela gâte la taille, et furieusement. v.989 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  525. Vous passeriez encor pour fille assurément. v.990 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  526. M'oblige à dévorer en secret mes ennuis. v.997 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  527. J'ai bien de fâcheux jours, et de plus dures nuits : v.998 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  528. Voilà des sentiments dignes d'une Artémise. v.1004 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
  529. Ne vous a pas laissé, je crois, beaucoup d'enfants. v.1006 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  530. Rien que neuf ; mais, le coeur tout gonflé d'amertume, v.1007 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  531. Deux ans encore après j'accouchai d'un posthume. v.1008 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  532. De plus, certain procès qu'on m'a sottement fait, v.1014 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  533. Pour certain four banal sis en mon territoire. v.1015 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  534. On passe outre : je forme empêchement formel ; v.1017 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  535. La cause est au bailliage ainsi revendiquée : v.1019 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  536. On plaide, et je me trouve enfin interloquée ! v.1020 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  537. Le mot est immodeste, et le terme m'en choque ; v.1027 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  538. Elle est folle, et souvent il lui prend des accès... v.1029 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  539. Elle ne parle pas si bien que vous procès v.1030 (Acte 3, scène 8, G?RONTE)
  540. Et qui m'a fait quitter si brusquement le Maine. v.1032 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  541. Ayant appris, monsieur, par gens dignes de foi, v.1033 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  542. Comment donc ? Quel caprice ! v.1036 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
  543. Oui, mon oncle, à vous-même. A-t-il rien qui vous blesse, v.1040 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  544. Je ne sais où j'en suis. v.1042 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  545. Vous meniez une vie indigne et criminelle, v.1044 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  546. Et que vous en aviez déjà plusieurs enfants. v.1045 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  547. De quoi se mêlent-ils ? Est-ce là leur affaire ? v.1047 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  548. Je ne sais qui retient l'effet de ma colère. v.1048 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  549. Ainsi, sur le rapport de mille honnêtes gens, v.1049 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  550. Nous avons fait, monsieur, assembler vos parents ; v.1050 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  551. De manger notre bien et vous perdre vous-même, v.1052 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  552. De vous faire interdire, en observant les lois. v.1054 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  553. Remettre le pied il ne vous prenne envie ; v.1060 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  554. Comment ! Battre une veuve et la violenter ! v.1062 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  555. Cela peut bien aller à vous faire enfermer. v.1066 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  556. Faire enfermer monsieur ! v.1067 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  557. De vos déportements on n'est que trop instruit. v.1070 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  558. Si l'on vient chez les gens ainsi leur faire insulte. v.1076 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
  559. Vous, mon oncle, rentrez dans votre appartement ; v.1077 (Acte 3, scène 8, ?RASTE)
  560. Je vous rendrai raison de tout dans un moment. v.1078 (Acte 3, scène 8, ?RASTE)
  561. La mauvaise famille et du Maine et de Caen ! v.1081 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  562. Oui, tous ces parents-là méritent le carcan. v.1082 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  563. Est-il bien vrai, Crispin ? Et ton ardeur sincère.... v.1083 (Acte 3, scène 9, ÉRASTE)
  564. Envoyez donc, monsieur, chercher un commissaire : v.1084 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  565. Je l'attends de pied ferme. v.1085 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  566. Oui, ventrebleu, c'est moi. v.1086 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  567. Vous venez de me faire une rude algarade. v.1087 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  568. Ici de deux parents j'ai fait le personnage ; v.1092 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  569. Et j'ai dit, en leur nom, de telles duretés, v.1093 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  570. En noble campagnard, le plumet sur l'oreille, v.1096 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  571. Mon air de Bas-Normand vous aurait enchanté. v.1098 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  572. Enfin de ses neveux l'oncle se désabuse ; v.1104 (Acte 3, scène 9, ÉRASTE)
  573. Il fait un testament qui doit combler mes voeux. v.1105 (Acte 3, scène 9, ?RASTE)
  574. Ah, monsieur ! Apprenez un accident terrible ; v.1107 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  575. Enfin il est tombé, malgré mon assistance, v.1115 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  576. Sans voix, sans sentiment, sans pouls, sans connaissance. v.1116 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  577. J'en voulais à son bien, et non pas à ses jours. v.1122 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  578. Ne désespérons point encore de sa vie ; v.1123 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
  579. Il tombe assez souvent dans une léthargie v.1124 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
  580. Et qu'il ne peut jamais aller encore une heure. v.1128 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  581. Ah ! Juste ciel ! Crispin, quel triste événement ! v.1129 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
  582. Non oncle mourra donc sans faire un testament ; v.1130 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
  583. De l'espoir d'obtenir la charmante Isabelle ! v.1132 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
  584. Fortune, je sens bien l'effet de ton courroux ! v.1133 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
  585. Allons, mes chers enfants, il faut agir de tête, v.1135 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  586. Et présenter un front digne de la tempête : v.1136 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  587. Il faut premièrement, d'une ardeur salutaire, v.1140 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  588. Lisette, quelque temps tiens la bouche cousue, v.1143 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  589. Personne n'entrera sans ma permission. v.1146 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  590. Surtout, dans l'action, gardons le jugement. v.1149 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  591. Le sort conspire en vain contre le testament : v.1150 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  592. Plutôt que tant de bien passe en des mains profanes, v.1151 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  593. Et vous aurez pour vous, malgré les envieux, v.1153 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  594. Et Lisette, et Crispin, et l'enfer, et les dieux. v.1154 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  595. Mon oncle ne saurait reprendre connaissance : v.1156 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  596. Le legs universel qu'il prétendait me faire, v.1159 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  597. Comme tu vois, Crispin, ne m'enrichira guère. v.1160 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  598. Nous comptions bien aussi sur quelque petit legs. v.1162 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  599. Quarante mille écus que je tiens dans mes mains, v.1166 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  600. Souffrez que je partage avec vous votre ennui. . v.1170 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  601. Ce petit lénitif, en attendant le reste, v.1171 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  602. Il est vrai, cher Crispin ; mais enfin tu sais bien. v.1173 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  603. Que cela ne fait pas presque le quart du bien v.1174 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  604. Qu'en la succession mes soins pouvaient prétendre, v.1175 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  605. Et que le testament me donnait lieu d'attendre : v.1176 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  606. Offraient bien à mon coeur de plus charmants appas. v.1178 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  607. Me fissent ressentir leurs indignes faiblesses ; v.1180 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  608. Ce n'est qu'avec ce bien, qu'avec ces avantages, v.1183 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  609. Que je puis de sa mère obtenir les suffrages ; v.1184 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  610. Faute de testament, je perds, et pour toujours, v.1185 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  611. Un bien dont dépendait le bonheur de mes jours. v.1186 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  612. J'entre dans vos raisons ; elles sont très plausibles : v.1187 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  613. Et qui mettent à bout la plus mâle vertu. v.1190 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  614. Ô mort ! Tu devais bien attendre encore une heure ; v.1192 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  615. Et le tout se serait passé bien à propos. v.1194 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  616. En stériles regrets passe et s'évanouisse ? v.1196 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  617. Et trouver promptement un remède à mon mal ? v.1198 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  618. Mais à présent j'échoue, et je demeure à sec. v.1202 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  619. Un autre, en pareil cas, serait aussi stérile. v.1203 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  620. Soustraire, escamoter sans bruit un testament v.1205 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  621. Où vous seriez traité peu favorablement, v.1206 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  622. Exercer mon talent et montrer ma prouesse : v.1208 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  623. Mais en faire trouver alors qu'il n'en est point, v.1209 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  624. Fort inutilement s'y casserait la tête ; v.1211 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  625. Et cependant, monsieur, le diable n'est pas bête. v.1212 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  626. Les Notaires, monsieur, viennent là-bas d'entrer ; v.1214 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  627. Voyez ; que voulez-vous, s'il vous plaît, qu'on en fasse ? v.1216 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  628. Je vois à tous moments croître mon embarras. v.1217 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
  629. Fais-en, ma pauvre enfant, tout ce que tu voudras. v.1218 (Acte 4, scène 2, ?RASTE)
  630. Savent-ils que mon oncle a perdu connaissance, v.1219 (Acte 4, scène 2, ?RASTE)
  631. Non, pas encor, je pense. v.1220 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  632. Quoi ! Les renverrons-nous ? v.1223 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
  633. Eh ! Qu'en voulez-vous faire ? v.1223 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  634. Qu'en pouvons-nous tirer qui nous soit salutaire ? v.1224 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  635. Je vais donc leur marquer qu'ils n'ont qu'à s'en aller. v.1225 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  636. Attends encore un peu. Je me sens accabler. v.1226 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
  637. Attendez... Il me vient... Le dessein est bizarre ; v.1231 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  638. Il pourrait par hasard... J'entrevois... Je m'égare, v.1232 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  639. Et je ne vois plus rien que par confusion. v.1233 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  640. Les Notaires là-bas sont dans l'impatience : v.1239 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  641. Tout ici ne dépend que de la diligence. v.1240 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  642. Il est vrai ; mais enfin j'accouche d'un dessein v.1241 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  643. Je t'en laisse l'emploi. v.1245 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  644. Qui peut en fourberie être si fort que toi ? v.1246 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  645. Paix... Silence... Il me vient un surcroît de pensée. v.1248 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  646. J'y suis, ventrebleu ! v.1249 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  647. Fort bien... v.1250 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  648. Ne troublez pas l'enthousiasme où je suis. v.1250 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  649. Les volets bien fermés... v.1252 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  650. C'est penser à merveilles. v.1252 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  651. Je veux en élever un trophée à ta gloire, v.1260 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  652. Et je cours te servir. Je reviens sur mes pas. v.1261 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  653. Si ton dessein succède au gré de notre envie, v.1263 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
  654. Je veux te rendre heureux le reste de ta vie. v.1264 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
  655. Je serais légataire ! Et, par même moyen, v.1265 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
  656. J'épouserais l'objet qui fait seul tout mon bien ! v.1266 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
  657. Cependant une terreur secrète v.1267 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
  658. S'empare de mes sens, m'alarme et m'inquiète : v.1268 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
  659. Si la Justice vient à connaître du fait, v.1269 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
  660. N'est point, comme tu vois, requise en notre affaire ; v.1276 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
  661. Et je sens tout_à_coup renaître en mon courage v.1279 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
  662. Du bon homme Géronte, en gros comme en détail, v.1281 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  663. Ne perdons point de temps, que l'on m'habille en hâte. v.1283 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  664. Les pantoufles. Fort bien. L'équipage est fantasque. v.1288 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  665. Oui, voilà le défunt ; dissipons notre ennui. v.1289 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  666. Géronte n'est point mort, puisqu'il revit en lui : v.1290 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  667. Voilà son air, ses traits ; et l'on doit s'y méprendre. v.1291 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  668. Mais, avec son habit, si son mal m'allait prendre ? v.1292 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  669. Ne crains rien, arme-toi de résolution. v.1293 (Acte 4, scène 4, ÉRASTE)
  670. Ma foi, déjà je sens un peu d'émotion : v.1294 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  671. Je veux te mettre encor ce vieux manteau fourré, v.1297 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  672. Dont aux jours de remède il était entouré. v.1298 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  673. Me voilà maintenant en habits mortuaires. v.1300 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  674. Je vais dans un moment les amener ici. v.1301 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  675. Secondez-moi bien tous dans cette affaire-ci. v.1302 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  676. Vous, monsieur, s'il vous plaît, fermez porte et fenêtre ; v.1303 (Acte 4, scène 5, CRISPIN)
  677. Ce jour mal condamné me blesse encore l'oeil. v.1306 (Acte 4, scène 5, CRISPIN)
  678. Tirez bien les rideaux, que rien ne nous trahisse. v.1307 (Acte 4, scène 5, CRISPIN)
  679. J'entends du bruit. v.1311 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
  680. Saura me disculper de ces emportements. v.1314 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
  681. Entrez, messieurs, entrez. v.1315 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  682. De vous voir tous les deux en parfaite santé. v.1318 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  683. Je voudrais bien encore être à l'âge où vous êtes ; v.1319 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  684. Et si je me portais aussi bien que vous faites, v.1320 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  685. Je ne songerais guère à faire un testament. v.1321 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  686. Cela ne vous doit point chagriner un moment ; v.1322 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  687. Rien n'est désespéré : cette cérémonie v.1323 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  688. D'avoir fait de ses biens la distribution, v.1326 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  689. Qui, se communiquant après dans tous les sens, v.1329 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  690. Rétablit la santé dans quantité de gens. v.1330 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  691. Que ces actes secrets se passent sans témoins. v.1334 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  692. D'aller, avec madame, en la chambre prochaine. v.1336 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR GASPARD)
  693. Moi, je ne puis quitter monsieur un seul moment. v.1337 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  694. Mon oncle, sur ce point, dira son sentiment. v.1338 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  695. Nous ferons tout au gré de votre intention. v.1342 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  696. Par-devant... fut présent... Géronte... et caetera. v.1345 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  697. Dites-nous maintenant tout ce qu'il vous plaira. v.1346 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  698. Je veux premièrement qu'on acquitte mes dettes. v.1347 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  699. Nous n'en trouverons pas, je crois, beaucoup de faites. v.1348 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  700. Je dois quatre cents francs à mon marchand de vin, v.1349 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  701. Fort bien. Où voulez-vous, monsieur, qu'on vous enterre ? v.1351 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  702. Et je serais encor contraint de déguerpir. v.1357 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  703. Et n'épargnerai rien pour la rendre célèbre. v.1360 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  704. Non, mon neveu, je veux que mon enterrement v.1361 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  705. Se fasse à peu de frais et fort modestement. v.1362 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  706. Il fait trop cher mourir, ce serait conscience. v.1363 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  707. Jamais, de mon vivant, je n'aimai la dépense ; v.1364 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  708. Je puis être enterré fort bien pour un écu. v.1365 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  709. C'est à vous maintenant, s'il vous de nous dire v.1367 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  710. Les legs qu'au testament vous voulez faire écrire. v.1368 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR GASPARD)
  711. Que j'aime tendrement, pour mon seul légataire, v.1371 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  712. Lui laissant tout mon bien, meubles, propres, acquêts, v.1373 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  713. Vaisselle, argent comptant, contrats, maisons, billets ; v.1374 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  714. Déshéritant, en tant que besoin pourrait être, v.1375 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  715. Parents, nièces, neveux, nés aussi bien qu'à naître, v.1376 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  716. S'il s'en trouvait aucuns au jour de mon décès. v.1378 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  717. Ce discours me fend l'âme. Hélas ! Mon pauvre maître ! v.1379 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  718. Les biens que vous m'offrez n'ont pour moi nuls appas, v.1381 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  719. Item. Je donne et lègue à Lisette présente... v.1383 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  720. Qui depuis cinq ans me tient lieu de servante, v.1384 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  721. Pour épouser Crispin en légitime noeud, v.1385 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  722. Non autrement,... v.1386 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  723. Soutiens-la, mon neveu. v.1386 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  724. Et pour récompenser l'affection, le zèle v.1387 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  725. Que de tout temps, pour moi, je reconnus en elle... v.1388 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  726. Deux mille écus comptant en espèce. v.1390 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  727. Deux mille écus ! Je crois que le pendard se moque. v.1391 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  728. Je crois que j'en mourrai. v.1393 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  729. Du plus clair de mon bien seront pris et perçus. v.1394 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  730. Et vous paie au centuple une oeuvre méritoire ! v.1396 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  731. Il m'avait bien promis de ne pas m'oublier. v.1397 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  732. J'ai trois ou quatre mots encore à faire écrire. v.1400 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  733. Qu'il a toujours rendus, et doit rendre à son maître... v.1404 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  734. Méritant peu le bien que vous voulez lui faire. v.1407 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  735. Je lui veux donc léguer, en dépit des jaloux... v.1410 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  736. Le chien ! v.1411 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  737. Quinze cents francs de rentes viagères, v.1411 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  738. Pour avoir souvenir de moi dans ses prières. v.1412 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  739. Le présent malhonnête, et que ce soit trop peu ? v.1414 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  740. Comment ! Quinze cents francs ! v.1415 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  741. Le testament sera nul, et pour cause. v.1416 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  742. Vous n'y pensez donc pas ? v.1418 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  743. Si vous me fâchez, j'en laisserai deux mille. v.1420 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  744. Soit, je ne dirai mot ; cependant, de ma vie, v.1423 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  745. Je n'aurai de parler une si juste envie. v.1424 (Acte 4, scène 6, ?RASTE)
  746. N'aurais-je point encor quelqu'un de mes amis v.1425 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  747. Le scélérat encor rit de ma retenue ; v.1427 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  748. Il ne me laissera plus rien, s'il continue. v.1428 (Acte 4, scène 6, ?RASTE)
  749. Le ciel en soit béni ! v.1429 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  750. Voilà le testament heureusement fini. v.1430 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  751. J'en aurais grande envie ; v.1431 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  752. Mais j'en suis empêché par la paralysie v.1432 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  753. Qui depuis quelques mois me tient sur le bras droit. v.1433 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  754. Et ledit testateur déclare, en cet endroit, v.1434 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  755. Qu'un testament à faire est un pesant fardeau ! v.1437 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  756. M'en voilà délivré ; mais je suis tout en eau. v.1438 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  757. Laissez-moi, s'il vous plaît, l'acte qu'on vient de faire. v.1440 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  758. Qui reste dans nos mains ; je reviendrai tantôt, v.1442 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  759. Pour vous en apporter moi-même une copie. v.1443 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  760. Vous nous ferez plaisir ; mon oncle vous en prie, v.1444 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  761. Et veut récompenser votre peine et vos soins. v.1445 (Acte 4, scène 6, ?RASTE)
  762. C'est maintenant, monsieur, ce qui presse le moins. v.1446 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  763. Ai-je tenu parole ? v.1447 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  764. Et faire un testament ? v.1449 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  765. Trop bien pour mon profit. v.1449 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  766. De faire un testament qui m'est si dommageable ? v.1451 (Acte 4, scène 7, ?RASTE)
  767. Il faut, en pareil cas, que chacun soit content. v.1454 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  768. Comment donc, traître ! v.1456 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  769. N'a pas été toujours impotent et goutteux ; v.1458 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  770. Pour l'acquit de son âme et de ma conscience. v.1460 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  771. Et de ta conscience ! Et ces quinze cents francs v.1461 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  772. De pension, à toi payables tous les ans, v.1462 (Acte 4, scène 7, ?RASTE)
  773. Que tu t'es fait léguer avec tant de prudence, v.1463 (Acte 4, scène 7, ?RASTE)
  774. Est-ce encor pour l'acquit de cette conscience ? v.1464 (Acte 4, scène 7, ?RASTE)
  775. On peut en un moment nous mettre tous d'accord. v.1466 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  776. Puisque le testament que nous venons de faire, v.1467 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  777. Ne peut avoir l'honneur d'obtenir votre aveu, v.1469 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  778. M'en préserve le ciel ! v.1471 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  779. Sans former d'entreprise, v.1471 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  780. Ce serait cent fois pis ; j'en mourrais de douleur. v.1473 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  781. Il s'élève, aussi bien, dans le fond de mon coeur v.1474 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  782. Qui furieusement sur l'estomac me pèse. v.1476 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  783. Rentrons, Crispin ; je tremble, et suis persuadé v.1477 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  784. Ou que, dans ce moment, pour le moins il expire. v.1479 (Acte 4, scène 7, ?RASTE)
  785. Le laurier dont tu viens de couronner ton front v.1481 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  786. De cette pension que je me suis donnée : v.1484 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  787. Qu'as-tu donc, mon enfant, à crier de la sorte ? v.1488 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  788. Hé bien, Géronte... . v.1491 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  789. Ah ! Prenez garde à moi. v.1492 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  790. Comment donc ! Que dis-tu ? v.1493 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  791. Faire entrer, avec lui, l'attirail d'un convoi ; v.1498 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  792. Il m'a semblé d'abord entendre ouvrir la porte ; v.1500 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  793. Comme un grand revenant, Géronte sur ses pieds. v.1502 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  794. T'abuse et te fais voir un fantôme en idée. v.1504 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  795. Excuse, mon enfant, je te prenais pour lui. v.1506 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  796. Enfin criant, courant, sans détourner la vue, v.1507 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  797. Essoufflée et tremblante, ici je suis venue v.1508 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  798. Vous dire que le mal de votre oncle en ces lieux v.1509 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  799. N'est qu'une léthargie, et qu'il n'en est que mieux. v.1510 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  800. La fortune ennemie et me berce et me joue ! v.1512 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  801. Ô trop flatteur espoir ! Projets si bien conçus, v.1513 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  802. Et mieux exécutés, qu'êtes-vous devenus ? v.1514 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  803. Voilà donc le défunt que le sort nous renvoie ! v.1515 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  804. Et l'avare Achéron lâche encore sa proie ! v.1516 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  805. Je ne sais où j'en suis, et j'abandonne tout. v.1518 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  806. Un seul revers te rend faible et pusillanime ! v.1520 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  807. Reprends des sentiments qui soient dignes de toi : v.1521 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  808. Offrons-nous aux dangers ; viens signaler ta foi : v.1522 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  809. Allons-nous abuser encor quelque notaire ? v.1524 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  810. Et nous en tirerons peut-être un avantage v.1527 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  811. Qui pourrait bien servir notre mariage. v.1528 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  812. Vous, rentrez chez mon oncle, et prenez bien le soin v.1529 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  813. Pour retourner plus tôt, je pars en diligence, v.1531 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  814. Et viens vous rassurer ici par ma présence. v.1532 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  815. Ne me voilà pas mal avec mon testament ! v.1533 (Acte 4, scène 9, CRISPIN)
  816. Je vois ma pension payée en un moment. v.1534 (Acte 4, scène 9, CRISPIN)
  817. Tout ceci ne vaut rien, et m'inquiète fort : v.1537 (Acte 4, scène 9, CRISPIN)
  818. Je crains bien d'avoir fait mon testament de mort. v.1538 (Acte 4, scène 9, CRISPIN)
  819. À faire réussir en secret vos desseins ; v.1542 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  820. Maintenant que votre oncle a pu, malgré son âge, v.1543 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  821. Reprendre de ses sens heureusement l'usage, v.1544 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  822. Les nobles sentiments qui règnent dans votre âme : v.1548 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  823. Nous ne prétendons point, vous ni moi, retenir v.1549 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  824. Un bien qui ne nous peut encore appartenir. v.1550 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  825. Mais gardez ces billets quelques moments, de grâce ; v.1551 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  826. Je le prends à témoin, si, dans ce que j'ai fait, v.1553 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  827. Mon excuse, madame, est écrite en vos yeux. v.1558 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  828. Puisque pour notre hymen j'ai l'aveu de ma mère, v.1559 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  829. Je puis faire paraître un sentiment sincère. v.1560 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  830. Les biens dont vous pouvez hériter chaque jour v.1561 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  831. Votre personne seule est le bien qui me flatte ; v.1563 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  832. Ne sauraient éblouir un coeur comme le mien. v.1565 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  833. Si je l'obtiens ce coeur, non, je ne veux plus rien. v.1566 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  834. Tous ces beaux sentiments sont fort bons dans un livre. v.1567 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  835. Et je vous apprends, moi, que l'on ne s'aime bien, v.1569 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  836. Quand on est marié, qu'autant qu'on a de bien. v.1570 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  837. Mon oncle maintenant, par sa convalescence, v.1571 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  838. Fait revivre en mon coeur la joie et l'espérance ; v.1572 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  839. Et je vais l'exciter à faire un testament. v.1573 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  840. Mais ne craignez-vous rien de son ressentiment ? v.1574 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  841. Ces billets détournés ne peuvent-ils point faire v.1575 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  842. Qu'il prenne à vos désirs un sentiment contraire ? v.1576 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  843. À vouloir quelque temps encore les garder. v.1578 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  844. Pour revoir ce dépôt rentrer en sa puissance, v.1579 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  845. Il faut, mademoiselle, en ce péril offert, v.1581 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  846. Voilà tous bons billets qu'il faut, s'il vous plaît, prendre. v.1583 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  847. N'en rougissez point, ce n'est que pour les rendre. v.1584 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  848. Mais je ne sais, monsieur, en cette occasion, v.1585 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  849. En restitution je suis encor novice. v.1588 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  850. Mais j'entends quelque bruit. v.1589 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  851. À qui donc en as-tu ? Te voilà hors de toi. v.1590 (Acte 5, scène 2, ÉRASTE)
  852. Allons, monsieur, allons ; en homme de courage, v.1591 (Acte 5, scène 2, CRISPIN)
  853. Il faut ici, ma foi, soutenir l'abordage. v.1592 (Acte 5, scène 2, CRISPIN)
  854. Ô ciel ! En ce moment, v.1593 (Acte 5, scène 2, ÉRASTE)
  855. Souffrez que je vous mène à mon appartement. v.1594 (Acte 5, scène 2, ?RASTE)
  856. J'ai de la peine encore à m'offrir à sa vue : v.1595 (Acte 5, scène 2, ?RASTE)
  857. Et quand il sera temps, tous unanimement v.1597 (Acte 5, scène 2, ?RASTE)
  858. Nous viendrons travailler ensemble au dénouement. v.1598 (Acte 5, scène 2, ?RASTE)
  859. Je ne puis revenir encor de ma faiblesse : v.1603 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  860. Par de sombres vapeurs est encor tout troublé. v.1606 (Acte 5, scène 4, G?RONTE)
  861. Ai-je été bien longtemps dans cette léthargie ? v.1607 (Acte 5, scène 4, G?RONTE)
  862. Nous a tous mis ici dans un dérangement, v.1609 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
  863. Une agitation, un soin, un mouvement v.1610 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
  864. Qu'il n'est pas bien aisé, dans le fond, de décrire : v.1611 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
  865. Lorsque de votre mal vous ressentiez l'effet, v.1614 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  866. Vous seriez étonné, mais d'un étonnement v.1617 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  867. À n'en pas revenir si tôt assurément. v.1618 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  868. Où donc est mon neveu ? Son absence m'ennuie. v.1619 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  869. Ah ! Le pauvre garçon, je crois, n'est plus en vie. v.1620 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  870. Que dis-tu là ? Comment ! v.1621 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  871. Que, n'écoutant plus rien que sa douleur amère, v.1623 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  872. Et dis-lui, de ma part, que le ciel lui renvoie v.1628 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  873. Un oncle toujours plein de tendresse pour lui, v.1629 (Acte 5, scène 4, G?RONTE)
  874. S'il n'est pas encor mort, en toute diligence v.1632 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  875. Nous vous avons cru mort pendant une heure entière. v.1635 (Acte 5, scène 5, LISETTE)
  876. Et, sans perdre de temps, faire mon testament. v.1637 (Acte 5, scène 5, GÉRONTE)
  877. Les Notaires sont-ils venus ? v.1638 (Acte 5, scène 5, G?RONTE)
  878. Assurément. v.1638 (Acte 5, scène 5, LISETTE)
  879. Ils reviendront dans peu. v.1641 (Acte 5, scène 5, LISETTE)
  880. Le ciel vous l'a rendu. v.1641 (Acte 5, scène 6, CRISPIN)
  881. Hélas ! À ce bonheur me serais-je attendu ? v.1642 (Acte 5, scène 6, ÉRASTE)
  882. Sensible à mes douleurs, permet que je l'embrasse ! v.1644 (Acte 5, scène 6, ?RASTE)
  883. Hélas ! Mon cher neveu, je n'en suis guère mieux : v.1646 (Acte 5, scène 6, GÉRONTE)
  884. Mais je rends grâce au ciel de prolonger ma vie, v.1647 (Acte 5, scène 6, G?RONTE)
  885. Pour pouvoir maintenant exécuter l'envie v.1648 (Acte 5, scène 6, G?RONTE)
  886. De te donner mon bien par un bon testament. v.1649 (Acte 5, scène 6, G?RONTE)
  887. Ce garçon-là, monsieur, vous aime tendrement. v.1650 (Acte 5, scène 6, LISETTE)
  888. Dont, par la sympathie, il sentait les reprises, v.1652 (Acte 5, scène 6, LISETTE)
  889. Il vous aurait percé le coeur de part en part. v.1653 (Acte 5, scène 6, LISETTE)
  890. Nous en avons, tous trois, eu notre bonne part. v.1654 (Acte 5, scène 6, CRISPIN)
  891. Enfin le ciel a pris pitié de nos misères. v.1655 (Acte 5, scène 6, LISETTE)
  892. Ici depuis longtemps vous êtes attendu. v.1658 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  893. Certes, je suis ravi, monsieur, qu'en moins d'une heure v.1659 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  894. Je savais bien qu'ayant fait votre testament, v.1661 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  895. Vous sentiriez bientôt quelque soulagement. v.1662 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  896. Je vous avais promis de remettre en vos mains. v.1666 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  897. C'est votre testament que vous venez de faire. v.1668 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  898. J'ai fait mon testament ! v.1669 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  899. Je ne rêve, monsieur, en aucune façon ; v.1673 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  900. Vous nous l'avez dicté plein de sens et raison. v.1674 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  901. Le repentir si tôt saisirait-il votre âme ? v.1675 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  902. Monsieur était présent, aussi bien que madame : v.1676 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  903. Ils peuvent là-dessus dire ce qu'ils ont vu. v.1677 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  904. Éraste était présent ? v.1679 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  905. Est-il vrai, mon neveu ? Parle, je t'en conjure. v.1680 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  906. Ah ! Ne me parlez point, monsieur, de testament ; v.1681 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
  907. C'est m'arracher le coeur trop tyranniquement. v.1682 (Acte 5, scène 7, ?RASTE)
  908. Crispin, parle en ma place ; v.1683 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  909. Je sens, dans mon gosier, que ma voix s'embarrasse. v.1684 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  910. Je pourrais là-dessus vous rendre satisfait ; v.1685 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  911. J'ai fait mon testament ? v.1687 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  912. Qu'on vous l'ait vu tantôt absolument écrire ; v.1688 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  913. Rien n'est plus véritable, et vous pouvez m'en croire. v.1695 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  914. Oui, c'est elle en effet. v.1697 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  915. N'en doutez nullement ; et, pour prouver le fait, v.1698 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  916. Ne vous souvient-il pas que, pour certaine affaire, v.1699 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  917. Je ne m'en souviens point. v.1704 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  918. Ne vous souvient-il pas, monsieur, bien nettement, v.1705 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  919. Qu'il est venu tantôt certain neveu normand, v.1706 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  920. Et des airs insolents, chez vous vous faire insulte ? v.1708 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  921. Que pour vous venger de leur emportement, v.1709 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  922. Vous m'avez promis place en votre testament, v.1710 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  923. Ou quelque bonne rente au moins pendant ma vie ? v.1711 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  924. Je ne m'en souviens point. v.1712 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  925. Ne vous souvient-il pas que monsieur Clistorel... v.1714 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  926. Monsieur convient de tout, du tort de sa mémoire, v.1716 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
  927. Du notaire mandé, du testament écrit. v.1717 (Acte 5, scène 7, ?RASTE)
  928. Il faut bien qu'il soit vrai, puisque chacun le dit. v.1718 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  929. Mais voyons donc enfin ce que j'ai fait écrire. v.1719 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
  930. Ah ! Voilà bien le diable. v.1720 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  931. Fut présent devant nous, dont les noms sont au bas, v.1721 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  932. Maître Mathieu Géronte, en son fauteuil à bras, v.1722 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  933. Étant en son bon sens, comme on a pu connaître v.1723 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  934. Par le geste et maintien qu'il nous a fait paraître ; v.1724 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  935. Quoique de corps malade, ayant sain jugement ; v.1725 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  936. Lequel, après avoir réfléchi mûrement v.1726 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  937. Ne se fendrait en quatre, en entendant ces mots ? v.1729 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  938. En les voyant pleurer, mon âme est attendrie. v.1731 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  939. La, la, consolez-vous ; je suis encore en vie. v.1732 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
  940. Considérant que rien ne reste en même état, v.1733 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  941. Faites trêve un moment à vos soupirs, madame. v.1736 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  942. Considérant que rien ne reste en même état, v.1737 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  943. Si vous pleurez toujours, je ne pourrai rien dire. v.1740 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  944. Son susdit testament, en la forme qui suit. v.1742 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  945. De tout ce préambule et de cette légende, v.1743 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  946. S'il m'en souvient d'un mot, je veux bien qu'on me pende. v.1744 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
  947. Ah ! Je vous en réponds. v.1745 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  948. Je veux, premièrement, qu'on acquitte mes dettes. v.1747 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  949. Je ne dois rien. v.1748 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  950. Voici l'aveu que vous en faites : v.1748 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  951. Je dois quatre cents francs à mon marchand de vin, v.1749 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  952. Je dois quatre cents francs ! C'est une fourberie. v.1751 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  953. C'est un maraud qu'il faut envoyer en galère. v.1755 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  954. Quand ils y seraient tous, on ne les plaindrait guère. v.1756 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  955. Déshéritant, en tant que besoin pourrait être, v.1759 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  956. Parents, nièces, neveux, nés aussi bien qu'à naître, v.1760 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  957. S'il s'en trouvait aucuns au jour de mon décès. v.1762 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  958. Comment ! Moi des bâtards ? v.1763 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  959. À cet article-la, je vois présentement v.1765 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  960. Que j'ai bien pu dicter le présent testament. v.1766 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
  961. Item. Je donne et lègue, en espèce sonnante, v.1767 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  962. Pour épouser Crispin en légitime noeud, v.1769 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  963. Monsieur... en vérité... pour peu... v.1770 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  964. Non... jamais... car enfin... ma bouche... quand j'y pense... v.1771 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  965. Je me sens suffoquer par la reconnaissance, v.1772 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  966. Vous repentiriez-vous d'avoir fait oeuvre pie ? v.1776 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  967. Qui veut faire une fin en tout bien, tout honneur, v.1778 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  968. Comment ! Six mille francs ! Quinze ou vingt écus, passe. v.1780 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  969. On a ce que l'on peut, entendez-vous, ma mie ? v.1783 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  970. Il en est à tout prix. Achevez, je vous prie. v.1784 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
  971. Ah ! C'est mon tour enfin. v.1785 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  972. Qu'il rend à mon neveu dans divers exercices, v.1788 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  973. Et qu'il peut bien encor lui rendre à l'avenir... v.1789 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  974. Où donc ce beau discours doit-il enfin venir v.1790 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  975. Quinze cents francs de rentes viagères, v.1791 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  976. Pour avoir souvenir de moi dans ses prières. v.1792 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  977. Oui, je vous le promets, monsieur, à deux genoux, v.1793 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  978. Voilà ce qui s'appelle un vraiment honnête homme ! v.1795 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  979. Si généreusement me laisser cette somme ! v.1796 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  980. Quel éclaircissement voulez-vous qu'on vous donne ? v.1799 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  981. Quinze cents francs de rente à ce maître fripon, v.1802 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  982. Ne vous repentez pas d'une oeuvre méritoire ; v.1804 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  983. Voulez-vous, démentant un généreux effort, v.1805 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  984. Je tremble du malheur dont je sens les approches ; v.1808 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  985. Vous les cherchez en vain, vous ne les avez pas. v.1810 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
  986. Je ne m'en souviens point. v.1813 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  987. J'avais perdu l'esprit, le sens, et la raison. v.1818 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  988. Ne vous alarmez point, je viens pour vous les rendre. v.1819 (Acte 5, scène 8, ISABELLE)
  989. Mais sous des lois que nous osons prétendre. v.1820 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
  990. Je vous prie humblement v.1821 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
  991. De vouloir approuver le présent testament. v.1822 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
  992. Mais tu n'y penses pas. Veux-tu donc que je laisse v.1823 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  993. Songez à l'intérêt que le ciel vous en rend : v.1825 (Acte 5, scène 8, LISETTE)
  994. Et ce maraud aurait cette somme en partage ! v.1827 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  995. Je vous promets, monsieur, d'en faire un bon usage : v.1828 (Acte 5, scène 8, CRISPIN)
  996. De plus, ce legs ne peut en rien vous faire tort. v.1829 (Acte 5, scène 8, CRISPIN)
  997. Il est vrai qu'il n'en doit jouir qu'après ma mort. v.1830 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  998. Ce n'est pas encor tout : regardez cette belle ; v.1831 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
  999. Vous savez ce qu'un coeur peut ressentir pour elle ; v.1832 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
  1000. Charmé de ses attraits, j'embrasse vos genoux ; v.1834 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
  1001. Et je vous la demande en qualité de femme. v.1835 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
  1002. Que, lorsqu'en écoutant un sentiment plus sain, v.1837 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
  1003. Je veux voir mes billets en entier. v.1841 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  1004. Tels que je les reçus, je les rends. v.1842 (Acte 5, scène 8, ISABELLE)
  1005. Convenons de nos faits avant que de rien rendre. v.1843 (Acte 5, scène 8, LISETTE)
  1006. Si tu ne me les rends, je vous ferai tous pendre. v.1844 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  1007. Monsieur, vous me voyez embrasser vos genoux : v.1845 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
  1008. La tendresse m'accueille. v.1847 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  1009. Dites-moi, n'a-t-on rien distrait du portefeuille ? v.1848 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1010. Non, monsieur, je vous jure ; il est en son entier, v.1849 (Acte 5, scène 8, ISABELLE)
  1011. Hé bien ! S'il est ainsi, par-devant le notaire, v.1851 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  1012. Pour avoir mes billets, je consens à tout faire ; v.1852 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1013. Je ratifie en tout le présent testament, v.1853 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1014. Et donne à votre hymen un plein consentement. v.1854 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1015. De vos remerciements volontiers je me passe. v.1856 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  1016. Mariez-vous tous deux, c'est bien fait ; j'y consens : v.1857 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1017. Mais, surtout, au plus tôt procréez des enfants v.1858 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1018. Qui puissent hériter de vous en droite ligne ; v.1859 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1019. De tous collatéraux l'engeance est trop maligne. v.1860 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1020. Que ne fusent jamais les guerres ni les pestes. v.1864 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  1021. Lisette, sur mon front viens ceindre des lauriers : v.1866 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
  1022. Mais n'y mets rien de plus pendant le mariage. v.1867 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
  1023. J'ai du bien maintenant assez pour être sage. v.1868 (Acte 5, scène 9, LISETTE)
  1024. En faveur des vivants je fais revivre un mort ; v.1870 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
  1025. J'acquiers quinze cents francs de rente viagère, v.1872 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
  1026. Je renonce à mon legs, si vous n'applaudissez. v.1874 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)

LE DIVORCE (1688)

  1. Que diable, messieurs, ne sauriez-vous mieux prendre votre temps pour être malades ? (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  2. Cela est de la dernière impertinence, de se trouver mal quand il faut gagner de l'argent. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  3. Messieurs, ce que je vais vous dire vous déplaira peut-être ; mais, en vérité, j'en suis plus fâché que vous, et personne n'y perd tant que moi. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  4. Nous ne pouvons pas jouer la comédie aujourd'hui ; voilà notre portier qui vient de se trouver mal, et Pantalon, qui devait faire un rôle de Patrocle, est indisposé. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  5. On va vous rendre votre argent à la porte. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  6. Vous voyez, messieurs, que nous ne suivons pas les mauvais exemples, et que nous rendons l'argent, quoique la comédie soit commencée. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  7. Et vient pour empêcher que tu rendes l'argent. v.3 (Prologue, scène 2, MERCURE)
  8. Je le vois qui descend. v.4 (Prologue, scène 3, MERCURE)
  9. Qu'un changement favorable v.5 (Prologue, scène 3, MERCURE)
  10. Je descends exprès des cieux pour voir une répétition de la pièce nouvelle qu'il y a si longtemps que tu promets. (Prologue, scène 3, JUPITER)
  11. On dit que l'on y sépare un mari d'avec sa femme ; et comme Junon est une carogne qui me fait enrager, je pourrai bien en faire venir la mode là-haut. (Prologue, scène 3, JUPITER)
  12. Mais, Monsieur Jupiter, quelle apparence ? (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  13. Nous ne la savons pas encore : il va venir un débordement de sifflets de tous les diables. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  14. Ne te mets pas en peine ; j'ai fait provision de quantité de foudres de poche ; et le premier siffleur qui branlera, par la mort ! (Prologue, scène 3, JUPITER)
  15. Tout doucement, Monsieur Jupiter ; ne choquons point le parterre, s'il vous plaît ; nous en avons besoin : cela ne se gouverne pas comme votre tête. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  16. Messieurs, puisque Jupiter l'ordonne, et que d'ailleurs... l'occasion... de la faveur... votre bonté... votre argent... qu'on a de la peine à rendre ; ... vous voyez bien, messieurs, que nous vous allons donner "Le Divorce". (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  17. Monsieur Jupiter, un gentilhomme comme vous aux troisièmes loges ? (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  18. Je me suis amusé, en venant, à jouer à la boule aux petits-carreaux, contre quatre procureurs qui ne m'ont laissé que trente sous. (Prologue, scène 3, JUPITER)
  19. Ces messieurs-là savent aussi bien rouler le bois que ruiner une famille. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  20. Monsieur Jupiter, si vous vouliez me laisser votre monture, je la ferais mettre à la daube : aussi bien les dieux de l'opéra, qui sont bien montés quand ils viennent, s'en retournent toujours à pied. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  21. Je le sais bien ; j'étais la chambre de madme votre soeur quand son mari, monsieur Sotinet, mon maître et votre beau-frère, la surprit comme elle vous écrivait la dernière lettre que vous avec reçue d'elle, où elle vous mande de venir au plus tôt à Paris, afiun de prendre des mesures avec vous pour se mettre à couvert du chagrin que son vieux mari lui fait tous les jours. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  22. Benissimo. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
  23. Mais malheureusement mais vous êtes gueux comme un rat, et il y a longtemps que votre noblesse serait tombée par terre, si la roture ne l'avait soutenue. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  24. Mais laissez-moi faire : si votre soeur consent à la séparation, je m'engage, moi, de faire toruver tout l'argent qu'il faudra pour l'obtenir ; et si , je veux que ce soit mon maître qui le fournisse. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  25. J'ai une dent contre lui, pour certains coups de bâton qu'il me donna une fois, à cause qu'il me surprit à la cave avec la servante du logis. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  26. Je lui aidais à mettre un muid de vin en perce. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  27. Tu pensa in tanto a quelle vieni di promettermi. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
  28. Que je pense de jolis tours pour délivrer ma maîtresse des mains de son vieux mari ! (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  29. Mais la difficulté est de trouver des gens qui les éxecutent. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  30. Si mon cher ami Arlequin était encore au monde, c'est là justement l'homme qu'il ma faudrait ; mais le pauvre garçon s'est avisé de se faire pendre, et ... (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  31. Je n'ai jamais vu de gens plus curieux, ni plus insolents ; ils crient après moi, il a chié au lit, il a chié au lit, comme si j'étais un masque. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  32. Que j'ai vu cet homme-là pendu quelque part. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  33. Parente ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  34. Parente ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  35. Mais ce manteau-là m'appartient. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  36. En vérité, je suis ravi de te voir. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  37. Tu arrives fort à propos pour rendre service à Monsieur Aurélio, dans une affaire de conséquence. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  38. Qui ? Monsieur Aurélio, mon ancien maître ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  39. Lui-même : il est aussi gueux à présent comme il était du temps que tu le servais. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  40. Tant pis ; car je ne suis pas aussi sot que je l'ai été, moi ; et je ne m'emploierai jamais pour qui que ce soit, qu'auparavant je ne sois assuré de la récompense. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  41. Sers-le bien, et ne te mets point en peine ; tes gages te seront bien payés ; et si l'affaire que j'ai en tête réussit, je te réponds d'une bonne récompense. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  42. Mais tire-moi d'un doute : il a couru un bruit que tu avais été pendu, et je te croyais déjà bien sec. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  43. Point du tout ; je me porte le mieux du monde : il est vrai que j'ai eu quelque petite indisposition, et que j'ai été sur le point de mourir de la courte haleine ; mais je m'en suis bien guéri. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  44. Tu sais bien que j'ai toujours aimé les grandes choses : dès le temps même que nous avions l'honneur de servir ensemble le roi sur ses galères... (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  45. Je n'eus pas plus tôt quitté la rame, que je me jetai malheureusement dans les médailles. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  46. Comment, dans les médailles ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  47. Non, dans les médailles ; c'est-à-dire que quand je n'avais rien à faire, pour me désennuyer, je m'amusais à mettre le portrait du roi sur des pièces de cuivre, que je couvrais d'argent, et que je donnais à mes amis pour du pain, du vin, de la viande, et autres choses nécessaires : mais comme il y a toujours des envieux dans le monde (voyez, je vous prie, comme on empoisonne les plus belles actions de la vie !), on fut dire à la justice que je me mêlais de faire de la fausse-monnaie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  48. Quelle apparence ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  49. D'abord la justice m'envoya prier de lui aller parler. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  50. Qui envoya-t-elle ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  51. Nenni, diable ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  52. C'étaient tous gens de distinction et qualifiés. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  53. Ils avaient des épées, des plumets bleus, des mousquetons. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  54. Je vous entends ; poursuivez. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  55. Ces messieurs montèrent donc dans ma chambre, et, le plus honnêtement du monde, me prièrent, de la part de la justice, de lui aller parler tout-à-l'heure ; qu'il y avait un carrosse à la porte, qui m'attendait. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  56. Et moi, j'eus beau dire que j'avais affaire, que je ne pouvais pas sortir, que j'irais une autre fois, il me fut impossible de résister aux honnêtetés et aux empressements de ces messieurs-là. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  57. Oh, pour cela, rien n'est plus vrai ; je n'ai jamais vu de gens plus honnêtes. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  58. L'un m'avait pris par un bras, aussi m'avait fait l'autre, en me disant le plus obligeamment du monde : "Oh ! Puisque nous avons été assez heureux que de vous trouver, vous ne nous échapperez pas, et nous aurons le plaisir de vous emmener avec nous" ; et à force de civilités, ils m'entraînèrent dans leur carrosse, et me conduisirent à la justice. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  59. D'abord que je fus arrivé, on me présenta à cinq ou six visages vénérables, qui étaient assis sur des fleurs-de-lis. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  60. Fort bien ! (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  61. Et ces messieurs ne vous prièrent-ils point de vous asseoir ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  62. Assurément. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  63. À quoi je répondis fort modestement : oui, monsieur, pour vous rendre mes très humbles services. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  64. Vous êtes un honnête homme, ajouta-t-il ; tout-à-l'heure nous allons parler à vous ; asseyez-vous toujours en attendant. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  65. Ces messieurs donc, après s'être parlé à l'oreille, me demandèrent encore si véritablement c'était moi qui avais cet heureux talent ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  66. Je leur répliquai qu'oui, que je leur demandais excuse si je ne faisais pas aussi bien que je l'aurais souhaité ; mais que j'avais grande envie de travailler, et qu'avec le temps, j'espérais devenir plus habile. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  67. Fort bien. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  68. Et eux parurent fort contents de votre déclaration ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  69. Je remarquai que mon discours les avait réjouis ; mais cela n'empêcha pas qu'ils ne me condamnassent sur l'heure à être pendu et étranglé à la Croix Du Trahoir. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  70. Quand j'entendis qu'on m'allait pendre, je commençai à crier : mais, messieurs, vous n'y pensez pas. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  71. Me pendre, moi ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  72. Je ne suis qu'un jeune homme qui ne fais que d'entrer dans le monde ; et d'ailleurs, je n'ai pas l'âge compétent pour être pendu. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  73. Aussi y eurent-ils beaucoup d'égard ; et, pour faire les choses dans l'ordre, ils me firent expédier une dispense d'âge. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  74. Je ne disais mot ; mais j'enrageais comme tous les diables. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  75. Nous arrivons enfin à la Croix Du Trahoir, au pied de cette fatale colonne qui devait être le non-plus-ultrà de ma vie, et qu'on appelle vulgairement la potence. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  76. Je dis que non, et que cela pourrait par la suite me donner la gravelle ; je priai seulement les archers de me laisser boire à la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  77. On se range en haie ; je m'approche de la fontaine ; je donne un coup d'oeil autour de moi, et zest, je m'élance la tête en avant dans le robinet de la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  78. Les archers, surpris, courent à moi, et me tirent par les pieds ; et moi je m'enfonce toujours avec les mains, de manière que j'entrai tout entier dans le tuyau de la fontaine, et il ne resta aux archers que mes souliers pour les pendre. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  79. Du robinet de la fontaine, je descendis dans la Seine ; de là, je fus à la nage jusqu'au Havre-de-Grace ; au Havre-de-Grace, je m'embarquai pour les Indes, d'où me voilà présentement de retour ; et voici mon histoire achevée. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  80. Il ne me reste qu'une difficulté, qui est de savoir comment, gros comme tu es, tu as pu te fourrer dans le robinet de la fontaine. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  81. Va, va, mon ami, quand on est près d'être pendu, on est diablement mince. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  82. Va m'attendre au Petit Trianon ; dans un moment je suis à toi, et je te ménerai chez Monsieur Aurélio. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  83. Mais d'où vient que tu n'enfonces point tes pieds jusqu'au fond de tes bottes, et que tu marches sur la tige ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  84. Je tire bon augure de l'affaire de Monsieur Aurélio, et la fortune ne nous a pas renvoyé Arlequin pour rien. (Acte 1, scène 3, MEZZETIN)
  85. Mon maître m'a ordonné tantôt de lui amener un barbier : il ne faut pas manquer cette occasion pour lui voler sa bourse ; elle servira à mettre nos affaires en train. (Acte 1, scène 3, MEZZETIN)
  86. Entends-tu bien ce que je te dis ? (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  87. Oui, monsieur ; vous me dites d'empêcher que madame n'entre dans la maison, et de lui fermer la porte au nez. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  88. Animal, c'est tout le contraire : je te dis de ne laisser entrer personne pour voir ma femme, et de fermer la porte au nez de tous ceux qui se présenteront. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  89. Eh bien ! (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  90. Ne savez-vous pas bien qu'un vieux mari est comme ces arbres qui ne portent point de bons fruits, et qui ne servent que d'ombre ? (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  91. Impertinent, tes épaules te démangent bien. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  92. Fais-le entrer. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  93. On m'a dit, monsieur, que vous aviez besoin d'un homme de ma profession ; je viens vous offrir mes services. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  94. Monsieur, je suis ravi de vous voir ; faites-moi, s'il vous plaît, la barbe, le plus promptement que vous pourrez. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  95. Ne vous mettez pas en peine, monsieur ; dans deux petites heures votre affaire sera faite. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  96. Comment, dans deux heures ! Je crois que vous vous moquez. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  97. Que cela ne vous étonne pas : j'ai bien été trois mois entiers après une barbe, et tandis que je rasais d'un côté, le poil revenait de l'autre : mais présentement je suis plus habile ; vous allez voir. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  98. Ma foi, je vous demande pardon : l'empressement de vous raser m'a fait prendre mon manteau pour votre linge à barbe. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  99. Venez, maître Jacques, repassez-moi ce rasoir pour faire la barbe à monsieur. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  100. Me prenez-vous pour un cheval ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  101. Point du tout, monsieur ; mais c'est qu'il y a des gens qui sont terriblement rétifs sous le fer, et avec cet instrument-là, on leur couperait la gorge, qu'ils ne diraient mot. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  102. Vraiment, je le crois bien. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  103. Avez-vous entrepris de m'estropier ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  104. Tenez-vous donc, si vous voulez ; croyez-vous que je n'aie que vous à raser ? (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  105. Allez tout doucement ; vous m'écorchez tout vif. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  106. Limousin, monsieur, pour vous rendre service. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  107. Je croyais qu'il n'y en avait que de gascons. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  108. Il me semble que vous avez la main gauche bien plus légère que la droite. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  109. Ce sont de petits talents qu'on reçoit de la nature, et dont un honnête homme ne doit pas se glorifier. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  110. Avez-vous bien des pratiques ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  111. Tant, que je n'y saurais suffire. C'est moi qui fais la barbe et les cheveux à tous les limousins qui viennent ici travailler, et j'ai une pension de la ville pour faire tous les quinze jours le crin au cheval de bronze. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  112. Comment donc ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  113. Pour le coup, je n'y puis plus tenir. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  114. Une colique épouvantable qui me prend... (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  115. Point du tout, Monsieur ; cela n'en valait pas la peine : j'ai changé d'avis, et j'ai mieux aimé insulter la doublure de ma culotte que de vous faire attendre plus longtemps. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  116. Comment, impudent ! (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  117. Je vous trouve bien hardi de vous approcher de moi en l'état où vous êtes. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  118. Sortez, insolent ! (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  119. Si je faisais bien, je vous ferais jeter par les fenêtres. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  120. Comment, mardi, par les fenêtres ! (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  121. Non, je ne crois pas qu'il soit encore midi ; il n'y a pas trois heures que je suis rentrée. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  122. Il ne tiendra qu'à vous de l'avoir comme il vous plaira. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  123. Je ne veux qu'une petite couche de rouge pour réparer de trente méchantes nuits la plus obstinée. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  124. J'ai une conscience si délicate, que je me reprocherais les conquêtes qui ne se seraient pas faites de bonne guerre, et je crois que je mourrais de honte d'avoir dix années de plus que mon visage. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  125. Qu'importe que vos joues portent les couleurs d'un marchand ou les vôtres, pourvu que cela vous fasse honneur ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  126. Pour moi, je trouve quelques femmes d'aujourd'hui d'un parfaitement bon goût ; de toute l'année elles en ont fait un carnaval perpétuel ; elles peuvent aller au bal à coup sûr, sans crainte d'être connues. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  127. Les femmes ne sont-elles pas assez déguisées sans se masquer encore ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  128. Et pourquoi veulent-elles peindre leur peu de sincérité jusque sur leur visage ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  129. Par ma foi, voilà une belle délicatesse de sentiments. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  130. Il n'y a plus que le rouge qui se met à la toilette qui marque la pudeur des femmes d'aujourd'hui ; elles ne rougiraient jamais sans cela. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  131. Si je l'ai vu ? C'étoit moi qui faisois l'opération ; elle me faisait prendre la peau de son front, que je tirais de toute ma force ; elle criait comme un beau diable, et moi je riais comme une folle ; il me semblait habiller un levraut : mais ce qui est de meilleur, c'est qu'elle portait toujours sur elle, dans une boîte, la peau de son dernier visage calcinée, et disait qu'il n'y avait rien de si bon pour les élevures et les bourgeons. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  132. Qu'on le fasse entrer. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  133. Je crois, mademoiselle, que vous n'avez pas l'honneur de me connaître ; mais quand vous saurez que je m'appelle Monsieur De La Gavotte, sieur de Trotenville, vous devinerez aisément que je suis maître à danser. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  134. Votre nom, monsieur, est assez connu dans Paris ; et j'espère devenir une bonne écolière, ayant pour maître le plus habile homme du métier. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  135. Vous mettez ma modestie hors de cadence ; et quand on n'a, comme moi, qu'un mérite léger et cabriolant, pour peu qu'on l'élève par des louanges un peu fortes, il court risque, en tombant, de se casser le cou. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  136. Que Monsieur De Trotenville a d'esprit ! (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  137. Il est vrai que voilà une pensée qui est tout-à-fait bien mise en oeuvre ; c'est un brillant. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  138. Pour de l'esprit, mademoiselle, les gens de notre profession en regorgent. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  139. Qui en aurait, si nous n'en avions pas ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  140. Nous sommes tous les jours parmi tout ce qu'il y a de gens de qualité. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  141. Je sors présentement de chez la femme d'un élu, où je me suis fait admirer par mon esprit ; j'ai deviné une énigme du Mercure galant. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  142. Vous savez, madame, que c'est là présentement la pierre de touche du bel-esprit. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  143. Par ma foi, les beaux esprits sont donc bien communs ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  144. Car la moitié du Mercure n'est remplie que des noms de ceux qui les devinent. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  145. J'avais autrefois un carrosse à un cheval ; mais mes amis m'ont conseillé de changer de voiture, afin de ne pas causer une erreur dans le public, qui prend souvent, dans cet équipage-là, un maître à danser pour un lévrier d'Hippocrate. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  146. Vous devriez bien avoir un carrosse à deux chevaux : depuis que l'on ne joue plus, il y a tant de chevaliers qui en ont à vendre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  147. Toutes les fois que je veux aller à la Bastille, il m'emmène à Vincennes. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  148. Nous appelons ces petits animaux-là, parmi nous, un tendre engagement. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  149. Comment donc ! (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  150. Qu'est-ce que cela veut dire, un tendre engagement ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  151. Vraiment oui. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  152. Est-ce que vous ne savez pas " qu'un tendre engagement va plus loin qu'on ne pense ? " (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  153. On voit bien que monsieur sait son opéra, et qu'il en est. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  154. Comment donc, fi, fi ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  155. Vous dis-je : j'en ai été autrefois ; mais il m'a fallu plus de vingt lavements et autant de médecines pour me purifier du mauvais air que j'y avais respiré. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  156. Vous me surprenez, monsieur : j'avais toujours cru que l'opéra était le lieu du monde où l'on prenait le meilleur air. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  157. Monsieur De Trotenville a beau dire, il voudrait y être rentré, comme tous ceux qui en sont sortis : c'est un Pérou ; il n'y a pas jusqu'aux violons qui n'aient des justaucorps bleus galonnés. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  158. Je veux que le premier entrechat que je ferai me coupe le cou, si jamais j'y mets le pied ! (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  159. Quand on me donnerait un tiers dans l'opéra, je n'y rentrerois pas. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  160. Pour quelques... quelques femmes, que l'on achète bien, de par tous les diables ! (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  161. J'irais prostituer ma gloire, et figurer avec le premier venu ! (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  162. Voulez-vous que je vous parle franchement ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  163. Je ne conçois pas l'entêtement des jeunes gens. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  164. C'est une fureur, mademoiselle, et toutes les coquettes s'en plaignent hautement, et disent que l'opéra leur enlève les meilleures pratiques, et qu'elles sont ruinées de fond en comble. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  165. Je le crois bien : ces personnes-là ont grande raison ; et si j'étais d'elles, je leur ferais rendre jusqu'à la moindre petite faveur qu'elles auraient reçue. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  166. Là, là, donnez-vous patience ; on leur fera peut-être tout rendre : mais cependant elles usent en toute rigueur de leurs privilèges ; et un amant qui n'exprime son amour qu'avec des fontanges et des bas de soie, se morfond dix ans derrière leur porte. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  167. Vous vous moquez ; c'est une guenille. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  168. Ho bien, monsieur, nous la verrons une autre fois ; mais présentement je vous prie de danser un menuet avec moi. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  169. Tel que vous le voyez, il n'y a point d'homme au monde qui gourmande une chanterelle comme lui ; il ferait danser, s'il l'avait entrepris, tous les invalides et leur hôtel. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  170. Eh bien, madame ! (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  171. J'en suis charmée. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  172. Pour aujourd'hui, monsieur, il n'y a pas moyen ; je suis d'une fatigue, cela ne se conçoit pas. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  173. Mais avant que de me quitter, je vous prie de me dire combien vous prenez par mois. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  174. C'est le travail d'une semaine ; et si, ce que je vous montre-là, c'est de l'argent comptant. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  175. Il est vrai ; mais dans ce temps-là les maîtres à danser n'étaient pas obligés d'être dorés dessus et dessous, comme à présent ; et une paire de galoches était la voiture qui les menait par toute la ville. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  176. Mais présentement on ne nous regarde pas, si nous n'avons le cheval et le laquais. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  177. Ne vous en allez pas, monsieur, je vous prie. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  178. Je veux que vous entendiez chanter cet homme-là ; c'est un italien. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  179. Très volontiers, madame ; cela me fera bien du plaisir : car tel que vous me voyez, je suis à deux mains, et je chante aussi bien que je danse. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  180. Voilà un visage bien baroque ! (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  181. Les musiciens italiens sont de plaisants originaux. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  182. Comment vous appelez-vous, monsieur ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  183. Voilà bien des noms : il faut, monsieur, que vous ayez bien des pères. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  184. C'est un calendrier que cet homme-là. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  185. Je suis ravi, messieurs, que vous vous trouviez ensemble. (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
  186. Je vous prie, monsieur, de vouloir bien chanter un air. (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
  187. Je, je, je, je, le, le veux bien. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  188. Eh bien ! (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
  189. Comment pas mal ! (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  190. Il faut se jeter par les fenêtres, quand on a entendu chanter ainsi. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  191. Tout doucement, s'il vous plaît ; je ne sais point faire de ces cabrioles-là. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  192. Voyez-vous, mademoiselle, je ne suis point de ces gens qui louent à plein tuyau. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  193. Un homme comme moi, qui a été toute sa vie nourri de dièses et de bémols, est diablement délicat en musique. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  194. Monsieur apparemment n'aime pas l'italien ; mais j'ai fait depuis peu un petit duo en français, que je veux chanter avec lui, et je suis sûr qu'il ne lui déplaira pas. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  195. Qu'est-ce donc, s'il vous plaît, que tous ces pieds de mouche qui sont au commencement des lignes ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  196. Je ne compose jamais que sur ce ton, et c'est pour cela que j'en porte le nom. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  197. Eh bien ! (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  198. Monsieur, voilà un autre air en D la ré sol. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  199. Je vous trouve bien admirable de me donner des sobriquets. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  200. Voilà un homme qui est bien fâcheux ! (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  201. Je vous dis, monsieur, que cet air-là est en d la ré sol, et qu'il n'est pas si difficile que l'autre. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  202. Voilà un air bien puant. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  203. Chantez juste vous-même ; je sais bien ce que je dis. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  204. Est-ce que je ne vois pas bien qu'il faut marquer là une dissonance, et que l'octave s'entrechoquant avec l'unisson, vient à former un dièse bémol. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  205. Monsieur, avec votre permission, si les musiciens n'en savent pas plus que vous, ce sont de grands ânes. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  206. Je vous apprendrai à insulter ainsi la croche française. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  207. De la manière qu'il s'y prenait, je croyais qu'il allait tout tuer. (Acte 1, scène 9, COLOMBINE)
  208. Je vous dis encore une fois que nous nous brouillerons, si vous ne me tenez parole. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  209. J'ai fait le barbier ; j'ai volé la bourse ; il y avait cent louis d'or dedans ; vous m'en avez promis dix : je prétends les avoir, ou je ne me mêle plus de rien. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  210. Que tu es impatient ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  211. Je te les ai promis, et tu les auras ; et de plus, je te promets de te faire épouser Colombine ; mais il faut faire encore une petite fourberie. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  212. Pour épouser Colombine, j'en ferais cinquante, des fourberies. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  213. Tiens-toi un peu en repos, et laisse-moi rêver au moyen de t'introduire chez Monsieur Sotinet, pour rendre cette lettre à Isabelle. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  214. Laissez-moi en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  215. Laisse-moi songer en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  216. Je t'assure, encore une fois, que tu auras Colombine, le colombier, les pigeons, et tout ce qui a relation à elle. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  217. Tu ne veux donc pas te tenir un moment en repos ? (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  218. Je répétais le compliment de noce. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  219. Pour vous empêcher de complimenter davantage, venez çà. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  220. Oui, il y aura des violons, des vielles, et de toutes sortes d'instruments. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  221. J'enrage ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  222. Oh ! Pour le coup, c'en est trop. Couchez-vous, vite. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  223. Nous verrons un peu à présent si vous vous tiendrez en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  224. Fermez les rideaux du lit, de peur du vent. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  225. Quelle patience ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  226. Encore ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  227. Qu'est-ce qu'il y a, double enragé chien ? (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  228. Tiens, voilà le pot-de-chambre ; puisses-tu pisser la parole ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  229. Tenez, tenez ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  230. Si je prends un bâton, je te romprai bras et jambes à la fin. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  231. Si tu remues à présent, ou que tu parles, nous allons voir beau jeu. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  232. J'habillerai Arlequin en chevalier ; il ira heurter à la porte de Sotinet : d'abord, voilà Colombine... (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  233. Que ne payez-vous les gens à qui vous devez ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  234. Et pourquoi faut-il que j'aie tous les jours la tête rompue de vos folles dépenses, qui me mènent à l'hôpital ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  235. Je ne vois ici que des marchands qui apportent des parties, ou des maîtres qui demandent des mois. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  236. Vraiment, je vous trouve plaisant ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  237. Et depuis quand les maris prennent-ils ces hauteurs-là avec leurs femmes ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  238. Sachez, s'il vous plaît, monsieur, qu'un homme comme vous, qui a épousé une fille de qualité comme moi, est trop heureux quand elle veut bien s'abaisser à porter son nom. Mon mérite n'est-il pas bien soutenu d'avoir pour piédestal le nom de Monsieur Sotinet ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  239. Je sens un soulèvement de coeur, quand j'entends seulement prononcer le nom de Monsieur Sotinet. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  240. Et que n'en changez-vous, madame ? (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  241. Taisez-vous, impertinente ; on ne vous parle pas. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  242. Mais vous devez vous mettre en tête que je vous ai plutôt pris pour mon homme d'affaires que pour mon mari ; et je vous prie de ne plus vous mêler de ma conduite. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  243. Madame parle comme un oracle ; toutes les paroles qu'elle dit sont des sentences que toutes les femmes devraient apprendre par coeur. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  244. Vous devriez mourir de honte de la vie que vous menez. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  245. On n'entend parler d'autre chose que de votre jeu et de vos dépenses. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  246. Nous demeurons dans la même maison, et il y a huit jours que je ne vous ai rencontrée. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  247. Vous vous allez promener quand je me couche, et vous ne vous couchez que quand je me lève. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  248. Colombine, ne te souviens-tu point de ce petit air que m'apprit hier monsieur le marquis ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  249. Non, madame ; mais, si vous voulez, je vais vous en chanter un que je viens d'apprendre. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  250. Il y a longtemps que je suis las de tes impertinences. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  251. Mais j'empêcherai bien que cela ne dure, et je veux que tu sortes tout présentement de chez moi. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  252. Moi ? Je n'en ferai rien. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  253. Tu n'en sortiras pas ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  254. Non, je n'en sortirai pas. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  255. Comment donc ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  256. Il m'est impossible ; je sens pour vous une tendresse... (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  257. Allez, cela n'est guère bien de n'avoir pas plus de naturel pour des gens qui vous affectionnent. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  258. Eh bien ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  259. Monsieur, aurez-vous bientôt fait ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  260. Je vous prie, monsieur, de vous en aller dans votre appartement, et de me laisser en repos dans le mien. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  261. Sitôt que je suis un moment avec vous, mes vapeurs me prennent d'une violence épouvantable. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  262. Je m'ennuie bien aussi d'y être, madame, et je voudrais... (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  263. Colombine, je n'en puis plus. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  264. Soutiens-moi. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  265. Là, là, revenez ; il est parti : cela vaut bien mieux qu'une bouteille d'eau de la reine d'Hongrie. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  266. Madame, je ne sais pas ce que vous faites de cet homme-là ; mais je sais bien, moi, ce que j'en ferais, si j'étais à votre place. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  267. Quel moyen de vivre avec lui ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  268. Il a toute la journée le gosier ouvert pour faire enrager tout le monde. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  269. À te dire vrai, Colombine, je suis bien lasse de la vie que je mène. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  270. C'est un homme qui n'est jamais dans la route de la raison ; il a des travers d'esprit qui me désolent. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  271. Toute ma consolation est que nous nous ferons bien enrager tous deux. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  272. On se démarie aussi facilement qu'on se marie ; et je savais toujours bien, moi, que tôt ou tard il en fallait venir là ; il n'y avait pas de raison autrement. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  273. Il ne tiendra donc qu'à faire impunément enrager les femmes, sous prétexte qu'elles sont douces et qu'elles n'aiment pas le bruit ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  274. Vous en aurez menti, messieurs les maris ; et quand il n'y auroit que moi, j'y brûlerai mes livres, ou cela sera autrement. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  275. Donnez-moi la conduite de cette affaire-là ; vous verrez comme je m'y prendrai. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  276. Colombine, je voudrais bien n'en point venir là : je fais même tout ce que je puis pour avoir quelque estime pour Monsieur Sotinet ; mais je ne saurais en venir à bout. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  277. Est-ce que je ne le sais pas bien ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  278. N'allez pas aussi vous mettre en tête de le vouloir faire ; vous y perdriez vos peines et votre temps. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  279. Mais nous perdons bien du temps. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  280. Je dois aller passer l'après-dînée chez la marquise : viens achever de m'habiller dans mon cabinet. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  281. Mais, madame, qui est-ce qui entre là ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  282. Un dévoiement, madame, causé à ma bourse par les fréquentes crudités d'une fortune indigeste, m'a obligé d'avoir recours au remède astringent d'un petit billet payable au porteur, que j'apportais à monsieur votre époux ; mais n'y étant pas, j'ai cru qu'un homme de ma qualité pouvait entrer de volée chez les dames, et que vous ne seriez pas fâchée de connaître le chevalier De Fondsec. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
  283. Comment voulez-vous, madame ? (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
  284. Pour être heureux, il faut jouer ; pour jouer, il faut avoir de l'argent ; et pour avoir de l'argent, que diable faut-il faire ? (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  285. Car nous autres chevaliers de Gascogne, nous n'avons jamais connu ni patrimoine, ni revenu. (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  286. Il est vrai que de mémoire d'homme on n'a jamais vu venir une lettre-de-change de ce pays-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  287. Monsieur le chevalier voudra bien passer toute l'après-dînée avec nous ? (Acte 2, scène 4, ISABELLE)
  288. Je m'en vais voir sur mes tablettes. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
  289. À cinq heures et un quart, chez la comtesse qui m'a envoyé cette épée d'or. (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  290. La sotte prétention ! (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  291. Vouloir que je rende une visite pour une épée qui ne pèse que soixante louis ! (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  292. Allons, madame, je suis à vous pendant toute l'après-dînée, et pendant toute la nuit, si vous voulez : il en coûtera la vie à trois ou quatre femmes ; mais qu'y faire ? (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  293. Le moyen d'être partout ? (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  294. Monsieur, vos laquais sont là-bas, qui demandent à vous parler. (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
  295. Dis-leur que je n'ai rien à leur dire. (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
  296. Ils font un bruit de diable ; ils disent qu'il y a trois jours qu'ils n'ont mangé. (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
  297. Madame, voyez là-bas s'il y a quelque chose de reste, et qu'on leur donne seulement pour les empêcher de crier. (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
  298. Il faut dire la vérité ; monsieur le chevalier est d'un bon naturel : il ôterait volontiers le morceau de sa bouche pour le donner à ses gens. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  299. Je le crois, vraiment ; au bout de trois ans je leur donne congé pour récompense. (Acte 2, scène 6, LE-CHEVALIER)
  300. Quand je n'ai plus que deux ou trois plaisirs à prendre dans le reste du jour, je suis dans une langueur mortelle ; et je m'ennuie presque toujours, dans la crainte que j'ai de m'ennuyer bientôt. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  301. Il faut envoyer voir ce que l'on joue aux italiens. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  302. Je ne sais, madame, ce que vous voulez faire ; mais je vous avertis que monsieur a enfermé une roue du carrosse dans son cabinet, pour vous empêcher de sortir. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  303. Cela ne se peut pas, madame ; mon cocher s'en sert : c'est que je lui donne mon carrosse un jour la semaine pour ses gages ; c'est aujourd'hui son jour, et il l'a loué à des dames qui sont allées au bois de Boulogne. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
  304. Si madame veut aller à l'opéra, je trouverai bien un carrosse. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  305. Peut-on revenir à la demi-Hollande, quand on s'est si longtemps servi de batiste ? (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  306. J'y allai dès deux heures à la première représentation ; j'eus tout le temps de m'ennuyer avant que l'on commençât ; mais ce fut bien pis, quand on eut une fois commencé. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  307. Je ne conçois pas comment on peut s'ennuyer à l'opéra ; les habits y sont si beaux ! (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  308. Je vois bien que nous ne sommes pas engouées de musique aujourd'hui, et qu'il faudra nous en tenir à la comédie italienne. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  309. En vérité, madame, je ne sais pas quel plaisir vous trouvez à vos comédies italiennes ; les acteurs y sont détestables. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
  310. J'étais dernièrement à une pièce nouvelle ; elle n'était pas encore commencée, que j'entendis accorder les sifflets au parterre, comme on fait les violons à l'opéra. (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
  311. Je m'en allai aussitôt, pestant comme un diable contre ces nigauds-là, et je n'en voulus pas voir davantage. (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
  312. Vous n'attendîtes donc pas que la toile fût levée ? (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  313. Vraiment non. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
  314. Ne voit-on pas bien d'abord à ces indices-là qu'une pièce ne vaut rien ? (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
  315. Eh bien ! (Acte 2, scène 9, ISABELLE)
  316. Ne vous l'avais-je pas bien dit, madame ? (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
  317. Ces gens-là ne jouent que de vilaines choses. (Acte 2, scène 9, LE CHEVALIER)
  318. Madame, combien mettra-t-on de couverts ? (Acte 2, scène 9, LE-LAQUAIS)
  319. N'en mettra-t-on pas aussi un pour monsieur ? (Acte 2, scène 9, LE-LAQUAIS)
  320. Non. Ne savez-vous pas bien que monsieur ne mange point à table quand il y a compagnie ? (Acte 2, scène 9, ISABELLE)
  321. Parle, mon ami ; mets deux couverts pour moi ; je mangerai bien pour deux personnes. (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
  322. Dieu merci, madame, ce que je demandais est enfin arrivé : nous plaiderons, morbleu ! (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  323. La gueule du juge en pètera, et je ne souffrirai pas que vous soyez plus longtemps le rendez-vous des violences de Monsieur Sotinet. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  324. Vous ne serez plus Madame Sotinet, ou j'y perdrai mon latin. Je viens de consulter un avocat de mes amis sur votre affaire. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  325. En vérité, Colombine, j'ai eu bien de la peine à me résoudre à ce que tu as voulu. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  326. Vraiment, nous y voilà ! (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  327. Dites-moi, je vous prie, auroit-on tant d'empressement à lire l'histoire galante de certaines femmes, si une séparation ne les avait rendues célèbres ? (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  328. Saurait-on la magnificence de Madame Lycidas, en justaucorps de soixante pistoles, les discrétions qu'elle perd avec son galant, si elle n'avait pas plaidé contre son mari ? (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  329. Et l'on n'aurait jamais connu tout l'esprit d'Artémise, sans ses lettres, qui ont été produites à l'audience. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  330. Je vous le dis, madame, il n'y a rien tel que de bien débuter dans le monde, et voilà le plus court chemin. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  331. On avance plus par là en un jour d'audience qu'en vingt années de galanterie ; et vous me remercierez dans peu des bons avis que je vous donne. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  332. Il fallait donc, Colombine, que j'apprisse de longue main à mépriser, comme ces femmes dont tu me parles, les chimères et les fantômes de réputation et d'honneur qui font peur aux esprits simples comme le mien. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  333. Je conviens, avec toi, qu'il y a beaucoup d'honnêtes femmes qui sont lasses de leur métier et de leur mari ; mais, du moins, elles n'en instruisent pas la ville par la bouche d'un avocat, et ne se font point déclarer fieffées coquettes par arrêt de la cour. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  334. C'est qu'elles n'ont pas un mari aussi bourru que vous en avez un. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  335. Madame, ne vous mettez point en peine, vous n'irez point aux juridictions ordinaires : le dieu d'Hymen est arrivé depuis quelque temps en cette ville, pour démarier toutes les personnes qui sont lasses du mariage. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  336. Je veux qu'il commence par vous. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  337. Mon pauvre Arlequin, tu viens ici bien à propos. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  338. Tenez, madame, voilà l'avocat que je vous veux donner. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  339. Viens çà, sais-tu plaider ? (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  340. Il me fit une fois plaider en sa place pour un homme qui avait fait quelque petite friponnerie. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
  341. Il devait naturellement, et suivant toutes les règles de la justice, aller droit aux galères : je lui épargnai la fatigue du chemin : je fis tant qu'il n'alla qu'à la grève. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
  342. Tu plaides donc bien ? (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  343. Il n'en faut pas davantage pour gagner le procès le plus désespéré. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  344. Allons, viens ; suis-moi : je te dirai ce qu'il faut que tu fasses. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  345. Ne vous mettez pas en peine, madame ; je vous en tirerai. Je ne vous dis pas ce que j'ai envie de faire. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  346. Et comment m'y prendre ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  347. Il n'y a rien au monde de si aisé. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  348. Il le faut prendre par la gueule. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  349. Un avocat va le matin en robe au palais. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  350. Dès qu'il y est, il entre à la buvette, où il mange des saucisses, des rognons, des langues, et boit du meilleur. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  351. D'abord, tu commenceras ton plaidoyer en disant : messieurs, je parle pour Mademoiselle Isabelle, contre son mari, qui est un débauché, un puant, un fou, et autres choses semblables. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  352. Laisse-moi faire, pourvu que les saucisses marchent... (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  353. Cela s'en va sans dire. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  354. çà, prends que je sois le juge ; commence par plaider. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  355. Et d'où vient ? (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  356. C'est que je n'ai pas encore été à la buvette. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  357. Voilà une buvette qui te tient bien au coeur ! (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  358. Tiens, prends que je sois le juge. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  359. Fort bien. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  360. Je conclus à ce que nous allions manger les saucisses, avant qu'elles refroidissent. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  361. Eh bien ! (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  362. Viendra-t-il bientôt ? (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  363. Monsieur, il est bien malade ; il ne pourra pas venir : en taillant sa plume, il s'est coupé un peu le doigt ; il dit qu'il ne pourra pas plaider dans l'état où il est. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  364. Comment ! (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  365. Il m'a dit qu'il allait envoyer un jeune homme en sa place, qui plaide comme un diable, et qui vous fera aussi bien perdre votre procès que lui-même. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  366. Cette affaire-là me fera mourir ; je n'en sortirai jamais à mon honneur. (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  367. Ma femme m'a fait assigner devant le dieu d'Hymen ; on n'est guère favorable aux maris à ce tribunal-là. (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  368. Ce qui me fâche le plus, c'est que l'on me fera rendre vingt mille écus que je n'ai point reçus. (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  369. Monsieur, consolez-vous : il y a bien des gens qui voudroient être quittes de leurs femmes à ce prix-là. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  370. Pour Messire Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, contre la dame Sotinet, sa femme, demanderesse en séparation. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  371. Donnez-vous un peu de patience ; nous n'aurons pas plus tôt démarié la première, qu'elles y viendront toutes les unes après les autres. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  372. En effet, messieurs, une jeune femme qui épouse un vieillard, dans l'espérance de l'enterrer six mois après, n'est-elle pas en droit de lui demander raison de son retardement ; et n'est-elle pas bien fondée à faire rompre son mariage, puisque son mari n'a pas satisfait à l'article le plus essentiel du contrat, par lequel il s'est obligé tacitement à ne pas passer l'année ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  373. Celui pour qui je parle, après avoir longtemps contemplé du port les naufrages de tant de malheureux époux, s'embarqua enfin sur la mer orageuse du mariage ; et quand il fit ce solécisme en conduite, qu'il souffrit cette léthargie de bon sens, cette éclipse de raison, s'il se fût mis une corde au cou, ou qu'il se fût jeté dans la rivière, il n'auroit jamais tant gagné en un jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  374. Il fit ce qu'ont accoutumé de faire les gens sur le retour, quand ils épousent de jeunes filles, c'est-à-dire qu'il confessa avoir reçu vingt mille écus, quoiqu'elle ne lui eût jamais apporté en mariage qu'un fonds de galanterie outrée, et une fureur effrénée pour le jeu : voilà la dot de la Dame. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  375. Avec votre permission, Maître Braillardet, vous ne vous tiendrez pas pour interrompu si je vous dis que vous en avez menti : il a reçu vingt mille bons écus. (Acte 3, scène 6, SOTINET)
  376. Des démentis, messieurs, des démentis ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  377. Allez, allez votre chemin : je vous vois venir avec vos suppositions. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  378. Oui, oui, messieurs ; quand je dis que voilà la dot de la Dame Sotinet, je n'avance rien que de véritable ; mais ne croyez pas que, parcequ'elle n'a rien eu en mariage, elle en dépense moins en se mariant. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  379. Les jeunes filles qui se vendent à des vieillards achètent en même temps le droit de les envoyer à l'hôpital promptement, par leurs dépenses extravagantes : c'est ce qu'a presque fait la Dame Sotinet ; car enfin le pauvre homme ne fut pas plus tôt marié, qu'il vit bien comme presque tous les autres qui s'enrôlent dans cette milice qu'il avait fait une sottise ; que le mariage est une affaire à laquelle il faut songer toute sa vie ; qu'un bon singe et la meilleure femme sont souvent deux méchants animaux ; et que ce grand philosophe avait bien raison de s'écrier, en voyant trois ou quatre femmes pendues à un arbre : que les hommes seraient heureux, si tous les arbres portaient de semblables fruits ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  380. Ce fruit-là serait diablement âcre, et il ne serait bon, tout au plus, qu'en compote. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  381. Il vit, dès le jour même de son mariage, introduire chez lui l'usage des deux lits, usage condamné par nos pères, inventé par la discorde, et fomenté par le libertinage ; usage que je puis nommer ici la perte du ménage, l'ennemi mortel de la réconciliation, et le couteau fatal dont on égorge sa postérité. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  382. Il vit fondre chez lui, dès le lendemain, tous les fainéants de la ville, chevaliers sans ordre, beaux esprits sans aveu ; cent petits poètes crottés, vrais chardons du Parnasse ; de ces fades blondins, minces colifichets de ruelles ; en un mot, il vit faire de sa maison une académie de jeux défendus, et fut obligé de payer une grosse amende, à quoi il fut condamné. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  383. Oui, oui, messieurs, je n'avance rien que de véritable ; et, malgré toutes les précautions, il n'a pas laissé de la payer cette amende, dont voici la quittance signée Pallot. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  384. Vous croyez peut-être que ce fut, comme d'ordinaire, quelque fripon de laquais, enragé d'avoir été chassé de la maison ; ou quelque joueur, outré d'avoir perdu son argent ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  385. Oui, messieurs, ce fut elle qui, ne sachant plus où trouver de l'argent pour jouer, alla dénoncer elle-même que l'on jouait chez elle : elle fut condamnée à trois mille livres d'amende. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  386. Voilà bien du latin de perdu. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  387. S'il ne tient qu'à parler latin... (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  388. Je parle bon français, Maître Cornichon ; on m'entend bien. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  389. Les pierreries engagées ; la vaisselle d'argent vendue ; des tableaux d'un prix extraordinaire enlevés : car le Sieur Sotinet a toujours été extrêmement curieux d'originaux, et se connaissait parfaitement en peinture. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  390. Je le crois bien : il a porté les couleurs assez longtemps pour s'y connaître. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  391. Cela est faux : il n'a jamais porté que du gris chez un homme d'affaires, et cela s'appelle apprenti sous-fermier, et non pas laquais, Maître Cornichon, et non pas laquais. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  392. Mais, messieurs, s'il n'y avait que de la dissipation dans la conduite de la Dame Sotinet, vous n'entendriez pas retentir votre tribunal des plaintes de son mari ; mais puisqu'il est aujourd'hui obligé d'avouer sa honte et son malheur, approchez, financiers, plumets, chevaliers, et vous godelureaux les plus déterminés ; paraissez sur la scène. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  393. Oui, oui, messieurs, nous trouverons de tous ces gens-là dans l'équipage de la Dame Sotinet, équipage qu'elle promène scandaleusement par toute la ville, et la nuit et le jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  394. Non, ce n'est point pour elle que le soleil éclaire, elle méprise cette clarté bourgeoise ; elle ne sort de chez elle qu'avec les oublieurs, et n'y rentre qu'à la faveur des crieurs d'eau-de-vie. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  395. La pauvre femme y est bien obligée. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  396. Son mari a la cruauté de lui refuser un flambeau ; il faut bien qu'elle attende le jour pour s'en retourner chez elle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  397. On ne manquera pas de vous dire que celui pour qui je suis est un brutal ; j'en tombe d'accord : un ivrogne ; je le veux : un débauché ; j'y consens : un homme même qui est quelquefois attaqué de vertiges ; cela est vrai : mais, messieurs... (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  398. Taisez-vous, ignorant, ce sont des figures de rhétorique qui persuadent. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  399. Si je vous parlais des intrigues de la Dame Sotinet, de ses aventures galantes, de ses subtilités pour tromper son mari ; mais... vous rougiriez, illustres et vieilles coquettes de notre temps, de voir qu'une femme de dix-huit ans vous a laissées bien loin après elle dans la carrière de la galanterie et j'apprendrais aux femmes qui m'écoutent de nouveaux tours de souplesse (elles n'en savent déjà que trop). (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  400. Et après cela, messieurs, une femme, qui est le précis, l'élixir, la mère-goutte de la transcendante coquetterie, viendra vous demander une séparation ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  401. Ne tiendra-t-il qu'à donner de pareilles détorses à l'Hymen ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  402. Ordonnerez-vous qu'un mari soit déclaré veuf, avant que d'avoir eu le plaisir d'enterrer sa femme ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  403. Messieurs, je parle pour Damoiselle Zorobabel de Roqueventrousse, demanderesse en séparation, contre Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, ci-devant laquais, et défendeur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  404. L'aspect de ce sénat cornu, pompe digne de l'Hymen ; cet attirail funeste et menaçant, tout cela, je l'avoue, m'inspire quelque terreur : mais, d'un autre côté, l'équité de ma cause me recreat et reficit ; puisque je parle ici pour quantité de femmes, qui vous disent par ma bouche qu'un mari est à présent un meuble fort inutile ; et que, quand il n'y en aurait point, le monde ne finirait pas pour cela. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  405. Le mois de mars 87, Mathurin-Blaise Sotinet, âgé de soixante-dix ans, sentit un prurit pour la noce, une démangeaison pour le mariage ; cette vieille rosse, refaite et maquignonée, cette mèche sèche et ridée, prit feu aux étincelles des yeux de celle pour qui je parle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  406. Il l'épousa, et il ne tint qu'à lui de voir qu'il avait mis dans sa maison un trésor de sagesse et de prudence, puisqu'elle ne dépensa, en se mariant, que les vingt mille écus qu'elle avait eus en mariage. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  407. Rare exemple de modération pour les femmes d'aujourd'hui, qui montent insolemment sur une grosse dot, pour insulter à l'économie de leurs maris. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  408. J'avais oublié de vous dire, messieurs, que le mariage fut presque rompu, parceque le futur n'avait envoyé qu'un carreau de cinq cents écus. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  409. Je le crois bien : je connais la fille d'un drapier qui en a renvoyé un de deux mille livres ; et si, dans ce temps-là, les drapiers n'avaient pas gagné leur procès contre les marchands de soie. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  410. La femme d'un sous-fermier, un carreau de cinq cents écus ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  411. Taisez-vous donc, si vous pouvez. Si on n'impose silence à Maître Braillardet, je n'achèverai jamais ma plaidoirie. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  412. Vous la voyez, messieurs, à votre tribunal, cette innocente opprimée, cette femme qui engage ses pierreries, vend sa vaisselle d'argent. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  413. Le Sieur Sotinet était entré malheureusement dans l'affaire du bois carré. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  414. Tous ses associés sont en fuite. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  415. On l'appréhende au corps ; on l'entraîne au for-l'évêque. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  416. Cette chaste tourterelle, privée de son tourtereau, que d'impitoyables sergents lui ont enlevé, va, court, engage tout. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  417. Pourquoi encore une fois ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  418. En vérité, messieurs, voilà une calomnie atroce. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  419. Le Sieur Sotinet n'a jamais été en prison. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  420. Un sous-fermier, jamais en prison ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  421. Eh bien ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  422. Donnez-vous un peu de patience, nous l'y ferons bientôt aller. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  423. Mais que dirons-nous, messieurs, de ses débauches, ou, pour mieux dire, que n'en dirons-nous pas ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  424. Non, messieurs, c'est plutôt une futaille, ou, pour mieux dire, un râpé qui ne fait que se remplir et se vider à tous moments. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  425. C'est un bouchon ambulant ; c'est une éponge toute dégouttante de vin, dont les vapeurs obscurcissent et soufflent enfin la chandelle de sa raison. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  426. N'avait-il bu que de l'eau, Maître Braillardet, quand, sortant tout chancelant d'un cabaret, pour assister à l'enterrement d'un de ses meilleurs amis, il se laissa tomber dans la fosse, où il serait encore, si, par malheur pour sa femme, on ne l'en eût retiré ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  427. N'a-t-il bu que de l'eau, quand il revient chez lui le soir, amenant avec soi des femmes d'une vertu délabrée, et qu'il maltraite celle pour qui je suis de paroles et de coups ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  428. Mais, s'il n'y avait que des coups à essuyer, je ne m'en plaindrais pas ; car on sait bien qu'une femme veut être un peu pansée de la main ; mais de se voir, à tous moments, exposée aux extravagances d'un fou ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  429. Oui, messieurs, je vous le garantis tel, et des plus fous qui se fassent. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  430. On n'a qu'à lire les dépositions des témoins, on verra qu'on l'a encore vu aujourd'hui courir les rues à pied, la barbe faite d'un côté, et le bassin passé à son cou. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  431. Je n'ai jamais fait d'autre folie que celle de prendre ma femme. (Acte 3, scène 6, SOTINET)
  432. Vous voyez, messieurs, que votre présence ne saurait servir de gourmette à ce furieux. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  433. Que serait-ce, si cette pauvre innocente se trouvait toute seule avec lui ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  434. Approchez, malheureuse opprimée ; venez, épouse infortunée : c'est à l'ombre de ce tribunal que vous trouverez un asile assuré contre la pétulance de votre persécuteur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  435. Souffrirez-vous, messieurs, qu'une femme qui (comme dit fort élégamment un savant philosophe) doit être, vas dignitatis, non voluptatis, devienne un grenier à coups de poing ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  436. Qu'une femme, qui doit être la soucoupe des plaisirs d'un mari, soit le ballon de ses emportements ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  437. Non, messieurs, vous ne souffrirez pas que ces innocentes brebis soient si cruellement égorgées par ces loups ravissants ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  438. Qui voudrait dorénavant se mettre en ménage, si vous fermiez la porte aux séparations ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  439. Le divorce ayant été de tout temps tout ce qu'il y a de plus piquant dans le mariage, ce ragoût de veuvage anticipé, cette viduité prématurée que vous allez servir à la Dame Sotinet, va faire venir l'eau à la bouche à quantité de femmes de Paris : elles en voudront tâter. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  440. L'hôtel de Bourgogne crèvera de monde : vous en aurez toute la gloire, et les comédiens italiens tout le profit. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  441. Ayant aucunement égard à la requête de la partie de Maître Cornichon, le dieu de l'Hymen a ordonné que la Dame Sotinet demeurera séparée de corps et de biens d'avec son mari ; qu'elle reprendra les vingt mille écus qu'elle a apportés en mariage ; qu'elle jouira, dès à présent, de son douaire, étant réputée veuve, et d'une pension de trois mille livres ; et, attendu la démence avérée du Sieur Sotinet, nous avons ordonné qu'à la diligence de sa femme, il sera incessamment enfermé aux Petites-Maisons, ou à Saint-Lazare. (Acte 3, scène 6, DIEU DE L'HYMEN)
  442. Moi, enfermé ! (Acte 3, scène 6, SOTINET)
  443. Monsieur L'Hyménée, ce n'est pas tout : vous venez de défaire un mariage ; mais il s'agit d'en refaire un autre entre Colombine et moi. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  444. Je le veux bien ; car j'ai toujours ouï dire qu'une femme et un almanach sont deux choses qui ne sont bonnes tout au plus que pour une année. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

LE CARNAVAL DE VENISE (1699)

  1. Ne perdez pas des moments précieux. v.2 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  2. Ne perdons pas des moments précieux. v.4 (Acte 1, scène 1, LE-CHOEUR)
  3. Tout accuse votre lenteur ; v.6 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  4. Ne perdez pas des moments précieux. v.10 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  5. Ne perdons pas des moments précieux. v.12 (Acte 1, scène 1, LE-CHOEUR)
  6. À descendre des cieux ? v.14 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  7. Pour venir en ce jour, v.17 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  8. Est-ce ainsi qu'on prétend mériter mes regards ? v.23 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  9. Par nos soins empressés, par notre diligence, v.24 (Acte 1, scène 2, L'ORDONNATEUR)
  10. Rous allons satisfaire à votre impatience. v.25 (Acte 1, scène 2, L'ORDONNATEUR)
  11. Ne perdez pas des moments précieux. v.27 (Acte 1, scène 2, L'ORDONNATEUR)
  12. Ne perdons pas des moments précieux. v.29 (Acte 1, scène 2, LE-CHOEUR)
  13. Vos soins me paraissent trop lents. v.31 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  14. Retirez-vous, ministres négligents, v.32 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  15. Je prétends m'employer moi-même. v.33 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  16. Venez, coeurs sensibles, v.44 (Acte 1, scène 3, SUIVANT-DE-LA-MUSIQUE)
  17. Mais ses biens parfaits v.54 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
  18. Nous vengent de ses traits. v.55 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
  19. Les dieux seuls en ce jour auront-ils l'avantage v.60 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR)
  20. Entre les mortels et les dieux, v.62 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR)
  21. Il faut que ce bien se partage. v.63 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR)
  22. Les dieux prendront soin de sa gloire. v.67 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR, UN SUIVANT MUSIQUE, UN SUIVANT DANSE)
  23. Venez, venez de toutes parts v.69 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  24. Venez vous délasser de vos travaux guerriers ; v.71 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  25. Les myrtes quelquefois valent bien des lauriers. v.73 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  26. Mille exploits éclatants consacrent sa mémoire ; v.76 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  27. Il sait à ses drapeaux enchaîner la victoire ; v.77 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  28. La Paix descend pour lui des cieux. v.78 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  29. Mille exploits éclatants consacrent sa mémoire ; v.81 (Acte 1, scène 3, LE-CHOEUR)
  30. Il sait à ses drapeaux enchaîner la Victoire ; v.82 (Acte 1, scène 3, LE CHOEUR)
  31. La Paix descend pour lui des cieux. v.83 (Acte 1, scène 3, LE CHOEUR)
  32. Vous qui suivez mes pas, remplissez mon attente ; v.84 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  33. Tout ce que Venise a de jeux v.86 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  34. J'ai fait l'aveu de l'ardeur qui m'enflamme, v.88 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  35. D'un nouveau trouble agite encor mon âme. v.91 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  36. Je cherche en vain de toutes parts, v.96 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  37. Léandre ne vient point s'offrir à mes regards. v.97 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  38. Je ne vois plus le même empressement. v.99 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  39. Fait bien souvent expirer sa tendresse. v.101 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  40. Isabelle paraît ; un soudain mouvement v.106 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  41. Augmente ma crainte fatale. v.107 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  42. Ah ! Qu'un coeur amoureux est jaloux aisément ! v.109 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  43. Dans ces beaux lieux, où tout enchante, v.110 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  44. Je viens donner quelques moments v.111 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  45. Qu'ici la saison nous présente. v.113 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  46. L'Amour prend soin de nous conduire, v.118 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  47. Pour y voir quelque objet qui nous plaît encor mieux. v.119 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
  48. De l'amour qui peut m'engager : v.121 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  49. Et je cherche en ces lieux l'objet qui m'a su plaire. v.123 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  50. Cette confidence m'engage ; v.125 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  51. Et pour un étranger j'ai senti naître un feu v.126 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
  52. De ses tendres regards je me sens enchanter. v.128 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
  53. Il m'a juré de m'aimer constamment. v.131 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  54. Le tendre amant que j'aime v.132 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  55. M'a fait cent fois même serment. v.133 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  56. Apprenez-moi le nom de cet amant fidèle. v.134 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  57. C'est Léandre. Qu'entends-je ? Ô dieux ! v.136 (Acte 2, scène 2, ISABELLE_LÉONORE)
  58. Il vient ; pénétrons dans son âme v.141 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  59. Quand je vous vois ensemble, v.147 (Acte 2, scène 1, LÉANDRE)
  60. Est également triomphant ; v.149 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
  61. Entre deux beaux objets, qui tons deux savent plaire, v.150 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
  62. Et l'un de l'autre me défend. v.152 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
  63. Il est temps enfin de parler. v.154 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  64. De vos tendres regards j'ai senti les attraits ; v.157 (Acte 2, scène 1, LÉANDRE)
  65. Mais des yeux plus puissants encore v.159 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
  66. Ciel ! Que viens-je d'entendre ? Et que ma peine est rude v.163 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  67. En amour bien souvent un peu d'incertitude v.165 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  68. Insulte encore à mon malheur : v.168 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  69. Dissiper en regrets ma tendresse fatale ? v.170 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  70. Non, ingrat ! Je prétends que mon courroux égale v.171 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  71. Et surpasse encor mon ardeur ; v.172 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  72. Je veux qu'à ma vengeance offert en sacrifice, v.173 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  73. J'en atteste le ciel, en ce funeste jour v.175 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  74. La haine vengera l'amour. v.176 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  75. Que ces vains projets de vengeance v.177 (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
  76. Ne servent qu'à serrer nos noeuds. v.178 (Acte 2, scène 4, L?ANDRE)
  77. Écoutons leurs concerts, prenons part à leurs jeux. v.180 (Acte 2, scène 4, L?ANDRE)
  78. Indarno vien a consolar me : v.194 (Acte 2, scène 5, UN-ESCLAVON)
  79. Nous ressentons dans l'onde v.216 (Acte 2, scène 5, LA-MUSICIENNE)
  80. Vénus y tient sa brillante cour. v.225 (Acte 2, scène 5, UNE-BOHÉMIENNE)
  81. Vénus y tient sa brillante cour. v.227 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  82. Tout vient, jeunes coeurs, flatter vos désirs ; v.230 (Acte 2, scène 5, UN-ARMÉNIEN)
  83. Vénus y tient sa brillante cour. v.234 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  84. Nous ressentons des feux pleins d'appas, v.236 (Acte 2, scène 5, UN-ARMÉNIEN)
  85. Et les jeux suivent partout nos pas. v.237 (Acte 2, scène 5, UN ARM?NIEN)
  86. Vénus y tient sa brillante cour. v.241 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  87. Me fait sentir de mortelles terreurs. v.247 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  88. Ne craignez rien de ses fureurs. v.248 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  89. Ahi ! Que cette crainte m'offense ! v.250 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  90. Pourquoi vous offenser de la juste frayeur v.251 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  91. Dont je sens les atteintes ? v.252 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  92. De ce tendre discours que mon âme est ravie ! v.255 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  93. Rien ne pourrait calmer ses transports furieux. v.258 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  94. Si nos coeurs sont d'intelligence, v.261 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  95. Rien n'est à redouter pour nous. v.262 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
  96. Rendez le calme à votre coeur ; v.271 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  97. Qui déchirent les coeurs jaloux, v.279 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  98. Deux tyrans dans mon coeur exercent leur furie ; v.282 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  99. L'amour, le tendre amour v.283 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  100. Qui déchirent les coeurs jaloux, v.288 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  101. Ah ! Je m'en doutais bien ; et mes soupçons jaloux v.293 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  102. M'en avaient instruit avant vous. v.294 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  103. Nommez-moi seulement le rival qui m'offense, v.298 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  104. L'affront est égal entre nous, v.300 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
  105. Je veux partager la vengeance. v.301 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
  106. On se laisse aisément tromper par ce qu'on aime, v.304 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
  107. Que l'amour dans nos coeurs se transforme en colère ; v.308 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  108. Vengeons-nous, hâtons nos coups ; v.309 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  109. La vengeance qu'on diffère v.310 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  110. Ne me parle plus en faveur v.314 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
  111. Qui crie en vain dans le fond de mon coeur. v.317 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  112. Que l'amour dans nos coeurs se transforme en colère : v.318 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  113. Vengeons-nous, hâtons nos coups ; v.319 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  114. La vengeance qu'on diffère v.320 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  115. Rien ne peut s'opposer à mon impatience ; v.322 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  116. Allons, courons à la vengeance. v.323 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  117. Tous les biens volent autour d'elle ; v.327 (Acte 3, scène 3, CHOEUR)
  118. C'est elle qui nous rend heureux. v.328 (Acte 3, scène 3, CHOEUR)
  119. Quel autre a plus d'encens que moi ? v.332 (Acte 3, scène 3, LA-FORTUNE)
  120. Par quelque événement éterniser ma gloire. v.336 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  121. Venez implorer mon secours, v.337 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  122. Je fais naître à mon gré le moment favorable v.339 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  123. Que, sans moi, l'on attend toujours. v.340 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  124. Je ne crains rien, rien ne me tente ; v.344 (Acte 3, scène 3, UN-MASQUE)
  125. Le bien qui peut enchanter mon âme, v.347 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  126. Élèvent mon sort aux cieux ; v.353 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  127. Doit ici, par ses chants, exprimer sa tendresse ; v.359 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
  128. Pour l'observer, cachons-nous en ces lieux. v.360 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
  129. Doux charme des ennuis et des peines pressantes, v.361 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
  130. De cent douceurs des plus touchantes, v.366 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
  131. Viens verser sur cette beauté v.367 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
  132. De tes pavots les vapeurs les plus lentes ; v.368 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
  133. Et fais que son coeur enchanté v.369 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
  134. Deh ! Per pietà, un momento cessate, v.372 (Acte 3, scène 5, TRIO-ITALIEN)
  135. N'en doutez point, mes yeux, v.378 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
  136. Ch' il tormento v.381 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  137. In contento v.382 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  138. Frà le pene Amor trionfera. v.386 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  139. Et cessez un moment, avec vos traits vainqueurs, v.388 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  140. De renouveler les atteintes v.389 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  141. Se changeront en des plaisirs charmants. v.392 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  142. L'Amour doit triompher au milieu des tourments. v.395 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  143. Quelle félicité peut égaler la mienne ! v.396 (Acte 3, scène 6, LÉANDRE)
  144. Un jaloux s'endort avec peine, v.398 (Acte 3, scène 6, L?ANDRE)
  145. Mais il se réveille aisément. v.399 (Acte 3, scène 6, L?ANDRE)
  146. Je me suis fait trop longtemps violence, v.400 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
  147. Mais il fuit en vain ma présence ; v.403 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
  148. Les ministres de ma vengeance v.405 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
  149. Je cède à mon impatience ; v.407 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  150. Et tandis que la nuit triomphe encor du jour, v.408 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  151. Cher Léandre, je viens, conduite par l'amour, v.409 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  152. Vous dire de mes feux toute la violence. v.410 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  153. D'un jaloux importun qui m'obsède en tous lieux ! v.412 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  154. Rien n'est comparable à la haine v.414 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  155. Que je ressens pour ce jaloux, v.415 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  156. Que l'amour violent dont je brûle pour vous. v.416 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  157. C'est à vous qu'il faut vous en prendre ; v.420 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  158. Ce qu'on ne veut pas vous apprendre ? v.422 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  159. Qui ne sauraient vous rendre heureux. v.424 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  160. J'espère que le temps rendra mon sort plus doux. v.430 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  161. Ai-je entrepris de vous séduire ? v.434 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  162. Ah ! Quand on ressent quelque ardeur, v.435 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  163. Pour rendre le calme à mes sens, v.437 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  164. Dites que vous m'aimez, trompez-moi, j'y consens ; v.439 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  165. Peut-être calmeront les douleurs que je sens. v.441 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  166. D'avouer un penchant qu'on trouve plein d'appas ; v.443 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  167. De déclarer des feux que l'on ne ressent pas. v.445 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  168. Mon tendre amour, de votre haine v.446 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  169. Vous gardez le silence ; insensible ! Inhumaine ! v.448 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  170. Pour trouver un amant qu'en vain ton coeur adore, v.450 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
  171. Qui de ton coeur s'est rendu maître ; v.455 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
  172. Étouffent tout l'amour que j'ai pris dans tes yeux : v.457 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
  173. Mais mon juste dépit te fera bien connaître v.458 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
  174. Que, si je sais aimer, je hais encore mieux. v.459 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
  175. Transports de vengeance et de haine, v.460 (Acte 4, scène 1, LÉONORE)
  176. Peut-être en ce moment une main inhumaine... v.463 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  177. L'ingrat que vous percez cause encor ma langueur. v.466 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  178. Transports de vengeance et de haine, v.467 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  179. Ne chassez point l'amour qui flatte encor mon coeur. v.468 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  180. Doit-elle s'opposer à mon dépit vengeur ? v.470 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  181. Ministres qui servez le courroux qui m'entraîne, v.471 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  182. Frappez... et qu'en mourant, cet infidèle apprenne v.472 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  183. Transports de vengeance et de haine, v.474 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  184. À la fin vous êtes vengée : v.476 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  185. De notre tendresse outragée : v.478 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  186. S'il respirait encor, ne le sauverait pas. v.484 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  187. Ne punit point ces attentats ! v.486 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
  188. Que fais-tu ? Qui retient ton bras ? v.487 (Acte 4, scène 2, L?ONORE)
  189. Me soient communs avec toi. v.509 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
  190. Laissons de ses regrets calmer la violence. v.510 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
  191. Vient montrer sa réjouissance. v.513 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
  192. Allons faire savoir à l'objet qui m'offense v.514 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
  193. Je perds le prix de ma vengeance, v.516 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
  194. Si l'ingrate l'apprend d'un autre que de moi. v.517 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
  195. Entre la crainte et l'espérance, v.534 (Acte 4, scène 4, UNE-CASTELLANE)
  196. Sur le sein de Neptune, on est à tous moments ; v.535 (Acte 4, scène 4, UNE CASTELLANE)
  197. Entre la crainte et l'espérance. v.538 (Acte 4, scène 4, UNE CASTELLANE)
  198. Que quelque orage à tout moment vient agiter ; v.544 (Acte 4, scène 4, UN-BARQUEROLLE)
  199. Malgré ces maux, le calme de l'indifférence v.545 (Acte 4, scène 4, UN BARQUEROLLE)
  200. Est encor plus cent fois à redouter. v.546 (Acte 4, scène 4, UN BARQUEROLLE)
  201. Que le vent gronde, v.549 (Acte 4, scène 4, LE-CHOEUR)
  202. Que le ciel en feu leur réponde, v.551 (Acte 4, scène 4, LE CHOEUR)
  203. Mais que servent, hélas ! Ces regrets superflus ? v.565 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  204. Quand tu descends pour moi dans la nuit éternelle, v.567 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  205. Doit-il m'être permis de voir encor le jour ? v.568 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  206. Ciel ! Que voulez-vous entreprendre ? v.572 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  207. Dois-je en croire mes yeux ? Est-ce vous, cher Léandre ? v.573 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
  208. Vient de faire éclater son barbare courroux ; v.583 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  209. Je revois enfin ce que j'aime ; v.586 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
  210. Que je sens à vous voir v.589 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
  211. Vivons pour nous aimer, vivons, malgré l'envie ; v.591 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  212. Du plus tendre transport. v.594 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
  213. Suivons nos doux emportements, v.598 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE-ISABELLE)
  214. Nous lui devons tous nos moments. v.601 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE ISABELLE)
  215. Fuyons un lieu funeste à de tendres amants. v.602 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  216. On doit donner au peuple, en ce jour favorable, v.607 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  217. Je vais en ce lieu vous attendre : v.611 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
  218. Un vaisseau par mes soins dans le port va se rendre, v.612 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
  219. Pour nous porter en des climats plus doux, v.613 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
  220. Et goûter les douceurs de l'hymen le plus tendre. v.615 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
  221. Dieux des enfers, aux armes ! v.616 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
  222. Un mortel insolent, malgré la loi du sort, v.618 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
  223. Descend encor vivant, et cause mes alarmes. v.620 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
  224. Dieux des enfers, aux armes ! v.625 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
  225. On entend une symphonie très douce. v.627 (Acte 5, scène 1, LE-CHOEUR)
  226. D'un coeur comme le mien, ouvert à la fureur ! v.631 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
  227. À ton trône enflammé l'Amour conduit mes pas : v.633 (Acte 5, scène 2, ORPHÉE)
  228. Rends-moi cet objet plein d'appas, v.636 (Acte 5, scène 2, ORPH?E)
  229. Mais Pluton y consent, si l'Amour le commande. v.639 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  230. Mais je prétends qu'une loi s'accomplisse ; v.641 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  231. Que tu ne sois rendu dans l'empire du jour. v.643 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  232. À la douleur succèdent, v.647 (Acte 5, scène 3, ORPHÉE)
  233. Les enfers cèdent v.648 (Acte 5, scène 3, ORPH?E)
  234. Soutienne qui pourra les traits et les éclairs v.650 (Acte 5, scène 1, OMBRE-HEUREUSE)
  235. Et se fait même ouvrir les portes des enfers. v.653 (Acte 5, scène 1, OMBRE HEUREUSE)
  236. Pour plaire à l'objet qui m'enflamme, v.654 (Acte 5, scène 5, EURYDICE)
  237. Fuyez, peines, soupirs, ne revenez jamais v.656 (Acte 5, scène 5, EURYDICE)
  238. Chère Eurydice, enfin, je vous revois encore ! v.659 (Acte 5, scène 6, ORPHÉE)
  239. Qu'Eurydice reste en ces lieux. v.664 (Acte 5, scène 7, PLUTON)
  240. Esprits infernaux, en ce jour, v.672 (Acte 5, scène 8, PLUTON)
  241. Tout conspire pour nous, et la mer, et les vents ; v.681 (Acte 5, scène 9, LÉANDRE)
  242. Profitons bien de ces heureux moments, v.682 (Acte 5, scène 9, L?ANDRE)
  243. Et fixer des torrents la course vagabonde ; v.685 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  244. En vain ses noirs frimas, pour attrister le monde, v.686 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  245. Dérobent le flambeau qui brille dans les cieux ; v.687 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  246. Et, pour mieux s'y livrer, on attend mon retour. v.691 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  247. Venez, aimables enjouements ; v.695 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  248. Redoublez en ces lieux notre réjouissance v.696 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  249. Par de nouveaux déguisements. v.697 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  250. En ce temps de plaisir le plus sage s'oublie, v.698 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  251. La raison vainement voudrait vous interdire v.704 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  252. Les moments que l'on passe à rire v.706 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  253. Les moments que l'on passe à rire v.708 (Acte 5, scène 10, LE-CHOEUR)

SAPOR (1704)

  1. Enfin nous la voyons cette grande journée v.1 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  2. Qui de tout l'Orient règle la destinée ; v.2 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  3. Rougissent sous les fers dont ils sont opprimés. v.4 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  4. Ton âme, en ce moment, d'étonnement saisie, v.9 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  5. Reconnaît-elle encor la fière Zénobie, v.10 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  6. Qui, vengeant un époux et deux fils par ses mains, v.11 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  7. Les fit souvent pleurer du gain de leurs batailles ? v.14 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  8. L'emportent, en un jour, sur toutes nos grandeurs. v.16 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  9. Il ne me reste rien de ma gloire passée v.17 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  10. Que le dur souvenir d'une pompe effacée ; v.18 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  11. Et cet amer retour, ce revers que je sens, v.19 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  12. De mes honneurs passés me fait des maux présents. v.20 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  13. En quelque état, Madame, où le sort vous entraîne, v.21 (Acte 1, scène 1, THÉONE)
  14. Vous portez en tous lieux l'auguste nom de reine : v.22 (Acte 1, scène 1, TH?ONE)
  15. Le malheur sert en vous de lustre à la vertu. v.24 (Acte 1, scène 1, TH?ONE)
  16. Je sens des mouvements de haine et de fureur, v.27 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  17. Qui me rendent mon rang et le jour en horreur. v.28 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  18. Ce fer toujours caché, le seul bien qui me reste, v.33 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  19. En tout temps, en tout lieu, m'offre un secours funeste ; v.34 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  20. M'attache encore au jour par des noeuds que le sang v.39 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  21. Ismène encor peut-être a besoin de sa mère ; v.42 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  22. Il faut plus de vertu cent fois que pour mourir. v.44 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  23. Que te dirai-je enfin ? L'ardeur de la vengeance v.45 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  24. Entretient les lueurs d'une faible espérance. v.46 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  25. Dans nos communs malheurs Sapor enveloppé, v.48 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  26. La Perse va bientôt, apprenant ma défaite, v.50 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  27. Tu sais bien que Sapor, digne sang d'Artaxerce, v.53 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  28. Que son père voulut, pour cimenter la paix, v.55 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  29. Afin que, plus à craindre en rassemblant nos haines, v.57 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  30. Nous n'eussions d'ennemis que les aigles romaines. v.58 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  31. Ma gloire le voulait, l'État y consentit ; v.60 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  32. Envoya, jeune encor, ce prince dans ma cour. v.64 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  33. Il voit à tout moment croître Ismène et ses charmes ; v.66 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  34. Et je devais bientôt, par un hymen heureux, v.71 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  35. De ces cours amoureux détruit l'intelligence. v.74 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  36. Sapor voit sans espoir enchaîner dans ce jour v.75 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  37. Le ciel, quand il lui plaît, vient essuyer les pleurs ; v.80 (Acte 1, scène 1, THÉONE)
  38. À vos plaintes enfin il faudra qu'il se rende : v.81 (Acte 1, scène 1, TH?ONE)
  39. Attendez tout de lui. v.82 (Acte 1, scène 1, TH?ONE)
  40. Que veux-tu que j'attende v.82 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  41. Et qui, m'abandonnant en prenant leur défense, v.85 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  42. N'ont pas justifié l'ardeur de ma vengeance ? v.86 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  43. Que veux-tu que j'attende ? Hélas ! Parle, dis-moi, v.87 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  44. J'irai, traînant ma honte, à ce char enchaînée, v.90 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  45. Au milieu des faisceaux, parmi les étendards, v.91 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  46. Des rayons du soleil je soutiendrai la vue ! v.94 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  47. J'entends déjà les cris d'un peuple injurieux, v.95 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  48. Qui devait sous ses lois tenir Rome asservie ? v.98 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  49. Voilà par quel triomphe elle vient se venger, v.99 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  50. Des vainqueurs insultée, aux vaincus en horreur, v.103 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  51. Ah ! J'en frémis déjà ; ma vertu terrassée v.105 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  52. Succombe sous le poids d'une telle pensée. v.106 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  53. Mettons le fer, le feu, le poison en usage, v.110 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  54. D'autres moyens encor. Toi, sans perdre de temps, v.111 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  55. Va, cours à Sabinus, dis-lui que je l'attends. v.112 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  56. Impatients transports, enfants de ma vengeance, v.113 (Acte 1, scène 2, ZÉNOBIE)
  57. Que je me plais d'entendre, au gré de ma fureur, v.115 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  58. Ne suit que la fureur dont elle est enivrée. v.118 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  59. Ce que tu n'as pu faire, et tant de rois ensemble, v.121 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  60. Avec tous les soldats que l'Orient rassemble, v.122 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  61. Quand ton bras s'étendait sur cent peuples divers, v.123 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  62. Tu veux donc l'entreprendre, et seule, et dans les fers ! v.124 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  63. Quels secours attends-tu d'une haine impuissante ? v.125 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  64. Tu n'as pu l'empêcher de tomber en éclats ; v.127 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  65. Et tu veux d'un vainqueur mettre le trône en poudre ! v.129 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  66. Impuissants mouvements de honte et de colère ! v.133 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  67. Quand je l'implorerais, ce ne serait qu'en vain ; v.135 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  68. Mais pourquoi de ses traits voudrais-je encor me plaindre ? v.137 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  69. Trop contente en effet de ne pouvoir plus craindre, v.138 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  70. Tu m'as rendue heureuse à force de malheurs ; v.140 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  71. En me persécutant, ta fureur m'a servie ; v.142 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  72. Je me trouve en état de n'en redouter plus. v.144 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  73. Mais quoi ! Laissant en cris exhaler ma vengeance, v.145 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  74. N'aurai-je désormais que les pleurs pour défense ? v.146 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  75. Entraîne, s'il se peut, et Rome, et l'univers ; v.148 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  76. Le dessein en est pris. v.149 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  77. Ah ! Reviens donc, Théone, v.149 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
  78. Calmer l'impatience où mon cour s'abandonne. v.150 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  79. Que t'a dit Sabinus ? Viendra-t-il dans ces lieux ? v.151 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  80. Bientôt il se montre à vos yeux : v.152 (Acte 1, scène 3, THÉONE)
  81. Si, suivant trop peut-être un transport de tendresse, v.157 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  82. Aujourd'hui, plus sensible à vos cruels malheurs, v.159 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  83. Le temps ne fait en vous qu'irriter les douleurs ; v.160 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  84. De vos cris plus fréquents ces voûtes retentissent ; v.161 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  85. De pleurs renouvelés vos beaux yeux s'obscurcissent ; v.162 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  86. Tout me fait craindre encor quelques malheurs nouveaux. v.163 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  87. Tu ne rends pas justice à l'excès de mes maux, v.164 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
  88. Si tu crois l'avenir bon à sécher mes pleurs. v.168 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  89. S'évanouit souvent, et devient plus légère : v.170 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  90. À ces cruels destins je me tienne enchaînée ? v.174 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  91. Et que cent fois le jour, par des chemins divers, v.175 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  92. Je ne songe en secret qu'à m'échapper des fers ? v.176 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  93. Non, ce n'est pas assez de me rendre à l'empire ; v.178 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  94. Trop de honte en un jour a fait rougir mon front : v.179 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  95. Si je n'en puis tirer par la force des armes, v.181 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  96. Et d'opposer ces murs pour toute ma défense, v.185 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  97. Je fus contrainte enfin, sans bruit, presque sans suite, v.189 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  98. Dans l'ombre de la nuit d'envelopper ma fuite, v.190 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  99. Du Perse à mon secours exciter la lenteur. v.192 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  100. Déjà, tu le sais bien, ma troupe fugitive v.193 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  101. De six mille chevaux qui bordaient le rivage, v.197 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  102. Tu sauras seulement que, dans nos mains sanglantes, v.201 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  103. Le désespoir rendit nos armes plus tranchantes. v.202 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  104. Je cédai sans me rendre ; et Sabinus lui-même, v.206 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  105. En m'imposant des fers, adora mes appas, v.207 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  106. Et mes yeux en ce jour surent venger mon bras. v.208 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  107. Il m'aime ; et, dans l'ardeur du courroux qui m'entraîne, v.209 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  108. Son amour peut servir d'instrument à ma haine : v.210 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  109. Il souffre impatiemment que Firmin aujourd'hui v.211 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  110. De bienfaits et d'honneurs soit plus comblé que lui ; v.212 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  111. Va, laisse-nous, Théone, un moment seuls ici. v.216 (Acte 1, scène 4, ZÉNOBIE)
  112. Si mes soins empressés pouvaient faire, en un jour, v.219 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  113. À quelque emportement que m'ait poussé la haine, v.221 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  114. J'ai toujours cependant reconnu la vertu : v.224 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  115. Plus je sentais ma haine en mon âme s'accroître ; v.226 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  116. Voilà tout ce qui reste encor de Zénobie ; v.230 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  117. C'est un bien qu'à mon cour on n'ôtera jamais. v.231 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  118. Que du ciel en courroux la foudroyante flamme, v.234 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  119. Que l'enfer sous mes pas s'ouvrant... v.235 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  120. Je vous entends. v.235 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  121. Ce n'est point en discours qu'il faut perdre le temps, v.236 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  122. Un cour comme le mien hait ces secours frivoles ; v.237 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  123. Je prétends qu'un amant, sans l'aide des paroles, v.238 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  124. Au bruit de ses exploits m'apprenne son amour. v.240 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  125. C'est par mon bras aussi que je prétends, madame, v.241 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  126. Déterminez. Faut-il, en vous tirant des fers, v.243 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  127. Depuis cinq ans et plus, l'Orient sous mes lois, v.251 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  128. D'une cruelle guerre a soutenu le poids. v.252 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  129. Le sort serait douteux ; ma rapide vengeance v.253 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  130. Offre un plus prompt secours à mon impatience : v.254 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  131. Aux transports de cet ardent courage, v.257 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  132. Je le crois déjà mort l'ennemi qui m'outrage. v.258 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  133. N'en doutez point, madame ; il mourra de mes coups. v.259 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  134. Mais, depuis mes malheurs, il ne s'offre plus rien v.263 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  135. Qui paraisse au-dessus du nom d'Aurélien ; v.264 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  136. Vous ne répondez rien ! Que m'apprend ce silence ? v.266 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  137. Est-ce donc vous haïr que de mettre en vos mains v.271 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  138. Qu'espérez-vous encor ? Quand on y peut monter, v.275 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  139. Est-il quelque moyen qu'on ne doive tenter ? v.276 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  140. Vous n'aurez pas plus tôt embrassé ma vengeance, v.277 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  141. Que l'Orient, en vous respectant ma puissance, v.278 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  142. Incertain, sous le joug viendra de toutes parts v.279 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  143. Se ranger en un jour près de vos étendards ; v.280 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  144. Ceux qu'arrose le Tigre, et qui boivent l'Euphrate ; v.286 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  145. La fortune en ce jour au trône vous appelle, v.289 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  146. L'Italie est en proie aux fureurs des Germains ; v.292 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  147. Titricus en Espagne, aidé de Victorie, v.293 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  148. Et Firmus, ralliant les mécontents épars, v.295 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  149. Fait sur les bords du Nil flotter ses étendards. v.296 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  150. Vous ne répondez rien ! Qu'ai-je encore à vous dire ? v.297 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  151. Vous êtes insensible aux honneurs d'un empire, v.298 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  152. Aussi bien qu'à ma voix, qui ne vous touche pas. v.299 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  153. Ne peut-on vous venger, hélas ! Que par un crime ? v.306 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  154. Que fait entendre au cour une vertu sévère ? v.310 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  155. D'enlever sur ma tète une juste couronne, v.314 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  156. Et d'un sang innocent inonder l'univers ? v.316 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  157. Et venger en un jour les hommes et les dieux ; v.320 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  158. Qu'il faut briser les fers d'une reine innocente, v.321 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  159. Et rendre la vertu du vice triomphante : v.322 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  160. Que ton cour innocent ne tentera jamais ! v.324 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  161. Je rougis que mes yeux en ce jour aient blessé v.327 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  162. Dis-lui les attentats que conçoit Zénobie : v.330 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  163. Le désespoir m'aura vengé de ton amour. v.332 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  164. Dieux ! Qu'est-ce que j'entends, et quelle est ma disgrâce ! v.333 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  165. À quoi m'engage-t-on ? Que veut-on que je fasse ? v.334 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  166. Moi, j'irai mériter, par un lâche attentat, v.335 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  167. Quoi ! L'on verra ma main, jusqu'alors innocente, v.337 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  168. Non, je ne puis penser à de telles horreurs ; v.340 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  169. Tout mon sang en frémit. Trop cruelle princesse, v.341 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  170. Faut-il par des fureurs vous prouver ma tendresse ? v.342 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  171. Et ne commençons point par le plus noir des crimes. v.346 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  172. Au milieu des malheurs que sa main vous envoie, v.349 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  173. Vous seul, d'un noir chagrin partout environné, v.351 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  174. Et César maintenant peut nous dire, à son choix, v.355 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  175. Combien, pour son triomphe, il destine de rois. v.356 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  176. Depuis que l'Orient est joint à votre empire, v.361 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  177. Le soleil, trop content d'éclairer vos États, v.363 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  178. Le Scythe vous révère, aussi bien que le Maure : v.366 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  179. Et d'un juste tribut honore vos genoux. v.368 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  180. D'où naît dans votre cour l'ennui qui vous traverse ? v.369 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  181. De quelques mouvements soupçonnez-vous la Perse ? v.370 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  182. Et, tenant dans vos fers Zénobie et Sapor, v.371 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  183. Est-il quelque ennemi que vous craigniez encor ? v.372 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  184. Non, non, je ne crains plus d'ennemis que moi-même : v.373 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  185. Cher Sabinus, enfin, te le dirai-je ? J'aime. v.374 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  186. Le sénat, la vertu, vingt ans d'indifférence : v.382 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  187. Hélas ! Tout me trahit et me quitte en un jour ; v.383 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  188. Que le ciel par malheur rendit trop fortunée, v.386 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  189. Où ton bras triomphant ramena dans ces lieux v.387 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  190. Je fuis, mais vainement, j'ai le trait dans le sein. v.392 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  191. À tout moment, l'objet dont mon âme est blessée v.393 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  192. Est présent à mes yeux, et flatte ma pensée ; v.394 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  193. En vain de cet objet je tâche à m'écarter ; v.395 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  194. Porter aux ennemis sa beauté dangereuse ? v.398 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  195. Ne présumais-tu pas, en voyant tant de charmes, v.401 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  196. Jamais faire un présent plus funeste aux Romains ? v.404 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  197. Dieux ! Qu'est-ce que j'entends ? Quelle foudre imprévue ! v.405 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  198. Mon âme à ce revers s'était-elle attendue ? v.406 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  199. Vous pourriez démentir la fierté des Césars ! v.408 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  200. Ce qu'au bien de l'État il était nécessaire ; v.410 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  201. Et l'Orient, soumis à vos lois pour jamais, v.411 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  202. Si j'allume en mon sein des feux plus violents, v.415 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  203. Et dérobe à mon cour le repos que je sens ? v.416 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  204. Tout l'Orient conquis, l'Afrique avec l'Asie, v.417 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  205. Ne me rendront jamais ma liberté ravie ; v.418 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  206. Et l'univers entier est pour un empereur v.419 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  207. J'aime cependant, j'aime ; et, malgré moi, mon âme v.421 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  208. Est en proie aux fureurs de sa nouvelle flamme : v.422 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  209. Ce feu trop retenu ne peut plus se celer, v.423 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  210. Et je ne puis, enfin, et me taire et brûler. v.424 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  211. Rome, dans ce moment, et l'armée, attentives, v.425 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  212. Attendent quel sera le destin des captives ; v.426 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  213. J'attends tout de tes soins ; va, que le camp s'apprête v.429 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  214. Pour rendre à l'univers ce jour encor plus beau, v.431 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  215. L'hymen en ma faveur brûlera son flambeau. v.432 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  216. Va bientôt de son sort par ma bouche être instruite ; v.434 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  217. Je l'attends. Mais on vient ; ma gloire et mon amour v.435 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  218. Se reposent sur toi de l'éclat de ce jour. v.436 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  219. Hé bien, Firmin ! Hé bien ! Verrai-je la princesse ? v.437 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  220. Viendra-t-elle en ces lieux ? v.438 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  221. À remplir vos désirs, et bientôt, sur mes pas, v.439 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  222. Ismène à vos regards viendra s'offrir. v.440 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  223. Semble, dans ce moment, redouter cette vue. v.442 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  224. Et l'amour, me forçant à rompre le silence, v.445 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  225. Par ce honteux aveu commence sa vengeance. v.446 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  226. Firmin, je fais venir Ismène dans ces lieux v.447 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  227. Lui dire qu'un hymen à mes jours nécessaire v.449 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  228. À combien de fureurs offrez-vous votre tête ! v.454 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  229. D'un prétexte apparent couvrant leurs attentats, v.456 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  230. Et se nommant tout haut vengeurs de la patrie, v.457 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  231. Obéir en secret à leur propre furie. v.458 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  232. La haine des Romains, ardents à se venger, v.459 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  233. Cent massacres fameux en ont teint notre histoire. v.461 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  234. En vain de ces remparts vous voudrez vous défendre, v.465 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  235. Quand la liberté parle, on ne veut rien entendre. v.466 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  236. Le Romain, attentif à ses premiers destins, v.467 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  237. Ne verra plus en vous que le sang des Tarquins ; v.468 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  238. Et cet affront rendant ses fureurs légitimes, v.469 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  239. Où d'un aveugle amour m'exposent les erreurs : v.472 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  240. S'allumer dans les cieux et menacer ma tête, v.474 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  241. La foudre et ses éclats ne pourraient m'alarmer : v.475 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  242. Le sort en est jeté, j'aime, et je veux aimer. v.476 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  243. Que le sénat, jaloux de cet hymen, murmure, v.477 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  244. Qu'il arme l'univers pour venger cette injure, v.478 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  245. Contre tout l'univers je soutiendrai mes droits, v.479 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  246. Je maintiendrai sans lui l'honneur du diadème ; v.481 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  247. On me l'a confié, j'en rends compte à moi-même : v.482 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  248. Qu'on s'en rapporte à moi ; la gloire des Romains v.483 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  249. Ne peut être remise en de meilleures mains. v.484 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  250. Oui, seigneur, jamais Rome, en un jour de victoire, v.489 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  251. Mais vous devez encore arracher à l'envie v.493 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  252. Ne pas vous en remettre à nos neveux déchus v.495 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  253. Du chemin de la gloire on ne saurait descendre v.497 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  254. Que la trace n'en soit difficile à reprendre : v.498 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  255. En vain par mille exploits on a su s'avancer, v.499 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  256. Pour un égarement il faut recommencer. v.500 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  257. À se lasser bientôt dans ces routes austères, v.502 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  258. Et se flatter encor, fiers et présomptueux, v.503 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  259. Qui tient tout sous ses lois, de borner son pouvoir v.507 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  260. Et mes sens égarés ont séduit ma raison ; v.512 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  261. Si mon cour un moment avait pu l'écouter. v.516 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  262. Que fais-je cependant dont ma gloire s'offense ? v.517 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  263. Me voit-on de l'empire oublier la défense ? v.518 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  264. Quels tyrans sont en paix ? Quels Romains sont proscrits ? v.519 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  265. Traîner dans le repos une indolente vie ? v.522 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  266. Attendrai-je à la fin qu'il m'insulte et me brave, v.526 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  267. Qu'il décide mon sort ? Firmin, n'en parlons plus, v.527 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  268. Mais on vient. Que je sens de trouble dans mon âme ! v.529 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  269. Marquaient partout mes pas et volaient devant moi : v.532 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  270. Je viens, plein des transports d'une flamme indiscrète, v.533 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  271. Me mettre dans vos fers, et dire, à vos genoux, v.535 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  272. Seigneur, un tel discours a de quoi me surprendre ; v.537 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  273. J'en demeure interdite, et ne le puis comprendre. v.538 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  274. C'est de n'avoir encor vécu que peu de jours. v.544 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  275. Avait, en vous touchant, si mal servi mon cour. v.548 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  276. Madame, je sais bien qu'un soupir dans ma bouche v.549 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  277. Allume votre haine, et vous rend plus farouche ; v.550 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  278. En celui de tyran et de persécuteur : v.552 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  279. Mais enfin, si jamais dans une âme hautaine, v.553 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  280. Madame, on n'a jamais ressenti tant de feux ; v.556 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  281. Votre cour me hait moins que le mien ne vous aime. v.558 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  282. Je vous l'offre en ce jour, madame, avec ma main. v.560 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  283. Un empereur, bientôt maître de l'univers, v.563 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  284. Et je dois renoncer sans peine à la grandeur v.567 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  285. Qu'il faudrait acheter aux dépens de mon cour. v.568 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  286. Et même le présent de l'empire romain v.571 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  287. Que m'apprenez-vous donc ? Et que m'osez-vous dire ? v.573 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  288. Sapor ?... Si de sa main vous attendez l'empire, v.574 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  289. Vos voeux avec les siens vers le ciel adressés v.575 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  290. Ne seront pas encor dans ce jour exaucés. v.576 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  291. Peut-être que Sapor a cent chemins ouverts. v.580 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  292. Car enfin vous l'aimez. v.583 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  293. Mon cour ignore encor ce que c'est que l'amour. v.584 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  294. J'avouerai seulement qu'en ma plus tendre enfance, v.585 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  295. Quand mes jours plus sereins coulaient dans l'innocence v.586 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  296. Chaque jour, chaque instant vient irriter l'ardeur v.591 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  297. Mon cour, en ce moment, de plaisir pénétré, v.595 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  298. Entretient les ennuis d'une flamme inquiète ; v.598 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  299. Et, séduite souvent d'un souvenir flatteur, v.599 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  300. Je le cherche et lui parle en secret dans mon cour. v.600 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  301. Mes yeux ne s'ouvrent plus que pour voir ses alarmes, v.601 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  302. Plus sensible à ses maux que je ne suis aux miens, v.603 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  303. Mes fers sont à mon bras moins pesants que les siens ; v.604 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  304. Je le plains plus cent fois qu'il ne se plaint lui-même. v.605 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  305. N'en doutez point, madame, à ces signes secrets v.607 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  306. J'ai donc senti l'amour, seigneur, sans le connaître : v.610 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  307. À ce tendre penchant mon .cour accoutumé v.611 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  308. J'ai commencé d'aimer en commençant à vivre ; v.614 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  309. Et, le temps confirmant mes feux de jour en jour, v.615 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  310. Sapor n'a plus tenu mon cour que de l'amour. v.616 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  311. Je ferais plus encor ? Je donnerais ma vie v.617 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  312. Pour lui rendre un moment sa liberté ravie. v.618 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  313. Trop contente, en mourant, de te le pouvoir dire : v.621 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  314. Mais ma raison s'égare, et je me sens troubler. v.623 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  315. Seigneur, en ce moment, je croyais lui parler. v.624 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  316. À ces égarements, à ces transports, madame, v.625 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  317. Mais apprenez aussi qu'un empereur romain v.627 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  318. N'est point accoutumé de soupirer en vain ; v.628 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  319. Prétend être entendu quand il a dit qu'il aime. v.630 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  320. Mais, madame, un moment songez ce que je puis, v.635 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  321. Songez que de nommer un rival qui m'offense v.637 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  322. C'est presque de sa mort prononcer la sentence : v.638 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  323. Je vous laisse y penser. v.639 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  324. Quel trouble en ce moment vient saisir mon esprit ? v.640 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
  325. Et les jaloux transports qui déchirent son cour ? v.644 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  326. C'était peu qu'en ces lieux, conduit par son amour, v.647 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  327. Son bras de fers honteux sentît la barbarie ; v.650 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  328. Je n'avais pas encore assez rempli son sort, v.651 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  329. C'est toi qui, ce matin, par des soins imprudents v.655 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  330. As voulu me parer de ces vains ornements ; v.656 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  331. C'est toi qui, par ces noeuds, dont l'appareil m'offense, v.657 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  332. De mes cheveux épars as dompté la licence ; v.658 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  333. Madame, quelque temps suspendez vos alarmes ; v.662 (Acte 2, scène 4, THÉONE)
  334. Le ciel, en ce moment touché de vos malheurs, v.663 (Acte 2, scène 4, TH?ONE)
  335. Il ne tient plus qu'à vous. v.666 (Acte 2, scène 4, TH?ONE)
  336. Et, pour un faux brillant, je vendrais en un jour v.671 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
  337. Fierté, haine, parents, gloire, vengeance, amour ! v.672 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  338. Ah ! Périsse en mon cour ce dessein odieux ! v.675 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  339. Tâchons de détourner le coup qui le menace ; v.678 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  340. À ses mortels ennuis je vais mêler mes pleurs. v.679 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  341. Dieux ! Devrait-il s'attendre encore à ces malheurs ? v.680 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  342. Quoi ! Votre cour encor dans mon sort s'intéresse ! v.682 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  343. Daignent pour moi s'ouvrir et répandre des larmes ! v.686 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  344. Aux honneurs éclatants de cent sceptres offerts ! v.688 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  345. Vengeait les coups du sort par les coups de l'amour. v.692 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  346. Cependant, plus sensible au feu qui vous inspire, v.693 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  347. D'un trône abandonné frivole récompense ; v.697 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  348. Et, pour comble d'ennui (j'en rougis quand j'y pense), v.698 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  349. Ne vous rendra jamais ce que vous refusez. v.700 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  350. J'ai prévu les malheurs qui menaçaient ma vie, v.702 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  351. Et j'ai toujours bien cru qu'il fallait m'exercer v.703 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  352. Au mépris des grandeurs où j'allais renoncer. v.704 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  353. Je m'en suis déjà fait une longue habitude ; v.705 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  354. Un présent mille fois encor plus précieux. v.712 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  355. Mon âme en ce moment sur mes lèvres errante, v.714 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  356. Pour s'échapper de moi n'attend plus qu'un soupir ! v.715 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  357. C'est trop pour un mortel ressentir de plaisir : v.716 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  358. Arrêtez ces torrents où mon âme se noie, v.717 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  359. Plus de bien que d'avoir un coeur tendre, et capable v.725 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  360. Il vengera sur vous le crime de mes yeux. v.732 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  361. D'une secrète horreur mon âme prévenue, v.733 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  362. Ne jouit qu'en tremblant du bien de votre vue : v.734 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  363. Vous presse à partager les ennuis de mon âme. v.738 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  364. Mérite-t-il encor de causer vos frayeurs ? v.740 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  365. Attendre les couteaux suspendus sur ma tête : v.742 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  366. Réparent pour toujours un sort injurieux ; v.744 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  367. Lorsque l'on se souvient seulement qu'on vous aime. v.746 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  368. Souvenez-vous, hélas ! De ne me plus aimer. v.748 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  369. Moi, ne vous plus aimer ! Ma tendresse offensée v.749 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  370. Ne soutient point l'horreur d'une telle pensée. v.750 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  371. Je vous aime, et c'est là le seul bien qui me reste. v.754 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  372. Mon cour, en vous faisant un ardent sacrifice, v.757 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  373. Et je ne vis enfin qu'autant que vous m'aimez : v.760 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  374. Heureux, s'il m'est permis, en dépit de l'envie, v.761 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  375. Je vois avec chagrin qu'en ces lieux ma présence v.765 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  376. De vos ardents transports calme la violence ; v.766 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  377. Si j'avais cru troubler des entretiens si doux, v.767 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  378. Si j'en crois mes regards, dans l'excès de ce zèle, v.769 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  379. Vos yeux, en ce moment, n'ont point su vous séduire ; v.773 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  380. Ce que pense un amant de ses feux pénétré, v.775 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  381. Ma bouche lui disait, quand vous êtes entré. v.776 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  382. Mais vous ne deviez pas, prince, si tôt suspendre v.777 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  383. Le cours impétueux d'un entretien si tendre ; v.778 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  384. J'aurais été témoin de vos ardents discours. v.779 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  385. Si j'en crois votre bouche, elle use de détours. v.780 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  386. Je n'en ai pas besoin ; je sais ce que peut dire v.781 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  387. Est un bien qu'en secret je me suis destiné ; v.788 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  388. Qu'aucun autre que moi ne doit plus y prétendre ? v.789 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  389. Oui, prince, je le sais ; on vient de me l'apprendre : v.790 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  390. Mais j'ignorais encor que le sort des combats v.791 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  391. Dussent toujours d'une âme assurer la conquête. v.794 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  392. Il est vrai qu'en tout temps un puissant empereur v.795 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  393. À travers cent rivaux se fait jour dans un cour : v.796 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  394. C'est pour une mortelle encore trop de grâce v.798 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  395. Même à des empereurs pourraient être fermés. v.804 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  396. S'il s'en trouvait quelqu'un, une juste puissance v.805 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  397. Un pouvoir redoutable entraîne à soi l'amour. v.807 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  398. C'est ainsi qu'on emporte un coeur en cette cour ? v.808 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  399. D'une esclave orgueilleuse on sait tirer vengeance ; v.809 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  400. Et l'on y sait, de plus, réprimer l'insolence. v.810 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  401. Insultez, triomphez : peut-être en d'autres temps v.811 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  402. Le ciel de mes malheurs se fut rendu complice, v.814 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  403. Lorsque vos bataillons étonnés n'osaient pas v.815 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  404. Soutenir les éclairs du fer de mes soldats, v.816 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  405. Incertains du succès que nous devions attendre, v.817 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  406. Ces mots dans votre bouche auraient pu se suspendre ; v.818 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  407. Ce temps, dont vous pourriez encor vous souvenir, v.819 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  408. Peut-être malgré vous pourrait-il revenir. v.820 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  409. En tout temps, en tous lieux, en me voyant paraître, v.821 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  410. Ce temps qui vainement flatte encor votre espoir. v.824 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  411. Le coup devrait avoir prévenu la menace. v.825 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  412. L'un et l'autre en ce jour mérite un sort égal, v.828 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  413. Je vous trouve bien vain. v.832 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  414. D'être aimé seulement autant que l'on vous hait. v.836 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  415. Ah ! C'est trop de licence ; v.837 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  416. Laissons de mon courroux ralentir les éclats. v.839 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  417. Par de plus sûrs moyens j'obtiendrai qu'on me craigne. v.842 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  418. Je ne vois en Sapor qu'un criminel d'État ; v.847 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  419. Et je rends grâce au ciel de pouvoir, en un jour, v.851 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  420. Satisfaire ma gloire, et venger mon amour. v.852 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  421. S'il vous demande encore un nouveau sacrifice, v.854 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  422. Qui retient votre bras ? Frappez, qu'attendez-vous ? v.855 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  423. Déjà Sapor devrait être réduit en poudre ; v.857 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  424. Mais je veux quelque temps suspendre encor la foudre : v.858 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  425. Vous tenez dans vos mains et sa vie et sa mort : v.860 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  426. Allez le voir, madame, et lui faites entendre v.861 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  427. Qu'aux droits de votre cour il ne doit plus prétendre, v.862 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  428. Et qu'enfin aujourd'hui c'est moi que vous aimez. v.864 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  429. Vous l'avez commencé, finissez votre crime : v.870 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  430. Qu'il meure par vos coups, et non pas par les miens. v.872 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  431. Enfin par la pitié ma haine retenue v.873 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  432. Peut avoir désormais toute son étendue. v.874 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  433. Je puis donner l'essor à ma juste vengeance ; v.877 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  434. Armons-nous, punissons un rival qui m'offense ; v.878 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  435. Qu'il meure. En le voyant sans vie à vos genoux, v.879 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  436. Madame, en ce moment n'en accusez que vous. v.880 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  437. Lui dira, s'il le faut encor, que je le hais. v.888 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  438. Parmi ces sentiments n'aille se faire jour ; v.891 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  439. Je sais d'un tel discours ce que j'en devrai croire ; v.894 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  440. Dans cet aveu contraint, source de votre ennui, v.895 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  441. Mais enfin je vaincrai l'orgueil d'un téméraire ; v.897 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  442. Ce bruit de bouche en bouche est jusqu'à moi venu, v.903 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  443. Elle veut bien plutôt noblement s'allier. v.908 (Acte 3, scène 4, AURÉLIEN)
  444. Elle y consentirait ! Non, je ne le puis croire ; v.909 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  445. Ma fille n'ira point, insensible à sa gloire, v.910 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  446. Immoler sa vengeance, et, vous donnant la main, v.911 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  447. Vendre le sang d'un père à son lâche assassin. v.912 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  448. Fait le premier degré ? Que prétend-elle faire ? v.914 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  449. Depuis quand, en quel lieu, comment, et par quels droits v.915 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  450. Est-elle devenue arbitre de son choix ? v.916 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  451. Sapor y consent-il ? M'avez-vous consultée ? v.917 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  452. Et vous reproche un sang que vous ne vengez pas ? v.920 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  453. Et tu n'as, en naissant, sucé qu'un lait romain. v.924 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  454. Sont-ce là ces transports de haine et de vengeance v.925 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  455. Dont j'ai toujours pris soin de nourrir ton enfance ? v.926 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  456. Est-ce moi qui t'appris à trahir en un jour v.927 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  457. Insensible ! Inhumaine ! v.929 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  458. N'avez-vous pas assez lassé ma patience ? v.933 (Acte 3, scène 4, AURÉLIEN)
  459. Dois-je encor porter loin l'excès de ma constance ? v.934 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  460. Qu'en répandant sur vous un rayon de ma gloire, v.937 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  461. Et qu'un sceptre romain, par ma main présenté, v.939 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  462. D'intéresser ma gloire en ce fatal amour. v.944 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  463. Mais, madame, aujourd'hui plus sensible à ma flamme, v.945 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  464. L'amour, de son côté, vient entraîner mon âme. v.946 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  465. Quoi qu'il en soit enfin, quoi qu'on en puisse dire, v.949 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  466. Mon amour est encor plus fort que ma vengeance. v.954 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  467. Tenez votre promesse : ici tout m'obéit ; v.955 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  468. Enfin voila l'abîme où j'étais attendue ! v.957 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
  469. Je verrai donc ma fille, amenée aux autels, v.959 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
  470. M'entraînant à l'autel, triomphe de mes voux : v.964 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
  471. Sans ce dur sacrifice et cet hymen, hélas ! v.967 (Acte 3, scène 5, ISM?NE)
  472. Au dépens de l'amour, il faut sauver sa vie. v.970 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
  473. D'un indigne attentat sauvons notre mémoire ; v.973 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
  474. Avec un coeur exempt et de tache et d'offense, v.977 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
  475. Pour en trahir jamais la sévère innocence : v.978 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
  476. Qu'ils doivent rendre tel qu'ils l'ont reçu des dieux, v.980 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
  477. Vous promet tout, madame ; oui, vous serez vengée ; v.982 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  478. Un mouvement secret dans le fond de mon cour v.983 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  479. Accuse ma faiblesse et blâme ma lenteur : v.984 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  480. Je venge mes délais par mon impatience ; v.985 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  481. Vos beaux yeux dans mon cour excitent la vengeance ; v.986 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  482. Ce cour d'aucun remords ne se sent combattu ; v.987 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  483. Quel changement soudain ! Qui cause dans votre âme v.989 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  484. J'en frémis ; l'empereur vous épouse à mes yeux ; v.992 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  485. Prévenons ses desseins, détruisons ses projets ; v.995 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  486. Changeons, par un seul coup, ses lauriers en cyprès ; v.996 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  487. Que les flambeaux ardents de cet hymen célèbre v.997 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  488. Éclairent les moments de sa pompe funèbre ; v.998 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  489. Prince, je vous entends ; v.999 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  490. Ce soin de me venger, ces nobles sentiments, v.1000 (Acte 3, scène 6, Z?NOBIE)
  491. Avec l'emportement de l'ardeur qui m'enflamme, v.1006 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  492. L'hymen que dans ces lieux par votre ordre on apprête, v.1010 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  493. Et qui vous voit, enfin, ne peut aimer que vous. v.1020 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  494. Quoi qu'il en soit, madame, il faut vous satisfaire ; v.1021 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  495. Le dessein en est pris, rien ne m'en peut distraire. v.1022 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  496. Le bruit de cet hymen, qui vient de se répandre, v.1025 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  497. Me fait trouver des cours prompts à tout entreprendre : v.1026 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  498. Des moments retardés accusent la lenteur. v.1028 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  499. Allons, madame, allons, volons à la vengeance. v.1029 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  500. Déjà plein des transports de mon impatience, v.1030 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  501. J'ai couru chez Sapor en venant dans ces lieux ; v.1031 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  502. Et songez que mon cour en doit être le prix. v.1036 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  503. Mon cour est dévoré des plus cruels ennuis ; v.1039 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  504. Je crains d'y rencontrer un malheureux que j'aime ; v.1041 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  505. Je me fuis, mais en vain ; et tout ce que je vois v.1043 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  506. De quel front, de Sapor soutiendrai-je la vue, v.1045 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  507. Dieux ! Que deviendra-t-il, quand ma bouche cruelle v.1049 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  508. Quand il m'entendra dire, interdit et confus, v.1051 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  509. « Je ne suis plus à vous ; à l'autel entraînée, v.1053 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  510. Cet hymen se célèbre à vos yeux dans ce jour, v.1055 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  511. Renonçons pour jamais à la clarté des cieux. v.1060 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  512. Viens, Théone, suis-moi. Mais quelle erreur m'emporte ! v.1061 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  513. Ne me souvient-il plus de ces fers que je porte ? v.1062 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  514. Hélas ! Je ne peux plus me cacher qu'aux enfers. v.1064 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  515. Soit qu'en ce jour fatal votre ombre fugitive v.1069 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
  516. Descende pour jamais sur la funeste rive, v.1070 (Acte 4, scène 1, TH?ONE)
  517. Non, demeurons. En quel affreux séjour v.1071 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  518. D'épouser en ce jour l'assassin de mon père ? v.1074 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  519. Sans en aller si tôt infecter les enfers. v.1076 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  520. Madame, jusqu'ici votre innocente vie v.1077 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
  521. D'aucune tache encor ne se trouve ternie ; v.1078 (Acte 4, scène 1, TH?ONE)
  522. Veux-tu que contre lui je tourne encor mes coups ? v.1084 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  523. C'est donc peu contre lui que la rage et l'envie ; v.1085 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  524. Enfin le ciel, madame, à mes voeux moins contraire, v.1089 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  525. Il va m'ouvrir bientôt, en signalant mes coups, v.1091 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  526. Le moyen de mourir ou de vivre pour vous. v.1092 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  527. Des Romains courroucés irrite la vengeance ; v.1094 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  528. Tout le camp mutiné s'arme en notre faveur, v.1095 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  529. Et mon cour tout entier se livre à la fureur. v.1096 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  530. Vient obscurcir l'éclat de votre beau visage ! v.1098 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  531. Quel changement ! Pourquoi détournez-vous vos yeux ? v.1099 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  532. Jetez les yeux sur moi. Quel sombre ennui vous presse ? v.1102 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  533. Vous ne me dites rien ? Ciel ! Que je sens d'effroi ! v.1103 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  534. Serais-je donc trahi ? Par qui ? Comment ? Pourquoi ? v.1104 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  535. L'aurais-je pu penser ? Quel amour ! Quelle glace ! v.1105 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  536. Est-ce ainsi que vos yeux enflamment mon audace, v.1106 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  537. Ces yeux où je venais prendre toute l'ardeur v.1107 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  538. Pour vous dans les hasards je cours en téméraire ; v.1110 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  539. Sur les pas de la mort je vole vous venger. v.1112 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  540. De vous avoir laissée un moment dans les fers. v.1116 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  541. Cet univers saura que ce temps, ce silence, v.1117 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  542. Servaient à méditer une illustre vengeance, v.1118 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  543. Qui ne peut être à moi ! Ciel ! Que viens-je d'entendre ? v.1125 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  544. L'ai-je bien entendu, grands dieux ! J'en doute encor. v.1127 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  545. Est-ce Ismène qui parle, ou bien suis-je Sapor ? v.1128 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  546. Qui ne peut être à moi ! C'en est donc fait, madame ? v.1129 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  547. L'amour, ce tendre amour, est banni de votre âme ; v.1130 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  548. Vos sens d'une autre ardeur sont enfin prévenus ; v.1131 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  549. Vous fasse souvenir des serments et des pleurs v.1135 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  550. Je vous pardonne tout, si j'en puis faire autant. v.1140 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  551. Vous me quittez, madame, et je me rends justice, v.1141 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  552. Que, toujours insensible aux charmes d'un empire,' v.1146 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  553. Espérais-je en effet que, malgré mille obstacles, v.1149 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  554. Le ciel en ma faveur prodiguât des miracles ? v.1150 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  555. Et du charme imposteur d'une feinte tendresse ; v.1154 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  556. Ma raison prévenue, et mon cour enchanté... v.1155 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  557. Ne pouviez-vous encor quelque temps vous contraindre ? v.1161 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  558. Hélas ! Connaissez mieux en quel temps je veux feindre. v.1162 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  559. Je ne veux rien connaître ; assuré de mon sort, v.1163 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  560. Mes voeux les plus ardents m'entraînent à la mort ; v.1164 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  561. Hé ! Pourquoi voulez-vous maintenant que je vive ? v.1170 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  562. Madame, en cet état j'ai déjà trop vécu. v.1172 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  563. Vous me fuyez dans ce moment fatal ; v.1175 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  564. Est-ce ainsi qu'autrefois, sensible à mes alarmes, v.1177 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  565. Lorsque, nous séparant par de tendres adieux, v.1179 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  566. Tenait à mes drapeaux la victoire enchaînée ; v.1182 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  567. Quand, revenant vainqueur, j'étalais à vos pieds v.1183 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  568. Des javelots brisés, des aigles menaçantes, v.1185 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  569. Du sang des ennemis encore dégoûtantes, v.1186 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  570. Des faisceaux arrachés, mille et mille étendards, v.1187 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  571. Pour qui donc ai-je mis tant de villes en cendre ? v.1193 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  572. Vous ne l'ignorez pas, j'allais de vos parents v.1195 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  573. Blanchir des ossements dont ils étaient comblés : v.1200 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  574. Il me fallait encor, par de plus grands travaux, v.1203 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  575. Leur apprendre à couler par des routes nouvelles. v.1205 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  576. Quel fruit de mes travaux, grands dieux ! N'en parlons plus ; v.1211 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  577. Mes regrets aussi bien seraient-ils superflus. v.1212 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  578. Je sens que je vous aime encor plus que jamais. v.1216 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  579. Vous m'aimeriez encor ! Non, je suis trop coupable. v.1217 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  580. Vengez-vous par la haine, armez votre courroux. v.1219 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  581. Pour me venger, hélas ! Quel chemin m'ouvrez-vous ? v.1220 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  582. Votre bouche déjà m'en a trop fait savoir, v.1224 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  583. Me m'apprenez plus rien : je n'ai rien à vous dire, v.1225 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  584. Je ne vous retiens plus, allez chercher l'empire ; v.1226 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  585. Tandis que d'autre part, en proie à ma fureur, v.1227 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  586. Je vais, pour me venger, chercher un empereur. v.1228 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  587. Par les coups de l'amour j'ai commencé ma vie, v.1233 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  588. Faisons sentir ici ceux de la jalousie ; v.1234 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  589. En vain votre tendresse, v.1237 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  590. Ailleurs que dans le mien, infidèles, imparfaits, v.1244 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  591. Et si, l'amour rendant ma fureur légitime, v.1245 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  592. J'immole, en me frappant, une double victime. v.1246 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  593. Sortons d'ici, Théone, je me sens accablé ; v.1247 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  594. Enfin dépouillons-nous d'une feinte apparence ; v.1249 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  595. Déchirons maintenant ce voile de constance v.1250 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  596. Ouvrons enfin la scène, exposons à la vue v.1253 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  597. Les sentiments secrets d'une âme toute nue. v.1254 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  598. Éclatez, mes regrets trop longtemps retenus ; v.1255 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  599. Je vais mourir bientôt, je ne me plaindrai plus. v.1256 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  600. Hé bien ! Es-tu content ? La fortune et l'amour v.1259 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  601. Je ne vous verrai plus, ingrate ! Encore aimable v.1265 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  602. Je tremble, je frémis, je sens couler mes pleurs ! v.1267 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  603. Je ne sais ; mais, hélas ! Renonce-t-on au jour, v.1271 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  604. Quand on ne peut encor renoncer à l'amour ? v.1272 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  605. Je serai descendu dans l'infernale horreur ? v.1275 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  606. Quoi ! L'on vous aimera (j'en frémis quand j'y pense), v.1277 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  607. Et je ne vivrai plus pour venger cette offense ! v.1278 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  608. Ah ! De quels soins cruels viens-je ici m'affliger ? v.1279 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  609. Ismène encor vivra, c'est trop pour me venger. v.1280 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  610. Non, je serai vengé dans le sein du trépas. v.1283 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  611. Mais, tandis que je vis, vengeons-nous par mon bras. v.1284 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  612. Que l'amour dans mon cour se convertisse en rage : v.1286 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  613. Courons, qu'attendons-nous ? Qu'il périsse !... v.1289 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  614. Venez voir le désordre et l'horreur de mon âme ; v.1290 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  615. Venez, considérez l'état où l'on m'a mis : v.1291 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  616. Vous ne direz jamais quels sont mes ennemis. v.1292 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  617. Le jour m'est à présent une peine cruelle ; v.1293 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  618. Et que mon bras, armé pour se rendre justice, v.1297 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  619. Des destins ennemis va dompter la malice. v.1298 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  620. Ah ! Que ne suivait-elle encor quelques moments v.1299 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  621. Le cours toujours trompeur de ses déguisements ? v.1300 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  622. Que ne se faisait-elle encore un peu d'effort ? v.1303 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  623. Les dieux n'allaient-ils pas ordonner de ma mort ? v.1304 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  624. Prince, calmez l'excès de vos ressentiments ; v.1307 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  625. Le temps attend de vous d'autres comportements. v.1308 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  626. Bien plus que sa constance, a fait briller ses feux. ' v.1312 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  627. À de tendres frayeurs s'est la fin rendue ; v.1314 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  628. Non que je veuille ici, trop pleine de tendresse, v.1317 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  629. Si de meilleurs conseils avoient été suivis, v.1319 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  630. Mais enfin, plus sensible à l'ardeur qui la touche, v.1322 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  631. Ismène a consenti, dans ce funeste jour, v.1323 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  632. Ah ! Que me dites-vous ? Est-il bien vrai, madame ? v.1325 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  633. Ces sentiments trompeurs, arrachés par la feinte, v.1329 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  634. N'étaient que des effets d'amour et de contrainte ? v.1330 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  635. Ah ! Pardonnez, Ismène, à mon aveuglement ; v.1331 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  636. Maintenant que je sais le prix de vos combats, v.1335 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  637. Car enfin deux amants, en cette extrémité, v.1339 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  638. De la feinte aisément percent l'obscurité. v.1340 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  639. Eh ! Contrainte à tenir un discours odieux, v.1343 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  640. Tout mentait dans Ismène ; et ses regards timides v.1345 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  641. Craignaient d'en trop apprendre à des témoins perfides : v.1346 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  642. Madame, ah ! Que m'apprenez-vous ? v.1347 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  643. Hélas ! Dans les transports qui déchiraient mon âme, v.1350 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  644. Je sens que dans mon cour l'espoir s'évanouit. v.1352 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  645. Tous mes moments ne sont qu'un éternel retour v.1355 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  646. Je l'attends : tonne, frappe, et je suis satisfait. v.1360 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  647. Il n'est plus temps ici de se répandre en plaintes ; v.1361 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  648. Défendez votre cour contre ces vaines craintes ; v.1362 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  649. Dans mon appartement Sabinus va se rendre ; v.1365 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  650. De ses soins empressés nous devons tout attendre. v.1366 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  651. Et la pitié n'est pas éteinte en tous les cours. v.1368 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  652. Enflammé par l'amour, animé par la gloire, v.1369 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  653. Si je puis seulement avoir le fer en main. v.1372 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  654. Non, non, vous n'irez point : qu'il vienne ici, s'il ose, v.1373 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
  655. Achever cet hymen que son cour se propose, v.1374 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
  656. Vous arracher des bras d'une mère en fureur. v.1375 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
  657. L'ardeur de la vengeance v.1377 (Acte 5, scène 1, ISMÈNE)
  658. Hé bien, cours à l'autel ; v.1379 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
  659. Du meurtre de ton père encor toutes fumantes ; v.1382 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
  660. Si de ces monuments exposés à ta vue, v.1385 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
  661. Ton âme, en ce moment, n'est assez confondue, v.1386 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
  662. Je cède enfin, madame, à mon impatience ; v.1391 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  663. Les moments sont trop lents, je cours à la vengeance. v.1392 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  664. Sabinus ne vient point, il faut l'aller chercher ; v.1393 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  665. C'est trop longtemps ici l'attendre et se cacher ; v.1394 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  666. Il est temps maintenant que le ciel se déclare. v.1395 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  667. En versant tout mon sang, je puis laver l'erreur. v.1398 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  668. Dans le temps que pour moi votre tendresse éclate, v.1399 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  669. Dans ce moment pourtant, vos yeux en sont témoins, v.1401 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  670. J'étais plus malheureux, je n'en aimais pas moins ; v.1402 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  671. Je vous gardais toujours un reste d'innocence ; v.1404 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  672. Peut-être qu'un moment j'ai pu vous accuser ; v.1406 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  673. Et ce cruel moment, dont le retour m'accable, v.1407 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  674. À vos yeux pour toujours doit me rendre coupable. v.1408 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  675. Je vole l'en punir. Vous m'aimez, je vous aime ; v.1411 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  676. Rien ne peut mieux venger l'amour que l'amour même : v.1412 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  677. Laissez-moi présenter une moins chère tête. v.1416 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
  678. Ce serait me punir bien plus que me venger ; v.1418 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
  679. Et, quoique vos périls m'apportassent des charmes, v.1419 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
  680. Je serais mal payée encor de mes alarmes ; v.1420 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
  681. D'autres me vengeront. v.1421 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
  682. Si je vais à l'autel, ce n'est plus en victime ; v.1424 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
  683. Et mon bras va venger le crime de mes yeux. v.1426 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
  684. Je renonce, à ce prix, madame, à la vengeance : v.1427 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  685. Mon cour de son bonheur serait encor jaloux. v.1430 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  686. Et, si je ne remets l'Orient sous vos lois, v.1433 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  687. Je dispense les dieux d'appuyer mes exploits. v.1434 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  688. Non, prince, il n'est pas temps encore de partir, v.1437 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
  689. Sabinus doit ici vous venir avertir : v.1438 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
  690. Je viens vous en porter les dernières nouvelles ; v.1439 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
  691. Et le vôtre bientôt instruira l'univers v.1441 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
  692. Voilà donc de quel prix vous payez ma tendresse ! v.1444 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
  693. Quand vos larmes tantôt m'en demandaient le cours : v.1446 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
  694. Par quel aveuglement aurais-tu donc pu croire v.1448 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  695. Je te le dis encor, pour assurer ta vie, v.1451 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  696. Il faut qu'auparavant la mienne soit ravie. v.1452 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  697. Quels que soient mes destins, libre ou chargé de fers, v.1453 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  698. Je prétends te haïr, même au fond des enfers. v.1454 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  699. Que tardes-tu, barbare, à m'y faire descendre ? v.1455 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  700. Tes bourreaux sont-ils prêts ? Tu risques trop d'attendre : v.1456 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  701. Ainsi bientôt mes jours seront en sûreté. v.1458 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
  702. Le plus affreux trépas n'a rien dont je pâlisse. v.1459 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  703. Pourquoi m'enviez-vous la gloire de mourir ? v.1462 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  704. C'est tout ce que j'attends pour le prix de ma flamme : v.1464 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  705. Et mourant en ce jour, à vos yeux et pour vous, v.1465 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  706. Je triomphe : un rival à mon sort porte envie. v.1467 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  707. Vient de t'y voir encor : c'est un crime pour moi v.1469 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  708. D'en sortir sans punir un tyran tel que toi. v.1470 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  709. C'est trop d'un orgueilleux suspendre le supplice. v.1471 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
  710. Trop heureux en mourant de causer vos alarmes ! v.1477 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  711. Et mon sang est cent fois trop payé de vos larmes. v.1478 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  712. Ce n'est donc que pour moi qu'on devient pitoyable : v.1487 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
  713. On punit l'innocent, on pardonne au coupable. v.1488 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  714. Ah ! Seigneur, suspendez un arrêt plein d'horreur : v.1489 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  715. Par ces sacrés genoux que je tiens, que j'embrasse, v.1491 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  716. Détournez sur moi seule un coup qui le menace ; v.1492 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  717. Au nom de notre hymen, seigneur, au nom des dieux ! v.1494 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  718. Lorsque notre ennemi la dispense à nos soins ; v.1497 (Acte 5, scène 4, ZÉNOBIE)
  719. Nous pourrions, vous et moi, l'en haïr un peu moins, v.1498 (Acte 5, scène 4, Z?NOBIE)
  720. Seraient trop achetés d'une telle faiblesse. v.1500 (Acte 5, scène 4, Z?NOBIE)
  721. Madame, en ce moment, peut-être ce héros v.1501 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
  722. Rend les derniers soupirs sous le fer des bourreaux. v.1502 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  723. Suspendez vos couteaux, désarmez vos fureurs. v.1505 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  724. Ah, barbare ! C'est vous dont les secours trop lents... v.1513 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  725. Sapor vit-il encor ? Quelqu'un m'a-t-il trahi ? v.1517 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
  726. Quand, bientôt parvenu sous ces pompeux portiques v.1523 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  727. Offert à vos regards, il doit m'être bien doux v.1529 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  728. Il enfonce le fer promptement dans son sein ; v.1538 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  729. Ce spectacle sanglant n'offre rien qui l'étonne ; v.1540 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  730. Il sent glisser en lui la mort, sans se troubler ; v.1541 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  731. Mais bientôt, d'un visage où la mort était peinte, v.1543 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  732. « Je meurs, enfin, dit-il, et les dieux l'ont permis ; v.1545 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  733. Aurélien peut vivre, il n'a plus d'ennemis. v.1546 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  734. Je l'ai laissé, seigneur, sans forces, étendu v.1549 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  735. Il ne vit plus enfin. v.1551 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  736. Je n'ai plus rien à craindre, enfin ; et, dans ce jour, v.1553 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
  737. Il est mort ; et je vis ! Et je respire encore ! v.1555 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  738. Monstre que les enfers ont produit en fureur ! v.1558 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  739. Éloigne-toi, barbare ; évite ma présence ; v.1559 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  740. Crains que Sapor ne vive encore en ma vengeance : v.1560 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  741. J'aurais déjà puni tes lâches attentats, v.1561 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  742. Dans les frémissements de mon horreur extrême, v.1563 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  743. L'aurais-je dû penser ! Quel coup épouvantable ! v.1568 (Acte 5, scène 5, ZÉNOBIE)
  744. Je te laisse, en mourant, un noble exemple à suivre. v.1571 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  745. Viens m'y voir dans les bras de ton rival heureux. v.1574 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  746. Si tu t'y présentais, je voudrais le quitter : v.1577 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  747. Oui, barbare, à tes yeux, je veux bien te le dire, v.1584 (Acte 5, scène 6, ZÉNOBIE)
  748. Ce poignard tout sanglant pour t'en percer le sein. v.1586 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  749. Mais je vis, et le mien achèvera l'ouvrage. v.1588 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  750. Tu m'as ravi, perfide, empire, enfants, époux ; v.1589 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  751. Mais il me reste un bien, et plus cher et plus doux v.1590 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  752. Que ne furent jamais époux, enfants, empire : v.1591 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  753. Je saurai prévenir les effets de sa haine ; v.1595 (Acte 5, scène 7, AURÉLIEN)
  754. Un amour outragé rend l'éclat à ma gloire ; v.1600 (Acte 5, scène 7, AUR?LIEN)
  755. Me récompense assez des pertes de l'amour. v.1602 (Acte 5, scène 7, AUR?LIEN)

ARLEQUIN AUX ENFERS (1689)

  1. La, la, voilà qui est bien. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  2. Les jolies petites quenottes ! (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  3. Je suis bien malheureux ! (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  4. Madame, tenez-vous bien aux crins. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  5. Il faut l'aller attendre à la descente du coche, pour lui donner la main. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  6. - Bonjour, ma petite femme ; d'où vient donc que vous n'êtes pas noyée ? (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  7. Je n'en puis plus ; je suis toute rompue. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
  8. Par ma foi, monsieur, nous avons eu bien de la peine. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  9. J'ai cru vingt fois que madame accoucherait de quelque sole entre mes bras. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  10. Je suis tombée plus de cent fois ; et sans Pierrot... (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
  11. Voilà un pauvre poisson qui n'en peut plus. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  12. Tenez, monsieur, voyez, il est sur les dents ; il sera fourbu de ce voyage. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  13. Hé bien, mène-le à l'écurie. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  14. Dis-moi donc présentement ce que nous venons faire ici, et pourquoi on nous a fait déménager aussi vite que si nous avions dix commissaires à nos trousses. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
  15. Non pas tout à fait ; mais on a jeté nos meubles par la fenêtre. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
  16. Mais rien ne peut m'arrêter quand la gloire m'appelle. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  17. Nous sommes en Thrace, et j'ai quitté la Grèce pour venir ici disputer avec Orphée de la musique. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  18. Il a eu l'effronterie de m'appeler en duel. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  19. En duel ? (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
  20. Et depuis quand donc les musiciens sont-ils devenus si braves ? (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
  21. Ils enragent de se battre quand ils ne voient personne. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  22. Tiens, voilà la lettre que je lui ai écrite. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  23. Je veux vous voir les instruments à la main, quoique vous ne soyez qu'un chantre du Pont-Neuf, et que vous ne deviez chanter qu'avec des grenouilles, ou braire avec des ânes comme vous. » (Acte 1, scène 1, AMPHION)
  24. De quoi vivrons-nous en ce pays-ci ? (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  25. Car nous n'avons point d'argent. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  26. Cela m'embarrasse un peu ; car ce diable d'argent, c'est la cheville ouvrière d'un ménage. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  27. Si tu voulais me laisser faire, je ferais de bonnes connaissances, et nous n'en serions pas plus mal. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  28. Autrefois, quand tu étais absent, je ne manquais de rien. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  29. Je me défie diablement de ces femmes qui battent monnaie en l'absence de leurs maris. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  30. Ces maris se mettent d'abord cent choses dans la tête. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  31. C'est bien cela ! (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  32. N'est-ce pas celui qui a le laboratoire au collège des Quatre-Nations, qui vend du chocolat volatil, de la crème de perle et du sirop de diamants ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  33. Je compose une huile, que j'appelle élixir de patience, dont une goutte, appliquée sur le front d'un mari, le délivre pour jamais du mal de tête. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  34. Mais je crois que tu gagnerais bien davantage si ton secret le délivrait de sa femme. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  35. J'en ai un autre bien plus beau pour les femmes d'aujourd'hui : je compose la poudre de bonne réputation. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  36. Je crois qu'elle est diablement difficile à faire ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  37. Qu'une coquette soit décriée, que sa conduite soit la plus raboteuse du inonde, elle n'a qu'à changer de quartier, ne plus voir d'hommes, et prendre une pincée de ma poudre dans un bouillon, en trois mois elle fera assaut de vertu avec les plus vestales. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  38. J'en ai un pour le moins aussi beau. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  39. Qu'un homme ait une colique enragée, en un moment je la lui fais passer ; je le couche par terre, je fais chauffer une meule de moulin, et je la lui applique sur l'estomac : n'ayez pas peur qu'il ait jamais la colique. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  40. Le malade meurt ordinairement ; mais s'il ne mourait pas, ce serait le plus beau secret du monde. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  41. J'ai encore un autre moyen pour gagner de l'argent. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  42. Tu sais bien que, quand je joue de ma lyre, je fais tout venir à moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  43. Je n'ai qu'à aller aux Invalides, je servirai de grue pour monter les pierres, et on me paiera comme trente manoeuvres ensemble. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  44. Je te dis qu'il n'y a pas une plus jolie vacation au monde ; on est de tous les bons repas ; jamais de promenades sans le maître à chanter : on se donne de petits airs de familiarité avec l'écolière ; on lui prend la main pour lui faire battre la mesure : le mari passe tout sur la foi de la musique, et il ne se doute pas, bien souvent, de la partie qu'on fait chanter à sa femme. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  45. Voilà mon affaire : il n'y a qu'une chose qui m'embarrasse ; il me semble que je ne suis pas assez bien habillé. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  46. Ne te mets pas en peine ; tu n'auras pas montré trois mois, que tu seras aussi doré que les maîtres à danser. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  47. Une écolière, en levant une jupe chez un marchand ; ne lève-t-elle pas aussi une veste pour son maître de musique ? (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  48. Qu'est-ce qu'il lui en coûte ? (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  49. 'Voilà de jolis profits ; mais aussi on a bien de la peine : c'est un rude métier : il faut quelquefois chanter quand on a envie de boire. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  50. Mais n'importe, voilà qui est fait ; quand l'argent me manquera, je me jette dans la musique. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  51. Adieu ; je m'en vais chercher Orphée ; il n'a qu'à se bien tenir ; je lui ferai manger son violon jusqu'au manche. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  52. Ne manque pas d'en garder pour toi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  53. À propos, qu'as-tu fait de nos enfants ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  54. Pour les cacher à cette âme damnée de Jupiter, qui nous en a tué déjà deux, j'en ai fait un ballot, que j'ai porté à la douane ; et je vais voir s'il est arrivé, pour en payer les droits. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  55. Cette marchandise-là ne devrait pas beaucoup payer d'entrée ; elle paye assez à la sortie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  56. Il y a longtemps, madame, que la tapisserie de mes inclinations est pendue au clou à crochet de vos beautés. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  57. C'est l'amour qui en a été le tapissier ; et cela est si vrai que le mérite... votre mine, d'un côté... mais d'ailleurs. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  58. Car vous me paraissez bien petite aujourd'hui. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  59. Tout ce que je puis vous dire, c'est que je ne me souviens pas d'avoir été plus grande. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  60. J'en suis pourtant toujours pour ce que j'ai dit, voilà qui est diablement chiffon. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  61. Si nous nous marions ensemble, jamais nos enfants n'entreront dans le régiment des gardes. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  62. Cela n'est pas encore fait. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  63. Je ne pense pas que vous ayez dix-sept paumes. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  64. Apparemment, monsieur, que vous avez quelque cheval à assortir, ou bien vous me voulez prendre la mesure d'un habit. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  65. Que je serais heureux si je pouvais être le tailleur fortuné qui prendra la mesure d'une si aimable personne ! (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  66. Mais je crains bien que les ciseaux de mon amour... (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  67. vous m'entendez bien ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  68. Quand on a une femme à prendre, les plus petites sont toujours les meilleures. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  69. Allons, la belle, dites la vérité ; n'est-il pas vrai que vous serez bien aise d'être ma moitié ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  70. J'enrage quand je vois ces petits embryons de cour vouloir faire assaut avec moi. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  71. Il faut qu'ils aient perdu l'esprit ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  72. J'ai le derrière un peu gros, tirant même sur le porteur de chaise ; mais mon médecin m'a promis qu'il me ferait en aller cela ; il m'a ordonné de prendre du petit-lait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  73. Il m'a dit que c'était une humeur âcre, répandue dans le diaphragme du mésentère, et qui tombe sur l'omoplate. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  74. On se trompe quelquefois dans ce calcul-là, et l'on n'y trouve pas souvent tout le bonheur qu'on s'y était proposé. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  75. Une fois seulement, après avoir pris du tabac, je voulais éternuer, elle me fit manquer mon coup ; de dépit, je pris un chandelier, je lui cassai la tête, et elle mourut un quart_d_heure après. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  76. Voilà le seul différend que nous ayons jamais eu ensemble, et qui ne dura pas longtemps, comme vous voyez. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  77. Quand une femme doit mourir, il vaut bien mieux que ce soit de la main de son mari que de celle d'un médecin, qu'il faut bien payer, et qui vous la traînera six mois ou un an. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  78. Je n'aime point à voir languir le inonde ; et puis l'on gagne son argent par ses mains. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  79. Mon père a fait mille combats en sa vie, où il a toujours tué son homme. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  80. Il a servi le roi trente-deux années. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  81. En l'air. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  82. Comment, en l'air ? (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  83. C'est que, comme il était fort charitable, lorsqu'il rencontrait quelque agonisant que l'on menait à la Grève, il se mettait avec lui dans la charrette, et l'aidait à mourir du mieux qu'il pouvait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  84. Tous ses confrères les médecins (car il avait pris ses licences dans leur école) disaient qu'il n'y avait jamais eu un homme aussi adroit, et qu'on ne voyait point de besogne faite comme la sienne : aussi l'avaient-ils fait recteur de la Faculté. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  85. Voilà, je vous assure, des talents bien merveilleux. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  86. Je vous dis, madame, que si vous l'aviez vu travailler, il vous aurait fait envie de vous faire pendre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  87. Comme ce sont peut-être des talents de famille, vous deviez prendre la charge de monsieur votre père. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  88. Je m'y sentais assez d'inclination ; mais vous savez qu'il faut qu'un gentilhomme voie le pays. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  89. J'ai couru par toutes les sept parties du monde, et me voilà enfin à vos pieds, ma divine princesse, le coeur en braise, pour vous dire que je me pendrai assurément, si vous n'êtes unie avec moi par le lien conjugal. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  90. Je le suis aussi ; mais il n'y a rien de si aisé que d'être veuf ; cinq sous de mort aux rats en font l'affaire. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  91. Qu'entends-je ? (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  92. Allons donc, épine de mon âme, touchez là ; commençons les préliminaires de notre mariage. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  93. Tout doucement, monsieur ; réservez ces caresses-là pour votre femme. (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  94. Je voudrais qu'elle fût pendue. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  95. Ne vois-tu pas bien que je disais cela pour rire ? (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  96. Il faut bien plus de temps pour faire crever une femme. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  97. Non, je ne serai pas contente que je ne t'aie étranglé de mes propres mains. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  98. Çà n'est morgué pas bien, tout franc. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  99. La, la, la, ma petite femme, ce ne sera rien ; cela ne m'arrivera plus. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  100. Par ma foi, je commence à croire que c'est moi qui l'ai battue. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  101. Allons, je veux faire la paix : je n'aime pas à voir de noise dans un ménage ; je veux vous raccommoder : venez çà. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  102. Oui, tout d'un côté et rien de l'autre. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  103. Voilà un sac de charbon de l'enfer qui va à la promenade. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  104. Et qui est le premier consignant pour entrer ici-bas à l'Académie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  105. Il y en a une ici ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  106. Je me promenais sur les bords du Cocyte, pour travailler plus en repos à ma harangue, et tu viens te jeter au travers de mes conceptions ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  107. Comment donc ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  108. Je sais bien que la plupart des académiciens, là-haut, ne se donnent pas cette peine-là, et que, pourvu qu'ils la sachent lire, on les reçoit tout d'une voix ; mais ce n'est pas de même ici ; et il ne suffit pas de savoir faire l'anatomie d'un mot, pour être l'interprète des mystères de notre diabolique Académie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  109. Apparemment que vous en étiez là-haut ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  110. Que j'en étais là-haut ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  111. Que j'en étais ! (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  112. Est-ce qu'on me recevrait ici, si j'en avais été ? (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  113. Ce n'est pas que je n'aie eu cent fois plus de mérite qu'il ne faut pour en être. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  114. J'ai été le plus bel esprit de mon temps, et j'ai fait en ma vie plus de cent comédies. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  115. Plus de cent comédies ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  116. Oui, cent ; cent cinquante, si vous me fâchez. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  117. Il n'y eut jamais un meilleur naturel que le mien ; je rendais une comédie aussi facilement qu'un autre rend un lavement. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  118. C'est moi qui ai enrichi les comédiens français ; et il n'y avait point d'hiver que je ne leur donnasse sept ou huit pièces, tant sérieuses que comiques. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  119. Jamais qu'une fois ; mais aussi tout Paris venait se crever à la première représentation ; car personne ne voulait attendre la seconde, de peur de ne la point voir. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  120. J'aurais cru que c'eût été là le moyen d'envoyer les comédiens à l'hôpital. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  121. Une comédie nouvelle, pour être bonne, ne doit se jouer qu'une fois ; quand elle va jusqu'à deux, ma foi, on s'ennuie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  122. J'ai mis le siècle dans ce goût-là ; et, si vous y prenez garde, depuis moi, tous les auteurs donnent là-dedans. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  123. Ils ont raison, au bout du compte ; car, comme les bonnes choses aujourd'hui n'ont point de cours, pour peu qu'une méchante pièce puisse être représentée une fois, voilà les comédiens riches. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  124. Les vôtres étaient donc sur ce pied-là ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  125. Tout au contraire, je marquai, dans mes rôles, les endroits où l'on devait siffler, afin que l'acteur se reposât et qu'il reprit haleine. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  126. C'est le jugement qui conduit tout cela. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  127. Et moi je voudrais que les sifflets fussent au diable. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  128. Quand cette quinte-là prend au parterre, il démonterait Titus et Bérénice. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  129. Les comédiens vous ont bien de l'obligation. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  130. Il en faisait pour la prose, pour les vers, pour les Français, pour les Italiens ; mais, ma foi, où il triomphait, c'était pour l'Opéra. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  131. Pour le mettre en crédit, j'avais fait un opéra, moi, qu'on allait jouer quand je mourus. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  132. Cela sent le collège : je l'avais tiré tout entier de l'histoire de France ; il portait pour titre : les Aventures du Pont-Neuf. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  133. La fable n'a rien de si magnifique. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  134. Les Aventures du Pont-Neuf ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  135. Voilà un auteur échappé des Petites-Maisons des enfers. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  136. Comment donc ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  137. Est-ce que je dis des impertinences ? (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  138. Le Pont-Neuf n'est-il pas le plus bel endroit de Paris ? (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  139. Ergo, les Aventures du Pont-Neuf sont les plus beaux traits de l'histoire de France. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  140. C'est une figure, ignorant, que nous appelons en latin, pars pro toto ; et en grec synecdoche... (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  141. Et en français, la folie. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  142. Mais vous me faites perdre bien du temps. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  143. Je veux apprendre le chemin des enfers, et je vais y chercher ma femme. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  144. Comment donc ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  145. Pour la rareté du fait, je veux vous y mener. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  146. Suivez-moi : je veux entendre ce compliment-là. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  147. Avant que d'aller plus avant, je voudrais bien savoir une chose de vous ; car on dit que l'on est si savant quand on est mort ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  148. Ma femme a toujours été diablement coquette : dites-moi, je vous prie, si je ne suis point... (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  149. Vous m'entendez bien ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  150. Oui-da, cela est bien aisé. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  151. C'est une chose étonnante, phlégétontique assemblée, que de voir l'affluence d'âmes qui tombent journellement par vos soins dans mon royaume : il faut désormais refuser l'entrée aux survenants, ou faire bâtir des appartements nouveaux ; et, pour cela, je crois qu'il sera bon de lever un droit sur le bois et le charbon qui se brûlent ici-bas : voilà le sujet pour lequel je vous assemble. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  152. Ne parlons point d'impôt : c'est quelque nouveau venu de maltôtier qui vous a soufflé cet avis-là. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
  153. J'ai vu autrefois le temps si misérable, qu'il ne venait pas ici le moindre petit griffonneur de sergent, qu'il ne fallût députer un diable tout exprès pour aller le quérir ; et présentement, nous ne sommes employés qu'à les chasser : il faut que les greffiers attendent des années entières à la porte, parce qu'ils ne veulent pas passer devant les conseillers, qui pleuvent ici de toutes parts. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  154. Il ne faut plus recevoir de gens de robe ; l'enfer est déjà assez lugubre ; et surtout, point de greffiers, car ces gens-là mettent l'enfer en mauvais prédicament. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
  155. Oui ; mais vous ne savez pas que, moi qui suis Pluton, je n'ai pas plus de droit en enfer que ces messieurs-là. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  156. Bienheureux si, quelque jour, ils ne m'en chassent pas. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  157. Je suis si soûl des gens de chicane, que dernièrement je fis une querelle d'Allemand à un diable de qualité, qui revenait de Paris ; et je lui fis fermer la porte, parce qu'il avait hanté mauvaise compagnie là-haut, et qu'il sortait du corps d'un procureur. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  158. Vous avez eu raison ; ce serait le moyen de gâter bient8t tout ici. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
  159. Du dix-sept, passé deux mille sept cent treize médecins avec leurs mules. (Acte 1, scène 9, CARON)
  160. Ces messieurs-là font mieux nos affaires là-haut : il les faut renvoyer. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  161. Je ne veux plus qu'on en reçoive aucun à l'avenir qu'il n'ait une attestation de service et un certificat des fossoyeurs, comme il a bien et fidèlement exercé sa charge de médecin, et tué pour le moins dix mille personnes à sa part. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  162. Du même jour, quatorze cents apothicaires. (Acte 1, scène 9, CARON)
  163. On est échauffé en ce pays-ci, et on a besoin de lavements pour se déconstiper. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  164. Dudit jour, cinquante-sept mille deux cent dix sept, tant fermiers, sous-fermiers, que commis et rats-de-cave. (Acte 1, scène 9, CARON)
  165. Il est vrai qu'il en est tombé ce matin une bruine ; on ne se voyait pas en enfer. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  166. Pour les fermiers, tout franc, il n'y a plus moyen de les passer ; ils sont si gros et si gras, que ma barque enfonce. (Acte 1, scène 9, CARON)
  167. Comment voulez-vous faire ? (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  168. Plus, quinze mille sept cents, tant clercs que procureurs. (Acte 1, scène 9, CARON)
  169. Pour ceux-là, il faut en faire provision ; c'est le bois d'andelle de l'enfer ; et je ne veux pas que l'on brûle autre chose dans mon cabinet. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  170. Passé, en corps et en âme, deux carabins de symphonie, soi-disant musiciens de l'Opéra, qui viennent redemander leurs femmes. (Acte 1, scène 9, CARON)
  171. Qu'on les fasse venir au plus vite, je veux les voir ; voilà du fruit nouveau. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  172. Il y a longtemps que je suis en ce pays-ci, mais je n'ai point encore vu une pareille ambassade. (Acte 1, scène 9, PROSERPINE)
  173. Elle valait bien la peine de faire le voyage. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  174. Celle qui m'engage : v.4 (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  175. Il faudra bien s'en consoler. v.6 (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  176. S'il ne tient qu'à une chanson pour avoir sa femme, je vais en dire une nouvelle. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  177. S'il est étonnant de voir un mari chercher sa femme jusqu'aux enfers, il ne l'est pas moins de voir une femme souhaiter avec empressement de retourner avec son mari, quand une fois elle en a été séparée. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  178. Pour moi, je ne suis point de celles qui regardent la séparation d'avec un mari comme la porte de leur félicité ; et j'avoue franchement que je suis d'assez mauvais goût pour trouver qu'il n'y a point de bonheur égal à celui de vivre avec un époux que l'on aime et dont on est tendrement aimé. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  179. Je sais que je ne suis pas du goût d'aujourd'hui, et que pour être présentement femme du bel air, il ne faut prendre un mari que comme un surtout de bienséance, et un paravent de réputation ; mais j'aime mieux n'être pas tout à fait à la mode, et être un peu plus dans la route de mon devoir. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  180. C'est ce qui fait que je viens implorer votre clémence, et vous prier, par tout ce que vous avez de plus cher, au nom de l'amour que vous vous êtes porté l'un et l'autre, de m'accorder la grâce que je vous demande, de me rendre à un mari que je chéris plus que toute chose au monde, et je serai obligée de faire le reste de ma vie des voeux pour la santé et la prospérité de vos majestés diaboliques. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  181. Ce sont des anciens marguilliers qui veulent passer devant des avocats. (Acte 1, scène 10, CARON)
  182. Oui ; mais ils en appellent devant vous. (Acte 1, scène 10, CARON)
  183. Huissier, faites faire silence ; nous verrons cela tantôt. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  184. Les femmes d'aujourd'hui sont si malheureuses, et l'empire des maris si absolu, que je ne m'étonne plus qu'il y ait tant de filles à marier, et qui regardent le mariage comme l'écueil de leurs plaisirs et le tombeau de leur liberté. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  185. En effet, n'est-ce pas une chose qui crie vengeance, de voir l'inhumanité avec laquelle les pauvres femmes, ces moutons d'amour, sont traitées par ces loups dévorants ! (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  186. Je vois bien que nous sommes ici sur le patrimoine des avocats. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  187. Ne dirait-on pas, dis-je, que le mariage, qui devrait être l'union, le noeud et la soudure des volontés, soit présentement un champ de bataille, où le mari s'exerce à chagriner sa femme, et où la femme est toujours la malheureuse exposée aux insultes, et bien souvent aux coups de celui qui devrait être le rempart de sa faiblesse ? (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  188. Nous voyons pourtant souvent ici des maris qui portent de vilains chinforgnaux sur leur tête. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  189. Ce n'est que pour entretenir la paix. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  190. Ne savez-vous pas bien que qui bat sa femme, il la fait braire ; qui la rebat, il la fait taire. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  191. Pour moi, je vous déclare que, si heureusement mon mari était mort le premier, j'aurais crié ; je me serais couverte, jusqu'au bout des ongles, d'un deuil où le coeur n'aurait pas eu grande part ; mais loin de le venir trouver aux enfers, je me serais bien donné de garde de le chercher. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  192. Ainsi, puisqu'il vient me chercher de si loin : c'est une marque qu'il ne saurait se passer de moi ; mais il ne m'aura que par le bon bout : je prétends avoir des conditions si avantageuses, qu'on ne puisse pas me reprocher d'avoir gâté le métier... (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  193. Comme c'est une chose qui crie vengeance, de voir le peu de dépenses que les femmes font aujourd'hui, je veux avoir plus d'argent que par le passé, et que chacun ait, sa semaine, la clef du coffre-fort. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  194. Si vous l'aviez une semaine, je courrais grand risque la suivante de ne pas entrer en exercice. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  195. On n'est jamais bien servi par ces vieilles-là. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  196. Cet oiseau-ci sait bien sa leçon. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  197. Voilà une pèlerine qui a diablement d'esprit. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  198. Elle a encore six fois plus de tête. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  199. La la, voyons : j'ai aussi à proposer mes conditions, moi, et voilà des articles que nous ferons signer par des notaires de ce pays-ci ; car je crois qu'il n'y en manque pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  200. Oui, tu le prends comme cela ? (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  201. Une jolie femme comme moi, en tout pays, ne manque point de mari. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  202. Je sais bien qu'il y a partout assez de gens qui se mêlent de ces emplois-là. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  203. Puisque je ne profite pas de votre mort, je prétends que vous me rendiez les frais du deuil et de l'enterrement que j'ai payés au crieur. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  204. Cela est juste ; mais il n'en coûte pas grand'chose gour faire enterrer une petite femme. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  205. Ces diables de corbeaux-là ne les mesurent pas B la toise, et ils rançonnent si exorbitamment un pauvre mari, que souvent il aimerait presque autant que sa femme ne mourût pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  206. Ils gagnent assez d'ailleurs. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  207. Je prétends à l'avenir que vous baissiez votre rayon d'un grand demi-pied au moins. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  208. Il vous en restera encore plus d'un grand pied ; et un grand pied de rayon doit suffire à la femme d'un musicien. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  209. Je le crois bien ; je m'en contenterais bien, moi qui suis Proserpine. (Acte 1, scène 10, PROSERPINE)
  210. Je ne veux point engager ma conscience. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  211. Dans le temps où nous sommes, il n'y a point de femmes qui puissent promettre cela. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  212. Je veux que les enfants que j'aurai dans ln suite (car il faut recommencer sur nouveaux frais) soient élevés à ma fantaisie, et j'en disposerai comme de chose à moi appartenante. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  213. Cela s'en va sans dire. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  214. Puisqu'elle est votre femme, tous les enfants qu'elle aura ne seront-ils pas les vôtres ? (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  215. Nego consequentiam. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  216. Vous ne savez pas tout le manège de là-haut, monsieur Pluton : il y a tant de pères qui n'ont jamais eu d'enfants ! (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  217. Après avoir entendu les raisons des uns et des autres, pour vous défrayer des frais de votre voyage, moi Pluton, prince des ténèbres, souverain du Styx et du Phlégéton, gouverneur des pays-bas, président du sabbat, et correcteur né des arts, métiers et professions, je vous permets non seulement d'emmener chacun votre femme, mais toutes celles qui sont en enfer, sans même en excepter Proserpine. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  218. Pour moi, je n'en ai que trop de celle-ci ; mais il y a bien des gens qui ne demanderont pas mieux que de troquer avec vous. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 21 textes (soit une présence dans 1,11 % des textes) dans lesquels il y a 10240 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 487,62 occurences par texte.

Titres Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Prologue Total
1 LA S?R?NADE27200000272
2 LA SÉRÉNADE5000005
3 LE JOUEUR1832171851921500927
4 LES SOUHAITS19700000197
5 LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES H?TELLERIES.10211680000298
6 LE BAL31700000317
7 ARLEQUIN, HOMME ? BONNES FORTUNES.75113168000356
8 LES VENDANGES20300000203
9 DÉMOCRITE1841891691701290841
10 LA COQUETTE, OU L'ACAD?MIE DES DAMES.163141103000407
11 LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES.1374900096
12 LE DISTRAIT0000404
13 LE DISTRAIT1941771961821400889
14 LE RETOUR IMPR?VU32700000327
15 ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME21700000217
16 ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME320000032
17 LES M?NECHMES, ou LES JUMEAUX0200002
18 LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX9038220719318201054
19 LA CRITIQUE DE L'HOMME ? BONNES FORTUNES.10800000108
20 LA CRITIQUE DU L?GATAIRE13900000139
21 LA CRITIQUE DU LÉGATAIRE2000002
22 LE L?GATAIRE UNIVERSEL0200002
23 LE LÉGATAIRE UNIVERSEL20219719322420801024
24 LE DIVORCE1871141230017441
25 LE CARNAVAL DE VENISE33637846330253
26 SAPOR1711701611511020755
27 ARLEQUIN AUX ENFERS21600000216
28 ARLEQUIN AUX ENFERS2000002
29 ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES.023100033
30 LES FOLIES AMOUREUSES0010001
31 LES FOLIES AMOUREUSES021342200175810
32 LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES.0070007
33 LE DIVORCE0000033
  Total363421722133115894819510240

 

 Lexique d'un texte

 Cherche dans un texte

 Lexique

 Cherche chez un auteur

 Cherche dans le corpus

 Archaïsmes